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Ma belle famille

Chapitre 1

Inceste
Afin de débuter cette histoire entièrement véridique, je tiens tout de même à vous informer que les informations, notamment les noms, lieux, etc. ont été changés afin de créer une certaine transparence.Je me présente, je m’appelle Marc, j’ai 26 ans, je travaille dans les soins médicaux depuis quelques années déjà. Je mesure 1m70, brun, assez musclé (ancien nageur de compétition). Je suis en couple depuis la fin de l’école d’infirmière avec Manon, une jeune infirmière de 23ans, blonde aux yeux bleus mesurant 1m71, une silhouette fine et élancée. Nous vivons un amour sincère et tout se passe bien.
Cependant, je suis amenée régulièrement à assister aux différentes réunions familiales comme tout bon gendre avec la belle-famille, ces repas ou rencontres sont souvent long(ue)s et quelque peu ennuyeux et m’imposent de garder une certaine éthique (faire attention à ce que l’on dit, se tenir droit). C’est lors de ces repas que je remarque que ma belle-mère que nous appellerons Laurinne exerce une sorte de jeu afin d’attirer mon regard, elle se penche de façon légèrement prononcée, se met en face de moi en jupe et ne referme ses jambes que lorsque j’ai entraperçu quelque chose. Ce petit jeu malsain, pervers qui incite à voir sans le vouloir. En parler est hors de question car infiniment délicat, et reste dans le fond malsain. Ma belle-mère est une femme à peine du début de la cinquantaine, blonde, grande (près d’1m80), les yeux bleus, c’est une très belle femme fine, aucune rondeur, un corps très bien entretenu, le style milf bourgeoise mais sans vulgarité.

Ce jeu reste dans l’ensemble suggestif, je n’ai rien vu d’intéressant et reste simplement une idée que je croyais fausse résultant d’une trop grande confiance en moi ou de mes capacités à séduire, jusqu’à ce que les choses prennent une ampleur catastrophique
Je me retrouve à être invité à un repas du soir sans ma copine qui étant infirmière, comme moi se retrouve à faire un remplacement en urgence un quart de nuit, Manon me dépose directement, à la limite de ne pas y aller, sachant que je vais devoir me taper ma demi-heure de marche au retour. Je suis évidemment le dernier arrivé, j’y retrouve les grands-parents de Manon, ses parents et son frère. Le repas se passe bien dans l’ensemble, l’alcool coule assez vite de façon raisonnable. Je reste dans l’ensemble le centre d’attention, c’est la première fois que je me retrouve seul avec eux. Vient alors le moment des photos de vacances, nous allons tous faire le canapé, un verre de digestif à la main.
Le grand-père de Manon me montre de nombreuses photos de vacances de Manon dans son jeune âge, jusqu’à ce qu’une photo apparaît de ma belle-mère, en top-less, lisant un livre. Je vois enfin ses 2 magnifiques protubérances de taille raisonnable disons C, légèrement tombantes, en forme de poires, le mamelon bien dessiné, bref une belle poitrine, une demi-molle me surprend. Je remarque que les photos ne défilent plus, mais tout le monde me regarde, ce qui castre mon début d’excitation, je m’en sors avec une blague au sujet de Marc Lévy, auteur du livre.
Bref, ce moment passe, de nouvelles photos passent, une seconde vient alors, le frère de Manon, un jeune homme 19ans blond grand, très peu sculpté, car ne fait aucun sport. Je vois la photo, elle est très récente, il est nu, le sexe épilé ,de taille moyenne, non circoncis, un grand sourire aux lèvres, son chien à côté. A ce moment, beaucoup de choses tournent dans ma tête, mais à aucun moment, je n’ai compris de façon claire le piège autour de moi.
Puis le grand-père nous explique qu’il a dû se tromper en rangeant les images (je me demande surtout pourquoi il a ce genre de photo). La soirée se termine sans remords.
Les parents de Manon me proposent de boire un verre chez eux, sachant que leur maison est proche de notre appartement, j’accepte. Nous disons au revoir à la grand-mère et au grand-père.
Nous repartons, le frère de Manon, Alexandre, se met devant, le père de Manon conduit, je me retrouve logiquement à côté de Laurine. Nous partons, c’est alors que Laurine me demande en chuchotant à mon oreille :
— Comment tu les trouves, mes seins ?— Bin euh, ils sont sympas à regarder, dis-je en balbutiant et rougissant.— Tu préfères ceux de Manon ou les miens ?
Je lui réponds que je n’ai pas à choisir, que je suis assez gêné par l’objet de la conversation et que dans toutes circonstances, je choisirais Manon

