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Ma belle-sœur Christine

Chapitre 2

suite de mon éducation

Voyeur / Exhibition
Mes caresses cachées derrière la toilette rapide que je faisais de son magnifique corps nu semblaient être appréciées.
— Humm j’aime bien, tu es doux et attentionné, continue, j’ai envie de jouir et de profiter aussi à mon tour, ça ne te gêne pas ? Commence à me caresser doucement comme tu le faisais tout à l’heure.
Ses paroles m’avaient une nouvelle fois excité et mon érection était restée intacte.J’ai pris un peu d’huile et j’ai commencé à l’étaler sur tout son corps, je me sentais plus sûr de moi et n’hésitais plus à explorer tous les recoins de son corps.J’ai repris là où je m’étais arrêté sur ses seins. Ses tétons n’avaient pas débandé, j’ai eu une envie soudaine de les téter. Ils étaient tellement gros que je les ai facilement attrapés entre mes lèvres. Je ne savais pas s’il fallait aspirer, lécher... J’ai commencé par téter doucement, elle avait fermé les yeux et gémissait toujours. J’ai donc ensuite essayé avec la langue. Je ne m’étais pas rendu compte mais elle avait de nouveau descendu sa main entre ses cuisses et je la voyais jouer avec son clito de plus en plus rapidement. Ses saccades donnaient à son corps une ondulation magnifique et excitante. Je sentais mon sexe tendu à nouveau à son maximum. Je voyais qu’elle était prête et allait bientôt jouir. J’allais voir une femme avoir un orgasme de si près avec ses seins dans mes mains et ma bouche ! Elle ne put s’empêcher de crier, son corps tremblait de bien-être, sa respiration s’accéléra les muscles de son ventre eurent des spasmes, de la sueur perlait sur sa peau hâlée, les poils noirs non cachés de son sexe scintillaient de perle de sueur quel spectacle, quelle expérience, quel après-midi !
Je la laissais reprendre ses esprits sans lâcher ses seins que j’adorais toucher, je continuais à la caresser tendrement et jouer avec ses tétons toujours tendus.Je sentais son corps se détendre doucement elle respirait à nouveau plus doucement et elle rouvrit les yeux.
— C’était très bon, me dit-elle, mais je me suis laissée aller, excuse-moi— Je peux te dire que je n’en ai pas raté une miette, c’est la première fois que je vois une femme se masturber et surtout jouir, j’ai senti toutes les vibrations de ton corps, c’était hyper excitant.— Je vois ça, tu n’es pas rassasié !— L’occasion est trop belle, j’ai encore beaucoup à apprendre sur le corps d’une femme, j’aimerais réussir à te faire jouir moi-même— Il va falloir que tu sois patient et me laisser un peu de temps.
Sur ces paroles chacun reprit sa place sous le soleil et elle finit par s’assoupir.J’ouvre les yeux et m’aperçois que je l’ai suivi de peu en m’endormant à ses côtés.Quelques minutes plus tard, elle se lève :
— Bon, je vais prendre une douche
Elle a laissé la porte de la salle de bains ouverte, maintenant on n’a plus rien à se cacher.La cabine de douche est grande et large avec deux portes vitrées. Elle commence à faire couler l’eau et se prélasse dessous. Je reste en arrêt devant ce spectacle magnifique, l’eau s’écoule tout le long de son corps, glisse sur ses seins, rend sa peau brillante, arrive sur les poils de son pubis, pénètre à l’intérieur et longe ses lèvres. Elle reste longtemps face à moi, les yeux fermés en passant les mains dans ses cheveux. La position de ses bras levés donne du volume et une forme différence à ses seins.
Quand elle rouvre les yeux elle me voit là, planté bouche ouverte et un regard insistant sur ses parties intimes. Cela la fait sourire et attend que je revienne sur terre pour me dire :
— Tu vas t’en remettre ? Tu connais mon corps pourtant maintenant ! — Oui mais cette vue est différente de celle que j’avais lorsque tu étais allongée, tu es magnifique— Merci, je vois que c’est sincère, vu la réaction plus bas, dit-elle en riant franchement— Mais tu as pris un coup de soleil, c’est vrai que tu n’as pas mis de crème, viens me rejoindre, je vais te laver et je te passerai de l’après-soleil ensuite
J’ouvre une porte et la rejoins dans cette grande douche où l’on tient aisément à deux.Au début je n’ose rien faire, elle me laisse la place sous la douche centrale. Je m’avance donc pour profiter du bienfait de l’eau sur ma peau. Je m’aperçois que juste en face de la douche il y a une grande glace dans laquelle on peut se voir entièrement. Christine profite de ce moment pour prendre du gel douche et se frotter le corps, tout le corps. Evidemment le passage sur ses seins me fait de nouveau accélérer mon rythme cardiaque, elle ne prête pas attention à moi et sa lave tout naturellement. Mon sexe est toujours au garde à vous et ce n’est pas le passage entre ses cuisses qui vont me faire diminuer cette tension.Elle finit par se tourner vers moi toute savonneuse et me regarde en me disant :
— Je suis flattée par tant d’ardeur !
