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Le beauf et la femme du flic

Chapitre 3

Hétéro
[SMS,Eva]< Tu peux venir maintenant ? J’ai un problème avec mon robinet.
Bernard est assez surpris de recevoir ce message d’Eva. Généralement, c’est vers 22 h 30 qu’elle lui dit qu’il peut venir. Là, il est à peine onze heures. Et elle utilise l’excuse de son robinet pour l’amener. Ça fait sourire Bernard, car il a une formation de plombier et il comprend bien que le robinet en question se trouve dans sa culotte. Il prend sa voiture après lui avoir répondu qu’il arrive. Par chance, il est dans son jour de repos aujourd’hui, il peut consacrer son temps libre à Eva.Arrivé sur place, Eva lui ouvre. Il est surpris de ne pas la voir dans une tenue plus sexy.En effet, elle porte un pull sans décolleté (même si ses énormes seins sont bien moulés) et un jean pas trop moulant. Mais ce n’est pas grave, ces vêtements, elle ne va pas les garder longtemps…
— Alors ma petite salope, on ne pouvait pas atten…— Mais ferme ta gueule ! lui dit-elle en chuchotant et en mettant son doigt sur sa bouche.— …— Je ne suis pas toute seule, ne dis pas des choses pareilles. Dit-elle en chuchotant toujours.— … ?— Bon, viens avec moi. Lui dit-elle de sa voix normale cette fois-ci.
Il la suit et se retrouve dans sa cuisine. Il est un peu perdu, n’ayant pas vu les choses de cette façon.
— Voilà le robinet qui fuit, je te laisse jeter un coup d’œil.— Alors ton histoire de robinet est vraie ?— Bah oui, je te l’ai dit dans le message. Tu as lu mon message au moins ? Où as-tu vu que c’est moi qui t’ai écrit et tu es venu pour faire ta vidange sans même le lire ?— Non, je l’ai lu. Mais j’ai cru que tu parlais d’autre chose quand tu parlais de ton robinet.
Elle le regarde avec un regard lui disant ‘t’es sérieux là ?’, la tête penchée et les mains sur les hanches. Et un petit sourire.
— Et ça te fait rire ?— C’est drôle quand même. Mais dommage pour toi, je ne suis pas seule, donc on ne va rien faire.— Qui est là au juste ?— La petite sœur de mon mari. Elle est étudiante… dit-elle en grimaçant.— Ouh, dis donc. Tu as l’air de l’aimer plus que tout au monde.— Pfff, c’est une garce. Une vraie pétasse.— Ah oui, à ce point ?— Mon mari ne fait que de l’idolâtrer. Il n’est même pas capable de voir sa vraie nature. Je suis sure qu’elle baise ses profs pour avoir ses bonnes notes. C’est qu’une salope cette môme.— Comme sa belle-sœur on dirait. Rigole Bernard.
Eva lui lance un regard noir, assassin. Elle n’aime pas cette boutade, la mettant dans le même panier que la petite sœur de son mari.
— Je te demande pardon ?!— Oh, excuse-moi, c’est une blague… Mais t’as pas aimé on dirait. Bon, pour me faire pardonner de cette mauvaise blagounette, je vais voir ce que je peux faire avec ton robinet.— Ouais, ouais… lui dit-elle en le laissant travailler.
 Bernard fait son boulot comme il sait le faire et le robinet est vite réparé, tout va bien. Il part dans le salon et découvre une très jeune femme sur le canapé. Il est derrière et elle ne le voit pas. Il voit juste une tête avec des cheveux châtains. Il voit aussi qu’elle pianote sur son téléphone. Une discussion où il aperçoit pas mal de photo de bites et de nichons. En effet, c’est une petite salope.
— Excuse-moi, tu sais où est Eva ?
