Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 140 J'aime
  • 3 Commentaires

Belle fille(s)

Chapitre 6

Inceste
Belle fille 6
Aurélie et moi arrivons dans ce beau restaurant. J’entre en premier comme la galanterie le recommande pour un endroit inconnu. A demi-mot, je m’enquière auprès du maître d’hôtel si ma demande a été honorée. Il me rassure d’un hochement de tête. Je laisse Aurélie se placer face à la petite salle et le personnel est prévenant, pour nous présenter les chaises par exemple. Tant le service que les plats se révèlent à notre goût. Tout cet instant est magique, comme elle, comme pour moi.
Quand je pose ma main sur la sienne, elle a un mouvement de recul, mais j’affirme ma pression, avant de la relâcher. Son regard éperdu scrute la salle et j’entends quelques murmures réprobateurs. Notre différence d’âge choque quelques biens pensants, mais je n’en ai que faire !Nos regards se rencontrent et je lui crie « Je t’aime » avec les yeux.
A la fin du repas, une serveuse s’approche de nous et tend un beau bouquet à ma chérie. Aurélie est toute émue et me regarde, interrogative.
Elle ouvre la petite enveloppe, que j’ai glissée discrètement au maître d’hôtel en arrivant.Sur laquelle j’y ai écrit :‘Aimerais-tu être ma fiancée ? ‘
C’est insolite sachant que je suis marié, je m’en rends compte et ça la fait pouffer de rire. Je m’agenouille alors devant elle, lui prends la main et le silence se fait dans la salle éberluée. Quand je lui glisse une belle bague ayant appartenue à ma grand-mère, je vois perler une larme dans ses yeux.
Je joue un rôle de prince charmant, elle en est convaincue, mais mon geste lui va droit au cœur. Je dépose une bise sur la bague qu’elle a ajustée, avant de me relever et de l’accompagner vers la sortie.
Je règle la note avant de me précipiter pour la rejoindre. Notre baiser devant la porte de l’établissement dure longtemps ! Le bouquet est un peu gênant pour nous étreindre et je me propose de lui tenir.Nous profitons ensuite de nous promener le long de la rivière voisine, en s’embrassant tous les dix mètres. Tous deux finissons par convenir de rentrer au plus vite.
Aurélie dispose le bouquet dans un vase, tandis que je lui bise la nuque en libérant ses cheveux. Ça la fait minauder !Je la tiens alors par la taille, pour appuyer sur sa fesse la dureté de mon désir pour elle.
Sans parler, elle se détache, traverse la pièce et je la suis comme un petit chien. Elle attrape au passage le flacon de lubrifiant et me lance une oeillade complice par-dessus l’épaule.Nous montons dans la chambre, je suis impatient …
Après avoir fait glisser sa robe au sol, Aurélie me fait m’allonger, nu, sur le lit. Sans préavis, elle s’accroupit sur mon visage et j’ai son petit sexe en bouche. J’aime le parfum et la liqueur de sa vulve, et là, je me régale ! Je cherche à attraper ses seins et elle se redresse pour me les offrir. Ils sont tout durs !
Elle se relève et s’accroupit à nouveau pour m’offrir son anus. Pour me faciliter la tâche, je suis obligé de renoncer à ses seins pour pouvoir lui écarter ses fesses. Elle entreprend de me masturber, puis de déposer du gel froid sur mon érection. Elle enduit mon sexe sur toute la longueur de ma hampe, insiste sur le gland, puis m’écarte les jambes à la recherche de mon petit trou. Je referme les genoux sans pouvoir m’exprimer, tant elle appuie ses fesses sur mon visage. Elle a trouvé l’entrée et la badigeonne. Je libère son bras coincé entre mes cuisses, trouvant sa caresse agréable. Elle redépose du gel sur son doigt et cette fois me pénètre légèrement en m’écartant le trou. Elle renouvelle l’opération et me pénètre le majeur totalement. C’est surprenant, mais absolument génial, surtout quand elle va et vient.
Elle me libère le visage, me tend le flacon et me dit :« A toi de me faire la même chose ! »Elle me tend son derrière, et, avec application je reproduis ses gestes. Quand je la pénètre, elle a un petit sursaut, mais très vite, elle me rassure.
S’estimant suffisamment préparée, elle me chevauche, mais en me tournant le dos. Elle positionne mon gland et tente plusieurs fois l’intromission. En appuyant plus fort, son anneau s’ouvre, elle émet alors un petit cri, puis se laisse coulisser sur ma verge, en s’arrêtant à chaque point douloureux.