Elle ne restait pas indifférente à mon état et je pense que cela avait pour effet de l’exciter encore.J’adorai regarder ce corps à mes côtés, rempli de savon. Elle me poussa légèrement pour se mettre sous le jet de la douche qui coulait toujours. Je me retrouvais derrière elle mais j’avais une vue parfaite de son corps dans la glace en face. Elle commença par se rincer les cheveux et pour cela leva les bras. Un réflexe non maitrisé me fit attraper ses deux superbes seins par-derrière. Je les malaxais délicatement et jouais avec ses mamelons qui réagirent immédiatement. Elle se laissa faire sans aucune retenue je sentis qu’elle appréciait ces caresses, et se laissa appuyer en arrière en emprisonnant mon sexe avec ses fesses.Je caressais toujours ses seins mais libérais une main pour descendre sur son ventre. Elle ouvrit tout de suite légèrement les jambes comme une invitation flagrante. Je passai donc mes doigts le long de ses lèvres et je sentis son plaisir monter rapidement. Je n’avais pas envie qu’elle jouisse trop vite alors je remontais régulièrement mes mains sur son ventre à la limite de son mont de Vénus.D’un coup j’eus l’idée de jouer avec mon sexe qui appelait au secours. J’appuyai alors dessus pour le baisser et le passer entre ses cuisses. Je glissais parfaitement entre la raie de ses fesses et le bas de ses grandes lèvres. J’ai eu une sensation nouvelle qui me donnait l’impression de lui faire l’amour. Jamais mon sexe n’est rentré dans le vagin d’une femme. C’était exceptionnel bien que je sois encore en dehors. Christine a d’abord été surprise mais a ensuite compris le jeu. Elle a glissé une main entre ses cuisses et a commencé à glisser le long de son sexe en passant sur le clito. Je me suis arrangé pour synchroniser mes mouvements avec les mouvements de sa main pour qu’au moment où elle arrive en bas de ce sexe trempé, elle trouve le bout de mon gland et le caresse doucement.
Quelques allers-retours plus tard, elle a commencé à gémir, à attraper mon cou avec sa main gauche tout en continuant à nous caresser de la main droite. Je ressentais tout de son orgasme, cela m’a fait éjaculer d’une force extrême encore une fois dans sa main. Je continuai mes allers retour dans ses fentes qui m’ont fait jaillir de multiples jets de sperme. Elle continuait à jouir en étalant ce sperme sur son corps jusque sur ses seins. J’ai eu l’impression que cette nouvelle jouissance avait duré de longues minutes. Mon sexe coincé entre ses cuisses se dégonflait en douceur mais je n’arrêtais de lui caresser les seins. La position debout donnait à ces caresses une tout autre sensation que lorsque je la touchais allongée.Nous sommes ensuite sortis de la douche, elle a passé une robe de chambre courte et très légère qui la rendait très sexy et cachait plus ou moins son anatomie :
— Allez, viens que je t’enduise (je n’en espérais pas tant)
Elle déposa de la crème sur les bras puis sur le torse et l’étala avec délicatesse, sciemment elle s’attarda sur mes mamelons qui, à ma grande surprise se dressèrent un peu comme ceux de Christine.Puis ce fut au tour de mon ventre, et bien sûr, ces caresses commencèrent à me faire de l’effet et il commença à gonfler et à se redresser, d’autant plus que j’avais une vue sur les seins de Christine très peu cachés par son vêtement.
— Il est increvable, me dit-elle tout en rigolant et en prenant d’une main mes deux noix et en soupesant l’ensemble comme si elle voulait en évaluer le poids
Elle se mit à genoux (j’ai cru un instant qu’elle allait me sucer) et s’attaqua ensuite aux cuisses en insistant sur l’intérieur : très agréable caresse. Elle connaissait bien les points sensibles d’un corps masculin. Puis ce fut le tour de mon dos, et là surprise, elle passa la main entre mes cuisses, comme je lui avais fait mon sexe dans la douche et caresse le périnée, passa sur la fente de mes fesses plusieurs fois et enfin prit à pleine main mes deux billes, les tritura, les massa, et de l’autre main elle emprisonna ma queue et la branla de façon énergique. J’étais à l’écoute de mon corps et je découvris des endroits érogènes que je ne soupçonnais pas.Soudain un brut de moteur,
— La récréation est finie, il va falloir que tu ailles t’habiller, le frangin revient.
