Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 89 J'aime
  • 8 Commentaires

La belle Europe et le taureau

Chapitre 1

L'enlèvement d'Europe par Zeus

Zoophilie
Europe, belle et jeune princesse phénicienne, admire la ville qui se déploie sous ses yeux et dont son père est le monarque : Tyr. Depuis le château qui s’avance sur la mer, elle embrasse la cité et ses plages à perte de vue. Son père Agénor l’a, une fois de plus, confinée dans sa chambre. Elle voit au loin, à quelques centaines de mètres tout au plus, des jeunes gens flâner sous les palmiers de la plage, se poser sous leurs fraîches frondaisons où tout à coup, se dévêtant complètement, nus, ils se jettent dans les flots accueillants de la Méditerranée.
Europe les trouve si belles et si beaux et elle sait qu’elle ne déparerait parmi eux. Elle vient de fêter ses 18 ans et sa grande beauté est connue bien au-delà des remparts de la ville. Son père la destine à une union digne de son rang et de sa puissance et c’est la raison pour laquelle il la garde sous sa coupe. Son éducation est sa priorité et 6 jours sur 7, ses journées suivent exactement le même rythme. L’enseignement occupe la majeure partie de son temps, ainsi que la lecture et la pratique de la musique. Elle excelle notamment au chant et sa voix, quand elle s’y adonne, provoque invariablement la fascination des serviteurs qui passent.
De même, tous les matins ou presque, elle se lève avant le jour pour quelques heures d’exercice physique en compagnie de son professeur, un maître d’arme et capitaine de l’armée de son père avec qui Agénor a mené ses plus belles conquêtes. Elle part alors pour une longue course à pied sur la plage, souvent de plus d’une heure. Elle la finit en marchant et en faisant quelques exercices qui lui ont façonné ce corps musclé et racé qui faisait se retourner les rares passants qu’elle croise à cette heure matinale. Mais son maître d’armes veille et d’un claquement de langue, rabroue les badauds qui, reconnaissant les insignes royaux, s’inclinent craintivement avant de déguerpir, non sans un dernier regard à ses fines chevilles et ses cuisses admirablement galbées. Il faut dire que sa courte tunique de sport ne cache que très partiellement son anatomie.
Ils croisent aussi nombre d’animaux qu’Europe aime à caresser et qui paissent en général dans les prés salés du bord de mer. Moutons, chèvres ou chevaux, ils se laissent facilement approcher par la princesse, lisant sans doute sa bonté d’âme et sa douceur au fond de ses grands yeux. Elle profite parfois de ces belles étendues d’herbe verte et de l’ombre fraîche d’un arbre pour faire une courte sieste pendant que son professeur, sans s’éloigner, aime à compléter ses séries d’exercices physiques. Ses rêveries la conduisent alors auprès de son futur mari qu’elle imagine puissant roi d’une lointaine contrée, riche certes, mais avant tout bel homme. Elle l’imagine grand et solide, ses bras puissants qui l’enserrent, ses caresses qui lui font monter le rouge au front et le feu dans ses entrailles. Les yeux clos, elle se délecte des douceurs que lui offrent ses propres mains qu’elle laisse courir curieuses sur tout son corps.
Europe est tirée de ses songes par les sourdes vibrations d’un pas lourd et lent d’un animal qui s’approche d’elle. Elle jete un regard circulaire et aperçoit son maître d’armes qui, à proximité, s’adonne à quelques exercices. Cela la rassure et tournant la tête, son regard tombe sur une vision bien peu banale. A quelques mètres, se dirigeant paisiblement vers elle, elle voit un taureau d’une blancheur hors du commun. C’est le premier qu’elle voit paré de cette robe immaculée et elle en est troublée. Il est par ailleurs plutôt de petite taille, mais admirablement proportionné. Les muscles de ses épaules sont magnifiquement saillants et évoquent pour Europe les statues de marbre du temple de Melkart et leurs formes admirables. Par réflexe, elle tend la main pour l’encourager à la rejoindre. Le splendide animal parcourt les derniers mètres qui le séparent de la princesse et vient se poster sur sa gauche.
Elle tend la main et vient caresser son épaule. Le pelage blanc est étonnamment doux et elle sent des frissons parcourir l’animal au contact de sa paume. Ses doigts s’enfoncent dans son pelage à la recherche du contour de ses muscles qu’elle trouve sans difficulté. Le magnifique taureau semble apprécier les caresses d’Europe, restant immobile et baissant la tête pour arracher quelques touffes d’herbe verte. La jeune femme admire la bête, même sa tête combine merveilleusement la finesse des traits et l’évocation de la puissance. Son échine relie harmonieusement de puissantes épaules et une croupe étroite et des pâtes arrière sculptées. Entre elles, elle remarque ses testicules massifs et en est choquée. Non pas qu’elle n’en a déjà vu, elle connait cette anatomie depuis longtemps. Mais ceux-ci sont d’une taille hors norme et d’une forme qui évoque celle des testicules humains.
Tout en poursuivant ses caresses à l’animal, elle envoye son pied droit tout doucement au contact des parties génitales du taureau. Elle ne sait expliquer ce geste, elle se sent mue par une force surnaturelle, mélange d’attraction et de curiosité. Lorsque son pied vint prendre prit franchement appui sur ses couilles en une ferme caresse, le taureau s’immobilisa complètement. La princesse guette sa réaction, craignant une attitude potentiellement violente de l’animal. Mais il n’en est rien et, bien au contraire, il tourne sa face vers elle et vient lui lécher délicatement l’épaule. Elle y voit un signe d’approbation et poursuit son exploration. Ses délicats orteils ou de la plante des pieds, elle entreprend de faire le tour des testicules de la puissante bête, comme pour tenter de les soupeser.
(A suivre si le cœur vous en dit !)
Diffuse en direct !
Regarder son live