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Belle fille(s)

Chapitre 13

Inceste
Belle fille 13
Quand Brigitte entre dans la maison, elle ne prend pas la peine de nous saluer, prétextant un besoin urgent. Elle pose son téléphone et son sac à main sur le meuble de l’entrée et file à l’étage avec une démarche un peu curieuse. Pourquoi ne va-t-elle pas aux toilettes de cet étage, au lieu d’aller dans la salle de bain?
Aurélie m’accompagne pour décharger la voiture de sa mère. Il n’y a qu’un sac sur le siège passager, c’est curieux ! Elle avait trois sacs en partant et le coffre est vide. Tout à coup, ma chérie s’immobilise, intriguée. Elle déplace le siège passager et glisse ses doigts pour se saisir de quelque chose, qu’elle extirpe.C’est un préservatif emplit de sperme, mais surtout, il est enduit à l’extérieur de traces marron et de quelques filets de sang. Qu’est-ce que ce truc fait dans sa voiture ?
Aurélie me tend la chose que je renifle, pas de doute sur l’usage qui en a été fait.
J’emporte ce « trophée » du bout des doigts pour regagner la maison. Au moment où nous entrons, le téléphone de mon épouse émet un signal de texto. Je réalise alors que c’est toujours le même appareil qu’elle utilise, alors  pourquoi cette facture énorme pour en acheter un autre?
Je pose le sac dans l’entrée alors qu’Aurélie prend l’appareil de sa mère. Je vais pour protester, que ça ne se fait pas, que c’est indiscret ! Avec Brigitte, nous avons pour habitude le respect de l’autre et, ni son téléphone, ni le mien ne sont jamais verrouillés d’un code quelconque. Mais elle prend connaissance du message, puis me montre l’écran, la mine contrite.
C’est un SMS de Max :-J’espère que t’as bien mal au cul !
Je reste abasourdi de lire ça ! Max, ce ne peut être que Maxime, son neveu ! Comment écrire de telles choses à sa tante, ma femme ! Quel manque de respect !Aurélie m’entraîne vers le canapé, où nous nous asseyons. Je dépose la capote souillée sur la table de salon. Elle fait défiler l’historique de leurs échanges de texto, que nous lisons ensemble. Je tremble d’émotion, je comprends bien la situation et toute ma naïveté s’envole !
Pêle-mêle, nous lisons sur l’écran du portable :
-Viens tout de suite te faire baiser
-Oui !!! Tu es où ?-Dans ma chambre
Ou encore :
-Je te nique seulement si tu broutes bien ta sœur !-D’accord, tout ce que tu veux, mon amour !
Pire encore, dans l’historique :
— Tu vas bientôt connaître mes potes !— Je ne sais pas si j’en ai envie— Discutes pas ! Et puis, demande à ta sœur, elle adore ça !— Si c est ce que tu veux…
Et puis aussi plus récemment :
— Je vais t’enculer avant que tu partes !— Ca me fait peur, mais j’en ai envie d’essayer ! Tu veux faire comment ?— On fait ça dans ta voiture, maman conduit et moi je te défonce le cul. Tout le monde pourra te voir. Après seulement tu pourras partir— Oh ! Mais c’est gênant, je n’ose pas !! — Pas de discussion !— Bien chéri ! Mais, tu peux mettre une capote pour éviter que ça coule après ?— On verra !!!

Je comprends, en outre à la lecture des premiers messages, que le téléphone hors de prix était destiné à son neveu. Qu’elle est follement amoureuse de lui pour tout accepter ainsi. Brigitte est d’ordinaire une femme raisonnable, je ne comprends pas ce qui lui arrive en ce moment. Ce Maxime doit être un manipulateur mental hors pair pour l’avoir transformée ainsi, en quelques jours seulement.
Je dois être livide. Je tremble d’émoi, de jalousie, de blessure d’amour propre, de rage !Aurélie m’enlace et me réconforte. Laetitia rentre à ce moment et cherche sa mère. Constatant mon dépit, elle demande ce qui se passe. Aurélie entraîne sa sœur vers la terrasse et lui promet de tout lui expliquer. Je souhaite être seul pour avoir une discussion privée avec leur mère..
