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Beau-papa & Co

Chapitre 3

À quatre, on prend notre pied.

Orgie / Partouze
Il y a deux mois que nous vivons dans le duplex de mon beau-père. Oui, je l’appelle déjà ainsi. Je porte une petite tenue que mes deux hommes m’ont offerte, une tenue de soubrette qui ne couvre que mon dos, mon ventre, mes épaules et laisse mon cul et ma poitrine, à l’air. Je fais le ménage pendant que père et fils répètent le prochain spectacle de mon Christian d’amour. Mon Alain a vite appris le fonctionnement d’une régie son et lumière. Je me plais dans mon rôle de salope docile. Quoique docile, pas tout à fait depuis que j’ai enculé mon Christian de ma main. Il aime à se laisser dominer et j’aime quand ils me dominent sexuellement en agrémentant le tout d’une bonne grosse fessée. Oui, j’aime ma vie de salope, c’est un fait.
Mais aujourd’hui, un peu avant midi, je dois aller chercher celle que mon Christian va épouser, Mariko. Si je la connais, c’est à travers des photos, des bouts de vidéo et par le téléphone. À sa voix, je la sens déjà chaude. Et plus encore quand elle a su que c’était moi qui venais la prendre à l’aéroport. Alors, et rien que pour elle, je porte des bas autofixants, mes sandalettes à talon aiguille et un manteau qui ne m’arrive qu’à mi-cuisse. Dans ma voiture, je ne peux m’empêcher de me branler en chemin. Je connais son corps et il me plaît. Je ne vous cache pas qu’elle sera ma première femme. Dans mon corps, je ressens déjà tout ce que nous pourrons jouir ensemble. Je me parque loin de tout, j’ai déjà ma petite idée bien salace derrière la tête. D’un pas pressé, je me dirige directement vers le terminal. Là, je ne cesse de fixer ce tableau. J’attends de voir apparaître l’avion de Mariko. Je sens mon excitation grandir, elle coule même sur mes cuisses.
Cela m’oblige d’aller me les essuyer aux toilettes et me branler. Puis, devant cette porte toujours fermée, je fais encore les cent pas. Je cherche à calmer cette excitation galopante. Je sens tout le poids des regards posés sur moi. Ces hommes qui semblent deviner ma nudité sous ce court manteau. Il me semble même entendre leurs pensées vicieuses. Ils s’imaginent tous me baiser, me violer, m’enculer ou même me fouetter pour ce gros porc qui me tourne autour. Lui, perso, je me verrais bien lui mettre mon genou là où je pense, suivez le guide ! Enfin l’avion de ma Japonaise apparaît sur le tableau. Il est pile à l’heure. Sur mon banc, sans croiser mes jambes, mes mains dans les poches de mon manteau, je me caresse discrètement devant les pensées et les regards de ces gens. Après un moment, l’avion est au sol. Je respire un bon coup, je me sens rassurée. Cela dit, cela me fait aussi jouir. Je retiens de crier mon bonheur en me mordillant mes lèvres.
Je crois que tous savent que je viens de jouir. Qu’importe, je suis debout, devant cette vitre, à guetter Mariko. Je ne pense pas avoir de peine à la reconnaitre tellement je connais son corps à travers les photos de mon Christian. La voilà, c’est elle, là, au fond. Oh putain quelle beauté ! Je me sens toute chose en la voyant. J’ai même une soudaine envie de me branler une nouvelle fois. Je me l’interdis pourtant. Et puis, il y a ce gros porc qui me serre d’un peu trop près. Je sens ses mains contre mes reins. Je me retourne, lui assène un coup de genou en le traitant de tous les noms. Il tombe à genoux, je lui colle mon sexe sur sa bouche et pisse tout ce que j’ai dans ma vessie. En me retournant, je suis face à un visage d’ange, Mariko. Elle me regarde, à peine étonnée de m’avoir vue uriner sur ce gros tas. Elle sourit, rigole, sa main droite sur sa bouche. Délicieuse, elle est juste délicieuse.
