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Le beauf et la femme du flic

Chapitre 2

Hétéro
Les jours qui ont suivi ont été assez fous pour Bernard et sa nouvelle amante Éva. 
En effet, dès le lendemain, il  reçoit un message de la femme du flic lui signifiant que son cocu n’est pas là et qu’il doit venir pour la baiser. 
Il se retrouve alors dans une superbe baraque. Bien grande, avec jardin… Vu que les flics ne gagnent pas énormément, il en déduit qu’elle doit avoir un bon salaire où des parents de l’un ou l’autre qui donne du leur. 
La maison est bien décorée à l’intérieur et il voit plusieurs photos d’elle avec un joli bébé dans les bras. Il apprend qu’elle a une adorable petite fille de quatre ans. 
Cela l’excite, car en plus de se taper une femme mariée à un flic, il baise une mère de famille. Et ça, c’est encore mieux pour lui. 
Lorsqu’il lui en  parle, elle lui dit ne pas s’en faire, qu’il peut la faire gueuler autant qu’il le veut, car la maison est bien grande et que c’est bien insonorisé. 
Ils ont vite fini dans la chambre et il n’attend que ça depuis qu’elle lui a ouvert la porte en porte-jarretelle noire, super sexy.

Une fois dans la chambre, une énorme baise a commencé. 
D’entrée de jeu il lui a glissé sa main dans son string, le tranchant dans sa raie des fesses puis avec une petite rotation du poignet, le médius dans sa chatte. 
 Elle attrap sa queue et elle engloutit son gland dans sa bouche en mettant ses mains sur son cul pour le sucer voracement. 
— Humm, elle est toujours aussi bonne ta queue !

Grosse pipe avec gorge profonde, suivi d’un cunnilingus de folie où elle jouit une première fois lorsqu’il mordille son clito avec ses doigts enfoncés dans sa chatte.

Puis il baise sa chatte dans plusieurs positions, missionnaire, cuillère, cavalière, levrette…Chaque position y passe avec une intensité de fou. C’est une magnifique salope qui va jouir plusieurs fois en poussant des cris de jouissance sous les grognements de Bernard qui finis par jouir en tirant son cul sur ses couilles pour cracher son sperme au fin fond de sa chatte brulante.

Une petite pose et un rafraichissement et elle s’occupe de nouveau de sa bite pour la remettre en forme. Lorsque sa bite bande fièrement devant ses yeux, elle lui choisis la suite des événements. 

 - J’ai envie que tu m’encules !   
La bite de Bernard se raidit encore davantage. Éva, à quatre pattes sur le lit , se cambre pour bien faire ressortir son gros cul. Puis elle frappe sa croupe dans un « clac » retentissant, et elle lui dit en écartant ses fesses.

 - Viens me  prendre!  Baise mon cul !

 Bernard se lève, la bite plus dure que jamais. Il présente son membre à l’entrée de l’anus un peu dilaté de cette superbe salope. Petit à petit, l’anus cède à la pression et le gland entre entièrement. Éva laisse échapper un râle d’excitation. Bernard, parvenant à tempérer son impatience, enfonçe un peu plus profondément sa queue dans son cul somptueux. Il arrive à faire rentrer plus de la moitié de son pénis. Éva sentant les parois de son anus qui frottent le gros membre de son amant. Bernard entame lentement des va-et-vient et l’entendit gémir.
 -  OOHHoohoOOh. Ouiiiii...C’est bon...Va plus loin...Encule-moi bien à fond !

 Il enfonçame sa bite de plus en plus loin dans l’anus de cette belle salope jusqu’à coller ses couilles sur ses fesses frémissantes. Ils s’accordèrent ensemble sur le bon rythme à adopter, pour un plaisir maximal pour les deux amants. Éva en cris.

