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Beau-papa & Co

Chapitre 5

J’adore ma nouvelle vie

Orgie / Partouze
Le soir de la première, Mariko me donne un kimono pas trop dommage. S’il semble neuf, et il l’est, il est dans une étoffe facile à déchirer. Tous les quatre, nous nous rendons à ce club bien avant que les portes ne s’ouvrent. J’avoue commencer à avoir le trac. Même mon Alain ne parvient pas à le dissiper. Devant un club comble. Mariko et Christian me poussent sur scène. Je suis une vilaine voleuse qui doit payer pour son crime. Très vite, je suis emprisonnée dans les cordes de Mariko. Une fois suspendue, c’est au tour de Christian d’arriver. Il fait monter quelques soumis sur la scène. Mariko me prépare pour la suite. Sur un chariot, je découvre une grande partie de ce que je vais subir. Si certains objets me font mouiller, il en est un qui me fait terriblement peur, le fouet. Pendant que les soumis racontent tout de leurs fantasmes, Mariko dégage mes seins. Christian s’amuse avec ses soumis qui lui obéissent au doigt et à l’œil. Une soumise raconte ses aspirations en anglais.
C’est assez étonnant pour être souligné. Elle dit vouloir subir les cordes et les sévices de Mariko, la bite de Christian. Et puis, pendant un court instant, son regard plonge dans le mien. Elle se dit se voir attachée avec moi, obligées, elle et moi, de subir les viols répétés des mâles du club. À vue d’œil, je dirais qu’il y en a une bonne vingtaine. Je ne crois pas que Christian s’attendait à pareille révélation. Même Mariko a tout arrêté pour écouter cette soumise. Je crois qu’elle se prénomme Kaori. Kaori révèle même qu’elle suit ce couple depuis la toute première représentation. Elle se dit aussi sans Maître ou Maîtresse. Enfin, Christian lui rend sa liberté de penser. Elle s’agenouille devant lui, se penche jusqu’à poser sa bouche sur les pieds de ce Maître. Elle l’appelle même Sensei. D’une voix douce et forte, regardant le couple, elle ouvre son vêtement. Mariko semble stupéfaite, c’est sans vous dire la tronche de Christian.
Il y a un tatouage qui les représente fouettant Kaori. Même moi, je n’en crois pas mes yeux, c’est si ressemblant. Je crois qu’il y en a deux qui ne savent plus que faire. Alors, je pousse un long hurlement de douleur. Non, personne ne m’a frappé ou fait quoi que ce soit. C’est juste pour remettre le spectacle en route. Kaori s’approche de moi en laissant son vêtement glisser sur le sol. Sa foufoune devant ma bouche, ma langue cherche à la lécher. Mariko reprend les commandes et me colle cette soumise sur ma bouche. Sur mes seins, de la cire brulante coule. Il n’y a plus personne devant moi et tous peuvent me voir, nous voir. Une secousse, la scène se meut en direction du centre du club, du jamais vu par mes mirettes. Kaori tire sa langue, Mariko y coule de la cire. Je gémis comme cette Japonaise. Dans mon con, Mariko enfonce un vibro, je jouis sous un tonnerre d’applaudissements.
Puis elle me redresse. Ses cordes m’écartèlent comme si elle voulait me démembrer. Une bouche suave lèche mes pieds, c’est Kaori. Décidément, elle me plaît cette jeune femme. Elle ne doit pas avoir guère plus que moi, presque vingt ans. Le fouet tombe sur moi, dix coups que je reçois. Cette fois, je hurle. Comme si cela ne suffisait pas, Mariko couvre mon corps de pinces mordantes, méchantes, douloureuses. Une cravache m’arrache une pince, un autre coup frappe mon sein gauche, expulsant deux pinces. J’ai mal, je ne peux dire le contraire. Mais dès qu’une main attentionnée me caresse, je clame que c’est bon. Je supplie même d’être baisée, enculée ou tout ce qu’ils voudront bien me faire tant qu’on me baise. C’est une fine main qui s’insère dans mon cul, celle de Kaori à n’en pas douter. Là encore, je peux entendre ses acclamations. Des mains se joignent à celle de Mariko, mais celles-ci me caressent sans me causer la moindre douleur.
Christian se glisse près de moi, je reconnais son parfum.
— Joue l’hypnotisée, ma chérie, je voudrais faire encore quelque chose. — Tout ce que tu veux, vicieux personnage, tout, tu m’entends !— Oui, que trop, ma douce belle-fille. — Plus de belle-fille, mon enfoiré, votre salope, Maître. — Miam, ça, tu vois, j’adore. — Moi aussi, qu’est-ce que tu crois ? Continue, vous me faites un bien fou. — Alors, tu aimes réellement.— Oh oui que j’aime. Je vis un vieux fantasme. Mais je te dirais tout après. — Mesdames, messieurs, je voudrais six hommes, six femmes. Vous, Monsieur, vous, belle dominatrice, cette jeune femme, oui, vous et vous et encore vous.