Nous nous écartons, j’hésite un peu et puis, non, autant y aller franco. Je lui roule une pelle en la serrant tout contre moi. Elle ne se refuse pas à mon baiser, à mes mains sur sa croupe. Surtout que ce gros porc nous observe.
— Mariko, j’étais impatiente de te rencontrer. — Cela fait plus de douze longues heures que je meurs de t’avoir dans mes bras. C’est vrai que tu es sublime. — Et toi alors, tu es si, si... oh et puis merde, je t’aime depuis que notre Christian me parle de toi, que j’ai vu tes photos et que j’ai une putain d’envie de me sentir serrée comme une saucisse dans tes cordes. — Miam, voilà une femme comme je les aime, amoureuse. Aussi, je me suis permis quelques folies. Tu vois cette valise bleue ? Tout son contenu est pour toi, à tes mesures. Son contenu est même identique à la rouge. Mais là, ma chérie, il me faut me changer, je suis trempé tellement j’ai mouillé et transpiré.— Alors viens, on pose tout ça à la consigne et je t’emmène.

Entre nous, et j’en suis très heureuse, le courant est passé comme une lettre à la poste. Dans les w.c., on s’enferme dans le même cabinet. Elle ne se dénude pas, je la dénude. Nue, j’ai déjà embrassé tout son corps sauf deux endroits, sa chatte et son cul. Ça, c’est en dernier, c’est mon dessert, ma première fois. Je la hume en frottant mon nez sur ce sexe tout moite. Ma langue le goûte, le goût m’électrise et je me mets à lui brouter son minou jusqu’à son anus.
— Calme-toi, amour de femme. Il me faut...— Et alors, pisse, ma belle, pisse, je veux tout goûter de toi.

Christian, dans ses lettres enflammées, lui avait décrit tout de mes penchants, de mes attentes. Pourtant, il ne lui avait pas tout dit de moi. Je sens son urine couler dans ma bouche, sur mes seins, mon ventre, ma chatte. Je bois tout ce que je peux. Je me régale même quand ma langue vient prendre ce liquide directement à la source, léchant ce minou au goût si délectable. Je gobe les dernières gouttes avant d’aller m’empiffrer de ce cul au goût prononcé. Mariko jouit, jouit et jouit sans fin. Fatiguée par son voyage, elle me supplie d’arrêter. Je me redresse, essuie sa pisse de ma main que je lèche avant de m’essuyer de PQ. Elle m’embrasse et nous manquons de rouler sur ce sol. Une fois repue, je lui enfile sa petite robe en abandonnant ses dessous dans ce cabinet. Vous me dites folle ? Je le suis, folle de sexes, de plaisirs orgasmiques, oui, je suis folle au point de me donner à fond quand je baise.
Main dans la main, nos doigts entrecroisés, nous retirons les valises à la consigne. Je crois bien qu’on nous a entendus jouir à voir ces personnes qui nous dévisagent. En riant comme des folles, je la conduis à ma voiture. Une fois ses bagages dans le coffre, elle me pousse dans la voiture, ouvre mon manteau, me baise comme une salope. Voilà deux salopes qui baisent comme des truies. Hurlant nos plaisirs cochons, on se fait entendre de tout le parking. Mariko s’arrête à nouveau, épuisée. Je la pose sur le siège passager, sa petite robe relevée, laissant son entrecuisse à la vue de tous, miam. Je me pose derrière le volant, mon manteau entièrement ouvert. Je roule jusque vers la sortie, donne mon ticket à ce guichetier qui n’en croit pas ses yeux. Il me prend mon ticket, appuie sur le bouton, ouvrant du même coup la barrière. Je lui adresse un clin d’œil et roule sans même payer. Sur la route, Mariko, un peu reposée, pose sa main sur ma chatte en feu.
— Arrête-toi, ma petite salope. Faut tout me raconter pendant que nous ne sommes que toi et moi. — Si tu veux ma chérie. Ça fait déjà deux ans que je sors avec un baiseur de première main, un mec qui baise comme un dieu et je ne te dis même pas comment il t’encule, c’est du pro de chez pro. Et puis, un soir, chez son père, ton futur, il m’a mis sa main sur mon cul, avec son majeur sur mon anus. Il m’a posé ses lèvres sur le coin de ma bouche. Moi, je voulais plus, on s’est embrassé pendant que je poussais son doigt dans mon cul, bien en profondeur. Et puis...

