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Belle fille(s)

Chapitre 15

Inceste
Belle fille 15
Brigitte m’a écrit :
« Ce soir, je vais bien m’amuser. Il va y avoir plein de bonnes bites pour moi ! Je serai le gros lot de la loterie qui est organisée. Le gagnant sera le premier à pouvoir m’enculer ! Maxime lui, m’a promis qu’il sera le dernier à me baiser ! Tu ne peux pas savoir comme je suis impatiente ! D’ailleurs regarde, j’ai commencé ! »
Sur la photo qui accompagne le texte, je découvre mon épouse agenouillée, en train de sucer un gamin qui rigole fièrement. La prise de vue de trois-quarts arrière, la montre vêtue d’un mini short en cuir, très échancré, qui expose largement le galbe de ses fesses. Elle porte des bas résilles et des bottillons. Le jeune qu’elle suce lui caresse un sein par l’échancrure de sa courte chemise à carreaux.Si je ne savais pas que c’est Brigitte, je n’oserais la reconnaître en cette femme aux allures si particulières.
Très curieusement, sa provocation ne me fait ni chaud, ni froid ! Cette femme n’est plus mon épouse, elle est tellement métamorphosée, que je ne la reconnais plus ! Brigitte est presque devenue une étrangère pour moi. Devrais-je essayer de la sauver des griffes de son gigolo ? Il est probable que l’effet soit contraire.Je pense que Laetitia a raison, laissons passer un peu de temps pour qu’elle puisse se rendre compte de ses erreurs.
Aurélie me demande :— Alors, tu as vu ce qu’elle t’a envoyé !— Oui ma chérie, je vais lui répondre !
En guise de réponse, je reste laconique :«Amuse toi bien ! Mes amitiés à Françoise » Alors qu’elle sait parfaitement que je déteste sa sœur… Elle comprendra certainement l’antithèse que j’exprime dans ce message
Alors que je finis de composer mon texte, Laetitia, derrière moi, me mordille la nuque puis le lobe de l’oreille. Sa respiration courte exprime très nettement un désir intense !Je me retourne vers elle, et elle me saisit le visage pour m’embrasser. Sa langue furtive taquine la mienne et je la fais basculer par dessus de l’assise du canapé pour l’enlacer.
Elle me prend alors la main et la pose sur sa chatte glabre. Je lui taquine le clitoris puis, elle se met à tortiller son corps quand je lui glisse un doigt dans sa caverne.
Son antre humide cherche une pénétration profonde que je ne peux lui prodiguer, vu la mauvaise posture de mon poignet.
Elle s’exclame vulgairement, comme à son habitude quand elle est dans cet état :— Oh mon salaud, comme c’est bon quand tu me branles ! Baise-moi maintenant, j’ai trop envie de ta queue !
Sa sœur, complice, baisse mon pantalon et délivre mon sexe. Elle me masturbe avec précision, tout en me doigtant l’anus comme il faut et rapidement j’obtiens la vigueur nécessaire.
En moins d’une minute, Laetitia est sur moi et je n’ai rien à faire d’autre que la laisser me chevaucher pour la cavalcade qu’elle mène au grand galop ! Ma chérie m’embrasse langoureusement durant tout le temps qui est nécessaire à l’extase de sa sœur, qui émet des jurons à tout va.
Je ne jouis pas et ça me convient, je veux garder des forces pour plus tard, avec ma chérie !
Nous reprenons notre souffle et je demande à Laetitia :— Et bien ! Que t’arrive-t-il ? Tu ne dois pas voir ton copain tout à l’heure ?— Ben, disons que … Tout ça (elle désigne mon téléphone, sous-entendu le message de sa mère), ça me chauffe ! Et puis, ce soir, c’est plutôt une rencontre que l’on peut qualifier «d’officielle », donc pas de galipettes au programme !
Aurélie m’interroge :— Au fait, on fait comment vis-à-vis de Florian ?— Mais le plus naturellement du monde ! N’es–tu pas ma fiancée ? Dis-je en l’attirant à moi.— Tu es sûr que …— Absolument ! Demain, j’appellerai votre mère pour faire une mise au point. Je souhaite rompre notre mariage au plus tôt ! Et ainsi, d’être libre pour toi !
