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Le beauf et la femme du flic

Chapitre 5

Hétéro
Il est 22 heures quand Bernard reçoit un message d’Éva. Trois semaines sans jamais avoir eu de nouvelles. Trois semaines durant lesquels il n’a jamais mis son égo de côté et envoyé un message pour s’excuser comme lui a conseillé Émilie. Mais ce soir la donne a changé.

[SMS, Eva]< Viens chez moi, tout de suite.> J’arrive.

Il ne sait pas ce qu’il va se passer, mais il en a une idée. Il va sûrement la sauter. Mais comme lui a dit Émilie, les conditions vont être plus dures et il n’aura pas de troisième chance. Il a vraiment sous-estimé cette femme de flic, et cela l’agace. Il ne veut pas admettre que c’est elle qui le mène à la baguette.

Il prend sa voiture et conduit jusqu’à la maison d’Éva. Une fois arrivé, il toque à la porte et elle ne met pas longtemps à lui ouvrir. Il la retrouve alors comme il l’a laissé : en colère.
Sa longue chevelure noire est nouée en chignon, son visage n’est pas maquillé, mais elle reste très jolie. Et son côté strict a même un côté excitant. Elle est sobrement habillée d’un jean bleu et d’un chemisier dont tous les boutons sont fermés, ne laissant pas de décolleté sur la grosse poitrine qui reste néanmoins bien moulé par le vêtement.
— Rentre. Lui répond-elle sans autre formule de politesse.

Il entre dans sa belle demeure et la suis dans son salon, sans oublier de lui mater ses sublimes fesses rebondies. Devant le canapé, elle lui fait signe de s’asseoir, ce qu’il fait. Elle reste plusieurs secondes à le regarder avec un air sévère, en croisant ses bras. Ce qui a pour effet de gonfler ses seins, déjà bien imposant.
— Bon ! Ça fait trois semaines que l’on ne s’est pas vu. Et crois-moi, je n’ai pas oublié que tu t’es tapé ma belle-sœur dans mon dos, dans ma maison. Mais vu que tu as très bien fait ton taf avant ça, je vais te donner une seconde chance et, que les choses soient bien claires entre nous, c’est ta dernière chance. Tu devras te tenir à carreau et ne pas dépasser les limites ni faire quelque chose qui me mettra en colère.
Maintenant, si c’est trop dur pour toi, tu connais le chemin pour te casser. Je me chargerais de retrouver un autre beauf pour remplir ce job. À toi de voir.
— J’accepte.
— Très bien. Mais comme tu l’as compris, c’est ta dernière chance. Et si tu redépasses ces limites, je ne me contenterais pas de te remplacer comme un vulgaire sex-toy humain. J’irais balancer notre liaison à mon mari. Tu sais, le flic que tu fais cocu depuis des mois ? Et crois-moi, il n’appréciera pas du tout.
Il sera sûrement en colère contre moi en contrepartie, c’est sûr. Mais, mes bons gros nichons me serviront d’arguments pour m’en sortir. (dit-elle en remuant ses seins avec ses mains). Tandis que toi, ta grosse queue te mènera à ta perte. Tu as bien compris ? Tu es vraiment prêt à jouer le jeu cette fois ?
— Oui et oui.

Éva se pose sur son canapé et déboutonne son jean.
— Viens me lécher, j’ai besoin de décompresser.

Bernard n’aime pas être utilisé comme un toutou au service de son plaisir. D’habitude, il se sert de vide couille pour son propre plaisir. Elles prennent leur pied, bien évidemment, mais ce n’est pas pour ça qu’il le fait. C’est pour se sentir puissant en brisant toutes les barrières de leur sexualité.
Mais là, c’est bien tout le contraire. Mais il veut quand même rester et continuer. Est-ce que c’est pour finir par la maîtriser, ce qui n’arrivera sûrement jamais, où parce que cette nana est son meilleur coup de toute sa longue vie ?

En tout cas, il est bien en train de lui dévorer la chatte avec précision. Sa grosse langue râpeuse s’occupe de ses lèvres intimes bombées par l’excitation. Elle lape son long clitoris tout dur et gorgé de sang. Il enfonce sa langue à l’intérieur, le plus loin possible. Il lèche bien cette chatte de bas en haut puis fait tourner sa langue dans tous les sens. Puis, il retourne au combat du clito.
Éva exprime son plaisir en gémissant à coups de :
— Ohhh, ahhhh, ouhhh.

Elle déboutonne son chemisier pour se caresser les seins au travers de son soutif dans un premier temps avant de sortir chaque sein de leur prison et de les palper à même la peau. Ses tétons sont bien vite pincés après s’être caressé la chair dans sa globalité.

