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La belle aux bois baisant

Chapitre 1

Exhibe dans les bois

Voyeur / Exhibition
Jessica aimait le sexe, qu’il soit réel ou virtuel... Bien sûr, rien ne remplacera jamais une bonne bite, mis à part un gode ! Elle avait déjà essayé les deux, et les appréciait l’un comme l’autre !
Elle avait l’habitude de discuter sur Messenger de sujets érotiques ; elle aimait s’exciter par ce biais... Au fil des discussions vint la question qui tue : « Qui a déjà osé faire ça dehors ? Baiser, s’exhiber, ou tout simplement se masturber ?! »
Elle ne l’avait jamais fait ; elle trouvait cela trop risqué. Trop peur que quelqu’un la surprenne, même si elle se disait que le risque était moindre du fait d’être une femme. Si une femme était découverte, les gens seraient moins critiques, deviendraient même voyeurs. Alors que si c’était un homme, il serait traité de pervers !
En tout cas, un internaute lui avait mis cette putain d’idée dans la tête, et pas moyen de la virer ! Elle n’en dormait plus. Une petite voix ne cessait de lui répéter de le faire, de sortir et de trouver un petit coin tranquille... Elle décida donc de satisfaire son envie !
Le samedi suivant, elle prit sa voiture pour aller se balader « en toute innocence » dans un bois voisin, le bois de la Biche.
Il faisait chaud ; c’était l’été. Elle portait donc une petite robe dite « d’été », sans soutif, mais avait quand même gardé sa culotte, n’ayant pas l’habitude de se balader sans rien dessous, de peur que le vent fasse découvrir aux promeneurs sa nudité.
Elle se gara sur le parking du bois de la Biche. Il y avait déjà quelques voitures stationnées : cela voulait donc dire qu’il y avait des promeneurs... Quel serait le risque s’il n’y avait personne ? Cela aurait été trop facile... Par contre, elle avait la boule au ventre : c’était la première fois qu’elle tentait ce genre d’expérience. Elle resta un long moment dans sa voiture à essayer de se motiver, de franchir le pas...
Enfin, elle se décida à sortir, toute tremblante. En descendant de son véhicule, elle regarda ses petites sandales à talons puis regarda le sol caillouteux, irrégulier. Marcher sur un tel chemin ne serait pas simple. De toute façon, elle n’aurait pas pu mettre ses grosses chaussures de marche avec sa petite robe bleue. Elle emprunta enfin le petit sentier qui s’enfonçait dans le bois...
Au bout de quelques minutes, elle croisa un couple de retraités. Ils lui firent un signe de la tête, comme pour dire bonjour. Le regard du monsieur se fixa aussitôt sur sa poitrine, sur ses tétons qui dansaient la samba au gré du sol caillouteux, sur ses seins se devinant facilement sous le tissu léger...
Le regard mal placé de l’homme la mit dans tous ses états. Ses tétons en devinrent tout durs et son intimité se réveilla... Difficile de cacher un début d’excitation. Elle avait vraiment hâte de trouver un coin tranquille et de pouvoir se toucher, se caresser. En même temps, elle avait peur que quelqu’un la surprenne.
Elle sentit le regard du monsieur sur ses fesses qui, elles aussi, se dandinaient de gauche à droite. Sa femme le reprit en le bousculant par l’épaule. Si elle avait osé ne rien mettre en dessous, ses fesses se seraient encore mieux devinées au travers de la robe... C’était décidé, elle enlèverait sa culotte dès qu’elle serait seule ! Se mettrait presque à nu...
Le risque étant trop grand de le faire sur le chemin principal, elle emprunta un petit chemin qui s’enfonçait dans la forêt... Cette fois-ci, elle était vraiment seule ; aucun bruit : ni oiseau, ni branche cassée indiquant la présence de promeneurs... Elle était isolée.
Elle s’adossa contre un arbre et commença à se caresser le corps au travers du tissu, mais il était encore trop tôt pour se déshabiller. Pour s’aider à trouver l’excitation nécessaire, elle pensa à l’un de ses fantasmes favoris : être prise par plusieurs hommes, des voyeurs sortis des buissons, la bite à l’air.

Elle se caressait les seins, les pressait, titillant ses tétons durs au travers du tissu... L’excitation était bien là... Sa main descendit tout doucement vers le bas, vers son intimité... Elle souleva la robe et appliqua ses doigts contre sa vulve qui semblait déjà bien humide...
Tout en faisant ses caresses intimes, elle n’oubliait pas de jeter quelques regards autour d’elle pour se rassurer... Elle continua de frotter le tissu de sa culotte contre ses lèvres... sentant sa vulve coller contre son dessous...
Il n’y avait que des arbres autour d’elle, personne en vue. Elle se dit qu’il était temps de passer à l’étape suivante. Elle tira le tissu de sa culotte pour libérer son abricot et être directement en contact. Elle libéra également ses gros seins en défaisant les boutons de sa robe...
Ses seins virevoltaient librement dans la paume de ses mains... Elle commençait vraiment à aimer ce moment intense, aux portes du 7e ciel... D’un geste, elle baissa sa culotte et la laissa tomber au sol...
Elle sembla apprécier cette sensation toute nouvelle, être dans un bois, son minou et ses seins à l’air, au risque d’être surprise, presque toute nue... même si l’accélération de son cœur semblait lui dire le contraire. Malgré tout, elle était en pleine excitation montante, elle commençait à bien mouiller.
Soudain, elle entendit un bruit de branches cassées... Son sang ne fit qu’un tour, elle eut tout juste le temps d’aller se cacher derrière un gros chêne. Une forme humaine sortit des fourrés : un homme, un promeneur !
— Bizarre, j’ai cru entendre un bruit de branches ? fit une voix d’homme...
Jessica était totalement effrayée ; elle en arrêta de respirer, priant pour que cet homme ne la découvre pas... Son cœur battait à plein...
— Que fait cette culotte en pleine forêt ? continua la voix. Elle ne semble pas vieille, voire même toute fraîche... Il y a forcément une femme ici...
Jessica était prostrée derrière son arbre, elle n’osait tourner la tête pour voir l’inconnu... Elle voulait juste qu’il parte, qu’il ne la découvre pas...
Tout en reniflant la culotte, il sortit son sexe pour se branler...
— La vache, cette odeur de femelle en chaleur... ça me fait bander !
Il commença à regarder autour de lui et se mit à parler fort :
— Madame, sortez de votre cachette, je ne vous veux aucun mal... juste voir votre chatte... Moi aussi, j’aime me branler en forêt...
Elle se dit que cet homme devait être un habitué de la branlette en pleine nature... Il ne semblait pas avoir peur d’avoir la bite à l’air.
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