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Le beauf et la femme du flic

Chapitre 9

Divers
Plusieurs mois se sont écoulés. Six, depuis son emprisonnement.
Son procès est prévu pour demain.
Son heure est venue.

Il sait très bien qu’il n’a aucune chance de gagner. Son avocat s’est battu pour lui lors du premier mois, lui permettant de recevoir des visites qu’on lui a, dans un premier temps, interdites. 
Mais face à la trop grande difficulté de l’affaire, il a aussitôt lâché le prisonnier. Sur les cinq mois qui ont suivi, Émilie, l’un de ses plans cul réguliers, s’est acharnée à lui trouver un bon avocat pour le défendre. Mais personne n’a voulu répondre favorablement à sa demande.
Chaque semaine, elle vient le voir. Chaque semaine, elle lui donne la liste de tous ses échecs.
Bernard se voit déjà passer au minimum dix ans en prison. Tout seul, dans une cellule à part. Sans aucune interaction sociale. Mais surtout, sans femme.
À chaque fois qu’il voit Émilie au parloir. Son sexe se dresse et menace de déchirer son pantalon. Il a une trop grosse libido pour rester aussi longtemps en prison. Déjà, six mois le rendent fou et il en a marre de se branler pour soulager ses couilles. Mais dix ans, ça va le tuer !

Si ce n’est pas les autres qui le font. Car oui, il est très mal vu dans la prison, pour des raisons qu’il ignore.
Mis à l’écart, car il est considéré comme un chef de drogue trop dangereux à qui on ne doit donner aucune possibilité de recruter d’autres criminels qu’il rencontré en prison.
À quelques jours de son procès, on lui a permis de se balader dans la cour en même temps que les autres détenus.
Une absence étrange de surveillance et une quinzaine de mecs qui sont venus le tabasser bien méchamment.

Un gardien en a ri, prétextant que ses hommes ont tué pas mal de leurs potes et que c’est leur vengeance.
Leurs mensonges à son égard se superposent et ne prennent même pas la peine d’être cohérents.

Il est mis à l’écart pour le rendre fou. En le désignant trop dangereux pour les autres et en capacité de se faire une armée à l’intérieur de la prison.
Mais dès sa première sortie, il se fait salement amocher par quinze mecs, voulant sa mort.
On veut juste faire de sa vie, un enfer.
La théorie de son amie Émilie lui semble plus que probable. Il n’a plus un seul doute dans son crâne.
Le lieutenant qui l’a fait arrêter et mis en prison est le mari de son plan cul, Éva. Il a appris leur liaison et l’a piégé pour le détruire dans la foulée.
Mais au niveau réel, aucune preuve ne peut venir le sauver.

****

 - T’as une visite. Lui dit sèchement un gardien. 

Bernard peine à se relever, toujours blessé de son agression carcérale. Il est emmené au parloir, escorté par le gardien qui n’hésite pas à le pousser, jugeant qu’il ne marche pas assez vite.
La personne qui est venue le voir ne peut s’empêcher de lâcher un ‘Oh mon dieu’ en voyant son piètre état.
Il ne se tient pas droit. Ses côtes brisées lui sont trop douloureuses et il est penché en les maintenant de ses mains. Il boite également, du fait de ses genoux et chevilles qui ne sont pas très solides depuis son agression.
Son visage est méconnaissable. Déjà, sa pilosité de base : moustache et bouc ont laissé place à une grosse barbe sur toute la surface du bas de son visage vu qu’on ne lui a pas donné la possibilité de se raser.
Ensuite, ses blessures le rendent affreux. Un œil au beurre-noir, des coupures un peu partout sur son visage. Ses lèvres sont ouvertes à quatre endroits.
Et encore, il ne s’agit uniquement de ce qui se voit physiquement. Sa commotion cérébrale est bien le plus grave de ces blessures.

 Bernard, avec une vision diminuée, ne parvient pas à reconnaître la personne qui se trouve devant lui. 
Il toise du regard quelqu’un qui devient petit à petit plus visible. 
Une femme, longs cheveux noirs, grosse poitrine, jolie, dans la trentaine… Elle prend le téléphone pour lui parler, il en fait de même.
Il vient de la reconnaître, mais il ne sait même pas quoi en penser ni ressentir.

