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Un bel anniversaire

Chapitre 1

Inceste
Un bel anniversaire
Bonjour, je m’appelle Sylvie, je vais avoir dix-neuf ans dans une semaine, et je vais vous raconter ce qui m’est arrivé il y a tout juste un an, le jour de mes dix-huit ans. Je suis une fille assez grande, un mètre soixante-douze, j’ai une belle poitrine, pas trop grosse, bonnets B, mais bien ronde, ferme et haute. Je suis assez jolie, ventre encore très plat, longues jambe, pubis bien rebondi et cul d’enfer. Sans fausse modestie, je suis ce qu’on appelle un canon.Je suis la seule fille d’une fratrie de cinq personnes. L’ainé, c’est Pierre, vingt et un ans aujourd’hui, suivi de Paul, vingt ans, moi, dix-neuf ans, les jumeaux homozygotes, Michel et Henri, dix-huit ans. Nous nous suivons à un an presque jour pour jour, c’est à croire que nos parents ne baisaient que pendant une période de l’année, en octobre, pour l’anniversaire de maman qui est le 8 puisque nous sommes tous nés entre le 5 et le 18 juillet. Nous vivons avec notre mère, nos parents ayant divorcé il y a dix ans, mais la famille est tout de même un clan, il est très difficile de s’intégrer dans le groupe. Mes frères sont d’une jalousie maladive envers tous les copains que j’ai pu avoir. Pourtant, je suis sûre qu’ils m’aiment et ne veulent que me protéger, mais au fil du temps, l’atmosphère devient de plus en plus difficile à supporter. Toutefois, je suis la seule fille, donc, la petite reine qui fait faire à peu près tout ce que je veux à mes frères, excepté à Pierre.Je dois dire que j’ai une petite préférence pour Paul et Michel, d’une part parce que Pierre en tant qu’ainé passe pour le chef de la famille et est plus distant et d’autre part parce que Henri est un peu trop intellectuel pour moi, il est toujours plongé dans ses livres. Paul et Michel sont plus doux, plus câlins. Je dois dire que j’aime bien quand ils me prennent dans leurs bras pour me faire un câlin. Il faut dire qu’avec la surveillance dont je suis l’objet, il ne m’a pas été possible de connaitre l’amour physique avec un garçon. Je suis toujours vierge à dix-huit ans, et ça commence à me peser. J’aime me caresser, me faire jouir avec mon doigt sur mon petit bouton, mais je sens que je peux prétendre à autre chose de plus excitant, et j’ai hâte d’y accéder. En discutant avec des copines, j’ai appris que c’était la mode de s’épiler les poils du pubis. J’ai donc acheté le nécessaire et ai fait disparaitre les poils de mon mont de Vénus. Ça n’a pas été de tout repos, très douloureux, surtout sur les lèvres qu’il a fallu que je finisse à la pince à épiler. Mais je suis très fière de mon sexe glabre, lisse et doux comme une peau de bébé. Je m’épile régulièrement pour être toujours nette. J’ai bien eu quelques moments de sexe avec des copines dans les toilettes, j’ai bien eu des moments de plaisir intenses, mais jamais jusqu’à l’orgasme. J’aime bien le contact d’une peau de fille, il faut dire que, pour l’instant, je ne connais que ça, j’aime leurs seins, leurs sexes, mais je veux avoir une vie sexuelle complète, avec des hommes et des femmes. Grace à la mère médecin d’une copine, j’ai réussi à avoir une ordonnance pour prendre la pilule. Je la prends depuis un peu plus d’un mois.Nous arrivons mi-juillet, la date de mon anniversaire approche et je sais que mes frères vont faire le maximum pour me surprendre. En général, mon anniversaire se passe en deux temps, à midi, nous le fêtons tous ensemble avec ma mère, le soir, c’est une petite fête juste entre les enfants, ma mère allant passer la nuit chez un copain qu’elle voit de temps en temps. Seulement, cette année, j’ai décidé que c’est moi qui allais mener le bal. Depuis deux mois, depuis que la température est devenue agréable, je me balade dans la maison avec un minimum de fringue sur moi, je ne porte pratiquement plus de soutien-gorge ou de culotte, même quand je suis en jupe. Je