 - OOOOOHHHHH... J’aime sentir ta grosse bite qui dilate mon cul !!! OOOOOHHHH... C’est TROP BON...OOOOOHHHHH !!! Vas -y défonce mon cul !
 - OOOoohhh, Putain ! J’adore t’enculer !

  Il accélère légèrement la cadence, pour la plus grande satisfaction d’Éva qui lâcha des râles de plus en plus aigus. Bernard, qui a jusqu’à présent gardé ses mains sur ses hanches, passa sa main droite devant son corps et titilla son clitoris. Les râles de celle-ci se transforment très vite en couinements de plaisir alors que sa grosse queue continue de ramoner son cul qui comprime merveilleusement sa bite. Les deux amants transpirent à grosses gouttes.

 - Je vais JOUIR !!! JE VAIS JOUIIIIIIIIIR !!!!! cria Éva.
 - Moi aussi ! Je vais jouir dans ton cul !!! grogna Bernard.
Bernard défonce le fion d’Éva en lui tirant les cheveux avec force, en lui claquant les fesses. L’orgasme les frappe même temps. Bernard émet des grognements animaux en serrant les dents alors qu’il éjacule dans le cul de sa belle.Les yeux d’Éva se revulse alors que son cul se contracte autour de la grande bite de Bernard, augmentant encore sa jouissance. Éva peut presque sentir la circulation sanguine accrue dans la bite qui occupe son anus tant celui-ci est serré autour du magnifique pieu. Ses muscles se contractent, envoyant vague après vague du plaisir dans tout son corps. Ses cuisses musclées ont presque lâcher tant elles tremblaient.
Après avoir bien vidé ses couilles dans son rectum, il la laisse retomber vulgairement sur son lit. 
Éva est dans un état second, avec le teint rouge, extatique, virant au cramoisie. Les yeux écarquillés, la bouche ouverte sans qu’aucun son ne puisse en sortir. L’orgasme est tellement dévastateur, qu’elle finit presque inconsciente. 
Elle se retrouve à moitié allongée, à moitié à quatre pattes. Le cul encore en l’air, la chatte rougie et gonflée, dégoulinante de jus féminin. Son cul rebondi est lui aussi rouge par les fessées que Bernard lui a donné quand il l’a baisé. 
Son trou du cul encore bien ouvert après la bonne demi-heure de sodomie qu’il vient de subir et laisse s’échapper un filet de sperme qui coule sur ses cuisses. 
Ses gros seins plaqués contre le matelas avec les tétons toujours durcis sont également bien rouges, car ils ont été claqués pendant la baise en missionnaire. 
Son visage reprend doucement des couleurs, ses yeux réclament du sommeil en refusant de s’ouvrir. 
Il contemple son œuvre avant de lui dire.

— T’as eu ton compte, petite chienne ?

Elle n’a même pas la force de répondre. Il quitte sa demeure, la laissant dormir.

Le lendemain, elle le recontacte et une grosse baise en suivit. Sauf que la sodomie n’a pas été renouvelée, car elle a encore mal au cul. Les jours suivants et toutes les nuits, le sexe coule à flots chez la femme du flic.

*****************************

Allongé sur le lit, Bernard se fait sucer la queue par une jolie blonde. 
C’est l’ex-femme de son frère, avec qui il couche depuis plusieurs années. Maintenant, elle est en couple avec une femme avec qui elle est mariée depuis déjà deux ans. 
Depuis que Bernard est revenu vivre dans le coin, il passe souvent les baiser. 
Pour le moment, la brune n’est pas encore arrivée alors Émilie, a commencé toute seule.

Les bons vingt centimètres de son gros sexe sont engloutis par la petite bouche de la femme de 38 ans. Elle lui caresse les couilles, le branle tout en le suçant de bon cœur. Bernard la regarde lui lustrer le gourdin en caressant ses longs cheveux blonds. Il voit à ses yeux fermés, à travers ses jolies lunettes, à quel point elle est concentrée sur sa tâche. 
Comme d’habitude, il lui raconte ses dernières conquêtes du moment. Après deux filles sans grand intérêt, il en arrive à Éva. Et certaines choses vont faire réagir sa pompeuse blondinette.

