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Un bébé pour mon fils

Chapitre 1

Inceste
Je me nomme Cloé, j’ai 35 ans. Je ne suis pas une superbe bombe, je ne suis pas laide non plus mais pour mon âge je dois avouer avoir gardé de nombreux atouts : une poitrine de rêve et bien ferme, un corps svelte sans vergetures, pas un gramme de cellulite. Une femme bien en chair mais de visu agréable à regarder. Je possède un fils : Ethan, 18 ans. Je l’ai eu très jeune et son père m’ayant quitté pour sa secrétaire, je fus seule à l’élever.
Nous étions très fusionnels depuis le départ de son géniteur. Il était tout pour moi comme j’étais tout pour lui.
Mais cette fusion allait finir par nous emmener bien plus loin que ce que nous pensions.
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Un soir, alors que je rentrais du travail, Ethan vint me voir, fier de lui avant de sourire.
_ Maman ! Aujourd’hui on a eu cours d’éducation sexuelle !! _ Oh. J’espère que tu as appris quelque chose chéri. _ Les choses que je savais déjà.
Surprise de sa réponse, je quittais mon manteau avant d’hausser un sourcil tout en nous dirigeant sur le canapé du salon.
_ Comment ça ? _ Je suis grand tu sais, je sais quand même comment on fait l’amour, les risques si on se protège pas. La totale quoi. Elle nous a même distribué des capotes.
Il la posa sur la table et je caressais sa joue tendrement.
_ Tant que tu sais tout ça c’est le principal. _ De toute manière, je n’ai pas de petite amie et je n’en veux pas alors bon.
_ Comment ça ? _ Les filles n’ont aucune importance.
Après cette déclaration, j’avais peur. Peur que mon fils aime les hommes. Ce n’est pas que je suis homophobe, je m’en fiche mais sachant qu’il est mon fils unique, je devrais faire une croix pour être grand-mère un jour et je n’y tenais pas spécialement. Je regardais donc mon fils, me demandant comment lui demander ce qu’il entendait par là mais ce fut lui qui me devança.
_ Non maman je ne suis pas un gobeur de queue. _ Ethan, ton langage. _ Pardon.
Au moins j’étais rassurée sur ce point mais je ne comprenais toujours pas pourquoi il m’avait dit ce genre de choses s’il n’aimait pas les hommes. N’y tenant plus, je devais l’interroger.
_ Mon chéri pourquoi tu dis que les filles n’ont aucune importance ? _ Parce qu’elles ne sont pas intéressantes, tu es la seule femme de ma vie. _ Oui mon chéri mais je suis ta mère moi c’est normal que tu cherches une femme aussi parfaite que moi.
Je me mis à rire mais lui, ne plaisantait pas. Il me regarda longuement avant de se lever, vexé que je ne le prenne pas au sérieux.
_ Tu comprends rien maman. C’est toi que j’aime et personne d’autre. Je vais me laver.
Je restais silencieuse alors qu’il allait dans la salle de bain. Beaucoup de garçons avaient ce complexe d’œdipe, ce fantasme sur leur mère. Il ne fallait juste pas y faire attention c’est tout. Je préparais donc le repas pendant qu’il était en train de se laver et une fois propre, il vint dans la cuisine prendre simplement un verre de jus d’orange.
_ J’ai pas faim, je vais me coucher.
Complètement déboussolée, je le regardais partir avant de me mettre à table. Après tout, ce n’est pas bien grave il ne se laissera pas mourir de faim.
La nuit venue, un violent orage me réveilla en sursaut alors qu’Ethan ouvrait la porte de ma chambre. Il savait combien l’orage me traumatisait et vint à mes côtés.
_ T’en fais pas maman, je te protège.
C’était mignon que mon petit homme de maison vienne à ma rencontre pour me rassurer. Je ne sais pas pour quelle raison mais l’orage m’avait toujours foutu une trouille monstre. Me recouchant, je me tournais dos à lui et tentais de me rendormir mais je le sentis dans mon dos m’encercler de ses bras. Je le laissais faire, bien trop effrayée pour lui dire la moindre chose. Un coup de tonnerre et me voilà à sursauter et Ethan en profita pour glisser ses lèvres dans mon cou, mais je ne disais rien. Parce que j’avais trop la frousse pour m’occuper de le réprimander.
_ Regarde maman, je peux te réconforter comme un homme. Je peux te prendre dans mes bras comme un homme. Je peux te donner de l’amour comme un homme.
J’écoutais mais je ne relevais pas, simplement occupée par les coups de tonnerre de plus en plus violents. Ethan me plaquait sur le dos, se glissant entre mes cuisses avant de pencher sa tête sur mon visage.
_ Juste ce soir, laisse toi aller et si tu as aimé, réfléchis à tout ça.
