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Beau-Fils

Chapitre 2

La femme Kleenex

Erotique
— Je suis désolé…— C’est tout ce que tu sais dire ? Désolé ? Tu te rends compte que nous venons pour la seconde fois dans la même journée de cocufier ton père ?— Tu me diras encore que ça ne t’a pas plus ?— Là n’est pas le problème ! Nous sommes pires que des animaux. C’est insupportable à la fin. Bien sûr que je n’étais pas contre, mais je crois que tu profites de la situation. Dieu seul sait comment ça va finir cette histoire. Je vais lui faire du mal et comment lui expliquer que son propre gamin… tu vois ? Comment lui dire ?— Pourquoi tu veux lui dire ? Ce qu’il ne connait pas ne peut pas lui faire mal. En tout cas, je suis certain que tu as apprécié autant que moi ce qui vient de se passer. Si tu te tais, ce n’est pas moi qui vais lui raconter.— Tu t’entends parler là ? Nous n’avons pas le droit de le bafouer comme ça ! Il ne mérite pas que sous son propre toit, son fils qui lui a tellement manqué couche avec sa femme. — Ben, c’était plus fort que moi, que toi, que nous finalement. Et je t’aime. Alors l’amour peut se partager, tu n’es pas de mon avis.— Pas ce genre d’amour ! Surement pas. Tu vas rester loin de moi, plus jamais, tu ne m’approches, sinon, je te plante là avec Antoine et tu devras bien lui fournir quelques explications.— Je peux lui en parler alors… nous n’allons pas nous battre et je te promets, je ne peux, ne veux plus me passer de toi, de ton ventre.— En fait d’amour, c’est simplement du cul que tu réclames, si je saisis bien !— Non ! Je t’aime vraiment…
Alors que je repassais ma culotte, il venait de m’attirer une nouvelle fois contre lui. Mon bras en opposition j’essayais de le repousser. Mais avec un pied en l’air, la patte accrochée à mon chiffon à demi remonté sur une cuisse, j’avais l’air d’une unijambiste dansant la salsa.
— Qu’est-ce que tu fais Loïc ? Lâche-moi voyons, tu vas me faire tomber.— Chut…
Sa bouche revenait en plus rapide, vers mon visage et comme une bécasse, au lieu de détourner la caboche, je me précipitais dans le piège. Un baiser… chaud, doux tendre, un de ces merveilleux préludes encore à l’envie qui renaissait de ses cendres, sur cette unique partie dont je n’avais pas eu le temps de camoufler l’essentiel. Et comment pouvais-je une fois de plus succomber à cette tentation ? Je n’avais plus peur de ce qui arrivait ?
Comment moi la femme fidèle, filant un amour parfait avec celui que je considérais comme l’homme de ma seconde vie, pouvais-je me comporter comme la dernière des salopes ? Et surtout que ça se déroulait avec le fils même de cet homme à qui la veille encore, je jurais un amour sans borne. Et de fil en aiguille, dans ma cervelle d’oiselle en chaleur, le bien le mal, tout m’était bien égal. Et pour enfoncer encore davantage le clou, pour me remettre en position plus stable, je me penchais en avant.
Mouvement malheureux ? Pas si évident que la vérité se trouva dans ces gestes. Mon visage venait de flirter avec le truc du jeune homme. Comment pouvait-il encore bander de la sorte alors que dix minutes tout au plus nous séparaient de son second arrosage de la journée ? Et puis quoi… il y avait la vue, les senteurs, et le tout se conjuguaient dans un appétit que je ne pouvais plus dissimuler. Il avait suffi à ce fils de me guider gentiment la bouche ver son mât. Ce qui en soi ne représentait guère un effort surhumain.
Et depuis que j’avais rencontré Antoine, cette queue était la première autre que la sienne à entrer dans ma bouche. Vaincue, je me laissais aller à sucer cette trique et lui me caressait les seins, les triturant sans vergogne, tel un vieux briscard du sexe. Nous avions fini par nous retrouver sur le canapé dans le salon. Et allongés tête-bêche, chacun dans son registre, nous avions découvert les endroits les plus secrets de l’un et de l’autre. Le plaisir que j’y prenais avait tout de même le relent de l’interdit.
