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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Belle endormie

Chapitre 1

Divers
Je m’appelle Thomas, j’ai 21 ans, j’habite Paris et l’histoire que je vais vous raconter s’est passée l’année dernière au début des vacances scolaires. Ma première année de fac de droit se terminait péniblement, les résultats n’avaient pas été à la hauteur de mes espérances et je ne pensais qu’à une chose, oublier un peu les études et profiter au maximum de mes vacances.
J’avais prévu de rejoindre des copains dans la région de Toulon et c’est avec des pensées ’sea sex and sun’ plein la tête que je pris l’autoroute du sud par une belle matinée ensoleillée de ce début juillet. Après quelques heures de route, je fis halte à Clermont-Ferrand, où j’avais décidé de rendre visite à ma tante Claire que je n’avais pas vue depuis quatre ou cinq ans. En ouvrant la porte, elle fut assez surprise de me voir et m’étreignit chaleureusement; elle était visiblement contente de me revoir après toutes ces années.
Claire a une bonne quarantaine d’années, brune, elle n’est pas très grande mais elle à un corps superbe. Je pense qu’elle doit approcher les fameux 90-60-90 qui font fantasmer tant d’hommes. Elle avait divorcé deux ans auparavant et vivait depuis peu avec un prof de sport. Ce dernier était parti pour la semaine à un meeting d’athlétisme à Nice. Claire est professeur de français dans un lycée professionnel de Clermont et elle me dit qu’elle était en vacances elle aussi depuis le début de la semaine. Nous discutâmes un bon moment de choses et d’autres, je lui racontais mon année de fac, mais aussi les fêtes et les copines. Sur ce dernier point, je lui mentais d’ailleurs effrontément lui déclarant que j’étais sorti avec plusieurs filles alors qu’en fait, j’étais resté célibataire toute cette année. Ma dernière expérience amoureuse remontait à plus de deux ans maintenant et je comptais bien sur ces vacances pour me rattraper Mon problème principal avec les filles est tout simplement mon physique assez quelconque ; les filles avec lesquelles j’étais sorti jusqu’à présent étaient, il faut bien le dire toutes ’moches’ et les seules filles superbes m’ayant donné du plaisir se trouvaient couchées à l’intérieur de magazines spécialisés. En regardant ma tante, un court instant, je l’imaginais dans les pages centrales ou elle n’aurait nullement dépareillé Elle était vraiment magnifique et j’aurais donné beaucoup pour avoir une copine lui ressemblant.
Elle était habillée plutôt strictement, avec une jupe serrée s’arrêtant au-dessus du genou et un chemisier assez moulant qui laisser deviner une poitrine assez imposante. Le tout lui donnait un air bourgeois qui avait quelque chose de très excitant. Reprenant conscience que c’était ma tante qui se trouvait en face de moi, je décidais de chasser ces pensées de ma tête et continuais à discuter à bâtons rompus avec elle. Nous ne vîmes pas le temps passer et l’après midi était bien avancé quand je me décidais à reprendre la route. Claire me dit alors qu’elle préférait que je passe la nuit chez elle pour éviter de rouler de nuit. Je lui dis que j’avais souvent effectué des trajets de nuit mais devant son insistance, je capitulais et acceptais son invitation. Pendant le repas, elle me parla de gros problèmes qu’elle avait rencontrés avec ses élèves ; elle sortait même d’une petite dépression. Elle était d’ailleurs sous traitement anti-dépresseur et somnifères. Je me demandais qu’elle sortes de monstres étaient ses élèves pour oser chahuter une femme comme Claire. Moi-même, j’aurai adoré avoir un prof comme elle Après le repas, elle me montra ma chambre, la salle de bain puis, me confiant que son somnifère commençait à faire son effet, me souhaita une bonne nuit. Je sortais de la douche, vêtu simplement d’un short boxer quand, passant devant la chambre de ma tante, j’entendis des petits ronflements. La porte était entrouverte et je vis que la lumière était allumée dans la chambre. Poussé par je ne sais quelle curiosité, je poussais doucement la porte et jetais un oeil à l’intérieur. Je découvris avec surprise ma tante allongée sur le coté sur son lit, tout habillée. Elle n’avait même pas eu la force d’ôter ses vêtements. Elle était encore plus belle quand elle dormait et la voir ainsi abandonnée déclencha en moi un certain émoi qui se traduisit bientôt par une bosse naissante au niveau de mon short Sans bruit, je pénétrais dans la chambre afin d’éteindre la lampe qui était allumée à son chevet. Je me glissais donc précautionneusement prés du lit mais avant d’éteindre, je jetais un regard vers elle. Elle avait commencé à se déshabiller, son chemisier était quasiment déboutonnéUne vision magnifique s’offrait à moi, un pan du chemisier était largement ouvert et dévoilait un superbe soutien-gorge de dentelle blanche.
