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Ma belle fille me domine

Chapitre 1

Elisa

Inceste
Histoire vécue en vous présentant ma belle-fille. Quelques autres chapitres sont en cours de rédaction pour vous décrire la situation dans laquelle je me suis retrouvé.Nous étions ensemble avec Valérie depuis maintenant trois années. Nous nous sommes rencontrés lors d’une soirée chez des amis communs.
Moi Antoine, je suis séparé depuis quelques années. Ma femme me reprochait de ne pas être assez dynamique et entreprenant. Trop servile même quelquefois, disait-elle. Elle a fini par trouver un mec du genre male alpha, avec qui elle file le parfait amour soi-disant.Alors, quand j’ai rencontré Valérie et qu’elle m’a fait les yeux doux, j’ai craqué rapidement sur ce petit bout de femme très dynamique. Il faut dire qu’elle fût pour moi, un tsunami d’émotions, de fougue, de vivacité.Très entreprenante, elle avait décidé de ne pas louper cette occasion du mec sympa et d’agréable compagnie. Je peux bien me jeter quelques fleurs, ayant la main sur l’écriture du texte.Valérie était séparée de son ex depuis huit ans. Il était parti loin de chez eux, sans vraiment donner d’explications. Ce fut dur au départ. Mais sous la pression de ses copines, elle avait décidé de refaire sa vie et le hasard a fait que nous nous sommes trouvés.Quand je suis arrivé dans cette famille, j’ai fait la connaissance des deux enfants de Valérie ; Antoine et Elisa.Antoine, joli garçon était en internat pour ses études technique à la faculté de Marseille, et rarement à la maison. Hormis quelques week-ends où il revenait pour voir sa sœur et sa mère.Quant à Elisa, ce n’était pas très évident au départ. Tous les moments que Valérie passait avec moi étaient un peu moins de temps pour elle. Il faut dire qu’elle monopolisait pas mal le seul parent présent dans sa vie.
Mais chacun trouva sa place et l’ambiance était plutôt bonne. Même si par moment j’avais un peu l’impression de faire le serviteur de cette demoiselle, au caractère dirons-nous très affirmé, voir assez hautain.Je lui reprochais à plusieurs reprises en lui disant de mieux me parler, que je n’étais pas à son service, ainsi que d’autres remarques du même style. Et souvent ces discussions finissaient par quelques prises de bec. Elle montait alors dans sa chambre pour couper court au dialogue.
Je me disais que cela allait bien finir par s’arranger.Avec le passage de l’adolescence, ce ne fut pas vraiment le cas. Mon rôle de beau-père se cantonnait de plus en plus à lui servir de chauffeur pour certaines sorties chez ses amies.Mais aussi, l’emmener à ses cours de sport, voir l’aider dans certaines tâches domestiques que demandait sa mère.Je n’étais pas son larbin non plus, mais cela pouvait y ressembler parfois.D’ailleurs, Alain, un bon ami de Valérie qui passait souvent à la maison pour discuter avec ma compagne, me faisait la remarque assez souvent.
— Antoine, ça fait plaisir de vous voir tous heureux dans cette famille, dit Alain.
— Mais fais attention avec Elisa, elle a un petit caractère et je vois bien que tu n’oses pas la remettre à sa place. N’hésite pas car sinon elle risque de t’en faire baver, me dit-il avec un grand sourire en finissant sa bière.