Loïc, pour sa part ne semblait nullement traumatisé, et se laissait porter par les évènements. Ensuite… eh bien, pour la troisième fois depuis son arrivée à la maison, il était revenu dans mon ventre. C’était si bien amené que j’avais fini par le chevaucher sans rien dire. On ne pouvait guère être plus consentante. Il en profitait largement, bien que n’étant nullement égoïste puisqu’en amant redoutable, il prenait bien soin de faire durer son plaisir, au moins le temps que le mien fut visible et impossible à refréner.
La douche prise seule m’avait remis la tête d’aplomb et je me maudissais d’être si faible. Ensuite je l’avais expédié au supermarché pour être délivrée de ses yeux qui me suivaient dans chacun de mes mouvements. Sous prétexte d’aller acheter du pain, il se sentait d’un coup utile à la maisonnée. Antoine et lui étaient rentrés à quelques minutes d’intervalles et mon mari lui aussi passait à la salle de bain. Son fils quant à lui, restait cette fois à bonne distance de moi. Une manière comme une autre de ne rien laisser transparaitre à ce père juste retrouvé ?
Lorsque j’avais rejoint mon mari dans l’espace réduit de notre lieu de toilette, il souriait. Bien sûr, nu comme un ver, il attendait un mot, un geste, peut-être une caresse. Comment ne pas lui offrir ce qu’il espérait ? Il n’aurait sans doute pas compris un refus de ma part. Mais lorsqu’il avait tendu la main pour me tripoter, je m’étais de suite éclipsée et j’avais juste perçu ses murmures.
— Tu ne perds rien pour attendre… ce soir…— … !
Bien sûr, je m’étais gardé de répliquer ou d’allumer le feu. J’avais depuis le matin eu passablement d’émotions et je ne savais plus trop comment réagir. Lui laisser croire que j’étais d’accord, ou lui dire non tout net. D’une manière ou d’une autre je m’enferrais dans un piège dont les mâchoires risquaient de me broyer. Après une dinette prise à trois bien entendu, nous avions regardé un film à la télévision. Tout devait avoir un semblant de normalité et le jeune homme s’était simplement installé sur un des deux fauteuils proches du divan.
Ma tête calée dans le creux de l’épaule d’Antoine, je me sentais en sécurité. À quel moment m’étais-je quelque peu assoupie ? Le film barbant au possible n’était en rien de nature à me tenir en haleine. Au bout de longues minutes où mes paupières closes ne laissaient filtrer qu’un minuscule rayon me permettant de voir ce qui se passait autour de nous, je savais que Loïc ne cessait dans la pénombre de loucher sur notre couple. Si son père ne s’en apercevait pas, ce n’était pas grâce à ce sale gosse.
N’y tenant plus, je bougeais et finissais par me relever.
— Bon et bien messieurs, bonne nuit. Je suis crevée et je vais me coucher. Antoine, tu donneras un oreiller à ton fils. Bonne soirée à vous deux et à tout à l’heure mon chéri.— Déjà mon cœur ? Tu nous abandonnes ?— Bonne nuit, Léa, et fais de beaux rêves.— Ah ! C’est chouette ça ! Je n’avais pas remarqué que vous vous tutoyiez.— Il me semble que c’est normal, non ? Loïc va passer quelques jours ici, alors autant adopter de suite les bons usages.— Oui ma chérie ! J’espère bien aussi que nous le reverrons souvent. Hein, mon fils !— Oh, mais avec plaisir papa !
Le garçon me dévisageait en prononçant ses paroles. Je n’aurais pas juré que son père soit aussi enthousiaste s’il avait su ce qui était arrivé. Mais je ne fis aucune remarque, pourtant ce n’était pas l’envie qui m’en manquait. Une fois dans notre chambre, j’enfilais un déshabillé et me plongeais dans les draps frais. Cette fois, plus question de faire semblant et mes quinquets se fermaient sans coup férir.
Dans la pénombre de la chambre, qu’est-ce qui avait pu me réveiller ? Les pas feutrés d’Antoine qui venait me rejoindre ? Je ne bougeais pas, attendant la suite. Elle arrivait presque immédiatement par une patte sur mes reins. Sans essayer de me réveiller, mon mari remontait ma nuisette. Puis sa main parcourait la ligne bien franche séparant mes deux fesses. Elle avait une douceur si particulière, celle qui provoquait mes envies. Je ne bronchais absolument pas laissant venir les choses. Il ne cherchait du reste, vraiment pas à me caresser. Il approchait simplement son bassin de mes hanches.