Je n’avais jamais vu mon fils aussi entreprenant, aussi sûr de lui. Sans doute profitait-il de la situation et je dois dire que ça m’excitait de le voir ainsi. Sa main passait sous mon simple tee-shirt pour saisir mon sein droit, ses doigts tâtant mon mamelon avec douceur. Un gémissement passait la barrière de mes lèvres et ma main gauche se posa sur son torse pour le faire arrêter. Alors, sa main de libre attrapa mon poignet et le plaqua au-dessus de ma tête. Je le laissais faire, ce soir je prendrais le prétexte de l’orage et que je suis bien trop effrayée pour l’empêcher de continuer. Fermant les yeux, je laissais sa caresse me faire du bien et me faire jusqu’à oublier que je suis sa mère. Il me retira mon tee-shirt, sans la moindre difficulté et mes seins lui furent révélés. Jusque là tout va bien. Enfin non ça ne va pas parce que c’est immoral mais tout va bien parce que ce qu’il voit à l’air de lui plaire. C’est déjà ça dirons nous. Je gémissais doucement alors que ses lèvres se posèrent sur mon mamelon et comme lorsqu’il était enfant, il se mit à téter.
_ Oh oui.... Tête moi mon bébé... Tête maman comme lorsque tu buvais mon lait.
Mes mots semblaient l’exciter, et moi j’étais déjà loin dans mon délire incestueux. Il ne restait plus que mon shorty pour cacher le plus important, mes seins étaient déjà à sa merci. Et je sentis soudainement sa main en train de caresser ma fente.
_ N-non Ethan ! Pas là ! _ Laisse toi faire maman.
Je n’avais plus aucune autorité, il n’écoutait même plus mes mots. Je vous le dis il était déjà trop loin dans son fantasme et caresser sa mère lui vint trop naturellement. Son doigt tâtait mes grosses lèvres à travers le tissu, ma mouille trempant mon shorty et lui donnant bien la preuve que j’aimais ça, et il le glissa sur le côté pour que son index rentre dans mon trou. Et là je gémis plus fort, écartant les cuisses. A quoi bon lutter ? C’était tellement bon. Voyant ce geste et ce cri comme une brèche, mon petit coquin de fils prit les rennes et descendit entre mes cuisses pour goûter mon fruit défendu. Léchant ma fente tout en continuant de me doigter, il but mon nectar de vie avant de glisser mon shorty entre mes jambes. Je tentais une dernière fois de lui résister en serrant les cuisses malheureusement, les rouvrit sans mal et les écartais bien plus que nécessaire.
_ Ta chatte est tellement bonne. Je vais la dévorer. _ N-non c’est sale... On a pas le droit...
J’étais peu crédible et je pense qu’il le savait autant que moi. J’en avais envie de toute manière, ça faisait tant d’années qu’aucun homme n’était venu me lécher la chatte et me doigter. Et d’ailleurs, Ethan était vraiment doué pour son âge. Sa langue plongea entre mes grosses lèvres charnues et il commençait à boire ma mouille abondante. Et mon goût semblait lui plaire puisqu’il resta un moment au même endroit. Je passais ma main dans ses cheveux tout en tirant dessus, gémissant le nom de ma progéniture. Je suis en train de me faire bouffer la chatte par mon fils et j’aime ça. Puis, il s’attarda sur mon clitoris qu’il mordilla, suçota, maltraita. Et moi je jouissais. Rien qu’avec sa bouche j’avais un orgasme du tonnerre et mon corps se mit à trembler. Puis, je décidais de lui rendre la pareille. Me redressant je l’allongeais sur le lit avant de lui enlever son boxer. Et quelle surprise que de voir sa bonne grosse bite bien épaisse. Encore mieux bâti que son bâtard de père.
_ Mh, qu’elle est belle. Et bien grosse. _ Contemple ton oeuvre maman, c’est toi qui l’a conçu. Elle est faite pour toi.
Ses paroles me firent mouiller. Bordel qu’est-ce que c’est bon de savoir qu’il s’agissait de mon travail. Je posais mes lèvres sur son gland avant de me mettre à sucer. Juste le bout histoire de goûter à la chair de ma chair. Et quel goût !! Je me mis à téter son gland comme il l’avait fait avec mon mamelon, et finis par le prendre en bouche, entendant ses paroles salaces.
_ Vas y maman, suce ton fils. Suce la bonne grosse bite de ta progéniture.
Mon bébé se lâchait et j’aimais ça. Peu à peu les barrières s’effondraient et je voulais lui plaire. Je voulais le sucer, boire son sperme. Je voulais lui faire plaisir. Alors je lui fis une bonne gorge profonde, malaxant sa paire de couilles bien remplie. De longues minutes passèrent avant que je ne me redresse et me mette à branler sa bite avec mes mamelles. Et faut dire que je l’excitais cruellement.
_ Oh ouais maman, continue. Qu’est-ce que t’es bonne._ Tu aimes mon fils ? Tu aimes voir maman en train de branler ton gourdin ? _ Ouais continue ! Je sens que ça vient !!
