Comme presque tous les soirs, il est vingt-deux heures et Bernard se rend au domicile de sa chère Éva. Pour passer un bon moment sexuel ensemble. Il se retrouve devant une Éva bien maquillée, sa longue chevelure noire est attachée en queue-de-cheval. Son corps est enfermé dans une incroyable robe de soirée de couleur noire. Collée au corps, arrivant à mi-cuisse. Elle lui moule ses fesses bien rebondies et toujours fermes.Le haut est aussi avantageux pour sa paire de seins. Seulement une bretelle, sur l’épaule gauche. Cela donne une épaule dénudée, avec un sein gauche moins recouvert de tissu que le droit. En effet, l’arrondi de son sein, sur le côté, à la limite de ses aréoles est bien visible.Elle a des porte-jarretelles avec des bas et des talons.Elle est juste incroyablement belle, sexy et désirable. C’est vraiment dur de la regarder sans perdre la raison. On a envie de l’avoir dans son lit pour toute la nuit. Elle s’approche de lui et il lui prend d’entrée le sein gauche dans sa main pour le malaxer allégrement. Tandis qu’elle le galoche avec excitation. - T’as vu comme je suis sexy ?— Tu es une putain de bombasse comme ça ! J’ai bien fait de t’acheter cette robe de pétasse !— Ah ouais ! Maintenant, mets-toi sur le tabouret, et bois une bière. Sur le bar à l’américaine de la cuisine, Bernard boit tranquillement sa boisson en se faisant pomper la queue par Éva. À genoux devant lui, elle lèche ses couilles et fait valser sa langue sur toute la surface de la tige bien en érection. Elle enroule sa petite merveille de langue sur le gros gland bien gonflée et se retrouve à le suçoter avec tendresse. Puis elle branle la queue de vingt centimètres en accélérant sa pipe, descendant sa bouche jusqu’à la moitié de la bite.Bernard prend sa queue-de-cheval dans sa main et pousse sur son crâne pour qu’elle le prenne en gorge profonde. Elle descend au maximum et se retrouve avec un gourdin épais déformant sa petite gorge. Elle ferme les yeux et garde cette bite dans sa bouche pendant que Bernard finit tranquillement sa bière.Elle sent que le monstre qu’elle avale se met à avoir des spasmes. Elle maintient quand même son gland dans sa gorge et il gicle abondamment dans la seconde qui suit, et son foutre va directement dans son estomac.Elle retire doucement son pénis de son orifice buccal, en lui montrant son plus beau sourire. - Je trouvais que je n’avais pas assez mangé ce soir. Avec un dessert bien crémeux, ça va mieux. Lui dit-elle avec un clin d’œil. Quelques minutes plus tard, les deux amants se retrouvent dans le lit. Allongée sur le dos après avoir relevé sa robe sur son ventre, elle lui dit. - Aller, mon salaud, fait ton boulot, baise-moi. Baise-moi fort.
Bernard se penche pour l’embrasser passionnément. Elle jette ses bras autour de sa tête et écrase ses lèvres contre les siennes pour l’embrasser goulument. Elle pousse son bassin vers le haut comme si elle cherche sa bite. Il la repousse et sans guider sa queue qui glisse entre ses cuisses, il trouve facilement l’entrée de sa chatte pour la pousser dedans.Il la baise seulement avec le bout de sa bite et Éva commence à s’agiter.Après quelques minutes, il enfonce son sexe jusqu’aux couilles. Éva attrape ses fesses et le tire fortement contre elle en soulevant son cul en même temps. Bernard relève ses hanches et elle tire les siennes vers le bas. Puis il pousse vers le bas et elle relève son cul en même temps.Bien en rythme avec ses mouvements, il lui donne de bons coups de queue tout en sortant son sein gauche de sa robe pour le malaxer et le pétrir.Elle est relevée sur ses coudes et ses mains s’accrochent aux draps. Sa tête est baissée pour observer cette massue culbuter sa petite chatte toute rose et luisante. Cette vision l’excite davantage et elle finit les yeux mi-clos par laisser sa tête tomber en arrière. - Ahhhh, hannn,aaaahhhh. Oh oui baise-moi ! Oohhh, Putain ! j’adore ta grosse bite ! Hannn ! Plus vite ! Plus fort ! AAAaaahhhh… Ils continuent comme ça dans un accord parfait en accélérant progressivement le rythme jusqu’à ce qu’il martèle violemment sa chatte avec sa bite. Les yeux d’Éva sont fermés, sa bouche ouverte et ses dents sont serrées. Elle enfonce ses ongles dans ses fesses. Bernard se relève sur ses mains et regarde ses gros seins allongés sur sa poitrine. Ses mamelons sont distendus et durs.Chaque muscle de son corps est tendu. Bernard sent sa bite gonfler et il envoie ses premières giclées de sperme profondément dans sa chatte.