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Ma belle-sœur Christine

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Tout jeune adulte, j’allais régulièrement chez mon frère pour bricoler avec lui. Il a 15 ans de plus que moi et était marié à Christine, une splendide femme d’une trentaine d’années.J’étais toujours très content lorsqu’il me proposait un weekend chez lui car je savais que j’allais satisfaire mes yeux et agrémenter mes pensées pour mes séances masturbatoires.En effet, lui et sa femme faisaient du naturisme aussi bien chez eux, sur la plage ou dans des camps spécifiques.Elle a été la première femme que j’ai vue nue en réel. Elle avait un corps toujours magnifiquement bronzé, des formes parfaitement proportionnées et un pubis doté de poils foncés, bien fourni mais très bien entretenu (et oui, la mode du tout rasé n’était pas encore apparue, c’est d’ailleurs cette vision qui a forgé mes gouts pour les pubis recouverts d’un minimum de poils bien découpés)La première fois où cela s’est passé, j’ai passé mon temps à mater et tenter de la regarder sous tous les angles sans qu’elle s’en aperçoive. Aujourd’hui, avec le recul, je pense qu’elle savait très bien l’effet qu’elle avait sur moi et mon éducation sexuelle.
La première histoire autre que le simple fait de la voir nue s’est déroulé un weekend où nous étions en train de bricoler.Au cours de l’après-midi, mon frère m’a demandé d’aller lui chercher une rallonge électrique dans un débarras. J’ai eu beau chercher mais je n’ai pas trouvé cette fameuse rallonge. Je lui crie donc :
— Je ne la trouve pas, elle ne doit pas y être— Alors demande à Christine elle doit savoir où elle l’a rangé
Quelle belle aubaine ! Je n’ai pas attendu longtemps pour me retrouver dehors à côté d’elle pour lui poser la question. Comme d’habitude, elle se faisait bronzer nue sur la terrasse Cachée derrière ses lunettes de soleil, je ne voyais pas si elle me regardait, je n’ai pas pu regarder ailleurs que ses seins et son sexe.Vu de ma hauteur c’était très excitant. Ses seins formaient deux demi-sphères parfaitement formés, ni trop petits, ni trop importants, bien séparés et se terminaient par des mamelons d’un rose tendre que j’aurais bien voulu toucher, de son pubis je ne voyais qu’une toison très brune et je cherchais toujours à voir plus Finalement elle finit par se lever pour aller voir elle-même. Le mouvement a fait bouger ses seins qui la rendaient encore plus désirable.Je l’ai suivi dans le fameux débarras et elle a commencé à chercher sur un étal qui contenait beaucoup de bazar aussi bien dessus que dessous.Elle me dit :
— Cherche en dessous pendant que je regarde au-dessus
Je ne pouvais pas avoir un meilleur angle de vu, je bougeais sans même regarder quelques affaires mais je n’avais d’yeux que sur ce sexe presque à hauteur de mon nez. J’imaginais lui passer la main, la lécher. Comme elle bougeait de droite à gauche, les pas qu’elles faisaient me permettaient d’avoir une vue plus intéressante sur ses lèvres, mais à chaque fois cela se refermait. C’était la première fois que j’arrivais à apercevoir un peu plus de son intimité. Cette situation a duré 5 minutes jusqu’à qu’elle se souvienne où elle avait rangé la rallonge.Ces images m’ont servi pour de multiples séances masturbatoires à tel point que je n’avais plus besoin de revue porno pendant longtemps. A cette période il n’y avait pas internet ni de smartphone.La deuxième histoire est plus importante. Lors d’un weekend identique aux autres, mon frère a été appelé pour une astreinte professionnelle le samedi midi. L’après-midi étant ensoleillé, Christine me dit :
— Tu vas faire quoi du coup, moi je vais bronzer dehors comme d’habitude
— Je ne sais pas trop, lui répondis-je— Si tu veux, tu prends un livre et tu viens avec moi— D’accord si ça ne te dérange pas— Pourquoi veux-tu que ça me dérange tu as l’habitude de me voir nue ?
Dès le début d’après-midi, je vis Christine aller dans sa chambre se déshabiller. Elle a ensuite passé de l’huile sur le corps rapidement avant de sortir.
— Je suis prête, tu viens ?
Encore complexé à mon âge je suis sorti derrière elle après avoir enfilé un maillot de bain. Je suivais des yeux ce corps nu avec ces fesses bien galbées. J’ai rapidement commencé à sentir une réaction dans mon maillot que j’essayais de maitriser.