Quelle frustration, quelle déception, j’espérais découvrir encore une autre façon de jouir. Heureusement la soirée fut très agréable, Christine ne s’étant pas rhabillée, nous (mon frère et moi) pouvions découvrir de temps en temps un petit bout de sein ou quelques poils pubiens. Pas de quoi calmer mon excitation.Je m’octroyais donc avant de me coucher une belle branlette en me massant les testicules comme Christine avait commencé à le faire et en rêvant de son corps. Cela calma ma tension, mais je restais sur ma faim.Le lendemain matin, mon frère m’annonça qu’il devait aller remplacer un confrère malade, donc il ne serait pas là l’après-midi.
— Tu veux que je te reconduise ou tu restes là
Je répondis un peu vite
— Je reste— Je m’en doutais, dit-il avec un air mi-narquois, mi-amusé.
Christine lui a-t-elle parlé de nos exploits d’hier ? Si c’était le cas, ça n’avait pas l’air de le gêner.A ce moment elle entra et je fus ébloui : qu’elle était belle : elle portait un short blanc, très court qui arrivait à ras du pli des fesses, un tee-shirt noir sans manches ; ainsi son bronzage resplendissait, son postérieur et ses cuisses étaient mis en valeur, quant aux seins ils étaient divins vus ainsi. Je m’imaginais ses dessous : pas de trace de culotte, donc un joli string blanc en dentelle contrastant avec son duvet foncé, avec une petite ficelle séparant ses deux zones, un soutien-gorge noir gonflant ses seins.
— Allo la terre, ici la lune, tellement obnubilé par sa beauté que je n’avais pas entendu sa question :— Que fais-tu cet après-midi, tu restes ou tu rentres— Ben, je reste, m’entendis-je bredouiller.
Ils se regardèrent tous les deux d’un air amusé comme si la réponse était évidente.Le diner, préparé ensemble sous la direction de Christine fut excellent, en plus de sa beauté, ses talents de cuisinière n’étaient plus à prouver.Mon frère parti, elle me dit :
— Il fait trop chaud pour aller se bronzer et avec ton coup de soleil d’hier, tu veux faire quoi ? As-tu encore des désirs par rapport à hier ou autre chose— Oui, j’aimerai savoir si tu en as parlé au frangin de ce que nous avons fait hier— Bien sûr que oui, si tu veux qu’un couple dure, elle se mit à rire, il ne faut rien se cacher— Et alors ? — Alors rien : il m’a dit que j’avais bien fait, qu’il aurait surement bien aimé qu’à ton âge une femme le déniaise, et qu’il fallait me faire plaisir, ne pas faire si cela me déplaisait.
Je fus abasourdi par cette réponse, ne sachant pas qu’il était aussi libre sur le plan sexuel.
— Et lui, il va voir ailleurs ? Tout en pensant que tout cela lui avait plu.— Ben non, tu n’as pas bien vu, il a tout ce qu’il faut à la maison et elle sourit.— Bon alors que veux-tu ? — J’aimerai bien continuer la séance d’hier— Oui, mais quoi— Te regarder le sexe pendant que tu te masturbes, voir comment il réagit, etc... — Ah oui, pas évident, laisse-moi un peu réfléchir, je te donne une réponse dans quelques instants. Si c’est non, tu ne m’en voudras pas. — Non, et j’osais lui répondre : je te demanderais autre chose moins difficile— Elle s’esclaffa de rire— Mais quel culot, il a maintenant— Elle sortit et je l’entendis s’affairer dans la salle de bain.— Que me prépare-t-elle ?
Mon esprit s’échauffait et échafaudait milles scénarios. Je m’attendais à la voir apparaitre dans un déshabillé vaporeux en string ou nue...
— Allez, viens dans la chambre
Quelle surprise, elle savait vraiment m’exciter : nue sur le lit, jambe écartée, une vue sur son sexe comme je n’avais jamais vu.Elle me voyait vraiment surpris :
— J’accède à ta demande, j’aime bien qu’on me regarde, mais tu ne me touches pas et tu ne te touches pas non plus, tu éjacules trop vite, donc on va commencer à éduquer ça— D’accord— Je n’avais d’yeux que pour ce sexe offert à ma vue, mon cœur battait la chamade, je ne puis lui répondre que par un hochement de tête.— Tu aimes ? Hochement de tête.— Moi aussi j’aime bien te voir nu avec ton sexe dur comme du bois, alors déshabille-toi, je suppose que tu bandes déjà
Hochement de tête
— Et ça va m’aider à me masturber comme tu me l’as demandé.
Penaud de ma réaction, je me déshabille, pendant ce temps, Christine met un gros oreiller sous ses fesses,
— Comme ça, tu ne perdras rien !
Superbe vue et superbe trique...... À suivre
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