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La belle Anne

Chapitre 3

Inceste
La belle Anne (1)17 juillet 2000, 14heures, sous une chaleur torride dans une chambre face au balcon de la piscine, Léa, 40 ans, suce son fils Bruno, lui, allongé sur le lit, elle, à genoux sur le sol, alternant gorges profondes et léchage du méat, mangeant avec application les couilles et le sucre d’orge gros modèles de son fils, 21 ans, libre en ce moment.
Sa sœur, Anne, juste 18 ans, fleur fraîche, tout juste sortie de sa période d’ado, regarde la scène du haut du balcon, dissimulée derrière l’angle du mur. Quand sa mère chevaucha sa monture, elle courut dans la cuisine où son père finissait une bière devant la télé, et lui demanda de la suivre sur le balcon sans dire un mot. Arrivé sur place, Jean le père, resta interdit, bouche bée, devant une telle découverte : donc sa femme baise avec son fils. La porte était restée ouverte intentionnellement; manifestement, les amants incestueux voulaient être vus. Jean n’était pas furax, il sortit son sexe bandant et se masturba, en regardant sa pute de femme se faire défoncer le con et le cul par son fils, jouissant telle une grosse cochonne.
Dans le feu de l’action, il avait oublié la présence de sa fille Anne, qui à la vue de la pine dressée de son père, ressentit un fourmillement dans ses reins, conséquence d’une excitation soudaine, sa main descendit sur sa fente malgré elle et commença à se caresser fébrilement.
Jean tourna la tête : "Alors, toi aussi ma fille, tu es une salope ? Comme ta mère, tu vas aussi te taper ton frère ?... » Anne ne répondit rien à son père, elle soutint juste son regard et lui lança sur un ton de défi plein d’un mélange de haine et d’amour : "Viens ! prends-moi ici, maintenant, comme une chienne, j’ai envie de ta queue raide au gland turgescent, j’ai envie que tu t’accouples avec moi". Sur ce, elle se mit à genoux et serrant fermement le membre viril de son père, entreprit une fellation digne d’une vraie pute. Jean, médusé par l’audace de sa fille, ne put réagir, il aurait voulu la repousser, lui mettre deux gifles et la punir, mais avant de pouvoir le faire, il ressentit les bienfaits de cette bonne suceuse; la sensation de cette langue, en allant et venant frénétiquement, associée à l’humidité de sa bouche avide finit de le convaincre. Il posa simplement sa main sur la tête de sa fille, lui caressant ses magnifiques cheveux longs, souples d’un noir ébène comme ceux de sa mère qui jouit encore une fois.
— Oui chérie ! Suce-moi bien, bonne petite chienne ! — Tu veux sucer hein ? Alors, tu vas tout avaler ma petite pute !!!
Jean allait venir inonder la bouche de sa fille, ses couilles énormes, pleines de sa semence se déversant, Anne pratiqua une gorge profonde pour tout avaler en regardant son père. Une trace de sperme sur sa joue, elle lui demanda de la déflorer tout de suite devant sa mère et son frère, en réponse à leurs relations sexuelles, mère fils, alors, père fille. Savoir que le gros saucisson de son père allait rentrer en elle et faire de la petite chienne une femme l’excita tellement que, sans vraie raison, elle jouit trempant ses cuisses de cyprine collante et odorante. Jean n’accédera pas à la demande de sa fille de la baiser, là, sur place, il voulait pour elle un dépucelage unforgetable, unique, en famille, et baiser sa petite chienne, montrer à maman comment sa fille jouit bien, cette salope !!!
Une semaine passa sans aucune allusion au sexe mère/fils, puis un soir, Jean attendit que son fils empale sa mère, puis entra tranquillement dans la chambre, le sexe démesurément gros, suivi de sa fille nue et visiblement excitée. Sous les yeux ébahis des deux amants surpris, ’’pris la bite dans la chatte’’. Anne prit en bouche la queue de son père et le suça divinement bien, c’est dans un râle de plaisir que quelques minutes après il éjacula rageusement dans la bouche avide de sa fille qui avala tout d’une seule traite, jusqu’à la dernière goutte. Jean plongea sa langue dans la bouche d’Anne encore pleine de son jus pour un baiser fusionnel. La mère et le fils avaient arrêté de niquer, et savouraient le magnifique spectacle : un père qui va déflorer sa fille. Suite à ce pompier magique très jouissif, le sexe du mâle mollit un peu, laissant à Jean le temps de pratiquer un cunnilingus des plus savoureux, Anne couina de plaisir comme une pucelle qu’elle était encore.