Ceci n’arrangea pas mon état et je me retrouvais maintenant avec une belle barre au travers de mon short. Je décidais de m’approcher plus prêt afin d’examiner tout ceci de plus prés. Son parfum m’envahit. Je me plaçais tout auprès d’elle et me mis à contempler son joli visage et ses longs cheveux bruns. La situation commençait à vraiment m’exciter. Mon regard parcouru son corps et s’arrêta de nouveau sur son buste magnifique, j’essayais d’imaginer ses seins nus, leur galbe, la forme des pointes. Au même moment, les ronflements cessèrent et elle bougea. J’eus un petit moment de panique, me demandant ce que je pourrais bien inventer si elle s’éveillait et me trouvait dans sa chambre, à son chevet et en slip. Heureusement pour moi, elle dormait toujours d’un sommeil profond, du moins c’est ce que je croyais En effet, pendant que je la regardais, je la vis ouvrir les yeux une fraction de seconde Dès que j’avais tourné la tête vers elle, elle avait refermé les yeux aussitôt mais pas assez vite pour que je ne m’en aperçoive pas. Un léger sourire s’était dessiné sur son joli visage. Des idées confuses traversèrent mon esprit ; Pourquoi agissait-elle de la sorte ? Elle savait que j’étais là, à la regarder et elle continuait à feindre le sommeil. Elle s’était un peu recroquevillée sur elle-même et, Oh miracle, cette nouvelle position avait détendu légèrement son soutien-gorge qui laissait maintenant apercevoir le haut des ses seins. Je me rapprochais un peu en penchant la tête de manière à essayer d’en voir encore plus Inutile de vous dire que mon sexe était plus dur que jamais. Il m’en fallais plus ; je devenais fou, cette femme superbe, abandonnée, simulant le sommeil à quelques centimètres de moi Après quelques instants d’hésitation, je décidais de tenter quelque chose ; je m’enhardi et avançais une main un peu tremblante vers ces merveilles. Je saisi délicatement le haut d’un des bonnets et tirais légèrement dessus puis j’enlevais brusquement la main, prêt à affronter une réprimande de ma tanterien ne vint, au contraire, j’eus l’impression que son sourire s’était accentué. La coquine attendait la suite L’opération ne m’avait pas permis d’améliorer la vue comme je le voulais. Je décidais alors d’accentuer la traction et en même temps, j’essayais de descendre le sous-vêtement afin de dégager les trésors qu’il contenait. Je dus m’y reprendre à plusieurs fois mais au bout de quelques instants, un gros sein tout blanc apparut sous mon regard émerveillé ; je répétais l’opération et dégageais son jumeau. Pendant toutes ces opérations, je surveillais le visage de ma tante du coin de l’oeil ; elle avait cessé ses ronflements jugeant sans doute qu’ils étaient devenus superflus dans nos jeux sexuels. La situation m’excitait au plus haut point. Au point où j’en étais, je décidais de profiter à fond de la situation. Je me relevais, et fis glisser mon short à terre afin de dégager mon sexe qui me faisait mal ; cette vision de ma bite tendue à quelques centimètres de la poitrine dénudée de ma tante me ravit. Je me penchais de nouveau vers elle et du bout des doigts, j’effleurai l’objet de mes désirs, caressant la peau ferme, agaçant le bout des tétons. Perdant toute retenue, c’est à pleines mains que je me mis à malaxer les gros seins de ma tante, les soupesant et appréciant leur fermeté. Je décidais de changer de jeu et me relevais. Je pris ma bite en main et me mis à genoux sur le bord du lit. Avec mon gland, je me mis à toucher la généreuse poitrine, passant d’un sein à l’autre. Je les frottais, je les tapotais et ce faisant, je sentais monter en moi un puissant plaisir. Au même moment, elle bougea à nouveau et à mon grand dam se retourna et se retrouva allongée sur le ventre privant mon sexe d’une