— Blop ! Attends, elle est maman d’une fillette de quatre ans ? Tu n’es pas sérieux quand même ?
— Bah si, pourquoi je ne le serais pas.
— Tu sais que je n’aime pas quand il y a des enfants en bas âge dans l’histoire. Ce n’est pas cool.
— Je sais, mais la première fois que je l’ai baisé, je ne le savais pas, tient.
— Mais maintenant que tu le sais, tu continues quand même de la sauter, slurp, slurp.
— Bah oui, ce n’est pas tous les jours qu’on baise la femme d’un flic.
— Quoi ?!
— Quoi ‘quoi’ ?
— Son mari est policier ?
— Je viens de te le dire…
— Mais ce n’est pas croyable. Tu n’as pas fait ça ! Tringler la femme d’un flic, non, mais ça ne va pas la tête !
— Pour ta gouverne, ça aussi je ne le savais pas la première fois.
— Et alors, là tu le sais et tu continues.
— Je ne vois pas où est le problème.
— Mais ça ne se fait pas.
— Baiser la femme de quelqu’un ça ne se fait pas. Et baiser l’ex-femme de son frère ça ne se fait pas non plus. Et pourtant, tu ne te plains pas quand ma grosse bite te laboure la moule.
— C’est classe dit comme ça… Et puis c’est différent. Ça peut être dangereux, imagine s’il le découvre.
— Que veux-tu, il faut vivre dangereusement, et puis, cette nana, c’est une vraie bombe et une affamée de sexe. Je ne peux pas passer à côté. Ses nichons, c’est du 95F, et naturels. Ils sont bien ronds et bien fermes. Et son ventre est bien plat et musclé. 
Les filles qui ont des seins aussi gros ont généralement un peu de bide. Mais elle, non, que du muscle. Pas que je n’aime pas les femmes qui ont un peu de bide, tu sais que je n’ai pas beaucoup de limites. 
Mais là, le haut de son corps ça fait vraiment actrice refaite pour du porno, mais en 100 % vrai. Et ça, c’est incroyable. 
En fait, tout le reste de son corps est bandant à souhait. Ses longues et belles jambes, son cul rebondi. Et un vrai visage d’ange. J’te jure, elle est canon c’est un truc de dingue. 
Baiser avec cette nana s’est vraiment bon et le mot est faible. Elle me suce comme une déesse de la pipe ! 
Tu te rappelles la première fois qu’on a baisé ? J’avais galéré pour ne pas te juter dans la gorge. Eh bien, elle, c’est la même chose, mais en 100 fois mieux.
— Pardon ? Elle suce 100 fois mieux que moi ?
— Oh oui, largement !
— T’es sérieux, tu oses me dire ça alors que je te pompe depuis un quart d’heure !
— Le prend pas mal ‘Lilie’, tu sais bien que tu me suces super bien. Et si tu veux tout savoir, tu suces mieux que ta femme.
— Ça, je le sais. Et c’est en grande partie grâce à elle.
— Tout ça pour dire que vous restez dans mes favoris plan sexe. Mais dorénavant, il va falloir partager. Car elle en fait aussi partie.
— Ouais, on est dans tes favoris, mais on s’est quand même fait surclasser. 
Dis Émilie avec une petite moue boudeuse.

Elle se redresse et place son sexe entre ses gros seins en forme de poires. Il admire cette belle branlette espagnole.