Les yeux d’Aurélie pétillent de joie, mais elle ne dit rien. Elle ne veut que m’embrasser, passionnément !Alors que nous préparons le repas, je reçois un autre message de mon épouse.Ce n’est pas elle qui l’a rédigé, car il y est écrit :« El é bone ta meuf ! »Ce genre de fautes est indigne d’elle, c’est donc une tierce personne qui a écrit ça ! 
Sur la photo qui accompagne, je vois Brigitte, les fesses à l’air qui est assise en amazone sur les genoux d’un jeune gars, lequel à une main entre les cuisses de ma femme, probablement pour la doigter. En arrière plan, un peu floues sur l’image, d’autres personnes sont en petits groupes. Je distingue toutefois ma belle sœur, enlacée par un jeune et surtout Maxime en compagnie d’une jeune femme, en jupe courte qui moule bien ses jolies formes.
Assurément, Brigitte va me faire envoyer des images commentées de ses frasques, cela certainement pour pouvoir bien marteler mon cocufiage. J’avoue qu’elle y réussit et j’ai un pincement au ventre de la voir se faire tripoter par ces jeunes en chaleur et surtout qu’elle n’ait pas de scrupules à mêler ces inconnus à nos problèmes personnels.
Aurélie me regarde, désolée et m’enlace pour me réconforter. Je me sens bien dans ses bras et lui dis :— Dès demain j’entame la procédure, je souhaite que cela se fasse à l’amiable, même si j’ai tous ces éléments en ma faveur.— Tu vas y laisser des plumes ! D’autre part, tu as tout ce qu’il faut pour gagner ton divorce.— Ce n’est pas l’essentiel ! Je veux que cela soit rapide ! En outre, avec ta mère, j’ai vécu de longues années de bonheur ! Je ne souhaite pas en faire une affaire d’argent, uniquement pour ce moment d’égarement, que j’espère passager.— Tu parles de nous deux, en disant « un moment d’égarement » ?— Non pas du tout ! D’ailleurs, je ne me suis pas égaré en te trouvant ! Tu es ce qui est le mieux qui me soit arrivé dans la vie !— Vraiment ?— Vraiment ! Dis-je en la pressant contre moi.
Avec cette intimité resserrée, j’ai le sentiment que nos corps vibrent à l’unisson, que nos âmes se mélangent et que notre amour pulse d’un cœur unique. Cela est exprimé sans exagération de ma part ! J’ai réellement le sentiment de n’être qu’un avec elle. C’est ça, le véritable sens de l’amour ! Comme c’est agréable !
Laetitia nous abandonne pour aller se préparer, tandis que nous dressons la table. Puis, à notre tour nous allons nous apprêter. Aurélie opte pour une tenue très chaste. Libre à elle !….
Florian, le petit ami de Laetitia, est ponctuel et c’est moi qui vais lui ouvrir la porte. Il est impressionné de me rencontrer. Il tient une bouteille de vin dans une main et un beau bouquet de roses dans l’autre. Je le débarrasse de la bouteille afin de lui serrer la main en guise de bienvenue.
Lui cherche la maîtresse de maison pour offrir ses fleurs. Je lui désigne Aurélie et la stupéfaction le laisse pantois. Je confirme d’un geste de la main qu’Aurélie est bien ma compagne. Cette dernière sourit et lui précise qu’elle est aussi la sœur de Laetitia.
Le jeune Florian reste interrogatif et Laetitia, après lui avoir fait un baiser furtif, l’emmène par la main dans le salon pour lui donner quelques mots d’explication.