Puis en se dandinant d’une étrange, mais coutumière façon, il amenait son sexe dans l’étroit couloir. Toujours aucune réaction de ma part, alors il s’enhardissait. Lentement son gland venait buter sur la porte close de mon anus. Mince alors ! Pourquoi choisissait-il cette voie ce soir ? Aucune idée, et surtout ne pas le déranger dans son action. Il commençait alors une lente reptation qui forçait sans douleur l’anneau de muscles. Une fois en place, il commençait à aller et venir avec des soupirs.
— Doucement mon cœur ! Ne crie pas si fort, tu vas réveiller ton fils.— Oh, à son âge ! Il doit bien savoir ce que c’est non ? Et puis zut, je ne vais pas me priver parce que — Loïc est dans la chambre d’ami. Il en sera quitte pour une belle érection, s’il nous entend, c’est tout.— …
Je n’allais pas le détromper ni lui raconter que… son petit… s’était tapé à diverses reprises de la journée sa femme, et que cette cochonne n’avait pas dit non ! Finalement le mieux était encore de faire jouir très rapidement mon mari et pour cela, je savais m’y prendre. En moins de cinq minutes, il s’oubliait en moi. Un court instant, j’avais eu envie de lui hurler que son rejeton tenait mieux la distance que lui. Mais à quoi bon remuer le couteau dans une plaie pas encore ouverte ?
Ensuite, blottie dans les bras de mon amour, nous nous étions enfin endormi de ce sommeil dit « des justes ». Durant le court laps de temps qu’avait duré notre coït anal, il m’avait semblé entendre un léger bruit du côté de la porte donnant dans le corridor. Mais il était vrai que ce n’étaient que des suppositions gratuites et aucune certitude que ce ne fut pas mon cerveau qui me jouait des tours. Et la fatigue s’emparait de moi m’entrainant dans les sombres abymes d’une nuit sans rêves.
— xxxXXxxx —

Le réveil était tout aussi câlin. Antoine adorait le sexe et je n’avais pas l’intention de donner ma langue au chat. Nous faisions donc l’amour et comme d’habitude, il se retrouvait à la bourre. Chacune de ses journées démarrait sur les chapeaux de roue. Je me prélassais bien gentiment au lit, somnolente et repue par cette visite matinale. Dans ma semi-torpeur, j’avais simplement cru qu’Antoine revenait, ça lui arrivait de temps à autre d’oublier un dossier à la maison. Les draps se soulevaient délicatement et je sursautais soudain.
Qu’il soit de retour était du domaine du possible, mais qu’il revint se glisser dans les draps avait de quoi me surprendre, me faire me poser des questions.
— Tu as oublié quelque chose, Antoine ?—… Humm.
La voix ! J’étais d’un coup complètement réveillée. L’accent de celle-ci bien plus jeune, je réalisais mon erreur. Trop tard ! La tête qui s’infiltrait entre mes cuisses n’avait rien de celle de mon mari. Ou plutôt elles avaient tellement de choses en commun.
— Arrête Loïc… Ton père est déjà passé par là avant toi, ce matin.— Humm ! Alors, laisse-moi nettoyer tout ça…— … ? Ça ne va pas la tête ? Sors de là…— S’il te plait ! Sois un peu salope et laisse-moi te lécher…
Ses deux mains me tenaient les chevilles et sa bouche se frottait contre mes grandes lèvres encore sans doute baveuses de la semence qui coulait de cet endroit pas encore lavé, évidemment.
— Non ! — Oh… j’en ai terriblement envie. Je vous ai entendu hier soir et encore ce matin. Tu aimes vraiment le cul. Regarde comme je bande pour toi.— Pas pour moi. Tu bandes parce que tu t’imagines des trucs…— Non ! Je les ai suivi de ma chambre et j’ai besoin de toi, de ton ventre, de ta bouche, de tes lèvres, j’ai besoin de te baiser, d’entrer dans ta chatte… je t’en supplie, laisse-moi te prendre.— … ?
Il venait ce petit saligaud de me lécher la chatte et la pointe de sa langue écartait le fruit juteux en deux.
— Humm ! Tu es trop bonne ! J’adore ce qui reste là, les odeurs, les saveurs, ce sont celles de vos amours à tous les deux ! J’aime ça, c’est incroyablement bandant. Donne-moi ta main… oui vas-y branle moi un peu… juste pour garder la pression, pendant que je me délecte de ton chat.— Mais…
Il tenait ma main fermée sur son cylindre de chair et lui imprimait un mouvement de haut en bas.