— Dis-moi, un de tes nichons est bien plus gros que l’autre ?
— Ouais.
— C’est nouveau où je ne l’ai jamais remarqué ?
— Non, c’est bien nouveau. J’approche de la quarantaine, ça me fait prendre du poids et mon sein gauche a pris un bonnet de plus que le droit. Je suis devenue ridicule en soutif… Foutue ménopause… Mais bon, ça excite Manon alors je ne vais pas trop m’en plaindre.
— Mais toi, tu t’excites toujours ?
— Plus trop, je dois l’avouer. C’est pour ça que t’entendre dire qu’une nouvelle bimbo dans la trentaine se trouve dans tes favoris, ça me vexe un peu. Après tout, j’étais dans ces âges quand on a commencé à baiser ensemble. Et j’étais à ma meilleure forme à l’époque.
— Ne dis pas de bêtises, je continuerais à te baiser quoiqu’il arrive.

Émilie continue de le branler avec ses gros seins et sa femme Manon, finit par arriver. La petite brune coiffée au carré avec une frange se met rapidement toute nue et vient embrasser sa femme en se caressant sa poitrine menue, avant d’embrasser d’un petit smack l’homme qui se trouve dans leur lit.

— Ma chérie, Bernie’ m’a raconté ses dernières conquêtes. Il baise la femme d’un flic, dis-lui que ce n’est pas bien.
— La femme d’un flic !? Ah oui, là, ce n’est pas super…
— Tu vois ? Ma femme est d’accord avec moi.
— Rhooo, les filles… Vous n’allez pas me prendre la tête avec ça. Je t’ai déjà dit qu’elle est extra cette gonzesse.
— Ah oui ? Comment ça ? Demande Manon.
— Un bon 95F naturel bien rond et ferme, ventre plat et tonique, de belles jambes, un cul rebondi et un visage d’ange.
— Alors t’as eu raison de te la taper !
— Manon !!!
— Bah quoi, elle est super bonne. Il vient de le dire.
— Mais ça reste la femme d’un flic ! Et puis elle a une fille de quatre ans. Ce n’est pas bien.
— Laisse le me le raconter toute l’histoire alors. Et pompe-le ! 

Manon prend les cheveux blonds, lisse et long, de sa chère femme et l’enroule autour de sa main. Dès qu’Émilie a recommencé à sucer la grosse bite qui se trouve sous son nez, Manon pousse sur son crâne pour qu’elle le suce avec plus de profondeur. 
Elle écoute avec passion le récit de Bernard. Surexcitée, elle perd le contrôle de ses mouvements et pousse à fond sur le crâne de sa chère et tendre qui finit par avoir le calibre 20 de Bernard en gorge profonde. Étant une excellente suceuse et appréciant ce genre de pratique, cela n’est pas un problème durant les trente premières secondes. Mais Manon ne lâche pas l’emprise qu’elle a sur elle et Émilie se retrouve peu à peu à suffoquer. Elle doit frapper les cuisses de Bernard de toutes ses forces pour que les deux se rappellent de sa présence. 
Manon tire sur ces cheveux pour la libérer (enfin) de cette gorge profonde. Elle crache de la salive et tousse assez fort alors que Manon en rigole.

— Oups, désolé Lilie’. Dis Bernard.

Manon embrasse sa femme une fois qu’elle a repris des couleurs et ses esprits. 
Émilie remonte pour s’allonger à moitié sur Bernard. Elle prend un de ses deux seins, le plus gros des deux, et le met dans la bouche de son ex-beau-frère qui le mange avec tendresse. Elle embrasse son crâne chauve.

— Bébé, tu le finis ?
— Oui mon cœur. Réponds Manon.

Cette dernière vient mordre ses grosses couilles, le faisant grogner avant d’engloutir son sexe dans sa petite bouche. La pipe est rapide et bien goulue. Bernard se laisse aller et envoie son jus gluant au fond de la gorge de la brunette. 
Comme il l’a dit tout à l’heure, Manon suce moins bien que sa femme Émilie même si elle reste une bonne pompeuse de chibre. Mais c’est bien le travail de la belle blonde, qui lui a fait une pipe exceptionnelle d’environ trois quarts d’heure, qui permet à Manon de le faire jouir aussi facilement.

