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Le beauf

Chapitre 1

chapitre 4

Travesti / Trans
— Dimanche. 8h00 à la maison ! Ta sœur part pour la journée et t’as intérêt à m’apporter le café !
Nouveau SMS du beauf un samedi matin. Après avoir discuté avec ma sœur pour m’assurer qu’elle ne sera pas là dimanche, je commence déjà à réfléchir à ma tenue.
Petite robe d’été un peu moulante, bas noirs et, dessous, soutif et string assortis avec jarretière.Dimanche 7h45. Ma tenue est déjà enfilée et par dessus, je porte un blouson et un pantalon. Après avoir bien vérifié que la voiture de ma sœur n’était effectivement plus garée à sa place, je rentre chez elle (j’ai un double), laisse mon blouson et mon pantalon dans la petite entrée et, sans faire de bruit, j’avance en direction de la chambre. Olivier dort encore... Génial !Je passe par le bas du lit... sous le drap et... oh surprise, Monsieur dort nu.Je reste quelques secondes à regarder son membre au repos, bougeant au rythme de sa respiration, et puis, n’y tenant plus, je le prends doucement en bouche. Je le tète doucement et l’aspire lentement.
— Elle est en avance ma petite salope et pressée de me sucer la queue... J’adore.
Olivier vient de se réveiller.
Il a de suite compris qu’il n’avait pas affaire à Lola hihi. Toujours sous le drap, je le sens durcir sur ma langue et en profite pour lui avaler avant qu’elle ne soit trop grosse et me fasse mal à ma petite gorge.
— Oh oui... Bouffe-la ! dit-il en appuyant sa main sur ma tête à travers le drap.
Elle grossit encore et commence déjà à bien me remplir, putain, J’adore ça. Sentir sa queue bien raide rien que pour moi. Il soulève le drap qui s’envole sur le sol, prend sa queue en main et dit :
— Tu l’aimes ma bite hein ? Alors, ouvre la bouche et tire la langue !
J’obéis sans hésitation et il vient me fouetter la langue de sa queue gonflée et droite. Puis, voilà que maintenant c’est sur mon visage qu’il décide de balancer de bons gros coups. J’adore, j’adore. J’essaie d’attraper son membre avec ma langue et une fois en bouche, il commence de grands mouvements de va-et-vient.
— Oh oui salope ! Tu vois ce que je fais avec ta bouche de bonne pute ! Lève-toi et viens t’asseoir sur ma bite parce que je veux faire pareil avec ton petit cul !
Je me redresse et y présente ma croupe.
— Ça c’est pas un string à ta sœur, tu l’as piqué à qui celui-là ?— Je l’ai acheté...— Oh la petite salope s’achète de la lingerie pour venir se faire baiser par son beau-frère. Bonne fille. Je te donnerai 10 centimes.— Lol il a coûté plus que ça.— Qui a dit que je voulais le rembourser, les 10 centimes c’est pour te payer petite pute.
Il prend son "rôle" à cœur, et qui suis-je pour lui dire quelque chose. Et puis, il a surtout raison : je suis sa petite pute !Je m’abaisse sur lui, déviant la ficelle de mon string sur le côté, et pendant ce temps, Olivier ne manque pas de bien appliquer le lubrifiant sur toute la longueur. Je taquine son gland sur le bord de mon petit trou, le branle un peu pour mettre du gel sur ma main et l’étaler sur ma rosette et les alentours. Je descends encore un peu plus sur le sommet de son membre, le sens se coller, puis je pousse en m’y... Oh putain, il est rentré comme dans du beurre.
— Bouge pas !
Il me saisit par les hanches et me fait glisser doucement, mais sûrement tout le long de son membre. Puis il fait un ultime mouvement de rein. Oh. Putain. Je crois que j’ai sa queue complète dans le cul. Je sens à peine mes fesses plaquées sur lui tellement ce mélange de souffrance et de plaisir me fait perdre la moitié de la tête.
— Voilà. Jusqu’aux couilles salope !
Il me relève le bassin légèrement, restant quand même en moi d’une bonne moitié.
— T’as aimé ?
Pour seule réponse je redescends le bassin et l’engloutis de nouveau...
— Oh putain, tu vas voir toi !
Il me redresse avec ses mains puissantes et je sens la bête se réveiller. Me tenant fermement par les fesses, il commence une série sauvage de va-et-vient qui me font perdre l’autre moitié de la tête. Après quelques secondes, quelques minutes, aucune idée, il me redresse complètement et me fait basculer sur le ventre, sur le lit.
— Une pute comme toi, faut la prendre à quatre pattes !
Il me saisit le bassin et me le décolle du lit et m’appuie sur les reins pour me cambrer au max. Il présente sa queue sur mon plus-si-petit-que-ça petit trou et, sans manière aucune, il... oh hummmm, il me défonce mon cul.
— Alors salope, ça te plaît de te faire enculer comme une chienne sur le lit de ta sœur, parce que moi, j’adore !
Sa vitesse accélère encore et encore dans la mesure du possible, j’ai l’impression de me faire ouvrir par un marteau piqueur en mode énervé. Et qu’est-ce que c’est bon !
— Oh oui, je suis ta petite pute !— Grosse pute ! me reprend-il en me claquant les fesses virilement.

Il s’arrête d’un coup net, au bord de l’explosion.
— J’ai toujours rêvé de faire ça !
Oh merde, il me fait un peu peur là lol. Il me prend les jambes et les place sur la tête du lit en les écartant, face à sa puissance, j’ai l’impression d’être une allumette. J’ai la tête posée sur les coussins, le bassin et le cul en l’air, les jambes écartées. Aucun échappatoire quand il m’enfonce de nouveau sa grosse queue toujours raide dans mon trou que je sens ouvert comme jamais.
Et là, il me pilonne le ’fondement’ comme une bête enragée. Je vois sa queue apparaître et disparaître dans la même seconde à un rythme infernal.
— Oh putain, c’est pas avec ta sœur que je ferais un truc pareil.
Et là il se retire aussi brusquement qu’il était entré et je vois sa queue vraiment bien plus gonflée que d’habitude. Il vise mon cul ou ma gueule ? Aucune idée, comme je suis placé je ne pou... Oh un énorme jet traverse l’air et s’écrase sur la tête de lit. Il réajuste son engin et, cette fois, m’envoie une belle rasade en pleine face, puis une autre, encore une, les jets perdent en puissance, mais ils sont toujours aussi chargés. Oh le salaud ! Il enfonce sa queue dans mon cul et, putain que c’est bon. Je sens ses spasmes à chaque fois qu’une décharge vient m’envahir l’intérieur. Je ne les compte pas, mais je sens son sperme tiède et crémeux m’envahir. Il retire sa queue et je dégouline son foutre par le cul. Laissant une énorme tache sur le lit.
Il passe par-dessus mes jambes et vient me présenter sa queue trempée de liquide.
— Nettoie-la, pute à foutre !
Je prends son gland en bouche et le tète. Cette odeur, ce goût, cette excitation. J’avale ce jus pour le remercier de m’avoir baisée comme je le méritais. — File à la douche salope, j’en ai pas fini avec toi. On a la journée à deux et crois-moi, tu vas repartir chez toi en boitant salope.
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