— Suce-moi… vas-y suce moi un peu. J’ai aussi envie de ta langue sur le bout de mon nœud… suce-moi petite chienne.— Arrête… s’il te plait…— Je sais que tu en as envie, que ça te plait aussi ! Hein ? Tu aimes que l’on te force un peu, tu veux des ordres pour obéir ? Suce ! Ouvre ton joli bec, belle merlette. Mon père ne s’apercevra de rien… ça ne s’use pas ces endroits-là. On peut s’en servir autant qu’on veut sans que personne ne remarque jamais rien. Viens !
Il était sur moi, à la missionnaire et s’évertuait à me donner des petits coups de boutoir. Il était parvenu à me pénétrer et je ne pouvais pas vraiment dire que j’étais insensible à ses coups de bite. Au bout de quelques secondes, je lâchais littéralement prise. Et avec mon esprit, mon corps aussi se libérait. Un trait fulgurant traversait tout mon être. Mille fois plus qu’avec son père avant son départ, je réagissais à cet assaut cordial si rondement mené.
Mes ongles se raccrochaient à tout ce qui se trouvait à leur portée, et le dos du gaillard devait ressembler à un champ fraichement labouré. Nous ahanions de concert et les contractions qui me crispaient les tripes n’avaient plus rien de comparable aux frémissements matinaux dus à la pénétration de mon Antoine. Il fallait dire quand même que là, je ruais de partout, ne cherchant nullement à raccourcir la montée d’un vrai plaisir. Mes cris devaient aussi emplir l’espace clos de la chambre.
Les orgasmes successifs m’avaient vidée et toute la matinée j’étais plus proche du robot que de la femme énergique habituelle. J’avais retrouvé mon Antoine pour l’heure du repas avec une sorte de soulagement bienvenu. Au moins lorsque son père était là, Loïc se tenait tranquille. L’après-midi m’avait retrouvé avec les mains du jeune aux fesses et sa bite ailleurs. Nous avions refait l’amour encore et encore, il devenait boulimique et insatiable. Mais comment résister à la fougue de sa jeunesse exubérante ?
J’en perdais la tête, mon cerveau s’octroyait des absences et surtout refusait de trouver mal le fait de baiser avec ce beau-fils tombé du ciel. Une curieuse impression aussi que toute la maison puait le cul ! Mais chose étrange, Antoine ne semblait rien remarquer ni voir quoi que ce soit d’anormal. Il était même tout heureux de croire que son petit et moi nous avions l’air de nous entendre à merveille. S’il avait su que dès qu’il avait le dos tourné… le grand gosse me collait ses pattes partout.
Et pas seulement ses mains du reste. Si je ne l’encourageais pas, je ne le repoussais pas franchement non plus. Puis la trouille des conséquences de mes actes inconséquents m’effrayait. J’en arrivais à me demander comment allait se terminer cette histoire. La fin s’annonçait plutôt à mon désavantage. Je me voyais déjà de nouveau devant un juge pour un divorce houleux. La semaine de vacances de Loïc à la maison, prise le soir et la nuit par le papa et par le rejeton dans la journée, question sexe, j’étais comblée.
Bien entendu que le plus jeune des deux n’avait pas intérêt à ramener cette affaire sur le tapis puisque de toute évidence, j’étais incapable de lui résister. Pas plus que je ne savais refuser quoi que ce soit à mon Antoine. Finalement j’étais fourbue, lasse et le départ au début de l’année toute neuve du garçon me rendait plus morose que je n’aurais voulu le penser. Comme quoi, mon esprit s’acclimatait rapidement à cet état de fait. Loïc me manquait pour de bon.
Mais son père lui avait fait promettre de revenir le plus souvent possible et cette invitation n’était pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Pour être revenu, il ne s’en était pas abstenu. Seulement, il faisait de plus en plus souvent le voyage sans avertir son père et bien sûr, il trouvait de quoi être bien reçu. Je n’avais pas à me plaindre. Il était rempli de gentilles attentions, et me montrait son attachement sans faille. En fin de compte, il ne rencontrait son père qu’environ une fois par mois, arrivant le vendredi après-midi et repartant le lundi après le déjeuner.