fais tout pour exciter mes frères et voir comment ils réagissent. Il n’y a que Pierre qui m’ai fait une remarque sur mes tenues, les trouvant un peu trop sexy, mais mes autres frères n’y ont rien trouvé à redire. J’ai même remarqué qu’ils se débrouillaient pour pouvoir me mater tranquillement quand on regardait la télé. Il faut dire qu’à ce moment-là, je regardais la télé avec un marcel un peu ample et une jupe assez courte, évidemment sans rien dessous. Mes seins s’offraient régulièrement à leurs regards et mes fesses étaient souvent en partie dénudées, mais je faisais bien attention à ne pas trop en montrer pour ne pas passer pour une pute. Juste sexy, excitante, mais sans plus. Ce traitement a eu de l’effet car petit à petit mes frères, à part Pierre, sont devenus plus câlins, je sentais de temps en temps une main qui trainait sur ma taille, voire même sur ma jupe. Je remarquais que quand ils étaient en short, Paul et Michel, tout comme Henri, avaient souvent une bosse juste au-dessous de la ceinture quand ils montaient se coucher après avoir regardé la télé en ma compagnie. C’est à cette époque qu’Henri s’est rapproché de moi. Un après-midi, vers cinq heures, j’étais dans la cuisine à préparer un thé pour nous deux. Le reste de la famille était parti voir un match dans une ville à plus de cent kilomètres et ne rentrerait pas avant vingt-trois heures. Nous n’étions absolument pas attirés par le foot. Il faisait une chaleur à crever et Henri était en tee-shirt et short de sport. Je ne portais qu’un marcel ample et minijupe moulante en tissu extensible, évidemment, ni soutif ni culotte. Je savais qu’on devinait la raie de mes fesses au travers du tissu tellement il était tendu. Il est venu discrètement derrière moi et m’a enlacé. Ses mains se sont posées l’une sur mon ventre et l’autre juste en dessous de mes seins. Il s’est plaqué contre moi, je sentais son sexe un peu volumineux contre mes fesses. Je sentais sa respiration sur mon cou.
–Tu es magnifique petite sœur, tu es vraiment devenu une très belle femme, très belle et très sexy.–Merci Henri, tu es gentil, toi aussi tu es un beau jeune homme, tu vas être le tombeur de ces dames.
Je ne bouge pas, j’ai même envie que sa main remonte un peu et s’empare d’un de mes seins pour le caresser, voire qu’elle passe sous mon marcel. Mon cœur bat à tout rompre, je sens comme une boule se former dans mon bas ventre, mes mains deviennent moites. Je sens que je me liquéfie, ma cyprine commence à couler sur le haut de mes cuisses. Je suis dans un état second, j’ai envie qu’il aille plus loin. Je veux en avoir le cœur net, et je fais un peu bouger mes fesses en les crispant et les relâchant. L’effet est immédiat, je sens son sexe se durcir et appuyer de plus en plus sur mes fesses. J’ai même l’impression qu’il veut se glisser entre elles. Henri me libère et se met à côté de moi. Je jette un œil vers son bas ventre et vois une énorme bosse juste au-dessous de sa ceinture. Il doit bander comme un âne, son sexe est sur le point de sortir de son short. Il prend le sucre et des cuillères et quitte la pièce pour aller s’assoir dans le salon. A en juger par ce que j’ai vu, il doit avoir un très gros sexe, et rien que d’y penser, je mouille encore plus. Je suis obligé de m’essuyer la chatte et le haut de mes cuisses avant d’apporter le thé dans le salon, sinon, je risque de tâcher ma jupe. Je m’assoie en face de lui en joignant les jambes. Ma jupe moulante fait un pont et, vu sa longueur, son regard peut plonger jusqu’à mon pubis glabre. Je lui sers son thé en me penchant sur la table basse. Mon marcel baille et je vois ses yeux se fixer sur ma poitrine. Je me redresse et commence à boire mon thé. Je remarque que la bosse du short est toujours aussi visible bien qu’il soit assis. Henri ne quitte pas des yeux mes cuisses, il manque de se renverser sa tasse de thé dessus tellement il est absorbé par le spectacle que je lui offre.