jouissance certaine. Cependant, cette nouvelle position me permit d’admirer de belles jambes fuselées et des fesses rebondies et musclées. J’étais comme fou et maintenant prêt à toutes les perversités. Je me plaçais alors au pied du lit et positionnais ma tête au niveau de ses pieds encore chaussés. Ses jambes étaient légèrement écartées et je distinguais une culotte blanche qui me semblait être en dentelle comme son soutien-gorge. Malheureusement, l’éclairage dispensé par la lampe de chevet ne me permettait pas d’observer tout ceci à ma guise. Je constatais que la lampe en question disposait d’un fil assez long et je décidais de m’en saisir afin de me créer un éclairage idéal. Reprenant ma position au pied du lit, je dirigeais le halo lumineux vers l’entrejambes de ma tante. Oh bonheur ! La lumière transformait le spectacle et je distinguais maintenant parfaitement la culotte blanche ajourée de dentelles de laquelle dépassaient quelques poils d’un noir profond. Je restais plusieurs minutes ainsi, à examiner dans le détail ce petit bout de tissu, essayant de deviner les formes de son contenu.
Je ne pouvais plus me contenter de cette vision partielle et avec une extrême douceur, je me saisis du bord inférieur de la jupe de tweed de ma tante et entrepris très lentement de la relever. Arrivé en haut des cuisses, je marquais une pause, détaillant les jambes superbes. Puis je repris la manoeuvre ; La jupe était plus serrée au niveau des fesses et j’eus toutes les peines du monde à la relever davantage, j’insistai un peu et d’un coup, elle remontât, découvrant la culotte blanche, objet de toutes mes convoitises. Je rapprochais la lampe et détaillais le nouveau spectacle qui m’était offert. Le tissu était tendu par des fesses fermes qui me semblèrent être les plus belles que j’aie jamais vu (c’était probablement le cas d’ailleurs) Je décidais de changer de point de vue et avec d’infinies précautions, je m’installais à califourchon sur le lit et m’avançais, positionnant mes genoux de chaque coté des cuisses de ma tante. La vision que j’avais maintenant était paradisiaque, les jambes nues de ma tante et la jupe indécemment troussée le tout surplombé par ma bite bandée à mort. Au point où j’en étais, je décidais de tenter le tout pour le tout. Je glissais mes doigts derrière l’élastique de la culotte et entamais une lente descente du sous-vêtement. Ses fesses apparurent bientôt sous mon regard subjugué ! Elles étaient bien comme je l’imaginais. Musclées et fermes, parfaitement fendues. Je positionnais la culotte à mi-cuisse. Voir ma verge bandée à quelques centimètres du joli fessier de ma tante me mit dans un état second, j’étais sur le point d’exploser et toujours pas de réaction de sa part... jusqu’ou voulait-elle pousser le jeu ? J’avais une envie folle de toucher ces jolies fesses, c’est ce que je fis bientôt, passant le revers de ma main sur le joli postérieur, appréciant le soyeux de sa peau. Au bout d’un moment, je décidais de repositionner la lampe afin d’éclairer au mieux la scène. Abandonnant toute prudence, je saisi à pleines mains les deux fesses charnues et leur fit subir un pelotage en règle, les malaxant, les écartant à loisir pour mieux les examiner. J’entendis alors pour la première fois Claire gémir doucement. La position de ma tante ne me permettant pas de voir son sexe, je décidais alors de changer cette position et lui écartais largement les jambes. M’abaissant de manière à positionner mon visage entre ses cuisses, je constatais avec plaisir que la vue était bien dégagée. Ses fesses se trouvaient maintenant légèrement écartées et j’avais une vue parfaite sur sa chatte brune. Mes mains ne furent pas longues à repartir en exploration et c’est avec délice qu’elles reprirent possession