Très rapidement, l’ambiance se détend et nous abordons différents sujets de conversation. Il ne semble pas choqué que je tienne la main d’Aurélie en la bisant de temps à autre.Nous passons à table, moi près de ma chérie, Laetitia près de son copain. Alors que vais à la cuisine chercher l’entrée, je reçois un nouveau message de Brigitte :« Regarde tout ce que j’ai déjà récolté ! »
Sur la photo accompagnatrice, un ’selfie’ de sa chatte, que je reconnais au grain de beauté dans l’aine. Sous sa vulve, une coupe à champagne pour récupérer le sperme qui s’en échappe. En sus, je remarque vite que le contenu de ce calice n’est pas dû à une seule éjaculation. Au moins six ou sept, au bas mot !
Je reste bloqué un moment et Aurélie vient à ma rescousse. Elle prend connaissance du message et, sans un mot, éteint complètement mon portable de façon péremptoire. Elle me ramène à la réalité en me tirant par la main vers la cuisine, pour me dire :
— Ne t’en fais pas chéri ! Laisse-la faire ! Pour le moment, on passe une bonne soirée !— Tu as raison ! Pardonne-moi.
Un câlin contre son corps me redonne confiance et vitalité.
Alors que nous terminons le dessert ; les téléphones des filles tintent, presque simultanément, un signal de message. Si Aurélie garde son calme en en prenant connaissance, Laetitia, quant à elle, s’exclame :— Oh la salope !
Ces mots suscitent la curiosité de Florian qui jette un œil sur l’écran de l’appareil. Je remarque son regard tout d’abord fasciné, puis intéressé, puis intrigué. Ma chérie me montre de quoi il s’agit.
Toutes deux ont reçu de leur mère un gros plan sur la bite de leur cousin. Cette verge tendue est léchée par Brigitte qui regarde l’objectif en souriant, avec pour commentaire « C’est autre chose que la bite de votre père ! ».
Laetitia s’emporte et tapote quelques insultes à l’endroit de sa mère et reste furieuse de longues minutes après!Aurélie m’enlace la taille et m’attire à elle. Le contact de nos flancs me ragaillardit. Je me dis, en moi-même, que mon épouse est devenue complètement cinglée ! Quelle folie vengeresse l’anime autant ? C’est plus que de la provocation, c’est un harcèlement quasi hystérique qu’elle souhaite nous faire !
Pour se passer les nerfs, Laetitia se lève afin de desservir la table et Florian, un peu circonspect, lui emboîte le pas. Le jeune couple disert à voix basse, elle doit être en train de lui résumer la situation familiale et de la passion nouvelle de sa mère pour son neveu..
Aurélie me bise la joue et me souffle à l’oreille :— Arrête de regarder son cul, il va finir par le remarquer.Je réalise à ses mots que mon regard n’est pas autant dans le vague que ça, et c’est bien le derrière de ce garçon que je mate !— Désolé chérie ! Je ne l’avais pas remarqué !— Ouais ! Ouais ! On dit ça …
Laetitia propose, à la cantonade, que nous buvions du champagne, mais Florian est réticent car il doit reprendre la route.
Les mots sortent de ma bouche avant d’arriver à ma conscience, quand je déclare :— Florian, vous pouvez rester dormir ici, si Laetitia est d’accord, bien sûr !Cette dernière est ravie et se retient de me sauter au cou.
Les deux sœurs s’éloignent pour, probablement, discuter à propos de leur mère. Quand elles reviennent, c’est pour se lover contre nous. Florian est maintenant plus détendu et se révèle bien sympathique. Laetitia lui fait des papouilles et Aurélie m’enlace tendrement, tandis que nous discutons de différents sujets. En évitant, bien entendu, de revenir sur la débauche de leur mère. Fort tard, alors que Laetitia et Florian s’apprêtent à aller se coucher, je me décide à activer mon téléphone. Aurélie me propose alors que nous regardions ça plus tard, dans notre lit.
Après une petite toilette, je rejoins ma chambre pour y retrouver ma bien aimée. En passant devant la porte entrouverte de Laetitia, j’entends une discussion à voix basse. Par discrétion, je passe vite mon chemin.
Aurélie m’attend, belle comme un ange dans sa nuisette. Je saisis mon téléphone et la rejoins dans le lit, où nous nous glissons sous les draps. Mon appareil est bourré de messages qui, d’ailleurs, ne proviennent pas tous de ma femme …
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