–Attention petit frère, tu vas te bruler.–C’est déjà fait.–Comment ça ?–Petite sœur, tu te rends bien compte que mes yeux me brulent, carbonisés par ce qu’ils voient. Pourquoi ?–Comment ça pourquoi ?–Pourquoi tu fais ça ?–Tu n’aimes pas ce que tu vois ?–Comment veux-tu que je n’aime pas voir un corps aussi beau que le tien, tu es superbe.–Et tu aimerais en voir plus.–Sylvie, tu déconne.
–Tu as déjà vu une fille nue ?–Non, juste en photo, mais pas en chair et en os.–Et tu n’aimerais pas en voir une, voire la toucher ?–Bien sûr que si, mais ce n’est pas demain la veille, je n’ai pas de copine en ce moment.–Pourtant tu as une fille en face de toi.–Tu plaisantes j’espère.–Non, pas du tout, si tu veux, je peux me déshabiller, de toute manière, tu connais le principal, il ne te manque plus qu’une vue d’ensemble.–Qu’est-ce que tu dis ?–Tu a vu mes seins et ton regard était dirigé entre mes jambes, vu la longueur de ma jupe, je suppose que tu avais une vue imprenable sur mon bas ventre.–Sylvie, tu déconnes grave.
Là, je hausse le ton.
–Assez d’hypocrisie, je sais que tu meurs d’envie de me voir à poil, tu ne perds pas une occasion de me mater, tu crois que je ne m’en suis pas rendu compte, le soir quand tu vas te coucher, tu bandes, je suis sûre que tu te finis dans ta chambre en pensant à moi. Ose dire que tu ne veux pas me voir à poil.
Henri devient blême, il baisse les yeux. Je suis sûre qu’il a envie de quitter la pièce mais qu’il n’ose pas de peur que je fasse une remarque sur la bosse de son short. Je me lève.
–Je prends ton silence pour un oui.
Henri redresse la tête juste au moment où je fais passer mon marcel par-dessus ma tête. Je place mes mains sous les seins et les soupèse. J’ai l’impression que ses yeux vont lui sortir des orbites. Je le regarde droit dans les yeux.
–Ça te plait, tu en veux plus.
Il ne répond pas, figé par ce qu’il voit.
–Je prends ton silence pour un oui.
Je fais glisser ma jupe à terre, maintenant je suis complètement nue devant lui. Je fais lentement un tour complet sur moi-même pour lui présenter mes fesses. Je discerne un léger mouvement dans son short. Il bande à mort. Moi aussi, le fait de ma donner en spectacle me fait mouiller un maximum, j’ai peur qu’il voit que mes cuisses se mouillent. Son regard ne quitte pas mon pubis.
–Ça te plait ce que tu vois ?
Il me regarde dans les yeux, je vois dans son regard plus de panique qu’autre chose.
–Détends toi Henri, ce n’est pas grave, je suis seulement la première femme que tu vois nue. Moi aussi, j’aimerais bien voir pour la première fois un homme nu. Qu’en penses-tu ?
Là, il panique, son visage se décompose.
–Non, je ne crois pas que je pourrais.–Dis donc petit salaud, ce n’est pas toi qui es venu me prendre dans ses bras dans la cuisine et me serrer contre toi pour que je sente l’effet que je te fais ?–C’était juste une marque d’affection.
Encore une fois, le ton monte.