J’attends, en lisant les dizaines de messages qu’ils se sont envoyés. Ce devait être un jeu entre eux. Ils étaient dans la même maison et pouvaient se parler, mais ils ont choisi ce type d’échange, comme je l’avais fait avec Aurélie les premiers temps de notre relation.
Dans leur cas, Maxime télécommande sa tante, ma femme. Il lui donne des consignes, voire des ordres.Brigitte ne répond pas toujours, mais doit exécuter des choses, comme :— Vas sous la table et suces moi à fond !ou— Roule un patin à ta sœur et fourre lui un doigt bien profond, ça me fait bander de vous regarder
Ce petit con joue au coq avec sa mère et ma femme. Ce qui me surprend, c’est que toutes deux lui obéissent comme des esclaves sexuelles. Comment s’y prend-il pour en arriver là ?
Enfin, Brigitte apparaît ! Sa démarche est encore gênée. Je sais pourquoi maintenant ! Elle cherche ses filles, mais je l’invite à s’asseoir près de moi. Elle remarque que j’ai son téléphone en main, ainsi que la capote qui traîne sur la table. Elle s’en trouve surprise, puis honteuse.
Je lui désigne la table et lui demande :- Ça veut dire quoi tout ça ? - Je … Je vais t’expliquer … Je voulais te parler, mais je n’y arrive pas ! — Alors, commence par le début ! 
Brigitte reste la tête basse et bégaye :— Quand je suis arrivée chez ma sœur, elle était contente de me voir, mais aussi très gênée, sans me donner d’explications. Et puis, Maxime est apparu quelques instants. Il a beaucoup changé, il est devenu beau garçon avec un corps parfaitement musclé. En plus, il a un charme incroyable.
Nous avons beaucoup bavardé et ma sœur était chamboulée d’avoir été abandonnée par son mari. Il était rentré plus tôt et l’avait surprise avec quelqu’un dans le lit. Elle ne m’en a pas dit plus. Leur séparation était irréversible. J’ai essayé de lui présenter les bons côtés, elle allait bénéficier d’une pension coquette, de la moitié de la maison, ce qui lui ferait un bon matelas pour l’avenir.
Elle restait chagrine et gardait le regard fuyant. Le lendemain soir, nous sommes sorties, accompagnées de Maxime, à une soirée dansante. Françoise a alors retrouvé le sourire. Elle s’amusait bien avec nous et des amis à elle qui s’y trouvaient. A un moment, Maxime m’a invitée à danser … Euh …
Brigitte reprend son souffle et poursuit :— A la première danse, tout s’est passé « normalement ». Au deuxième morceau, il me serrait un peu plus. Puis, de plus en plus ! Ses mains courraient dans mon dos et je frissonnais sous ses doigts.Imperceptiblement, il frottait son torse sur mes tétons. Quand il m’a pressé davantage contre lui, j’ai senti une barre de fer sur mon ventre. Très lentement, il se frottait sur moi. Il déposait des bises sur mon épaule, mon cou, mon oreille. J’ai refusé mes lèvres et il me tardait que la musique s’arrête pour interrompre cette situation embarrassante. J’étais atrocement troublée et dès que je l’ai pu, j’ai décidé de rentrer. Françoise voulait rester et m’a dit de ne pas m’en faire, que ses amis la raccompagneraient. Par contre, Maxime a insisté pour m’accompagner. Prétextant de la fatigue.
Toute la route, j’étais crispée, mais il ne s’est rien passé. Au moment d’aller coucher, il m’a fait la bise ‘normalement’ pour prendre congé. Je suis allée faire ma toilette et me préparer pour la nuit, et, euh … Elle est visiblement très émue. Elle avale sa salive et reste coite.
Je l’encourage :- Vas-y, continue ton histoire ! Au point où tu en es !