Et puis, ben je lui raconte tout sans ne rien lui cacher. Sa bouche sur ma chatte, je n’arrête pas de lui conter nos soirées, notre déménagement et ma vie de soubrette depuis deux mois et quelques. Aucun détail ne lui est épargné. Même Alain enculant son père, ma main dans le cul de mon beau-père, mes fessées, mes orgasmes, oui, tout, je lui dis tout. Enfin, vient le moment de lui avouer ce que j’ai encore envie de vivre avec elle, Mariko. Comme me sentir ligotée, donnée en pâture à nos baiseurs. Oui, je rêve de plus de vices, de plus de sexe et même d’un peu plus de soumission. Mariko, au mot soumission, se redresse en me claquant violemment l’intérieur de mes cuisses sans que je ne bronche.
— Toi, en soumise ? WAOOOOW, là, ma douce tu me plais. Parce que j’aime me sentir emprisonnée dans mes cordes. Tu verras, on jouit cent, mille, un million de fois plus fort. Et puis quand je suis baisée de partout, parfois même fouettée, je jouis si fort qu’il m’arrive de perdre connaissance. Tu sais, avec Christian, on se fait des week-ends pendant lesquels, je l’attache et abuse de lui ou, à l’inverse, il me ligote et abuse de moi. La dernière fois, c’était il y a huit mois pendant un bien trop court séjour de mon amoureux. Il donnait un spectacle dans un club. J’étais son assistante. Sa représentation dure un peu plus d’une heure, tu comprends. Alors, après, comme c’était un club fétichiste, il a fallu improviser. Je l’ai dénudé, attaché et baisé comme une truie. Il a joui et jouit jusqu’à éjaculer un peu de sang. Il n’en pouvait plus. Ensuite, le laissant dans mes cordes, solidement suspendu, j’ai attaché quelques femmes que je posais devant sa bouche à ce vicieux homme. Il les a toutes léchées et fait jouir. Il fallait voir ces gens dans la salle, on a fait un tabac, ça baisait de partout. Une fois libre, Christian n’a eu qu’une seule phrase, fallait qu’on recommence et on a recommencé dans ce même club sauf que cette fois, c’est lui qui m’a attachée et baisée de partout. Ce pervers a même permis à quelques hommes de me baiser et j’ai aimé ça. Il m’a aussi coulée de la cire brulante un peu partout, surtout sur mon sexe, ma langue, mes seins. J’ai joui comme jamais je n’avais joui. Si, avec une autre personne, toi dans les toilettes. — Alors il avait raison quand il me comparait à toi, on se ressemble toutes les deux. Oui, enfile ta main, toute ta main, mon cul adore ça, ma japonaise d’amour. — Comme le mien, salope d’Européenne.

J’ai joui de sa main, allant et venant dans mon fion de salope. Il nous a cependant fallu arrêter sous peine de ne pouvoir aller plus loin. On a roulé jusqu’à une aire d’autoroute pour y prendre de quoi nous remettre sur pied. Nos tenues n’ont laissé personne indifférente, personne.
Enfin, chez Christian, j’entraîne Mariko sous la douche italienne pour une douche saphique. Nous nous épuisons dans de sublimes orgasmes quand nos hommes nous découvrent vidées de toute force. Et pourtant, en les voyant bander comme ça, on n’a pas pu résister, toutes les deux. Oui, mais voilà, elle connaît son homme, pas le mien, le fils. Le clin d’œil échangé, on a échangé nos hommes et en avant la musique et plein pot. Ils nous ont baisés, enculés et ont recommencé jusqu’à se retrouver dans le même état que nous, raide, sans plus aucune force. Sur le grand futon, sans même nous serrer, nous avions toute la place. Mais en se serrant les uns contre les autres, les femmes au milieu, c’est encore meilleur. Oui, Mariko est une femme que je ne peux qu’aimer et je la sais déjà amoureuse de moi. Il ne nous aura fallu que quelques heures pour nous connaître davantage et même en profondeur.