Bref, il choisit ses douze exécuteurs. Je sais déjà qu’ils vont nous baiser, moi et Kaori et que je vais devoir lécher et sucer. Mariko détache certaines cordes. Elle en fixe d’autres à mon corps. Je me sens soulevée. Je sens ma tête plonger vers le sol et je me sens délicieusement écartelée. Je sens mon corps s’étirer comme si ma douce Japonaise voulait me démembrer. Si je ne vois plus Kaori, je l’entends geindre de bonheur et de douleur, le tout en même temps. Dans mon sexe, une main autre que celle de Mariko force ma chatte. Une petite queue se pose sur ma bouche. Merde, elle est ridicule petite, presque microscopique. Une autre, plus grosse, se joint à la première et je pompe ces deux bites. Sur mes seins, deux mains me les broient. Mes tétons sont presque arrachés, tordus. Cette fois, je ne sens plus ce plaisir qui m’habitait peu avant. Je le crie à Christian. Les choses changent, on se fait plus doux, même si je souffre un peu encore. Mais ça, je préfère, j’aime même.
Un fouet vient massacrer mes seins. Je hurle et puis plus rien. Je sens juste mon corps se coucher sur la table, une bouche se déposer délicatement sur ma bouche. Une voix me dire que j’ai été merveilleuse. Et moi, ça, je m’en souviens, dire que je me réjouissais de recommencer, mais au Japon. Mariko m’embrasse, sa main étalant de la crème sur mes seins, ma vulve.
— Repose-toi, mon amour. Tu as été fantastique. — Et toi, diabolique, comme les deux autres, ses enculeurs. Je t’aime, ma douce. Qu’en est-il de Kaori ?— Elle va bien. Je crois que nous allons lui demander de nous accompagner. — Ô ma belle, que voilà une bonne idée. Elle me plaît et pas qu’à moi, regarde mon homme. Cet enfoiré bande comme un âne.

Kaori s’approche de nous, s’agenouille près de moi. Nous nous embrassons, nous nous enlaçons. À voir nos hommes, cette petite ne laisse personne indifférent. Mon Alain la regarde, d’un mouvement de tête, Kaori comprend et va sucer mon homme. Il faut dire que je ne suis pas trop en état. Mariko et Christian m’emmènent dans la loge. Ils me pommadent d’un onguent qui calme mes douleurs. Kaori arrive, s’essuyant sa bouche. Suivie de mon Alain, ils se collent à moi.
— On m’avait avertie qu’une folle voulait absolument être des nôtres. Quand je la regarde, je ne vois pas une folle. C’est même tout le contraire, n’est-ce pas, Kaori.— Hai Sensei. Pardonnez mon français, Sensei. Je me nomme Kaori Mishima, j’ai vingt et un ans. Je travaille juste à côté, comme serveuse dans le bar. Je me sens l’âme d’une soumise depuis mes quinze ans sans ne jamais trouver celui ou celle qui me fera vivre cette soumission. C’est quand, pour la première fois, je vous ai vue, Madame, que j’ai vu en vous celle avec qui je pourrais vivre pleinement ma soumission. Puis, il y eut vous, Monsieur. Lors de votre premier spectacle, vous m’avez invitée sur la scène sans savoir qui j’étais, ce que j’étais. Si je ne me souviens plus de ce que j’ai pu dire ou faire, je ressens encore cette soirée. Aussi, hier, j’ai appris ce qui allait se passer ici, ce soir. Je me suis introduite dans le club à votre suite, sans me faire remarquer et me voilà.— Mariko ?— Ben, mon amour, je crois que là, nous avons une recrue de choix pour faire le show avec cette petite salope d’Européenne, il me semble.— La salope, elle te dit tout le mal qu’elle pense de toi, mon amour. Kaori, s’il ne tenait qu’à moi de décider, c’est avec un immense plaisir que je dirais oui. Seulement, il y a mon futur époux, c’est lui, là, celui qui t’a baisée. Et puis, y a ces deux monstres, des sadiques, je te dis. Non, ce sont des amours et je m’y connais, ma belle. Dis, tu mesures combien ?— Moi, un mètre cinquante-cinq pour quarante-deux kilos. — Waow, on est aussi grande l’une que l’autre et presque pour le même poids. Enfin, si je perds deux ou trois kilos. Bon, mes amours, on en fait quoi de cette sublime jeune femme, on la vire ou on se la tape. Parce que là, à moi, elle me fait envie.