Une fois à fond, elle ondule d’avant en arrière pour se pénétrer au maximum. Elle sort un peu et, estimant que ses chairs sont bien en place, se met à coulisser sur toute la longueur de ma verge. L’étroitesse de son fourreau m’emprisonne d’une façon extraordinaire. La compression de son sphincter est analogue à une forte poigne. A ce rythme, je ne vais pas tenir longtemps !
Je la fait s’allonger sur mon ventre, avant de nous basculer sur le coté. Nous nous positionnons en ‘cuillère’ et, une sortie inopinée, me donne l’occasion de lubrifier davantage le pal qu’elle attend. Quand j’entre, c’est le plus délicatement possible, mais sans aucune difficulté. Son anus est resté bien ouvert !
La suite est infiniment longue, mes gestes sont proches d’un bercement. J’ondule très lentement en elle, essentiellement pour me maîtriser. Aurélie, quant à elle, veut plus de rythme et je finis par lui céder, en trouvant l’harmonie des mouvements de nos corps. Je ne peux résister longtemps et jouis en elle sans qu’elle n’atteigne l’orgasme. Elle n’en est pas déçue pour autant, au contraire :
« C’est absolument génial ! Ça fait un peu mal, mais c’est super bon ! Surtout avec un mec délicat comme toi ! »« Dis donc ! Je suis ton fiancé ! Pas un mec quelconque! »Elle rit et m’attire à elle pour l’embrasser.
Nous passons le reste de la nuit dans les bras l’un de l’autre. Dans le lit conjugal !Je lui demande quand même, à un moment :« Où as-tu appris tout ça ? Tu me sembles bien expérimentée pour ton âge ! »« Oh, un peu partout ! Tes films pornos (oups !), les magasines, Internet … Mais, c’est la première fois que je pratique, je te l’assure …»Nous rions tous deux, avant un gros câlin.
Le lendemain, Laetitia rentre plus tôt que prévu et nous réveille en se glissant sous les draps, de mon côté du lit, bien sûr ! Elle nous bise tous les deux et voyant le flacon de lubrifiant entamé, nous jette un regard complice en demandant :« C’est fait ? »Aurélie approuve« C’était bien ? »Nouvelle approbation …« Bien, bien ? »Double hochement de tête de mon amour.« Et donc, il peut me faire connaître ça, à moi aussi ? »Petite moue, mais approbation d’un signe de tête de ma chérie.
Les deux filles dialoguent et j’ai un peu l’impression d’être un sex-toy, ou plutôt un sex-boy. J’ai besoin de tendresse pour compenser mon état d’esprit. J’enserre ma fiancée, mais sa coquine de sœur en profite pour se lover dans mon dos en glissant une main sur ma fesse.Ce câlin à trois est bien agréable et dure un bon moment.
Par contre, maintenant, j’ai envie, et besoin, de me sentir propre, de me raser. Me sentir frais pour poursuivre la journée. Alors que je prends ma douche, j’entends ricaner les filles et m’aperçois à posteriori, qu’elles ont chipé les habits que j’avais préparés.
C’est donc nu et sans pudeur que je les rejoins dans la chambre. Toutes deux plaisantent en m’exposant mes habits. Elles me font une bise sur les lèvres, me font promettre de rester tel quel et partent prendre leur douche, ensemble, me spécifie Laetitia de son air coquin et provocateur.
Même si je meurs d’envie de les voir se savonner mutuellement, je reprends mon rôle en laissant les filles à leur intimité. C’est ridicule d’agir ainsi, surtout que nous avons fait l’amour, mais ma volonté de discrétion reste la plus forte.
En leur absence, j’appelle Brigitte pour prendre quelques nouvelles.Elle me répond presque immédiatement et me demande quelques instants pour s’isoler, afin de pouvoir me parler plus librement.
Brigitte parle beaucoup pour m’expliquer la situation. Je comprends que sa sœur Françoise s’est faite surprendre au lit avec quelqu’un et que son mari n’a pas apprécié du tout. Il l’a quittée sur le champ.Elle m’annonce qu’elle va sortir ce soir avec sa sœur et Maxime, son neveu. Pour lui changer les idées affirme-t-elle. Je résume, car la conversation dure un bon moment !
Quand les filles réapparaissent, je suis bluffé ! Surtout par Laetitia qui apparaît en premier. Elle porte de talons, c’est vrai, mais le reste est surprenant !Des mi-bas blancs, une jupe mini, un débardeur rose décolleté, moulant ses seins nus et provocants. Elle s’est faite deux couettes aux cheveux et de fausses taches de rousseur sur les joues. Elle s’est déguisée en fillette pour m’aguicher. Sa tenue est vraiment réussie, je l’avoue.