Elle repousse sa tête pour arrêter son activité et ils se lèvent tous les deux.
Elle retire son chemisier ouvert et dégrafe son soutien-gorge dont les seins sont déjà sortis.
Une fois entièrement nue, elle se retrouve devant Bernard qui a déjà baissé son froc pour sortir sa queue de 20 centimètres déjà au garde à vous.
Alors qu’il s’attend à se faire allégrement pomper par sa bouche si incroyable, elle se rapproche de lui en restant debout et le prend dans ses bras.
Elle s’accroche à lui en mettant ses bras autour de son cou et en levant une jambe pour entourer ses hanches, sa tête se trouvant juste à côté de la sienne.
En temps normal, il aurait tiré sur son chignon pour la mettre à genoux et baiser sa bouche, pour bien lui faire comprendre que pour se faire baiser elle doit le mériter. Mais il ne le fait bien évidemment pas et reste le petit soldat aux ordres de ses désirs. Il lui prend la jambe qui entoure sa taille et il la soulève à l’aide de son autre bras qui lui a pris sa seconde jambe.
Il saisit ensuite son gros sexe pour mettre son gland entre ses lèvres intimes dégoulinantes de jus pour baiser cette salope. Il s’enfonce doucement dans sa chatte si gourmande et c’est sous un langoureux ‘Hannnnnnnnnnnnnnn’ continu qui devient petit à petit inaudible qu’il enfonce toute sa queue dans son vagin.
Il la stabilise contre lui, lui laisse le temps d’apprécier sa grosse bite puis il commence à la baiser debout, au milieu de son salon.
Éva halète, gémit, couine par moments. Bernard lui donne de bons coups de bites et surveille ses réactions pour mieux la baiser.
Elle essaie de se concentrer le plus possible sur ses sensations, mais également à ne pas faire trop de bruit. Elle a les yeux fermés et se mord la lèvre. Comme il sont dans le salon et pas dans sa chambre, elle ne veut pas risquer de réveiller sa petite fille.

Bernard ramone sa chatte pendant une bonne dizaine de minutes et Éva a de plus en plus de mal à être silencieuse.
Des ‘HAN !’, ‘HAAA’ ou encore ‘OOOH’ sortent de temps à autre de sa bouche ouverte, bien plus fort que ses autres bruits.
Elle finit par laisser tomber sa tête en arrière sous des.
— Hannnn, hannnn, hannn, ooohhh. Aaaahh !

Permettant à Bernard de voir les veines de son joli cou se gonfler et de loucher sur ses deux gros seins qui rebondissent gentiment contre son torse.
Il continue de la baiser en accélérant ses coups de bites et augmentant l’intensité. Éva se redresse et se retrouve avec sa tête propulsée dans le cou de Bernard, reposant sur son épaule. Il la sent baver dessus et il entend de plus belle ses gémissements et elle finit par jouir bruyamment !
— Oooooh, oooooh, ouiiiii ! OUIIIIIII...

Son vagin se contracte sur sa queue et quelques secondes plus tard, il grogne en lui remplissant son merveilleux petit abricot si juteux.

Il la repose doucement, après s’être retiré de son antre si accueillant et elle se laisse tomber sur son canapé alors que Bernard remonte son caleçon et son pantalon.Elle le regard en passant une main dans ses cheveux et défait son chignon qui n’était plus si bien attaché et elle fait valser ses longs cheveux noirs et humides sur son dos.
— Je te laisse y aller. Je te rappelle quand j’ai besoin de toi.— D’accord. Dit-il simplement.— Et ne me déçois plus. Je n’ai aucune envie d’être méchante avec toi, alors ne m’y oblige pas.— J’ai bien compris.— T’as une belle bite et tu es un bon coup. Mais j’aime bien être dorlotée aussi. Penses-y pour te faire pardonner plus rapidement.

Bernard se baisse vers elle et l’embrasse tendrement. Sans y mettre la langue, un simple petit baiser et une caresse légère sur seins aux tétons encore érigés.
— C’est un bon début. Dit-elle en retrouvant son sourire pour la première fois.

Bernard la laisse et quitte sa maison.
Les règles se sont raffermies et s’il les enfreint, elle ne vas pas hésiter à lui causer des problèmes avec son mari flic.
Mais comme elle lui a dit, elle n’en a pas envie. Elle a sa vie, sa fille, son boulot, et son amant, quoi de mieux... Et elle ne veut pas que ça change.
Elle lui a aussi fait comprendre qu’elle ne lui a pas pardonné. Bernard va devoir se faire tout petit et se faire pardonner, car les orgasmes qui doit lui donner à chaque fois qu’elle l’appelle, ne comptera pas dans l’équation.

Il va devoir être un vrai gentleman avec elle alors qu’à la base, il voulait juste qu’une femme de flic soit son vide couille. Drôle de finalité. Comme lui a dit Émilie, elle le tient vraiment par les couilles.

Mais pourquoi reste-t-il alors dans cette situation ? A-t-il vraiment comme objectif d’essayer de la soumettre à sa virilité ? Où reste-t-il, car il aime être sous son contrôle ? Même lui ne le sait pas.
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