Dès le lendemain, toutes les deux, nous vidons les valises, je ne vous dis même pas dans quel état je suis. Mariko commence par la noire, celle dont je ne sais rien de rien. Dedans, des cordes à foison, un martinet que Mariko essaie directement sur mon cul que je lui présente. Miam, la douleur me fait mouiller. Puis, elle essaie une longue cravache sur mes seins et j’aime ce que je sens en moi, sur moi. Je me venge sur elle, même force, même nombre et nous voilà encore plus sœurs que jamais. Me vient une idée, faire de nous deux des sœurs de sang. Un petit couteau, une petite entaille sur nos majeurs, oui, c’est le doigt idéal pour l’enfoncer dans un cul. Nos doigts soudés, nous baisons plus que de raison. J’aime baiser avec Mariko. Ce qu’elle me fait, enfonçant ses deux mains dans mes trous, c’est me faire jouir en me mettant proche de l’évanouissement. Décidément, d’en avoir fait ma sœur de sang, c’est comme si nous nous étions épousées.
Après cette sulfureuse valise, elle ouvre la bleue et la rouge. Les deux sont exactement identiques quant au contenu. Prenant un somptueux kimono, elle m’apprend qu’il est en soie précieuse et fait à mes mesures communiquées par son futur époux, le saligaud. Sur moi, fraichement douchée par Mariko, il me va comme un gant. Je me mire dans ce miroir, les mains de Mariko sur mes épaules, sa bouche sur ma nuque, un délicieux frisson me gagne. Je me retourne, émue par un si prestigieux présent. Elle me dit que ce n’est pas tout. Elle me dit que nous allons devenir les Geishas de nos baiseurs d’hommes. Oui, je suis partante et à donf. En japonaise, je me sens à l’aise près de ma Mariko d’amour. Où j’ai un peu de peine, c’est de marcher avec ces chaussures en bois. Elle rit ma Japonaise, quand elle me dit avoir eu le même souci la première fois qu’elle chaussait des talons aiguilles de plus de 10 centimètres. Enfin, elle me sort une tenue de cosplay.
Une tenue d’écolière des étoiles que j’enfile rapidement avec son aide. Il y en a même plusieurs et toutes sont d’un provocant que je dis chiche à ma Mariko. Chiche qu’elle me répond et nous sortons ainsi faire les courses dans ce quartier commercial, celui-là même où je rencontrais le père de mon aimé. Autant dire qu’on ne laisse personne indifférent, même que des hommes nous suivent partout où nous allons dans ce centre.
On fait toutes les boutiques sans ne rien trouver qui puisse rivaliser nos tenues. Au sous-sol, j’entraîne Mariko dans ce sex-shop qui nous a si souvent vus. Le gérant est là, si je le connais depuis qu’Alain et moi nous sommes ensemble, il peine à me reconnaitre. Quand je baise sa joue, que je lui dis bonjour, il me reconnait enfin, restant en béatitude devant nos costumes. S’il hésite, nous pas. On lui prend ses mains pour les mettre là où nous aimons, ma compagne et moi, sur nos minous tout humides. Je le vois enfin, ce vicieux personnage quand il nous plaque contre un mur pour nous peloter de partout. Mariko et moi, nous nous embrassons comme de chaudes et bouillonnantes salopes. On ne le laisse pas nous baiser, mais on ne se gêne pas pour lui faire une turlute à deux bouches. Mariko, elle est réellement du même bois que moi. Même un peu plus si je la regarde sucer ce mec. Ensuite, nous remontons visiter les boutiques de lingeries fines et coquines.