Brigitte relève la tête et devient plus sûre d’elle, pour la suite de sa narration :
- J’étais en nuisette en entrant dans ma chambre faiblement éclairée. J’ai eu alors un choc en voyant Maxime allongé, accoudé, sur le lit, une jambe pendante et l’autre repliée sur le bord. Ses jambes écartées offraient à ma vue un énorme cylindre qui déformait son slip. Il l’a frôlé d’une main pour le déplacer, ce qui le faisait paraître encore plus gros ! J’ai bafouillé pour lui intimer de sortir de ma chambre.
Comme il ne bougeait pas, j’ai voulu le tirer par le poignet, mais il m’a saisie, basculée sur le lit, puis a pris ma main pour la coller sur son entrejambe, tu comprends ? 
- Continue, je te prie …C’est curieux, mais ma colère est tombée. Sa description des évènements me fait vivre la scène et j’éprouve un certain trouble à l’écouter la décrire avec autant de détails.
— Il m’a guidé la main dans son caleçon et j’ai touché son sexe. Tu vas certainement, m’en vouloir de te dire ça, mais je n’ai jamais touché une telle chose. J’étais impressionnée de le palper. Maxime s’est ensuite allongé sur moi, et … Bon, tu comprends ? 
- Non, vas-y explique moi ! - Il me parlait avec une voix douce en me fixant dans les yeux, il me charmait totalement. Et c’est moi qui l’ai guidé pour qu’il me pénètre. Jamais je n’ai ressenti une telle invasion, c’était impressionnant et absolument délicieux !Quand il a voulu mes lèvres, je les lui ai données. Il m’embrassait passionnément, tout en me faisant l’amour d’une façon exceptionnelle ! 
- Il t’a faite jouir ?Elle hésite et hoche affirmativement la tête. J’ajoute, curieux :- Beaucoup ? — Enormément et plusieurs fois. Je n’en pouvais plus quand il m’a éclaboussée les seins et le visage. 
- Et après ? - Il est parti dans sa chambre. Moi, je ne pouvais plus bouger. Je me suis essuyée avec ma nuisette et me suis endormie, nue. — Et … Qu’est-ce qui s’est passé par la suite ? Ma voix émue trahit mon trouble. Brigitte donne les détails de mon cocufiage et combien elle a apprécié ce moment.
— Le lendemain matin, quand je me suis réveillée, j’avais son gland sur les lèvres. Il me caressait le visage et me parlait avec douceur. Je me devais de l’honorer de ma bouche, mais il est vraiment gros, tu sais ! Il me caressait partout et puis, il s’est allongé à nouveau sur moi pour me faire jouir … à deux reprises. Cette fois, il a éjaculé en moi.
Quand il s’est relevé, j’ai remarqué que ma sœur nous observait, debout près de la porte. Il lui a fait un signe et elle s’est précipitée. Françoise a fait une chose incroyable de sa part. Elle m’a écarté les jambes et avant que je ne réagisse, elle s’est mise à me lécher la vulve.
Maxime lui a recommandé de bien me nettoyer et s’est en allé. Jamais une langue de femme ne m’avait touchée, mais ma sœur s’y prenait bien, si bien que j’ai joui à nouveau. J’étais sur un petit nuage toute la matinée. Nous avons, toutefois, parlé Françoise et moi.
Max est son amant depuis plus d’un an. Quand elle s’est faite surprendre par son mari, elle était dans le lit avec son fils, en train de jouir à tue tête. 
- Mais alors ? Pourquoi a-t-elle insisté pour que tu ailles là bas ?  Je ne comprends pas !— C’est Maxime qui le lui a demandé, il me désirait, m’a-t-elle avoué. Tout était planifié, en particulier la soirée de la veille.- Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi tu es restée ? Et puis, c’est quoi ce téléphone que tu lui as payé ? - Pourquoi je suis restée ? Je crois que c’est pour jouir encore et encore. Pour le téléphone, Maxime en a évoqué le besoin et m’a promis de m’honorer comme il se doit, si je lui offrais ce modèle. Moi, j’avais très envie de lui et j’ai craqué.