Mais il omettait de raconter à ce papa abusé qu’il passait bien plus de temps chez nous. Seulement lui ne le savait pas et surtout je ne le lui raconterais jamais. En un mot comme en cent, le jeune homme se comportait en amant accompli. Il usait et abusait même de ce ventre que je tenais si généreusement à sa disposition. Mais comme j’avais les mêmes attentions pour Antoine, et que finalement, je ne sortais guère de notre villa, il lui était difficile de comprendre qu’il était cocu. Si d’aventure, il était rentré inopinément… quoi de plus normal que de trouver son gaillard de fils là ?
Nous aurions toujours pu trouver une excuse bidon pour justifier de sa présence. Alors, je crois que le gentil garçon adorait ces visites où tout lui était permis. Une sorte d’open-bar charnel en somme, dont il ne se privait pas. Tout cela sous le regard bienveillant d’un papa poule, heureux d’avoir renoué avec sa descendance et de s’illusionner dans une vie de famille épanouie. Un crève-cœur pour moi qui ne maitrisais plus rien d’une situation bien ambiguë. Un inextricable entrelacement de peurs et de bienfaits.
Cette situation perdurait et aurait sans doute pu encore continuer durant des lustres si le jeune n’avait pas eu les dents trop longues. Et comme chaque année, mon mari partait pour les besoins de son entreprise dans le sud de la France pour un séminaire de trois jours. Loïc avait débarqué dès le matin, juste après le départ de son père. Seulement, il n’était pas venu seul. Son meilleur pote, un certain Xavier l’accompagnait. Et bien entendu, la cruche de belle-mère que j’étais avait compris, mais un peu tard, les motifs réels de cette présence insolite.
Le mignon fils d’Antoine n’avait rien trouvé de plus intéressant que de proposer mon ventre à son ami. Oui… me faire baiser en trio avec ce jeune aussi déluré que lui bien évidemment. Et conne jusqu’au bout des seins, j’avais accepté la première nuit, l’arrivée dans ma chambre à coucher de Loïc et de son pote. Ils m’avaient bourrée dans tous les sens, prise par tous les orifices, j’avais sucé, pompé et léché les deux queues avec un plaisir frisant l’indécence.
Cette situation hors norme avait pris fin quelques heures avant le retour de mon mari. Mais les deux lascars m’avaient prévenue qu’ils reviendraient dès qu’ils en auraient la possibilité. Et la mesure était comble. Cette fois ma décision était prise. Je devais partir et en courant même. Puisque de toute manière, incapable de refuser quoi que ce soit à mes trois mecs, j’allais finir par ne plus savoir qui j’étais.
Une valise avec quelques fringues entassées à la hâte, c’était bien ainsi qu’Antoine me retrouvait alors que j’allais monter dans ma voiture. Bien entendu, il ne comprenait pas le pourquoi de mon brusque départ. Le mettre au courant n’aurait sans doute pas fait avancer les choses. En tout cas, ça n’aurait en rien résolu mon problème. Trop d’amour avait tué l’amour. Et c’était donc pour cette raison qu’un petit après-midi d’un mois de mai ensoleillé, je me retrouvais de nouveau dans la tourmente.
Tout cela pour avoir trop aimé le père, le fils et le Saint-Esprit… Depuis beaucoup me posaient des questions ! Eh bien depuis, si je papillonnais, allais d’homme en homme, au moins n’étais-je plus liée à aucun d’entre eux. Et lorsque je couchais et couche encore bien sûr, c’est sans peur que l’avant-dernier ne me demande des comptes. J’évite les embrouilles et vis une vie de femme libre, j’avoue aimer plus que de raison le sexe, j’en change souvent et cette façon nouvelle d’exister me convient.
Dire que je ne regrettais pas Antoine, Loïc, voire même son ami Xavier serait mentir assurément. Mais c’était trop difficile de leurrer celui qui m’avait fait confiance. Et comme de toute manière, je ne saurai jamais dire non, que je tombais en extase devant la première queue bien raide qui se présentait, autant que je reste libre de les aimer toutes sans en avoir à les refuser pour une question de moralité.
— xxxXXxxx —

Antoine et moi sommes divorcés depuis quatre ans maintenant, Loïc lui est devenu médecin ! Il s’est marié et son ami Xavier partage sa femme. Quant à moi… je suis la salope que les hommes viennent trouver lorsqu’ils sont seuls, lorsque dans leur couple il y a un accroc. Je suis une femme à repasser, une de ces dames conciliantes que l’on prend et que l’on jette… une femme Kleenex en quelque sorte. Une de celles qui porte toute la misère des hommes sur ses épaules… à moins que ce ne soit sur son ventre…
Après… c’est une autre histoire !
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