Mariko n’est pas une grande habituée de ce genre de boutique. Je la guide, lui montre ces dessous coquins à souhait. Elle tombe en admiration devant un ensemble fendu, oui, comme celui que j’aime à porter sous une courte jupe ou une courte robe. J’insiste pour qu’elle l’essaye, la guidant même dans une cabine. Je la regarde se dévêtir, l’aide, elle est réellement très belle. Ainsi parée, je l’oblige à quelques pas devant moi. Cela lui va à ravir et ma main ne s’y trompe pas, cette salope mouille comme une fontaine. Aussi, j’embarque cette parure et en prends une identique pour moi. Maintenant, il faut ravitailler notre garde-manger et pour quatre. Là encore, on nous suit, on nous reluque, on nous imagine, on nous envie aussi. Oui, une femme dans la quarantaine ne cesse de nous coller au train. Du moins jusqu’à ce que Mariko se retourne. Elle se dirige vers elle d’un pas déterminé et l’embrasse sans même forcer sa bouche devant les clients du centre éberlués.
Je suis ma Mariko, lui enfonce mon majeur dans la chatte, la femme jouit sur-le-champ et nous la laissons, non sans un doux baiser. En la quittant, j’ai senti quelque chose se glisser dans le haut de mon bas blanc d’écolière. Ce n’est qu’à la caisse que je sors une carte de visite.
— Tu as vu, ma chérie, c’est une spécialiste des Hentaï et des mangas. — Oh, tu sais, ce genre de spécialiste n’y entendent presque rien au Hentaï et autre manga. — Mais regarde, elle a une boutique en plein centre-ville, on y va ?— On y fonce, tu veux dire !— Oh, pendant que j’y pense, dis, tu veux bien m’apprendre ta langue, pas la fourrée, elle je la connais déjà par-cœur. Non, celle que tu parles mon amour.
Si Mariko accepte avec empressement, la caissière, devant nos propos lascifs, voluptueux, nous regarde d’un sale œil. Encore des gouines, doit-elle se dire. Quand elle me tend sa main pour me prendre ma carte de crédit, je l’attrape, l’embrasse avec un petit coup de langue. Je sais oui, je suis infernale. Surprise, elle ne retire pas sa main et reste un court instant comme ça, bête et idiote à la fois. Dans le coffre, on a tôt fait de tout charger et de foncer en direction de cette boutique. En arrivant devant la vitrine, Mariko me dit que cette femme sait de quoi elle parle. On y entre, on y découvre des trésors de Hentaï pour tous les goûts, mais pas pour tous les âges, miam ! De la BD au DVD, il y a tout, du censuré, ben oui, au non censuré, j’adore. Mais Mariko, plus fouineuse que moi, oh ! se glisse derrière un rideau et pousse un cri de bonheur. Je la rejoins, ce que je vois me laisse sur le cul. Il y a tout pour se vêtir selon notre héros favori.
Pour homme comme pour femme, il y a tout ou presque.
— S’il n’y a pas, mes salopes, je peux vous le commander sur mesure.— Alors c’était vrai, vous vous y connaissez.— Hai, j’ai vécu toute ma jeunesse au Japon. Mon père y travaillait. J’y suis même née et j’y ai grandi. — Waow, voilà qui a l’art de me plaire, Sensei. — Pas de cela entre nous, ma chère. Vous et votre amie, vous m’avez tapé dans l’œil, si je puis dire. Faut en avoir, des tripes, pour oser ce que vous avez fait. Là, tout de suite, j’ai envie de vous faire plaisir après ce délicieux moment au supermarché, oui, choisissez la tenue qui vous plaît, si possible la même pour toutes les deux. Il y a une cabine assez grande dans le fond, je vous y attends, mes belles écolières du cosmos.

Elle nous montre un rayon nettement plus en adéquation avec nos tenues. C’est sexy et provocant au possible, ce rayon. J’en profite pour envoyer le même message et l’adresse à nos hommes. Je sais déjà qu’ils vont tout laisser tomber pour nous rejoindre, ces enfoirés de baiseurs. Mariko nous choisit une tenue très, mais alors très moulante. Avec ses petites ouvertures, je sais que nous allons faire de nos hommes, des moutons très dociles. Dans la cabine, Elisabeth nous déshabille, ses douces mains sont jouissives sur nos minous, nos seins. Nos bouches se font lascives quand nous nous embrassons, toutes les trois. Le courant passe et passe plutôt bien. On m’aide à enfiler cette tenue, cette seconde peau. Je me sens si bien que je n’ai plus l’envie de la retirer et je me mire encore devant un miroir qui reflète une image de moi, sublime. Les mains de cette boutiquière sur mes épaules, je ne sais comment la remercier de m’avoir glissé sa carte dans ma longue chaussette d’écolière.