****

Sur la route, au milieu de la nuit, Bernard ne risque pas de s’endormir. Un message de sa sublime amante lui demande de venir chez elle pour s’envoyer en l’air. Cette trentenaire n’est jamais rassasiée !

Dès qu’elle lui ouvre, il la siffle en l’admirant.

— Toujours aussi sexy.
— Donc, ça te plaît ? dit-elle en faisant un tour sur elle-même.
— Oh ouais, ça me fait bander comme un taureau !

Éva rigole et lui prend la main pour l’amener dans sa chambre.
Elle est joliment maquillée. Sa longue chevelure noire est nouée en queue-de-cheval.
Son corps est mis en valeur par un body en lingerie rouge. Il est très décolleté sur son 95F époustouflant, ouvert sur le ventre pour montrer un bout de son ventre tonique, avec son nombril.
Des bas pour ses jambes et des talons pour ses pieds. Toujours de couleur rouge.
Une seule chose à dire pour la décrire : une bombe sexuelle!

 Dans le lit, Éva est sur Bernard. Elle lui pompe sa grosse queue avec avidité. Sa main droite le branle en suivant les mouvements de sa bouche, sa main gauche lui caresse ou pétrit ses couilles.
De son côté, Bernard a décalé la partie de son body qui lui recouvre la chatte pour la lécher comme un assoiffé.
Éva recrache par moment la bite pour pouvoir gémir un grand coup, quand elle se sent proche de l’orgasme, mais elle parvient toujours à se reprendre.
C’est comme s’il s’agit d’une compétition entre eux deux, personne ne veut craquer en premier.
Mais c’est bel et bien Éva qui finit, au bout d’une bonne demi-heure, par laisser tomber sa tête sur la cuisse de Bernard, la longue queue épaisse toujours dans sa bouche, son gland déformant sa joue. Elle révulse ses yeux mi-clos et jouit pendant que son amant torture son clitoris en lui malaxant les fesses.

Elle reprend ses esprits et se pose à quatre pattes sur le lit. Une claque sur ses fesses, comme pour dire à son amant de venir la baiser. 
Sans préambule, d’un coup sec, il lui enfonce toute sa queue dans sa chatte bien trempée et commence à la baiser en écoutant la jeune maman mariée chanter de plaisir à coup de ‘Han ! Han ! Han !’
Il commence à lui donner des bonnes fessés, ce qui la fait crier davantage et resserrer sa petite chatte sur sa grosse queue.
Sans la prévenir, il prend ses avant-bras dans chaque main. Elle se retrouve relevée grâce à sa force, baisée en levrette à moitié debout, à moitié à quatre pattes. Seuls leurs genoux sont sur le lit.
Sa grosse poitrine bouge légèrement de bas en haut, toujours prisonnière de son body sexy.

Il la relâche et elle se laisse tomber sur le lit, sa chatte recrache son sexe et elle se retourne pour continuer le sexe en missionnaire.
Une fois sa bite de retour dans sa belle chatte humide, il recommence à la limer avec force et précision. Elle gémit la bouche grande ouverte en se malaxant les seins.
Il adore la voir jouer avec sa poitrine, mais ne pas pouvoir la voir le frustre. 
Une si belle paire de seins massifs ne méritent pas d’être cachés plus longtemps ! Il décale les pans de son body pour dévoiler ces joyaux. Éva a directement le réflexe de venir tirer les tétons.

— T’aimes mes gros seins, sale pervers ! Han ! Ah !
— J’vais les bouffer tes gros nibards ! Petite salope !

Il plonge sa tête dans ses seins pour les dévorer férocement. Éva rigole en l’écoutant. Il a toujours ses phrases pas classes du tout, bien beauf, peu subtiles, parfois irrespectueuses. Mais ça la fait rire et l’excite par moment.