— Toi…
— Je suis désolé… Tout cela est de ma faute.
— Ta faute ?
— Mon mari nous a découverts, il t’a piégé.
— C’est ce que je pensais…
— Il a tout manigancé. La drogue c’est lui. Les informations anonymes sur ta voiture, c’est lui. Le commanditaire de ton horrible agression, c’est lui.
— Policier. C’est ce que tu m’as dit. Pas lieutenant.
— Ce n’est qu’un minuscule détail. J’ai dit qu’il est flic de nuit. Pour une baise, je ne vais pas détailler toute sa vie. Pour moi, ça n’a aucune importance… Enfin, ça n’avait aucune importance.
— Six mois. Tu te réveilles maintenant ?
— Je ne pouvais pas venir. Quand il est rentré à la maison, il a fait beaucoup de bruit. Ça m’a réveillé. Je suis allé le voir pour lui dire de faire attention, la petite dormait dans sa chambre… Il avait un regard noir… Il m’a dit avoir coffré un fils de pute à la tête d’un trafic de drogue. Il m’a donné un nom. À cet instant j’ai déraillé. Ton prénom, ton nom. J’ai eu une boule dans mon ventre. Je n’ai su quoi faire ou quoi dire. Et la seconde qui a suivi, j’étais par terre. Il m’a frappé tous les jours pendant des semaines. Il a menacé de me tuer. De me prendre tout ce que j’avais. Il m’a dit qu’il fera tuer mon amant, qu’il me fera renvoyer de mon boulot, et qu’il me prendrait mon enfant.
J’étais trop tétanisée pour me défendre…
Mais quand j’ai appris ce qu’il t’a fait, j’ai pris conscience que je devais réagir.
— Agir ? Tu n’as aucun pouvoir.
— C’est vrai. Je suis ta maitresse alors je ne pourrais pas te défendre. Le juge me refusera. Mais ma collègue à qui j’ai tout raconté a accepté de nous aider. Elle te défendra demain. Tu verras, elle est très forte et je lui ai fourni toutes les preuves dont elle a besoin pour t’innocenter et montrer à tout le monde qui est mon mari.
— Attends, arrête de parler. Je n’y comprends rien… Tu es un baveux ?
— Heu, oui. Je suis avocate en effet.
— Encore une surprise chez toi.
— Demain, la surprise sera de l’autre côté. Et tu seras libre. Fais-moi confiance.

****

 Quelle journée, quel procès. Un homme, Alexandre Le Marchal arrive confiant au tribunal. Sa vengeance est parfaite.
Il est sur le point de finir sa mise à mort de cet enfoiré qui se tape sa femme. Et cette salope est sa prochaine sur sa liste. Avec les caméras de surveillance qu’il a installées, il a quelques belles vidéos où sa salope de femme se fait bien baiser. Quand ses clients et son cabinet d’avocats verront ça, sa petite carrière prendra fin.

Il regarde cette loque qui vient d’entrer dans la salle. Blessé, courbé, marchant lentement le dos le dos courbé, il n’a plus rien du mec charismatique qui baise toutes les nanas qu’il veut avec son Ora si excitant et mystérieux.
Mais au moment où il voit Maitre Durand arriver, il commence à avoir un présentiment étrange.
Il doit avoir un avocat commis d’office, et bien nul. Alors pourquoi Valentine, une amie et collègue de sa femme, vient-elle se ranger de son côté?  

Cette femme de trente-cinq ans, blonde au carré avec de jolies lunettes sur ses yeux vert, va directement lui mettre de violents coups dans le ventre, de quoi le faire chuter avant même de commencer.
En plus, sa femme Éva se trouve dans la salle.
Ensuite, elle plaide non-coupable et balance tout sur cette arnaque montée de toute pièce par le lieutenant lui-même.
Un petit brouhaha d’étonnement se fait entendre dans le public.
Elle ajoute qu’elle a toutes les preuves nécessaires et suffisantes et que ça vient tout juste d’être découvert.
La juge prend en main les preuves pour les examiner, afin de les juger légitimes ou non. Cette dernière confirme qu’elles sont valables et acceptables et elle appelle Éva à venir témoigner. 
Elle répond sincèrement à toutes les questions. Son mariage avec Alexandre Le Marchal, sa tromperie avec Bernard, ses agressions par son mari. Les menaces de mort, le chantage.
Les avocats de l’autre côté tentent des ‘Objections’, toutes refusées par la juge.
Elle appelle Bernard à témoigner, et il répond aussi avec vérité. Plaidant son innocence.
Arrive le coup de grâce.