Si, je le sais, mais là, je veux encore essayer d’autres vêtements du même genre, moulant. Mariko est sublime dans cette tenue. Entre nous deux, nos tenues, il y a juste une différence, la couleur. La sienne est bleu clair, la mienne rose bonbon. On se change encore, c’est tout aussi moulant, sauf que les ouvertures sont plus précises, sur mon sexe, mes seins. D’un simple geste et tous apparaissent comme le diable sortant de sa boîte. En me retournant, Elisabeth la boutiquière enfile une tenue encore plus sexy d’écolière, courte, transparente, elle me plaît, mais pas que, la femme qui la porte m’attire et attire Mariko. On la couche et on te la baise comme des salopes en chaleur et c’est peu de le dire.
Mais voilà, il y a deux enculeurs qui arrivent et nous découvrent dans cet antre magique. Mon homme me possède, Christian possède sa future et nous voilà à baiser à cinq. Elisabeth ne semble pas dérangée par nos baiseurs. Du reste, on lui apprend qui est qui. Cela dit, lesbienne, elle ne veut pas d’un homme en elle, ce que nous respectons, Mariko et moi et même nos hommes. Après que nous ayons tous pris notre pied, on en revient aux essayages sous le regard de nos baiseurs. De leurs pouces, ils nous disent si ça leur plaît ou pas. Faut reconnaitre que s’ils continuent le pouce en haut, ils vont avoir des crampes, LOL. En toute fin de journée, nous quittons Elisabeth avec la ferme promesse de nous revoir dans sa boutique. Son cadeau sous nos bras, des achats au bout de nos mains, on l’embrasse amoureusement. Elle se laisse même convaincre par nos hommes très respectueux de son orientation.
— Tout compte fait, vos hommes, ils semblent bons amants.— Et tu es à des années-lumière de la vérité, belle boutiquière. Dans leur genre, ce sont des cadors, des pros de la bite. Ils aiment à nous faire jouir avant de prendre leur pied en nous remplissant. — OK, je note. À bientôt mes belles.

De retour, on leur fait un petit défilé de modes cosplay. De quoi redresser les quéquettes les plus exténuées. Puis, nos hommes, pendant le souper, deviennent très sérieux. On parle de tournée en Asie, dans toute l’Asie, même en Chine et la liste des pays est longue, Corée du Sud, Japon, Vietnam, Laos, Cambodge et j’en oublie comme les Philippines ou la Thaïlande. Là, il me faut un passe-porc. Mais avant de partir, il faut épouser, nous disent Mariko et Christian. Je fais un rapide calcul. Oui, deux ans et quelques mois qu’Alain et moi on est ensemble. Je le regarde, il lit en moi. Il se lève, me tend sa main, me lève et met genou à terre.
— Salope des salopes, devant ces vicieux personnages, je te demande ta main, pour le meilleur, la baise et le vice, que ce tout soit partout où nous irons. Veux-tu m’épouser, reine des salopes que j’aime.— Enfoiré d’enculeur de salope en tout genre, en plus de ma main, je te donne mon corps, mon âme et mes trous pour que tu puisses les remplir de ton foutre. Je te donne même ma bouche pour que tu la remplisses de ta pisse. Oui, je te veux, que ces deux enfoirés en soient témoins. — Alors, les témoins ?— Vos témoins se disent d’accord à une seule condition. — Mariko, dis vite, mon amour.— Oui ma chérie, on en a déjà discuté avec mon homme, on se verrait bien nous marier, tous les quatre, le même jour. Sauf que mon Christian veut m’épouser dans le théâtre qui nous a fait nous rencontrer et nous aimer la toute première fois. — Là, ma chatte, je suis partante. Et toi, mon Alain ?— Hé, mais je suis aussi partant, vous croyez quoi !

Et voilà, la messe, une nouvelle fois, était dite, amen.
A suivre si cela plaît.
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