–Tu ne me prendrais pas pour une conne par hasard ? Moi je pensais plutôt à une marque d’envie. J’ai eu l’impression que ton sexe voulait perforer ma jupe pour me sodomiser.–Sylvie, ne t’énerves pas, oui, tu as raison, depuis quelque temps, je ne pense plus à toi comme avant, comme une sœur, mais plutôt comme une femme attirante et qui me plait. Il faut dire que tu as tout fait pour ça.
Je suis aux anges, mon stratagème a fonctionné au moins pour Henri, je vais pouvoir passer tout de suite à l’étape suivante.
–Ok, calme toi, lèves toi et viens vers moi.–Sylvie.–Lèves toi Henri, tu n’as pas le choix, je sais très bien que tu bande dans ton short, et depuis le temps que ça dure, ça va devenir pénible, il faut que tu te détendes.
Il finit par se lever, son short le précède de quelques centimètres. Quand il est devant moi à portée de main, il s’immobilise. Je fais un pas, lui prend le bas du tee-shirt et le fait passer par-dessus sa tête. Il se laisse faire comme un petit garçon. Je m’agenouille, attrape le bas des manches de son short et le fait glisser sur ses jambes. Il reste bloqué par sa bite qui s’est coincée sous l’élastique. Je tire plus fort vers le bas, et tout à coup, une superbe bite se redresse violement devant moi pour pointer vers le ciel. Je fais glisser le short à terre et l’en débarrasse. Je me lève, nous sommes face à face, nus, à nous contempler. Je ne peux détourner mon regard de cette bite raide et épaisse. C’est la première fois que je vois une bitte bander, mais je suis sûre qu’elle est d’une taille hors norme, (mon expérience ultérieure me donnera raison), elle est épaisse, assez longue avec un gros gland proéminent, nettement plus large que la tige, j’ai envie de m’en saisir, mais j’ai un peu peur de la réaction d’Henri. Lui, est fasciné par mes seins, son regard ne les quitte pas. Lentement sa main droite monte vers mon sein gauche. Elle finit par atterrir dessus. Il me le malaxe doucement, rapidement son autre main se pose sur mon autre sein. Il me caresse les seins avec une grande douceur, je n’hésite plus et tends ma main vers sa bite. Mes doigts se referment dessus. Je n’aurais jamais pensé qu’une bite puisse être aussi dure une fois en érection. Je joue un peu avec elle, mais j’ai une autre destination à lui proposer. Je prends Henri par les épaules et l’attire contre moi. Mes seins se plaquent contre son torse, sa bite vient se loger sur mon pubis et touche mon clitoris. Je suis dans un état second, j’ai envie de cette bite, tout mon corps la réclame, en particulier ma vulve. Nos visages sont touche à touche et nos lèvres finissent par se rencontrer. Je prends l’initiative de lui introduire ma langue dans sa bouche, il me répond par un baiser passionné. Ses mains parcourent mon corps en s’attardant beaucoup sur mes fesses. Quand nos bouches se séparent, je lui prends la main et l’entraine vers ma chambre. Quand nous arrivons vers le lit, je le pousse et il s’affale sur le dos, les jambes écartées. Je m’allonge sur lui.
–Je sais que tu es encore puceau, moi je suis vierge, nous allons perdre tout ça ensemble, tu es d’accord ?–Je veux tout ce que tu voudras, je te laisse l’initiative, mais je ne veux pas te faire mal.–Ne t’en fait pas, je m’occupe de tout, et tu pourras aller jusqu’au bout, je prends la pilule.
Je vais chercher une serviette que l’étale sous Henri. Il bande toujours comme un âne. J’ai entendu des copines dire qu’elles suçaient la bite de leurs copains et que c’était super, elle appelle ça un pompier, une pipe ou une fellation. Je ne veux pas paraitre idiote vis-à-vis d’Henri et je me penche sur sa bite.
–Qu’est-ce que tu fais ?–Je veux te faire une pipe.–Tu plaisante, pas question, je veux des rapports sains entre nous.