La chatte, bientôt détendue et ruisselante de mouille, elle lécha encore le membre viril pour le durcir un maximum comme une barre d’acier, elle se demanda juste comment un pieu de 23 centimètres allait rentrer dans son ventre...
Son père s’est allongé à côté d’elle, et en homme d’expérience, il a commencé par lui lécher et mordiller le lobe de l’oreille gauche, léchant son visage avec douceur et tendresse, lui disant des mots doux coquins, c‘est dans l’acte sexuel que l’on traite sa partenaire de salope et de grosse pute, pour l’instant, c’était juste le début des préliminaires.
Ses mains expertes pratiquent des caresses sensitives sur le corps parfait de la magnifique Anne, son souffle saccadé accompagné de feulements telle une tigresse annonce les prémices d’un imminent orgasme explosif, son père lui souffla à l’oreille : « Non, pas encore petite cochonne, ne jouit pas encore, retiens-toi coûte que coûte ». Un autre cunnilingus la fit quand même fondre et jouir, mais juste pour éteindre un instant le bouillonnant feu qui lui brûlait le ventre. « Papa, je te veux, baise-moi la chatte ». Ce fut juste un murmure quand les lèvres de Jean se posèrent sur les siennes, il n’avait pas avalé le jus de sa chienne et le partagea avec elle, Anne goûta pour la première fois autant de son jus mélangé à la salive paternelle.
Jean avait la ferme intention de faire l’amour à ses seins, lui offrir plusieurs orgasmes mammaires, lui donner du plaisir jusqu’à ce qu’elle demande grâce à genoux, implorant son père de la laisser reprendre son souffle et ses forces, requête à laquelle il n’aurait pas concédé, il voulait voir sa fille souffrir et mourir d’envie, un dépucelage, cela se mérite...
Les douces mains paternelles descendirent tendrement entre ses seins, puis des cercles sur les globes, avec un doigt mouillé de salive soufflant légèrement sur les tétons, déclenchant un énième orgasme sur les draps déjà généreusement souillés de plaisir de pucelle. Jean continua, prit les seins à pleine bouche, les lécha, les embrassa, les mordilla, fit rageusement virevolter la langue sur les tétons aux larges aréoles jusqu’à ce que la poitrine de sa fille soit dure, son souffle saccadé, sa tête renversée en arrière, n’ayant plus la force de crier, juste un râle animal sortait de sa gorge, et un filet de bave s’étirait jusque sur les draps qui n’étaient plus mouillés, mais trempés de ce jus innocent de fille vierge.
Après un léchage en règle sur sa poitrine gonflée par le désir et l’excitation, la langue paternelle descendit sur son ventre pour se planter comme une flèche dans son nombril, Anne se cambra, elle ne savait pas que cet endroit fut tant érogène, un léger filet de salive et une langue humide, douce et fureteuse peuvent avoir raison d’un plaisir jouissif, eux aussi. Puis, la visite guidée amena ce délicieux organe qu’est la langue sur le mont de Vénus, lieu des plaisirs les plus spectaculaires où se trouve la bouche vomissant du cratère pubien (la chatte ou vulve). Mais pour faire durer l’attente, Jean proposa à Anne un 69 des plus jouissif, il voulait encore boire goulûment, se saouler du jus de pucelle de sa fille, cyprine innocente aux prémices de l’âge adulte, nectar divin excitant les fantasmes les plus fous de la gent mâle en rut.