Au retour, il m’a prise debout, dans l’entrée et … J’ai joui comme jamais ! Françoise s’est ensuite empressée de lécher le sperme qui s’échappait de moi. Cette fois, je n’ai plus eu de remords. Je lui appartenais et j’aimais ça, je le voulais ! Tous deux l’ont compris et quand il m’a demandé de faire l’amour avec ma sœur, j’ai adoré le faire, et pas seulement pour lui faire plaisir ! 
- Tu te soumettais à ses texto, c’est ça ? - Oui, j’aimais cette façon de lui obéir. Je savais qu’à chaque fois, il me ferait jouir après !- J’ai vu sur ton téléphone qu’il veut t’offrir à ses copains ! Et tu acceptes ça aussi? »
Elle rougit, hésite et reprend son récit avec une surprenante détermination :— C’est fait ! Il m’a fait acheter des dessous osés, puis les a invités. Ils étaient quatre, des jeunes hommes de son âge. Ma sœur s’est faite peloter, tout de suite, par deux gars et moi, je me suis retrouvée prise en sandwich par les deux autres qui me serrait par la taille. J’étais un peu inquiète, mais Maxime s’est touché la braguette pour me montrer ma récompense future.
J’entendais ma sœur gémir et vis qu’elle avait une main entre les jambes et une autre derrière qui s’activaient.Le gars derrière moi m’a baissé la robe et dégrafé mon soutien-gorge pour me peloter, celui en face me caressait le pubis avant d’ôter ma culotte. Je regardais à nouveau Max et il me fit un signe pour que je m’agenouille. Ils ont sorti leur sexe et j’ai sucé de mon mieux, les deux gars à tour de rôle. Puis, l’un d’eux m’a fait mettre à quatre pattes, m’a doigtée et comme je mouillais suffisamment, il m’a prise en levrette. Il était un peu brutal et, heureusement, il s’est vidé rapidement. L’autre, que je suçais, a pris sa place.
Ma sœur, quant à elle, était à califourchon sur un jeune, alors qu’un autre était derrière elle et disait à l’adresse de Max: « Putain ta mère est bonne ! J’adore ses nichons, mais son cul, c’est un vrai régal » et de lui claquer les fesses entre deux coups de reins. Françoise était très active avec ses partenaires et ça m’a libéré.
Maxime s’est approché et m’a offert son membre à sucer. Quand je l’ai eu en bouche, son gland me paraissait délicieux. Le gars qui me besognait s’y prenait bien et quand j’ai entendu Françoise jouir, je n’ai pu me retenir d’en faire autant.
Après, les gars se sont réajustés et, comme nous l’a demandé Maxime, ma sœur et moi nous sommes mise en soixante neuf, pour nous nettoyer mutuellement, devant ces mâles qui bavaient. J’étais encore au dessus de Françoise, quand je l’ai enfin sentie en moi. La belle queue de mon neveu m’emplissait ! Je n’arrivais plus à lécher ma sœur et me suis allongée sur elle pour qu’il puisse bien me bourrer !
- Mais enfin Brigitte ! Tu t’entends parler ? Ce n’est pas dans tes habitudes de dire de telles choses ! Puisque tu es sur ce registre de vocabulaire, il t’a enculée également, n’est-ce pas ? Pourtant … avec moi, tu as toujours refusé ! 
- Oh ça, c’était ce matin ! Il voulait me laisser un petit souvenir pour la route ! C’était dans la voiture, Françoise a pris le volant et nous avons roulé. Il m’a fait quitter mes vêtements et coller ma poitrine sur la vitre pour qu’on puisse me mater, comme il a dit. La position était instable. Aussi, il m’a doigté le derrière pour me maintenir et j’aimais ça.
Françoise s’est arrêtée sur un parking, le temps qu’il puisse me forcer le trou avec sa grosse bite. J’ai eu très mal malgré le lubrifiant, mais je suis restée silencieuse ! Comme il me l’avait demandé. Et puis, la voiture a redémarré et il m’a littéralement labourée ! C’était génial de lui être soumise et j’ai joui avant lui ! Comme c’était bon !Quant à cette capote, je croyais qu’il l’avait jeté par la fenêtre, elle est retombée du mauvais côté, voilà tout !