La jeune femme se retourne et envoie un grand sourire à Bernard. Elle est très jolie. Ses yeux sont marron, ses cheveux en carré, les traits de son visage sont fins. Elle se lève pour faire face à lui. Il voit qu’elle mesure environ 1m60, donc bien plus petite que lui. Elle a une petite jupe plissée, dévoilant ses belles jambes fines et un chemisier blanc qui montre une jolie poitrine bonnet C, bien mise en valeur même si elle n’a pas ouvert les premiers boutons pour les voir dans un décolleté.
— Tu es le plombier, c’est ça ?— Ouais, je viens de réparer le robinet.— Moi c’est Justine. Viens avec moi, je vais t’amener vers elle...
Bernard la suit en matant son joli petit cul qui roule sous ses yeux sous la jupe. Mais il fait attention au chemin qu’elle prend, et quand elle se met devant une porte, il sait bien qu’il s’agit d’une salle de bain. Il comprend qu’Eva n’est sûrement pas là-dedans… Mais il joue le jeu. Il rentre et Justine le suit dans la pièce. Il se retourne et elle a fermé la porte à clé.
— J’ai bien l’impression qu’elle n’est pas là…— Mais moi je suis là… Avant qu’elle ne te paye en argent, laisse-moi te payer en nature.
Elle ne le laisse même pas répondre qu’elle se met à genoux pour sortir sa queue. Il se dit qu’elle est vraiment aussi salope qu’Eva, même si cette dernière n’aime pas qu’il dise ça… Mais en fait non ! Lorsqu’elle prend la queue dans sa main, elle fait les gros yeux. Surprise de sa longueur et de sa largeur. Eva n’aurai pas réagi et l’aurait prise directement et entièrement dans sa bouche. Finalement, la petite ne joue pas dans la même catégorie…
Elle prend quand même son gros sexe en bouche. Sa petite main ne peut pas l’entourer complètement, mais elle le branle quand même. Elle ne suce que son gros gland. Elle grimace un peu dans un premier temps, car dès qu’il bande, il a toujours une belle grosse goûte de pré-sperme qui perle sur le dessus ce qui donne un goût amer dans la bouche de la suceuse. Justine semble avoir un peu de mal avant de s’y habituer, au contraire d’Eva qui n’a jamais réagi à ce goût. Elle le suce néanmoins avec passion. Elle salive bien sur la grosse queue, lèche bien le gland, descend sur les couilles pour les suçoter et remonte sur toute la colonne de chaire avec sa petite langue avant de recommencer à le pomper, mais en le prenant plus dans sa petite bouche bien humide et bien chaude. Sa seule main libre déboutonne son chemisier et dévoile ses gros seins dans son soutif. Ils vont bien vite être retirés par Bernard qui va les pétrir sans ménagement et tordre les tétons tous durs et bien saillants. Ils sont loin d’être de la même taille qu’Éva, mais elle n’a pas à rougir. Il les trouve assez proches de ceux d’Émilie. Même bonnet, même forme de poire. Mais eux, ils sont beaucoup plus ‘pleins’ que les siens. Mais il ne peut s’empêcher de se dire qu’il préfère les gros seins mous de son ex-belle-sœur. Même si la petite étudiante de dix-neuf ans suce assez bien, elle n’arrivera pas à le faire juter. Elle n’a pas le niveau d’Émilie et encore moins celui de sa chère Eva.
 Il la relève et la soulève en agrippant ses fesses. Justine ne l’a pas vu venir et elle s’accroche du mieux qu’elle peut à son cou. Il se rend rapidement compte qu’elle ne porte pas de culotte. Une vraie grosse cochonne qu’il va baiser sans ménagements. Un gros ‘OOOH !’ est crié par cette jeune salope, mais il rentre sa langue dans sa bouche pour étouffer les cris suivants. Il déchire sa chatte à grands coups de pine, bien forts et profonds. Et elle ne va pas mettre longtemps à jouir.L’excitation est très forte pour Bernard. C’est en imaginant Eva entrain de sucer sa bite toute entière, recouverte de la cyprine de Justine, qu’il gicle. Il se cale bien au fond de cette petite chatte et envoi tout dans l’utérus de la jeune étudiante. Justine, qui a toujours ses lèvres amalgamées avec celles de Bernard, le regarde avec les yeux écarquillés se remettant de son fulgurant orgasme. Elle est surprise de la quantité impressionnante de sperme qu’il décharge au fond de sa chatte, mais également du fait qu’il ne se soit pas retiré. Elle est trop habituée à ce que les garçons veulent venir sur son visage tout mignon ou sur ses gros seins bandants. Même ses vieux profs, moches et de vrais porcs, veulent lui gicler au visage ! Mais lui, il a décidé de tout lui balancer dans le ventre. Un frisson parcourt son corps quand elle s’imagine tomber enceinte.