Éva desserre ses dents et laisse échapper un cri guttural. Elle jouit bruyamment et sa chatte emprisonne fermement la queue de Bernard qui, jet après jet, vide ses couilles douloureuses.Quand elles sont vides et qu’Éva arrête de gémir, elle libère sa queue et il s’effondre sur ses coudes. Bernard ne débande pas. Elle caresse son dos et lui dit. - J’aime ton corps. Je suis contente que tu restes en forme. Elle l’embrasse passionnément et l’entrainant avec elle, elle s’empale sur lui, dos à son torse. Il fait passer ses bras vers l’intérieur de ses cuisses et les remonte pour les avoir sur son visage en la couchant sur lui.Éva est en boule, prise sous la force de son baiseur. - OOooh Ouiii, baise-moi encore !… AHHHH ! OH OUIII ! Il commence à lui donner d’énorme coup de bites. Cette pénétration très pornographique est très jouissive pour les deux partenaires. Il lime sa chatte comme un enragé et elle crie son plaisir, et jouit une nouvelle fois très rapidement après le début de la pénétration.Bernard en profite pour se retirer de sa chatte qui dégouline de jus et il rentre dans son petit trou trempé qui palpite. Elle écarquille les yeux, mais affiche un grand sourire sur son visage. Dès que les coups de boutoir commencent, elle repart dans ses vocalises, mais surtout, ressent un incroyable plaisir sous cette intense sodomie. Elle bave, n’arrive plus à respirer.Elle finit par jouir une troisième fois. -AAAAAAAHHHHHHHH ! Putain ! Il relâche son emprise et la fait basculer en avant. Elle se retrouve à moitié allongée et à moitié à quatre pattes. La tête et les seins sur le matelas et le cul en l’air. Il reprend possession de son trou du cul béant et commence à lui bourrer le cul comme un mal propre sous des réactions dignes d’une vedette du porno, de la belle et salope Éva.Elle est vraiment en trans, transpire de partout, grogne, crie, gémit, bave en mordant les draps. Son visage est rouge.Bernard s’amuse à lui donner de bonnes claques sur ses fesses tout en l’enculant et Éva repart dans un énième orgasme en sentant, en même temps que son cul se contracte, sa chatte pulser et du liquide dégouline le long de ses cuisses. — Urghhhhsttt ! MON DIEEEUUUU ! AAAAAHHHHHH… Bernard est comme un fou, il la tire par ses cheveux pour la ramener vers lui. Il branle 3 secondes sa bite trempée et il crache plusieurs jets de foutre au travers de sa jolie petite gueule de salope. Il grogne comme un animal sauvage en se vidant les couilles.Elle reste figée sur son lit, avec un sourire béat sur le visage.Elle reprend doucement ses esprits. — Muuummh… Tu es en forme aujourd’hui. Tu m’as fait jouir combien de fois ?— Beaucoup !— C’est dingue… C’est super bon quand tu es enragé comme ça. Prend une bonne nuit de sommeil, on remet ça demain. ***** Bernard roule en direction de chez lui. Il n’en revient pas de sa réaction après l’avoir baisée et déboîtée le cul de telle manière qu’elle a eu de multiples orgasmes. Elle reste maîtresse de la situation ! Il n’a même pas eu le temps de remettre son slip qu’elle la foutu dehors !Il se caresse doucement l’entre-jambes en conduisant. - Quelle garce quand même. J’aurais bien fait un troisième round… D’un coup, il voit dans son rétroviseur, des lumières bleu et rouge dans le noir de la nuit. Accompagné de bruits bien compréhensibles.Il s’arrête vers le côté et deux agents de police vient le voir. Il ouvre sa vitre. — Bonjour, monsieur, veuillez sortir du véhicule et nous présenter vos papiers d’identité et les papiers du véhicule.— Bien sûr. J’ai fait quelque chose de mal ?— Nous avons reçu des informations sur un trafic de drogue assez important. Et cette voiture correspond exactement à la voiture du fournisseur.— Je ne suis pas dans un trafic de drogue.— On va fouiller votre véhicule et si vous dites vrai, vous serez relâché.— Très bien. Je vous en prie. Je n’ai rien à cacher. Le second agent de police ouvre le coffre et fouille à l’intérieur. - Je suis désolé mon cher monsieur, mais ça va être compliqué de vous laisser rentrer chez vous cette nuit.— Hein, comment ça ?— Il y a près de 15 kilos de cocaïne dans votre coffre.— Non, ce n’est pas à moi. Ce n’est pas possible !— Pourtant, c’est votre voiture, vous êtes au volant, de la drogue est dans votre coffre… ça fait beaucoup pour un innocent, non ?— Bon, vous êtes en état d’arrestation… Le second flic le plaque contre sa voiture et lui tire les bras dans le dos pour lui mettre les menottes et le faire rentrer dans le siège arrière de leur voiture de police.Bernard a le ciel qui lui tombe sur la tête. Il ne comprend strictement rien…Ou alors….
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