Et puis zut, je joins les actes à la parole et t’embarque cette demoiselle. Devant tous, nous baisons et pas comme des débutantes. Cette petite possède une solide expérience avec les femmes et là encore, je commence à m’y connaître. La belle se donne autant que moi, à fond. Mariko a vite fait de nous rejoindre et nos hommes, la bite à l’air, nous possède, Kaori et moi. On se laisse baiser en bouffant l’intimité de Mariko. Quand mon homme me menotte, je jouis de me sentir réellement utilisée. Je me retourne, le fixe, lui dis de pousser le jeu plus loin encore. Même Kaori est de mon avis. Sauf qu’elle est déjà une soumise dans l’âme, moi, je sens que je vais le devenir, délicieuse sensation. Mon homme, avec Christian, nous fessent. Kaori est la première à jouir de cette fessée. Moi, il me faut une bonne grosse bite dans mon fion et là, mon Alain, une fois de plus, sait comment me faire jouir. Sa bite pourfend cruellement mon cul, comme j’aime et je jouis immédiatement.
Je suis épuisée quand mon Alain me remplit mon cul de son foutre. Kaori me le bouffe alors, avalant le sperme qui en sort. Cette salope est comme Mariko et moi, une vraie de vraie et prête à tout pour jouir.
Retour à l’hôtel. Dans la suite, Kaori se sent soudainement bizarre. Comme si elle découvrait le luxe pour la toute première fois. Autour d’un bon saké, elle nous raconte sa vie, ce qu’elle fait pour se sentir humiliée. Il lui arrive de sortir, la nuit avec juste un manteau transparent en vinyle sur les épaules et pied nu, une laisse à son cou. Parfois, nous raconte-t-elle, elle se fesse d’une spatule ou de sa brosse à cheveux. Elle dit encore pratiquer le self-bondage des heures durant. J’avoue mon ignorance sur le self-bondage.
Le lit de la chambre de Mariko et Christian est un poil plus large, on s’y installe tous les cinq. Le temps pour les salopes d’être toutes baisées dans les règles qui régissent les salopes dans notre genre. Ce qui signifie que tous nos trous sont comblés. Enfin, nous nous laissons emporter au pays des songes, collés les uns aux autres.
Dans la matinée, une bouche me suce mes orteils, ouvrant un œil, je découvre que c’est mon Alain d’amour. Nous ne sommes que les deux dans la chambre. Il me fait l’amour tendre. Ce n’est pas ce que je préfère, mais j’aime bien de temps à autre. Et là, justement, j’en ai besoin. Il m’apprend que les autres sont allés chez Kaori, vider sa chambre. Yes, mon biquet, changement de programme, on passe de la tendresse au sauvage. Ça, mon homme, il sait y faire. Mais l’enfoiré a une autre idée du sauvage que moi.
— Toi, aujourd’hui, c’est repos, il n’y a pas de spectacle à donner. Alors, je vais faire de toi, ma chienne docile. — Ô mon Maître, soyez vache avec votre putain. — Parce que tu crois que je vais me gêner depuis le temps que tu me dis ne plus être qu’une soumise. À commencer par demain, il y a un tatoueur. Oui ma petite chienne docile, je vais te faire tatouer de mon titre de propriété. — Miam, je ne vais pas vous contredire, mon bel étalon. Oui, dans mon cul, plus fort, encore plus fort. Je vous aime, mon bel étalon, mon Maître. Bourrez votre pute comme une chienne.