Il accélère ses coups de bite, excité comme un animal avec cette poitrine contre sa bouche. Il lui mord un sein en donnant d’énormes coups de queue qui font crier Éva, qui jouit en tremblant de partout.

Éva reprend ses esprits et pousse son amant pour qu’il se retire. Elle se redresse et le fait s’allonger sur le lit et vient s’empaler sur lui en reverse cowgirl. 
Elle pose ses mains sur les jambes de Bernard, son dos en avant, ses fesses bien redressées. 
Il peut alors admirer son cul de folie s’occuper de sa tige bien dure. Elle commence ses mouvements avec ses hanches avec un rythme de dingue.
Les sensations son extra, il mate un beau cul et regarde de la cyprine sortir d’une chatte toute rose pour glisser le long de sa queue qui se fait bien engloutir par sa chatte en chaleur.
Malgré son récent orgasme, Éva est très réactive dans cette position. Elle prouve à quel point c’est une bonne baiseuse. La plupart des femmes qu’il fait jouir comme ça sont sur le point de s’endormir, et n’ont pas l’intention de se déhancher comme une folle sur lui dans les minutes qui suivent.

Elle regarde même dernière son épaule, avec un air de défi.

— Claque-moi les fesses ! (paf) Oh ! Hann ! Hann, (paf) Oh ! Hann, hann ! (paff) Oohh ! hann, hannn !

 Éva est en sueur. Elle veut le faire gicler, mais il résiste toujours à sa chatte. Il est très fort, mais bientôt à bout. Elle se retire d’un coup, sans prévenir.
La seconde qui suit, elle est devant lui, entre ses jambes. La bite tenue fermement par sa petite main qui ne peut cependant pas l’englober entièrement.

— Je te finis avec une pipe ou une branlette espagnol ?
— Pourquoi pas les deux ? 

Éva sourit et positionne sa grosse queue entre ses deux seins. Seulement son gland parvient à dépasser tellement sa poitrine est très opulente. Un sexe de taille normal serait clairement étouffé.
Elle le masturbe en donnant de bons coups de langue à chaque fois que sa poitrine descend vers le bas, quand elle remonte, le gland est absorbé par sa chair mammaire et massé par cette dernière, avant qu’elle ne redescende pour permettre à sa langue de s’en occuper.
Le reste de sa bite est toujours branlé par la paire de seins, le gland reçoit deux styles de stimulation différente et cela le termine.

 Un énorme jet de sperme est éjecté. Il part assez haut et Éva lève la tête pour le voir valser dans les airs. Elle le voit ensuite redescendre et s’abattre sur son visage avec un ‘plof !’ bien audible. 
Elle ne s’attend pas à ça, mais reste de marbre, les yeux fermés juste après avoir reçu du sperme sur son visage, et la bouche entre-ouverte. Un gros rire gras est expulsé par Bernard qui regarde son éjaculation qui continue d’être abondante en aspergeant le visage de sa branleuse/suceuse. Avant que la fin de son éjaculation ne finisse uniquement sur ses seins.

Ce n’est pas la première fois qu’elle prend une faciale de Bernard, mais c’est une première en branlette espagnole. Et la première fois surtout, où le sperme va bien plus haut que sur sa poitrine.

 Éva quitte son lit et prend des mouchoirs pour se nettoyer le visage. Elle jette les mouchoirs et retire ses talons, ses bas et enfin son body. Elle passe sa main sur ses cheveux humides dans l’intention de défaire sa queue-de-cheval pour se laver les cheveux au lavabo avant de se coucher. Mais elle remarque alors un Bernard la regardant en caressant son sexe qui débande.

— Qu’est-ce que tu fais encore là ? On a fini, tu peux partir.

Il se lève souriant, claque une de ses fesses et embrasse un de ses seins, au niveau de son mamelon. 
Il récupère ses affaires et quitte les lieux.
Éva le regarde en roulant ses yeux avant de se remettre dans sa préparation de son sommeil.
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