Aurélie ne porte qu’un Tanga, un soutien gorge assorti et une paire de tongs aux pieds. Quoi qu’il en soit, Aurélie pourrait être habillée d’un sac poubelle, elle resterait la plus belle à mes yeux. Sans comprendre pourquoi, je suis quand même un peu gêné d’être nu devant elles, mais je me raisonne. Il faut profiter de ces instants pour pratiquer le naturisme en toute liberté.
Laetitia joue la fillette timide en me tendant le lubrifiant. Je vois Aurélie souriante, qui pousse même sa sœur dans le dos pour qu’elle s’approche de moi. Elle me donne le feu vert pour la suite, je le comprends bien, mais j’aimerais que mon excitation puisse monter. Ce n’est pas vraiment le cas à cet instant. Là, je me sens cueilli à froid. Tout en jouant l’innocente, Laetitia s’assied sur ma cuisse. Je jette un regard à ma chérie et elle m’encourage à poursuivre d’un signe de tête.
Je passe mon bras autour de la taille de ma fille aînée et la coquine profite de mettre sa main sur ma nuque pour la caresser. Ce faisant, elle s’est collée un peu plus à moi et j’ai son sein à quelques centimètres de la bouche. Je fais courir une main sur sa fesse et de l’autre sur son ventre plat.
La fausse pucelle me dit :« Oh papou ! J’ai chaud ! Tu peux enlever mon haut ? »
Mécaniquement, je l’aide à se mettre à l’aise. Je lance un coup d’œil à Aurélie, qui, à présent, s’est dénudée totalement pour s’asseoir face à nous, jambes très écartées. De deux doigts, elle écarte sa vulve pour m’exposer son joli clitoris perdu dans sa forêt de poils blonds. Cette vision m’enchante, mais quand Laetitia se penche pour me fouiller la bouche de sa langue drue, je m’abandonne à un long baiser, très agréable.
Quand elle lâche mes lèvres, c’est pour m’offrir un mamelon que je tète avec passion. Elle se relève pour quitter sa jupe. Je ne peux alors m’empêcher de glisser mes doigts sur sa culotte pour toucher son pubis. Ce n’est pas une culotte, c’est un string, juste une ficelle sépare ses fesses ! Je m’en rends compte en les palpant.
Elle s’assied à nouveau sur moi, mais cette fois, bien entre mes jambes, sur mon érection !« Oh mon papou, C’est quoi ce que je sens si dur sur mon derrière ? »Sa main glisse entre nous et se saisit de ma hampe. Elle tient fermement mon sexe et positionne mon gland sur sa rosette. Elle roule ses fesses, tandis que je lui pelote la poitrine, puis tente de forcer l’ouverture de son anus.
Comprenant que c’est difficile, voire impossible, elle change de position en quittant son string. Puis s’agenouille, pose les coudes au sol en m’offrant ses fesses… Je prends le lubrifiant et badigeonne mon doigt.Lors des préparatifs, elle geint beaucoup quand je m’active délicatement en elle.
Quand mon gland tape à sa porte, elle s’écarte les fesses au maximum. Elle souffre de l’intromission, mais m’incite à continuer :« Aie ! Ouille ! Continue, vas-y, c’est bon ! »Je lui tiens les épaules pour m’introduire avec le plus de douceur possible. Je suis surpris quand elle dit :
« Vas-y mon salaud ! Défonce moi le cul ! Encules moi fort avec ta grosse bite ! »Je m’active davantage, en prenant, quand même, garde à ses cris de douleur.« Baise moi plus fort ! Je ne sens rien ! Défonce moi, je te dis !»
Cette fois, je lance la cavalerie et me déchaîne dans son trou. Elle se met à hurler encore plus de gros mots, avant de jouir avec une rare intensité. Ses spasmes finaux ont raison de ma maîtrise. J’expulse en elle de nombreux jets, que je sens puissants. Laetitia m’a sacrément excité par ses mots crus qui ont libéré mon instinct animal, j’en ai même un peu honte, après coup !.Je ressors lentement et Aurélie nous interpelle :« Qui en veut ? »Son gros bourgeon, totalement sorti est une totale provocation. Avant que je n’aie pu réagir, Laetitia file à quatre pattes entre les jambes de sa sœur en criant :« Moi, moi ! »Le spectacle est fascinant, Je prends des leçons en voyant agir Laetitia. L’activité de ses doigts, de sa langue, les soubresauts que fait ma chérie à chaque fois, jusqu’à sa jouissance. Que de choses il me reste à apprendre ! Heureusement, je suis à bonne école !
Diffuse en direct !
Regarder son live