La belle Anne (2)Le paternel put boire encore et encore le divin breuvage cyprinique de sa fille, qui ne put arrêter de jouir comme une fontaine, durant de longues et interminables minutes, par jets puissants et saccadés. Lui aussi, finit aussi par capituler et se lâcher, sous les coups de langue envoûtants de la belle Anne, reine malgré elle, du sexe, suceuse de saucissons, avaleuse de sperme, jouisseuse fontaine du con et du cul.
Le membre imposant encore en érection, Jean se branla et jouit de nouveau sur le corps de la belle, giclant sur ses seins. Le foutre épais dégoulina paresseusement sur le ventre et entre ses cuisses avant de la déflorer, il remonta sur sa poitrine toujours dure, lui léchant les aisselles soigneusement épilées. Jean venait de faire germer dans sa tête une idée salace, cochonnerie dépassant l’entendement, et demanda à sa femme de venir offrir sa chatte à la langue de sa fille pour qu’elle ne puisse pas gémir lors du déchirement de l’hymen. Il voulait un dépucelage dans le plaisir et non dans la douleur pour atteindre directement le plaisir juste après l’intromission totale de son phallus impudique dans le vagin de sa fille. Léa enjamba Anne et lui présenta sa chatte, également parfaitement rasée, visiblement, la mère incestueuse mouillait d’excitation. Pour la première fois, elle allait se faire manger le con par sa propre fille.
Léa trouva l’idée de son mari un peu bizarre, mais excitante et créative, Anne n’émit aucune objection, et s’attela à lécher et à sucer sa mère comme une morte de faim. Léa finit d’être convaincue du bien-fondé de cette pratique, quand la langue, douce, agile, chaude et humide de sa fille commença son œuvre lesbienne.
La journée était bien avancée, les chauds rayons du soleil déclinant à l’horizon laissaient passer une lumière filtrée et tamisée, c’était l’instant idéal pour Jean, son gros sexe tendu, bien raide, s’approcha de la fente sa fille qui continuait à manger Léa qui n’arrêtait pas de jouir, enchaînant orgasme sur orgasme, et posa délicatement son gland au bord des lèvres vulvaires externes, le faisant jouer le long de la fente de cette petite salope, du clitoris jusqu’à l’anus en insistant sur le périnée, rien que ce contact la fit mouiller terriblement, deux pouces délicats ouvrirent l’entrée de ce temple, antre chaud et humide, serrée encore inviolée, la grosse matraque pénétra de quelques centimètres, jusqu’à entrer en contact avec l’hymen.
Jean fit un signe à Léa qui pressa fortement la tête de sa fille contre sa chatte, le père mit un petit coup de reins déchirant la fine membrane, pas un seul cri, pas un frisson, pas une tension; juste un cri libérateur, résultant d’un intense orgasme. La vulve rouge, cramoisie, écartée semblait prête à se déchirer, le clito rougi pressé vers le haut de la fente, laissant le passage à l’énorme sexe paternel, excita Jean et Léa qui eurent une éjaculation simultanée, remplissant la bouche et le ventre de la petite pute en délire.
Passé le sphincter, le gland proéminent de la grosse bite s’enfonça lentement dans ce con vierge; Anne sentit bien ce gros serpent prendre possession de son fourreau vaginal jusqu’à la garde, les grosses couilles dures accolées à ses fesses, puis un sentiment de plénitudes l’envahit en avançant sa chatte à la rencontre de la verge paternelle, chaque fois que celle-ci rentrait dans le conduit de cette petite chienne en chaleur, le gland s’écrasait au fond de son vagin contre la matrice utérine, trouvant bien vite le fameux point G déclenchant un énième orgasme jouissif. Léa, ayant joui très fort sans la bouche de sa fille lui laissa alors la liberté de hurler son plaisir, le feulement de tigresse se transforma bien vite en un cri bestial, un volcan de cyprine envahit son vagin et suinta sur ses cuisses, inondant la grosse queue au passage malgré le remplissage de sa fente par le diamètre de l’imposant sexe qui jointait ses lèvres vulvaires tendues.