 Il se retire et la repose sur le sol. Elle a les jambes qui tremblent encore de son orgasme. Elle titube en remettant ses habits en ordre.
— Pourquoi, T’as vidé tes couilles dans ma chatte ? demande-t-elle.— Pourquoi pas ? Tu voulais que je gicle où ?— Bah, sur mon visage, comme les autres… C’est ce que les mecs aiment en général.— Désolé ma poupée, mais même si t’es mignonne, ça aurait été gâcher mon sperme de le balancer sur ton visage.— (elle écarquille les yeux à nouveau)— Moi, je fais au feeling. Et je n’ai pas eu celui de te faire une faciale. Désolé ma petite, mais il fallait me le demander si c’est ce que tu voulais. Tu m’as laissé faire et j’étais bien dans ta petite chatte si étroite, alors c’est là où j’ai vidé mes couilles.— Heu… OK… Je ne suis pas dans ma période d’ovulation, alors ça ne devrait pas poser de problèmes… Mais t’aurais pu me demander avant…— C’est toi qui voulais ma queue, faut assumer maintenant.— Bon, de toute façon ce qui est fait est fait. J’ai juste l’habitude d’avoir des mecs qui me jute au visage et avec de moins grosses couilles. Sacrée éjac pour un vieux. Et sacrée baise aussi même si c’était un peu trop rapide.— Ouais, on me le dit souvent et c’est toi qui as joui la première. On allait pas s’éterniser Bon, il faut que j’aille voir Eva pour de vrai maintenant, vu que j’ai fini mon boulot.— Ouais, et moi aussi je dois y aller en plus.
Ils quittent la salle de bain et Justine par devant lui, prenant une bonne avance. Il regarde autour de lui, pour voir si Eva est dans le coin, mais il entend au loin sa voix qui parle avec Justine. Cette dernière l’informant qu’elle va s’absenter pour deux heures au moins. Il se rend alors là où il a entendu les voix, et se retrouve devant Eva, dans la cuisine.
— Et bien, t’étais où ?!— Je te cherchais, j’ai fini. Tout est OK.— Oui, je viens de voir ça. Et l’autre garce s’est barrée pour deux heures au moins, tu vas pouvoir t’occuper de l’autre robinet finalement.— On dirait bien. Et au fait, t’avais raison pour la gamine, une vraie salope !— Hein ? Comment ça ?— Je viens de lui remplir son abricot à la petite. Cette petite salope m’a coincé dans la salle de bain pour me pomper. Et je lui ai fait sa fête.— TU AS FAIT QUOI ?!— Pourquoi tu cris ? Calme-toi.— NON JE NE ME CALME PAS !!! JE SUIS CHEZ MOI ICI ! ET TOI TU VIENS POUR BAISER CETTE PUTE ! SOUS MON TOIT ! MAIS TU TE PRENDS POUR QUI ?!— Wow, mais c’est quoi le problème ! Tu m’as dit toi même que c’était une salope !— ET ALORS !!!!! EST-CE QUE JE T’AI DEMANDÉ DE BAISER CETTE SALOPE !— Descends d’un ton Eva ! Je ne suis pas ton mari, tu n’as pas à me faire de scène !— ESPÈCE DE SALE CONNARD ! NE JOUE PAS À ÇA AVEC MOI ! TU VIENS CHEZ MOI ET TU EN BAISES UNE AUTRE !— Et oh, calme toi bordel ! On n’est pas marié, alors ne fait pas la jalouse avec moi OK.— JALOUSE ! LA JALOUSE !