— D’accord, me répond-elle avec un léger sourire en coin.
Nous arrivons à mon soulagement dans leur maison. Nous montons rapidement dans le salon, les parents s’installent, se servent un verre d’eau-de-vie de mirabelle pour eux, quant à moi, je prends un verre de calva fermier (venant de Normandie, le calva est mon péché mignon). Les parents de Manon- avant le 2ème verre- me signalent qu’ils sont tous 2 fatigués et partent se mettre en pyjama. Quelques instants plus tard, je les retrouve en pyjama. Bon, pour commencer, le père de Manon, un homme petit 1m65, brun, peu musclé, les traits du visage fatigués par les années de travail en tant que Boulanger, il arrive en t-shirt blanc et jogging souple qui laisse nettement apparaître les traits de son petit sexe, je peux même entrevoir la limite entre le corps et le gland de son sexe, bref, moment de gêne, jusqu’à ce que je vois Laurine arriver.
Habillé d’un grand tee-shirt blanc (à la limite du transparent), beaucoup trop large pour elle où je distingue qu’elle n’a pas de soutien-gorge, les seins se remarquent plutôt bien, je descends mon regard, les jambes sont nues, je me doute qu’elle est nue en dessous, mais en mettant ses chaussons, elle se tourne et je distingue les pans d’une culotte. Alexandre, resté à côté de moi, ne les remarque même pas revenir, il se réinstalle sans un regard, de façon naturelle en face de moi en se resservant un verre d’eau-de-vie. J’avoue être à la fois très excité et très gêné, une demi-gaule reste présente, ce que tout le monde a remarqué sauf moi.
C’est à ce moment-là que mon beau-père allume la télé, met des images en diaporama, je me dis génial, une occupation, nous discutons et je me surprends à dire des trucs sans filtre, signe que j’ai plutôt bien bu.Le père de Manon me demande alors :
— Du coup, tu n’as pas répondu tout à l’heure, tu les préfères ses seins ou ceux de Manon ?
Surpris par la question, je ne réfléchis pas avant de répondre, l’alcool n’aidant pas à être raisonnable ; - Pour pouvoir bien comparer, faut voir l’un à côté de l’autre.Je n’aurais pas du dire ça.Le père de Manon change de dossier et met alors une image de la poitrine de Manon devant tout le monde, moi, Alexandre, Laurine, les seins en gros plan sur leur grande télé, dans la foulée, je vois Laurine se mettre debout à côté de cette image, elle lève le t-shirt et me montre ses seins.
Elle me demande : alors, lesquels tu préfères ?
Je suis piégé, je ne sais plus quoi faire, aucun mot ne sort de ma bouche, je reste bloqué quelques secondes interminables, la seule idée que je trouve c’est de dire une connerie : pour pouvoir bien comparer, c’est comme le calva, c’est pas en regardant la bouteille qu’on peut voir, faut goûter.
Le père de Manon me répond direct, bah vas-y.
Là, je ne sais pas pour vous, mais plusieurs idées me viennent en tête, aucune bonne. Je balbutie, rougis, je commence à bander et ça se voit à travers mon pantalon, tout mon corps me dit vas-y, mais je reste planter là comme un idiot, ne sachant pas quoi faire, les seins de ma copine toujours en arrière-plan.Je vois le père de Manon se lever, le sexe apparent au travers du pyjama a légèrement grandi, il se lève vers sa femme, lui attrape un sein et me dit" tu vois, il faut faire comme ça". Mais je reste planté la, je bug. Laurine dégonfle la situation, elle enlève carrément le tee-shirt, s’allonge sur le canapé derrière moi et Alexandre. Délicatement, elle attrape ma main et la dirige vers son sein. Je ne suis pas timide en règle générale, mais la situation fait que. Ma main descend, je sens le mamelon, le sein, elle appuie sur mes doigts comme pour malaxer, puis elle me redemande :
— Alors tu préfères lesquels ?— Vos seins sont superbes, de bonne taille, légèrement fermes, très doux.— Ah bah voilà, il a répondu, dit Alexandre qui avait été spectateur de toute la scène. — Laurine dit alors : Tu vois, il a choisi comme toi, Alexandre.
Je comprends rapidement que des études corporelles familiales avaient déjà été organisées, toujours les seins de ma belle-mère dans les mains, j’ai un gaule monumental. Je relève mes mains, j’entrevois le sexe de mon beau père commençant à se tendre, mais surtout je vois la petite culotte rose pale de Laurine légèrement humide, Laurine se rassoit sur le canapé entre Alexandre et moi, elle dit alors : venez vers moi les garçons, je vois Alexandre qui s’empresse de lui attraper le sein de son côté, moi, j’attrape avec une certaine réticence le sein de mon côté, elle dispose ses mains sur nos 2 cuisses, elle remonte doucement vers nos entrejambes en même temps. Le moment est venu, sa main est sur mon sexe au travers du jean, elle masse doucement la zone, fait la même chose des 2 côtés tandis que nous jouons avec ses seins.
Quelques instants de bonheur passent alors, nous nous levons et les 2 jeunes hommes se mettent en caleçon, à peine j’ai retiré mon pantalon que Laurine attrape ma tige tendue au travers du caleçon, elle s’occupe de moi avec cette main, de l’autre, elle s’occupe d’Alexandre, sa main est déjà dans le caleçon. Elle me susurre à l’oreille, mets ta main quand je mets la mienne, je suis aux anges. Je sens sa main toucher le liserer de caleçon tandis que je descends ma main vers la culotte, je passe la main en même temps qu’elle, je sens qu’elle est entièrement épilée, petite rosette, très peu de lèvres, je glisse un doigt dans la fente trempée, tandis qu’elle, après un bref passage où elle m’a agrippé les testicules, elle saisit mon pénis de façon énergique, vigoureuse. Elle commence alors un va-et-vient identique à ceux que Manon me fait, la même façon de faire.
J’ouvre les yeux, je regarde évidement les seins devant moi tandis que je doigte ma belle-mère, j’aperçois le sexe tendu de mon beau-père, toujours au travers du pyjama qui se touche doucement ainsi que la branlette d’Alexandre, je vois entièrement son sexe, la peau du gland le recouvre à chaque mouvement, le gland est rond, la queue est effilée, les couilles sont grosses, plus grosses que les miennes d’ailleurs, se soulèvent à chaque mouvement de la main, il semble aux anges.
Laurine s’arrête, je fais de même, elle retire mon caleçon d’un coup vif, tout le monde me regarde, enfin ma queue tendue vers ma belle famille désireuse de continuer.
C’est ma première histoire, n’hésitez pas à commenter, et bien sûr, si vous voulez une suite.
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