— Si tu veux tu peux te mettre tout nu, personne à part moi peut nous voir me dit-elle avec un petit sourire gentil— Je veux bien mais j’ai un peu peur de mes réactions je me suis surpris moi-même d’avoir sorti une telle phrase, j’ai eu très peur et je n’osais plus la regarder.— Il n’y a que moi, alors si tu as une érection ça ne pourra gêner que moi, et ce n’est pas le cas, c’est naturel, tu es jeune
Époustouflé et soulagé par son naturel sur la question, j’ai continué à dévoiler petit à petit mes pensées.
— Ah bon !, parce que tu sais que depuis que je te vois nue, tout cela ne me laisse pas indifférent, tu es très belle— Je sais bien, tu crois que je n’ai pas vu tes regards insistants ? Je suis flattée que tu me trouves belle et je sais qu’à ton âgé le corps d’une femme est encore à découvrir ! Tu en as vu beaucoup de femmes nues en vrai ?— Non tu es la première en vrai et ça change des revues— En quoi ça change— Ben déjà tu es plus naturelle que ces mannequins qui posent, et en plus je te vois vivre, bouger, tu comprends ?— Oui très bien
Allongée sur le dos, elle se relève sur ses coudes et bouge les épaules pour secouer ses seins
— Comme ça tu veux dire
Je devais avoir une de ces têtes en fixant ces magnifiques seins bougés ainsi, car elle a rigolé et m’a dit
— Ferme ta bouche !
puis
— Bon tu vois, pas de problème entre nous, tu peux te mettre à l’aise si tu en as envie et elle s’allonge à nouveau en mettant un bras sur ses yeux pour se cacher du soleil.
J’étais forcément déjà en érection mais comme elle ne regardait pas j’ai vite retiré mon maillot et me suis allongé sur le ventre.J’avais, bien sûr fait attention à poser ma tête tournée vers elle pour ne rien rater du spectacle offert.Concentré sur cette vision, je n’avais pas remarqué qu’elle avait retiré son bras et me voyait donc la mater.
— Tu vas te faire mal aux yeux tu sais, que regardes tu comme ça ?— Excuse-moi, je ne peux pas m’empêcher— Ça te donne une érection ?— Oh oui tu es tellement belle.— Tu as déjà touché le corps d’une femme ?— Tu es la seule que je vois nue en réel alors je ne vois pas comment j’aurai pu en toucher une lui répondis-je entre l’agacement croyant qu’elle se moquait de moi et de mon l’excitation.— Oui tu as raison, si tu veux et si tu respectes mes limites, je veux bien répondre à toutes tes questions sur le corps d’une femme, ses réactions, ce qu’il faut faire pour lui faire plaisir— Ah bon !!! Et tu me laisserais toucher ?— Ça dépend, on verra si je sens que c’est nécessaire, si j’en ai envie...
Toute cette discussion n’était pas pour me faire débander, j’en avais mal et je commençais à bouger sur mon transat toujours sur le ventre.
— Commence par te retourner plutôt que d’écraser ce pauvre petit qui semble bien raide
Etant très pudique, personne ne m’a vu dans mon état actuel j’hésitais un peu mais enfin pour me soulager je me retourne et lui laisse découvrir mon sexe dur comme du bois et la tête bien en l’air
— Ben voilà, tu bandes c’est naturel et tant mieux pour toi, sinon faudrait s’inquiéter, en plus tu as ce qu’il faut cela me rassura sur mes dimensions— Merci Christine, si j’imaginais qu’un jour j’aurais cette discussion avec toi... J’espère que ce n’est pas un rêve
Elle ne dit pas un mot, s’assied sur son transat tourné vers moi, prends ma main gauche et la pause sur son sein droit.Je ne savais plus quoi dire ni quoi faire.
— Alors c’est un rêve ou la réalité ?