Alexandre Le Marchal, valeureux lieutenant de la brigade de nuit, est appelé à témoigner.
Il se la joue agressif, arrogant. Il veut montrer sa confiance pour berner le jury. Leur montrer qu’ils mentent et qu’il n’a rien fait de ce qu’on lui accuse.
Mais les preuves portées par l’avocate Valentine Durand ne lui laissent pas la possibilité de s’en sortir. 
Il y a des vidéos de lui, qui sont montrées aux yeux de tous.
Les caméras qu’il a mises pour filmer les ébats adultères de sa femme se retournent contre lui, car au lieu de voir sa petite femme se faire prendre dans toutes les positions, il se voit sur ces vidéos piratées par un collaborateur de l’avocate d’Éva spécialisé dans les procès pour harcèlement.Il parle au téléphone pour commanditer l’agression de Bernard en prison. Il insulte sa femme, la menace, lui dit qu’il fera tuer son amant et pour finir, il la frappe violemment.
Il ne peut rien dire à cela.
Les autres preuves sont des virements bancaires d’un compte offshore pour l’agression de Bernard, ou la drogue récupérée pour la mettre dans le coffre de la voiture de son ennemi.
Rien ne lui est épargné par cette brillante avocate.  

 Le juge n’en aura pas besoin de plus. Bernard est innocenté et libre. Le lieutenant Le Marchal, tombe de très haut…et fera l’objet d’un procès.

****

— Ça va ? T’as encore mal à la tête ?
— Non, c’est bon.
— Ce fut une journée éprouvante pour toi. Repose-toi, il faut que tu récupères au mieux. 

Bernard est allongé dans un lit. Celui d’Éva. Il va habiter chez elle le temps de récupérer et son amante va s’occuper de lui.
Il y a aussi eu la possibilité d’aller chez Émilie, mais il n’a pas voulu. Il veut régler quelques affaires avec Éva.

Il n’est pas tout seul dans cette chambre. Éva est là, mais l’avocate Valentine est aussi avec eux.

— Vous allez être tranquille pour un moment. Ton futur ex-mari va rester derrière les barreaux pendant un long moment et je vais demander des indemnités.
— Heureusement que tu étais là. Je ne sais pas comment j’aurais fait. Lui dit Éva.
— C’est pour ça que je fais ce boulot. Et en parlant de barreau, le sien n’a pas l’air d’avoir été endommagé dans l’agression. Rigole-t-elle en regardant Bernard. 

Habillé en jogging, sa grosse queue en érection est bien visible sous son pantalon déformé. Il faut dire qu’il regarde en silence ces deux belles femmes.
Éva, aux courbes si bandantes qui n’ont aucun secret pour lui.
Et Valentine, qu’il peut à présent détailler puisqu’elle n’a plus sa robe d’avocate, a une petite poitrine bien ronde et surement ferme qui est mignonne à croquer et un fessier joliment bombé. Un cul bien formé pour une levrette athlétique.

— C’est vrai qu’elle me paraît bien énorme sa bite.
— Oh, elle est…
— Bon, je te laisse. Moi, je vais aller m’occuper du pénis, bien plus modeste, de mon mari.

Seule avec Bernard, elle commence à s’en occuper. Elle le rase dans un premier temps, pour qu’il soit plus présentable.
Ensuite, elle le met nue pour le laver avec un gant. Elle passe plus de temps sur ses zones sensibles.
Elle se déshabille ensuite et vient l’enjamber.

— Je vais bien m’occuper de toi, tu verras, je vais faire ça en douceur pour calmer cette érection monstrueuse.

Elle commence à l’embrasser tendrement, avec beaucoup de passion et de lenteur. Elle y va vraiment méthodiquement avec lui. Elle pose ensuite sa poitrine sur sa bouche et lui fait téter son 95F qui lui a tant manqué en six mois.
Elle grogne et gémit de plaisir. Il n’est pas le seul à être en manque après six mois d’abstinence.
Elle descend ensuite et vient prendre son gros pénis en main. Elle le masturbe doucement en lui léchant les boules. Sa petite langue remonte tendrement le long du bâton de chair et titille le frein avant de s’enrouler autour du gland gonflé de plaisir. Elle le suçote doucement et sent déjà les spasmes d’une éjaculation imminente.
Elle continue ses petites succions et quand sa queue se gonfle un peu plus et sursaute sur sa langue, elle prend tout son sperme dans sa bouche pour l’avaler.
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