Je réalise qu’elle n’est plus la même femme. Elle me parle avec tant de désinvolture pour évoquer ses frasques sexuelles que je n’en reviens pas. On dirait qu’elle parle à une copine et non à son mari ! Je finis par dire :
-Mais, tu te rends compte ? Tu as couché avec ton neveu, ta sœur et même des gamins que tu ne connaissais pas. Tu as joui à chaque fois, me dis tu. Mais nous deux, ça ne te suffit pas, c’est ça ? On peut trouver un compromis, si tu veux par exemple avoir des amants de temps en temps.
Elle est un peu embarrassée, puis relève la tête fièrement, pour dire :
— Mon pauvre ! Ça fait bien longtemps que je n’ai rien éprouvé avec toi. Trop souvent, j’ai dû simuler pour que ça aille plus vite ! Eh oui ! Avec eux, je m’éclate comme jamais ! Et à mon âge, je dois connaître ça ! J’en ai assez de cette vie plan-plan, je veux me faire baiser et jouir toute la journée si il le faut ! C’est pour ça que je suis venu chercher quelques affaires et rejoindre Maxime, dès demain, je compte m’installer chez ma sœur par la suite ! Pouvoir profiter d’eux et même des gamins comme tu le dis. Je peux t’assurer qu’ils baisent mieux que toi !Bon, assez parlé! Pour cette nuit, tu n’auras qu’à dormir dans le canapé, j’ai besoin de me reposer dans un bon lit, mais sans toi !
Je reste sans mot, abasourdi, vexé, peiné, submergé de désillusions. Elle a été franche et directe, je dois le reconnaître, mais j’ai atrocement mal à l’âme. Des larmes emplissent mes yeux. Elle se lève, j’en fais autant, machinalement, quand surgissent les deux filles. Aurélie m’enlace la taille et dit en regardant sa mère :
- Ne t’en fait pas maman, va rejoindre ton Maxime chéri. Ah ! Il faut quand même que tu saches, que la dernière fois que nous étions là bas, il a voulu me violer, heureusement que Laetitia est intervenue et l’a giflé ! Et puis surtout, il faut aussi que tu saches, que moi, je l’aime ton mari et qu’il me fait toujours jouir ! Toujours !
Quand Aurélie me tend ses lèvres, je les prends. Je l’embrasse brièvement, instinctivement plus que volontairement, tandis qu’elle se love contre moi. Brigitte est bouleversée de voir cette scène, D’autant plus que Laetitia m’enlace la taille, se serre contre mon torse, tout en lançant un petit regard provocateur à sa mère, elle ajoute, avec un peu de perfidie :— Moi aussi, je suis d’accord avec Aurélie, je trouve que Papou me baise superbement bien ! Mieux que mon copain.
Brigitte reste pantoise, les bras ballants. A son tour d’être humiliée. Ce n’était pas ma volonté de la peiner, mais les filles en ont décidé autrement, en brusquant les choses. C’est vrai que, depuis toutes ces années, je me suis occupé d’elles bien plus que leur propre mère, mais quand même, elles mettent de la brutalité dans ces révélations ! Je souhaite que ça ne soit pas par ressentiment vis-à-vis de Brigitte, qui restera toujours leur mère.
Mon épouse vexée, monte préparer ses valises en vitupérant à mots couverts. Puis, nous l’aidons à charger sa voiture, sans un mot. Elle n’avait pas dû s’imaginer repartir aussi rapidement, mais l’atmosphère orageuse à la maison, l’a convaincue de reprendre la route. Nous aurons à parler, Brigitte et moi, mais pas ce soir.
J’enlace mes deux filles par la taille, non pour les accaparer comme un prédateur, mais pour sentir la chaleur de leur corps contre le mien et ressentir leur tendresse.— Pas question que tu dormes dans le canapé ce soir ! Je vais m’occuper de toi, mon amour ! Déclare Aurélie.— Compte sur moi aussi ! Ajoute Laetitia.
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