La position du missionnaire est conseillée pour défoncer une chatte neuve très confortable, et permettant une liberté de mouvement avec les mains libres, ce qui permit à Jean un pelotage mammaire pendant toute la durée de l’acte de l’accouplement, avec cette salope invétérée qui en redemandait malgré son épuisement manifeste. Jean sortit de ce temple de jouissance, vomissant un mélange de liquides séminaux, laissant un vide abyssal dans ce con de grosse pute, puis replongea sans vergogne pour un va-et-vient bestial, avec un gros doigt planté dans le cul de cette salope, le plus profondément possible, mélange de haine et d’amour, fondement même de la baise pure, où on entendit les burnes claquer sur le cul de la belle avec la précision d’un métronome. C’est d’un père en sueur que vient l’orgasme final, dans un grognement tonitruant il se lâcha, vidant une grande quantité de sperme dans le ventre de la putain.
Orgasmes vaginaux, clitoridiens, vulvaires, tous avaient leurs doses. Jean décida de continuer le défonçage du cul le lendemain, Anne n’était plus qu’un pantin désarticulé, il l’a préférée vivante et vibrante, capable de ressentir entièrement toutes les sensations de son passage de pucelle cochonne à chienne salope. Elle était allongée dans une position indécente, la chatte débordante de fluides blancs et poisseux, témoin d’une fornication intensive. Repue, vidé, la vulve ouverte comme une bouche de métro, elle dormira 12 heures durant, non-stop.
Jean aussi, avait besoin de dormir alors que Léa et Bruno ont recommencé à baiser sur le lit à côté, et ils vont tringler une partie de la nuit, excités d’avoir vu Anne, cette salope, se faire dépuceler par le père, et Bruno comptait bien se faire sa sœur, comme il se faisait sa mère. Demain, tous les deux allaient pouvoir jouir en regardant un père enculer sa fille, salope hors pair qui allait sûrement en redemander, et après le père, le fils et sa mère jouiraient aussi avec elle.
Anne se leva en fin de matinée, encore toute collante de sa jouissance de la veille, une douche s’imposait avec la présence de Jean dont la queue se redressait déjà, il pratiquera un lavement anal après la douche, avant la sodomie, pour pouvoir lui manger le cul et la prendre dans un environnement propre, elle allait aussi sucer la bite paternelle après un bon enculage plein de foutre. Elle savait qu’elle allait encore aimer cette queue lui prenant l’anus et lui écartelant la rondelle, et lécher ensuite cette bite avec délices, goulûment, aspirant le sperme jusqu’à la dernière goutte. Mais avant, une séance de préliminaires longs, affûtant le plaisir et l’excitation, indispensables à l’orgasme absolu, où le temps s’arrête alors que les plaisirs augmentent jusqu’aux déferlantes jouisseuses.
Léa, en bonne cochonne qui se respecte, avait fait un repas commençant par une salade à la sauce cyprinique et au sperme bien gluant, recette de famille, puis un gratin de moules et pour le dessert une bonne fellation pour les femmes, et un excellent cunni bien mouillé pour les hommes. Le clou du repas, un punch alcoolisé, avec un ingrédient spécial, une pincée de poudre de couille séchée de renard, c’est le seul aphrodisiaque connu qui marche vraiment, mais il faut trouver un renard mâle...
Deux heures durant; Jean et sa chérie de fille vont se faire du bien, caresses, bisous pleine bouche, léchages en tout genre, tétées de seins, gammelages de chatte. L’ordre du jour, c’était une sodomie douce, dans les règles de l’art, suivie d’un accouplement vaginal, et enfin un enculage plus musclé dans un cul déjà bien défoncé. Jean commença par lécher le cul de sa chienne, écartant les chairs rectales de ses deux mains, enfonçant sa langue loin dans l’anus; remplacée par un, puis deux doigts, fouillant le fondement de ce trou propre et accueillant. Il demanda à Anne de se mettre à genoux sur le lit, la tête posée à plat sur le matelas, pour montrer son cul et offrir son trou à son géniteur, Anne s’exécuta avec empressement; de ses deux mains écarta le plus possible ses fesses, offrant ce trou brun à la belle rondelle rose à la bite veinée et tendu qui allait lui viander l’anus, mais toujours avec douceur, pour la première fois.
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