Eva ferme les yeux et essaie de se calmer. Elle respire doucement et reprend la conversation avec plus de calme.
— Bon, OK, je vais t’expliquer quelque chose… Ici, on est chez moi. Je t’ai donné mon adresse pour que tu viennes me baiser quand j’en ai envie. Pas pour que tu en baises une autre chez moi. Tu fais ce que tu veux chez toi, ou chez une autre. Mais quand tu es chez moi, tu es chez moi. Alors la seule que tu as le droit de te taper, c’est moi et personne d’autre. Ce n’est pas une question de jalousie, mais de respect. Je ne suis pas une vulgaire pute alors ne croit pas que tu peux te comporter comme bon te semble quand tu te retrouves entre ses murs.— Tu fais trop de chichis Eva. C’est une simple baise. Et je ne suis pas ton mari, tu n’as pas à me donner d’ordre.— Dans la vie, j’ai trois objectifs… Être la meilleure des mamans pour mon petit ange, être heureuse dans mon boulot, et prendre de bons coups de queue. Toi, tu es là pour les coups de queue. Alors quand tu es chez moi, tu n’es pas un dieu, tu n’es pas un séducteur, tu n’es pas le boss. Tu es juste la grosse bite que j’ai choisie pour me baiser. Je vais te dire une bonne chose, je ne suis pas comme les autres femmes que tu sautes. Tu aimes te taper des femmes mariées, tu fais tout pour les séduire, car le fait qu’elles ont la bague au doigt excite ton vieux poireau. Très bien. Mais moi, tu ne m’as pas séduit mon grand. Quand je suis allé dans ce bar rempli de moche, de beauf, de gros porcs, je cherchais juste une bite pour me ramoner. Pas pour un coup d’un soir. Je cherchais un mec que je pouvais avoir régulièrement. T’es pas le premier à qui j’ai parlé. Tu dois être dans le numéro 100 mon gars. Mais quand je t’ai vu, j’ai remarqué que tu étais différent. Alors je me suis laissé tenter. T’avais une bonne grosse bite et tu savais très bien t’en servir. Alors le fait que tu sois un gros beauf, de plus de trente ans que moi et pas très beau… Cela ne m’a pas dérangé, car je cherchais juste une bite. C’est de là où tout est parti. Quand tu rentres chez toi, après m’avoir déchiré la chatte, défoncer le cul, déboîter la mâchoire avec ta queue, tu te sens comme un roi, hein ? Quand tu me baises tellement fort que j’en gueule comme une truie, quand l’orgasme est tellement puissant que j’en perds ma voix. Tu te sens comme un dieu. Quand tu gicles dans tous mes trous, sur tout mon corps, quand tu me claques les fesses, me tire les cheveux, me bouffe les seins. Tu crois avoir tout gagné. Tu crois me dominer. Tu crois que je suis ta chienne ?Mais en fait non. C’est toi, ma chienne ! Parce que tu n’as rien fait tout seul, tu n’as rien gagné. C’est moi qui t’es tous donné. Tu as l’habitude de choisir les femmes mariées que tu séduis, pour les baiser ensuite. Mais là, c’est moi qui t’ai choisi. Si je n’avais pas envie de t’avoir en moi, tu ne m’aurais jamais baisé. Qu’importe le nombre de pouffiasses sans conviction qui sont tombées sous ton charme. Moi, tu n’as pas le niveau. Si je n’avais pas ouvert les portes, tu aurais été incapable de les ouvrir tout seul. Si je veux garder mes cuisses fermées, je les laisse fermées. Et c’est ce qui va se passer à partir de maintenant, et jusqu’à nouvel ordre. Alors, dégage de chez moi, maintenant !— (Bernard s’apprête à répondre)— J’ai dit : DÉGAGE DE CHEZ MOI !!! 
Bernard, le visage énervé, complètement estomaqué par cette tirade de la part de cette putain de salope, quitte les lieux.
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