J’hallucine, ce mec est sur le point de baiser sa sœur et il veut des rapports sains, j’obtempère quand même. Je vérifie la dureté de sa bite, elle est toujours aussi raide. Je l’enjambe pour me placer face à lui, juste au niveau de son sexe. Je m’en empare et le guide vers ma vulve, elle ruissèle de cyprine. Quand son gland touche mon sexe, je lui fais faire un mouvement alternatif le long de mes lèvres. Il brille de ma cyprine. Je suis au comble de l’excitation, mon sexe est en feu, je ne résiste plus et me laisse tomber d’un seul coup sur ce vit conquérant. Une fulgurante douleur me fait hurler.
–HHHHHAAAAA
Cet énorme vit m’a déchiré la chatte et m’a fait exploser l’hymen. Mais rien ne peut m’empêcher de savourer ce moment. Je monte et descend lentement sur cette tige raide, je sens le gland se frayer un passage à l’intérieur de mon vagin. Henri pose ses mains sur mes hanches, il a fermé les yeux, il savoure au maximum le moment qu’il vit. Je continu mon mouvement de va et vient sur sa bite, mon vagin lui enserre la tige, la sensation est de plus en plus agréable, la douleur, bien que présente, est devenue très supportable. Je continu mes montées et descentes j’ai posé mes mains sur son torse pour prendre appui, je ne sens pas la fatigue, juste une impression de plénitude et une sorte de nœud dans le bas ventre. Mon mouvement prend de l’amplitude jusqu’à ce que son gland sorte et entre à chaque fois, me rendant folle de plaisir. Une sensation inconnue se propage en moi en partant de mon sexe, ma peau se hérisse, mon cœur accélère, mon cerveau se brouille, je ne suis plus moi-même, je suis dans un autre monde, seul mon corps existe, plus particulièrement mon sexe, et il dirige mon esprit. Soudain un violent jet vient buter contre mon col de l’utérus, c’est le petit truc qu’il fallait pour que mon corps se libère et fasse exploser des millions de petit pétard dans tout mon être, de la plante des pieds au cerveau. Je m’écroule sur Henri qui m’enlace de ses bras.
–Merci pour ce bonheur mon chéri.–Merci à toi aussi, je n’ai jamais été aussi heureux.
Je reste un long moment sans bouger sur Henri, son sexe dégonflé toujours dans le mien. Nous échangeons un long baiser, je sens sa bite qui se réveille et gonfle lentement au bord de mon sexe. Cette fois-ci, pas question de rapports sains, je descends le long de son corps et avant qu’il ne réalise, je lui gobe la bite. Elle a un léger goût de sang, mais j’adore la sentir gonfler dans ma bouche. J’applique ce que m’ont dit mes copines pour faire une bonne fellation, la langue, les dents, les lèvres, tout y passe et je remarque qu’il apprécie au plus haut point. Il commence à s’agiter nerveusement.
–Attention Sophie, je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps.
Je n’en ai cure, je veux goûter au sperme, je ne sais pas si mes copines ont dit vrai, mais il parait que c’est très bon. Ça y est, il se laisse aller et un grand jet me remplit la bouche. J’ai du mal à tout avaler, les jets se succèdent très rapidement, mais quand il a fini, j’ai réussi à me pas en perdre une goutte. Je remonte le long de son corps et veux l’embrasser mais il détourne la tête.
–Sophie, tu viens de boire mon sperme.–Et bien je peux te dire que c’est très bon et j’ai tout avalé, il n’en reste plus dans ma bouche.–Tout de même, je ne peux pas, excuse-moi.–Ok, ok, mais je crois qu’il faut qu’on aille manger, il est plus de huit heures.
Nous nous levons, je planque la serviette dans un placard de ma chambre, nous allons manger les restes de midi et allons nous coucher chacun dans notre chambre. Je suis la plus heureuse de filles, je suis enfin devenu femme et en plus en prenant un pied extraordinaire. Je m’endors comme une masse.…/…
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