Pour me bourrer, il me bourre. Il est chaud bouillant, mon homme. En plus de m’enculer comme une brute de la pire espèce, il flagelle mon postérieur de sa ceinture, une première avec mon homme. Je le clame, je suis une salope, une chienne, une soumise, un réceptacle à foutre, à pisse. Il me bourre, me fesse et je prends mon pied en hurlant mon bonheur. Je me sens bien, bafouée, enculée, utilisée. À mon cou, il me ferme un collier de cuir, pas le même que celui avec le cœur, non, un plus large et que se ferme par un cadenas.
— Maintenant, tu es à moi.— Je le suis depuis le tout premier regard, mon amour. J’ai toujours été tout à toi, corps et âme, et c’est encore pire depuis que ton père me baise avec toi, ô mon amour. Fais de moi ce que bon te semble, tant que nous jouissions ensemble. — Ma pute. L’idée est bonne. Ce collier, il n’y a que moi qui peux te le retirer. — Alors, qu’il soit à mon cou jour et nuit, mon Maître.

Oui, j’ai envie que cela continue, qu’il me soumette au moindre de ses désirs, peu m’importe lesquelles. Il me bourre, jouit dans mon cul. Il m’oblige à me vider mon cul de son foutre dans un gros bol. Je le fais et l’avale juste après, sous sa queue tendue. Je l’attire cette belle bite. Je la pose sur mes lèvres, il se soulage, on jouit ensemble, peu après la dernière goutte de pisse. Puis il se couche, me pose ma chatte sur son visage. L’enfoiré, il veut me boire. Je lui donne ce qu’il veut. Il me plaît, mon homme et pas qu’un peu. Au risque de me répéter, et je m’en moque, le quitter est hors de question, plutôt crever.
Sous la douche, je lui fais encore la totale, je le lèche de partout, des pieds à la tête, tout en le lavant de mes mains. J’aime son corps comme j’aime celui de son père, ce vicieux. Et puis, les yeux dans les yeux, je lui répète de mémoire tout ce qu’il y avait sur la bande enregistrée quand j’étais sous hypnose. Mon homme sait que je ne me défilerais jamais devant ses envies, même les plus vils, les plus vicieuses et pervers. Je suis à lui, totalement à lui. Il peut me donner à d’autres que je ne refuserais pas.
Cependant, il en est d’autres qui ont tout entendu, de A à Z. En sortant de la salle de bain, c’est comme si je devais affronter le tribunal de l’Inquisition. Devant moi, deux femmes, un homme, et Alain qui se range de leur côté. Je m’agenouille, mes mains sur ma tête.
— S’il en est d’autres à vouloir vivre comme elle, demande mon Alain, qu’il ou qu’elle la rejoigne.

Kaori me rejoint, prenant la même position que moi. Entre nous et le trio, Mariko se lève et se met à mi-distance entre Kaori et moi et nos hommes. Cette fois, Mariko prend une belle décision. Pour faire court, elle veut jouer une mitant dans chaque camp. Kaori se colle à moi, lèche mon collier. Je sais ce que cela signifie. Mais qui de mon homme ou de son père la veut comme sa soumise. Pas facile à départager. Et puis, elle se redresse sur ses genoux.
— Je crois savoir votre dilemme. Aussi, je crois avoir la solution. Christelle et moi, nous serons vos soumises à tous les trois. — Cette petite en a et elle n’a pas tort. OK, mon fils, ça te convient ?— Pour moi, tant qu’on a les deux et Mariko de temps à autre, je suis partant.

Nous voilà les soumises d’un trio de vicieux et ce n’est pas pour nous déplaire à Kaori et moi. Et cela commence tout de suite, nos Maîtres désirent boire un verre. Mariko nous montre les zobs de nos mâles. On se fait un plaisir que de les sucer pendant que notre Maîtresse leur sert à boire. Sous la table, nous pompons ces bites en nous caressant l’un l’autre. C’est à la première qui jouira.
Fin... Oui enfin, si on veut avoir notre petite vie en privé de temps en temps. ;)
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