des fesses de ma tante. Mes doigts parcouraient sa raie, titillant l’anus et jouant avec les petits plis de ce dernier. Je descendais encore et me mis en devoir de tâter son joli abricot, en appréciant sa texture et sa douceur. Puis délicatement, d’une main, j’entrouvris ses lèvres. Cette image de la partie la plus intime de ma tante fut celle de trop. Je sentais maintenant monter en moi une jouissance trop longtemps contenue et je savais que je ne pourrais tenir plus longtemps. Me redressant, je saisis alors rapidement mon sexe tendu et entamais un furieux branle. La jouissance ne tarda pas, brutale..Je me vidais, de grands jets de sperme épais giclaient, atterrissant sur le dos et les fesses de ma tante. Le sperme dégoulinait partout, jusque sur son sexe entrouvert. J’étais apaisé Mais je voulais encore profiter du spectacle. Me repositionnant, je m’allongeais sur le lit, le visage à quelques centimètres de son sexe, humant avec délectation une douce odeur de féminité. Ceci me donna une nouvelle vigueur et je sentis ma queue durcir à nouveau. Et c’est en en matant les orifices de ma tante adorée que je commençais à frotter mon sexe doucement sur la couette du lit. Puis une idée me vint. Me redressant, je me saisi de la main de ma tante, la posait sur ma verge puis, refermant ses doigts dessus j’entamais un lent va-et-vient. De mon autre main, je parcourais ses cuisses et ses fesses. J’avais la très nette impression que j’aurais pu lâcher sa main, celle-ci aurait continué le branle de mon sexe tendu mais, ne voulant pas rompre le ’charme’, je l’accompagnais en rythme. Après quelques instants de ce traitement, ma verge était de nouveau prête à exploser Cependant, je n’avais pas envie de jouir ainsi. Décidé à tenter le tout pour le tout, j’abandonnai la douce main et me positionnais derrière ma tante de façon à pointer mon sexe au niveau de ses fesses. Lentement, je descendais mon sexe vers elles. Je tressaillis quand mon gland entra au contact de sa peau douce. Je le plaçais délicatement sur la raie et entamais un lent branle entre ses fesses. Au bout de quelques instants, j’accentuais la pression et c’est sans effort que mon gland pénétra l’anus soyeux. Je pense que je n’étais pas le premier à prendre ce chemin Je continuais ma progression et bientôt, je me retrouvais enfoncé jusqu’à la garde entre les fesses de ma tante Avec d’infinies précautions, j’entamais un lent limage de ce cul superbe. Elle bougea alors son bras et je le vis disparaître sous elle, au bout de quelques instants, elle se remit à gémir, plus fort que la première fois. Cela ne faisait aucun doute, elle se masturbait pendant que je l’enculais Quelques minutes plus tard, je me vidais de nouveau, cette fois dans l’anus de ma jolie tante Claire. Au moment de ma jouissance, elle avait eu un râle étouffé, je pense qu’elle aussi avait prit son pied Après avoir repris mes esprits, je la rhabillais consciencieusement en ayant eu soin d’essuyer les traces de mes débordements. Puis je sortis de la chambre en jetant un dernier regard à la belle endormie, je l’aperçu les yeux mis-clos, m’observant à la dérobée un sourire complice sur son joli visage J’allais me coucher, de belles images gravées à jamais dans ma mémoire Le lendemain matin, je retrouvais ma tante au petit déjeuner ; j’étais extrêmement gêné et je me demandais comment nous allions évoquer les événements de la nuit quand elle me déclara avoir rarement aussi bien dormi. Je la regardais, elle avait accompagné ces paroles d’un sourire qui en disait long. Je pense qu’elle préférait que nous ne parlions pas de ce qui s’était passé. Je lui affirmais alors que moi aussi j’avais passé une excellente nuit! Tu parles !
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