J’ai juste bafouillé "réel"Et elle commença à m’expliquer en se rallongeant:
— Tu vois les seins sont très sensibles aux caresses, mais attention il faut être doux avec eux. Les tétons sont la partie la plus érogène, si tu les caresses et les titilles doucement ils bandent eux aussi comme ton zizi en ce moment. Tu sens comme ils se contractent sous tes doigts ?— Oui c’est agréable et très bandant— Je suppose qu’à ton âge tu sais te masturber ?— Euh..... Ben oui pourquoi— Tu ne vas pas rester toute l’après-midi comme ça, c’est très agréable de se faire plaisir au soleil, tu peux te masturber si tu veux
Je ne me suis pas fait prier, même si j’avais un peu honte, il fallait que je caresse ce membre qui me faisait mal.Elle avait lâché ma main et je pouvais donc m’affairer seul sur son sein. Je n’étais pas du tout à l’aise, je ne savais pas comment m’y prendre. Au début je malaxai doucement ce sein, c’était très agréable, mou et ferme à la fois. Comme je le tenais à pleine main je sentais le téton gonfler dans le creux de ma paume. Je tentais alors de m’attaquer à eux comme elle me l’avait si bien expliqué un peu avant. Avec un doigt, je commençais à tourner autour du téton en jouant un peu avec, il a alors continué à se gonfler exactement comme mon sexe lorsque je suis hyper excité. Je l’ai pris entre deux doigts et l’ai fait tourner doucement. Christine s’est mise à gémir plus clairement, j’ai eu l’impression qu’elle était prête à jouir. Elle aimait ça car j’ai vu ses genoux se décoller légèrement et je sentais que ça lui donnait des sensations agréables.Plus je la caressais plus elle écartait les cuisses, elle finit même par glisser sa main droite et se caresser tout en douceur le sexe.
— Tu vois moi aussi je me masturbe de temps en temps, et j’aime ça— Je vois bien oui, ça donne envie— Envie de quoi ?— Envie que ce soit ma main— D’accord, j’avoue que tout ça m’a aussi fortement excité, je te propose donc qu’on se masturbe mutuellement. Mais je veux que ce soit doux et long.— Oh oui, personne d’autre que moi n’a jamais touché mon sexe !
Elle s’allongea à nouveau, jambes bien étirées et écartées sur le transat. Elle me proposa de m’asseoir pour être à ses côtés et pouvoir la toucher. Je m’exécutais et commençais par caresser ses seins doucement délicatement.Elle prit une de mes mains qu’elle amena sur son bas ventre et la lâcha, puis avec son autre main me pris le sexe et le décalotta.Livré à moi-même, j’ai décidé de me lancer : les poils du pubis étaient doux, j’ai continué mon exploration en descendant vers la vulve et en suivant le sillon de ses lèvres que je sentais sous mes doigts ; l’un de mes doigts rencontra un endroit plus humide, c’était l’entrée de sa grotte. Je n’osais pas aller plus loinElle bougea alors le bassin qui eut pour effet de faire rentrer un doigt dans son vagin. C’est trempé et chaud, hyper bandant, je la regarder avec plaisir se tordre dans tous les sens et gémir doucement.Pendant ce temps elle avait pris mon engin entre le pouce et deux doigts et imprimait un va-et-vient doux et régulier, c’était la première fois qu’une main étrangère me touchait ainsi et c’était beaucoup plus agréable que mes masturbations, je sentais que Christine avait l’expérience. Sentant que j’allais exploser, j’abandonnais son sexe, je fermais les yeux, tous mes muscles contractés à la limite de la douleur, le plaisir explosa, j’éjaculais d’une grande force sur son ventre et même plus loin par terre. Je n’avais jamais joui ainsi, c’était inimaginable.
Surprise elle s’arrêta et releva la tête, "et ben quel orgasme", je rouvris les yeux et pu voir son ventre maculé de mon sperme, des sentiments contradictoires m’agitaient : confus d’avoir joui si vite sous les doigts d’une femme et d’avoir aspergé son ventre, mais aussi content d’une telle jouissance à l’air libre et au soleil, deux expériences nouvelles.Au bout de quelques minutes elle me dit "et en plus tu ne débandes même pas !"Toujours un peu gêné de son regard sur mon corps nu en érection et pour me donner une certaine contenance, je proposais d’aller chercher de l’essuie-tout pour éponger. Je me suis levé (encore une expérience nouvelle, je ne me suis jamais promené nu dehors, qui plus est le sexe en l’air, et encore sous le regard d’une femme qui, j’imaginai dans ma tête, me désirait), des sentiments contradictoires m’habitaient : gène qu’elle me voit ainsi mais aussi liberté et exaltation De retour je me suis appliqué à lui enlever tout ce foutre sur le ventre et j’en ai profité pour passer sur ses seins même s’ils n’avaient rien reçu.La suite à venir
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