Fière de moi et de mes talents apparemment toujours d’actualité, je branlais énergiquement mon bébé avant de le sentir se crisper. Reprenant sa bite en bouche, je sentis sa crème bien chaude se déverser dans ma bouche et une fois le tout en bouche, je le regardais avant de l’avaler sous ses yeux ébahis. Il m’attrapa tendrement par les cheveux avant de m’embrasser, comme jamais une mère et son fils ne devraient le faire et nos langues se mélangèrent, Ethan goûtant à son sperme par l’intermédiaire de ma bouche. Il me rallongea sur le lit avant de mordre mon cou et je sentis sa bite embrasser le bord de ma chatte. Un dilemme se faisait en moi : le laisser entrer ou pas ?
_ Maman, je veux rentrer en toi._ Non Ethan, tu as assez profité de moi..._ Je sais que tu en as envie.
Il avait attrapé son sexe, son gland caressant mes lèvres et chatouillant mon entrée avant de remonter jusqu’à mon clitoris qu’il branlait. Je finis par céder.
_ Mh.. Rentre Ethan. Viens faire l’amour à ta mère mon bébé.. Mh, oui rentre en moi.
Ni une ni deux, son piston pénétrait lentement en moi alors que je bougeais mes hanches en criant de bonheur. Nous avions franchi un cap tous les deux, et je savais qu’après ça, tout serait différent. Il rentrait d’un coup, jusqu’à ce que ses couilles bien remplies ne cognent contre mon cul et je posais mes mains sur son postérieur.
_ Allez mon bébé, fais jouir maman. Montre moi que tu es meilleur que ton père. _ T’en fais pas, je vais te baiser jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter.
Il commença ses va et viens en moi, je crois que je n’ai jamais autant joui en un va et vient avant de me laisser tomber sur le matelas, serrant le coussin sous ma tête et cambrant le dos. Il était en train de me ramoner de l’intérieur et j’aimais ça. Mon fils est en train de me baiser comme personne ne le fait, il a dix-huit ans et moi je suis une putain, une chienne qui aime ça.
_ Oui mon bébé, tape l’utérus de maman. Tape là où tu as été conçu et a grandi. C’est ta maison ici mh oui..._ Ca m’appartient ça. J’ai le droit de revenir ici parce que c’est mon endroit._ Oh oui mon bébé, mon vagin et mon utérus sont à toi han ouiiiii !
Emporté par la vague incestueuse, je délirais et confortais mon fils que ce qu’il faisait était bien. Je savais qu’en faisant ça je ne pourrais plus l’arrêter mais c’est pas grave. Je l’aime, c’est mon petit homme et c’est mon devoir que de le laisser me baiser. Il a besoin d’une putain et je veux l’être pour lui.
_ Mhhhhh oui Ethan baise maman comme ça... Oh oui ... Oh qu’est-ce que c’est bon.._ Embrasse moi maman !!
Il m’avait donné l’ordre de l’embrasser et comme une petite soumise je tournais la tête vers lui pour poser mes lèvres sur les siennes et l’embrasser encore plus passionnément que tout à l’heure. Ma langue se glissa dans sa bouche et il fut tellement excité qu’il me laboura la chatte. Difficilement je lui roula une grosse pelle avant de sortir sa langue hors de sa bouche et lui suça son muscle buccal longuement. Soudain il accéléra encore plus et je le repoussais doucement.
_ Bébé, sperme sur mon ventre pour cette fois.. Han oui... Ou dans ma bouche...
Le choix était vite fait pour Ethan et il positionna sa bite devant ma bouche grande ouverte avant d’envoyer une nouvelle fois la sauce. Sa bonne crème coula dans ma gorge et je m’en léchais les lèvres avant de me rallonger. Il se mit à côté de moi avant de poser sa main sur mon ventre et embrassais mon cou. Je me blottis contre lui, ma main sur sa bonne bite et levais la tête vers lui.
_ Mon bébé c’était parfait._ On recommencera maman hein ?
J’avais le choix : lui dire que plus jamais ça n’allait se reproduire ou jouer la grosse salope incestueuse. Je vous laisse deviner que la solution était vite trouvée.
_ Oui mon bébé. Ce soir tu m’as eu. Et je veux que tu me considères comme ta femme. Je veux que cette queue soit à moi et que tu ne baises que moi. Tu es l’homme de la maison maintenant, et tu es le seul mâle qui me touchera. _ Je t’aime maman. Et je veux que tu sois ma femme.
Nous nous embrassions encore, et une bonne partie de la nuit on fit l’amour, parce que nous nous aimions comme deux amants. J’aime tellement mon fils que j’allais lui faire le plus beau des cadeaux : m’offrir entièrement à lui. Dans tous les sens du terme.

** N’hésitez pas à me dire ce que vous pensez de mon histoire et si vous voulez une suite !! **
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