Bon, il faut bien que jeunesse se passe.Les mois passaient et Elisa continuait et ne se gênait pas de faire quelques remarques hautaines à la maison, ou lorsque je la déposais chez ses amies.Je voyais bien dans ces moments qu’elle parlait de moi d’un air plutôt dédaigneux.Je sentais qu’elle voulait prendre un certain ascendant psychologique sur moi. Une forme de domination, peut-être parce que je partageais la vie de sa maman, qui n’était plus aussi disponible pour elle ?Peut-être une forme de jalousie aussi, en effet.
Je vais vous la décrire un peu plus.Elisa, dix-neuf ans depuis fin deux mille vingt et un, copie conforme de sa mère, mais avec des yeux verts.Récemment sa chevelure très brune avait bénéficié d’une jolie coupe au carré faisant ressortir son visage d’ange et son superbe regard.Une petite poitrine, que je devinais toute ronde et très ferme, cachée derrière des dessous de son âge en coton, mais de moins en moins sage.Je notais l’apparition de dentelles sur les derniers achats fait avec sa mère. Je le savais car mon porte-monnaie s’en était trouvé allégé !
Depuis que je les connaissais, Elisa descendait souvent le matin en t-shirt couvrant à peine son ventre. Et en bas, une petite culotte ou un petit short de nuit dont les élastiques avait rendu l’âme depuis longtemps, mais qu’elle affectionnait particulièrement.Ses fesses se retrouvaient souvent dévoilées au moindre regard.
Je découvrais sa panoplie de dessous, et l’évolution depuis ces dernières années, à force de la voir évoluer si peu vêtue à la maison.
Et d’ailleurs, je notais que le tanga devenait sa petite culotte préférée et très souvent de couleur blanche voir crème.Sa mère lui a bien fait quelques réflexions en lui disant qu’elle pouvait s’habiller un peu plus à la maison. Mais Elisa disait que ça ne la gênait pas.Elle se sentait à l’aise dans cette tenue, et que si ça gênait quelqu’un, il n’avait qu’à regarder ailleurs.
Bien sûr j’avais pris cette réflexion pour moi et je m’étais abstenu de répliquer. Dorénavant, je me contentais de juste la regarder discrètement.Difficile de s’en empêcher, son corps était devenu celui d’une jeune femme très séduisante et qui attirait le regard. Elle provoquait un émoi bien certain au fond de mon slip.Notamment le matin, quand à peine réveillée au petit déjeuner, elle se penchait pour attraper les céréales situées au fond du tiroir du bas. Ainsi elle exposait ses fesses, bien fendues par la dentelle de son tanga.Fesses que je décrirais comme vraiment parfaites. Rondes et très musclées car elle pratiquait de façon intense la gymnastique. J’avoue que c’était devenu un petit moment de plaisir, qui me permettait à chaque matin de redécouvrir ses formes et me rincer les yeux.
A plusieurs reprises j’avais même eu l’occasion d’avoir son petit postérieur très près de mon visage. Elle était souvent dans la même tenue, le soir quand nous regardions la télévision. Un tee-shirt court, qui ne couvrait que le haut de son tanga.
Ce dernier faisait ressortir ses fesses. Et quand elle se levait du canapé, moi assis juste à ses côtés, je ne pouvais que constater la perfection que la nature lui avait offerte.Je voyais même certains soirs, les picotements de la chair de poule sur ses fesses que j’attribuais, innocemment, à un frisson lié à la température de la pièce.
Mais le moment mémorable fût, quand un matin, pour ramasser ma serviette qui avait glissé de la table du petit déjeuner, je me penchais pour la récupérer sans arrière-pensée.Au même moment, Elisa ouvrait le lave-vaisselle pour y déposer son bol de chocolat.Penchée en avant, son short très ample s’était retrouvé plié sous lui-même d’un côté de sa fesse pendant qu’elle déjeunait. Il ne cachait plus rien de sa fesse gauche.Mais surtout, il dévoilait sa petite étoile brune ornée de quelques poils noirs tout autour.Elle était courbée devant moi avec son petit trou apparent. A tel point que je me demandais si elle savait ce qu’elle me montrait.
Très vite, je me redressais devant mon bol de café, avec cette vision au fond du cerveau et une érection difficile à cacher devant cette situation érotique et ce moment volé. Bien sûr, sous la douche, je me branlais énergiquement avec cette image.
Plutôt toute menue, elle mesurait un mètre cinquante-cinq et pas loin de quarante-cinq kilos. Elle finissait sa terminale gestion cette année après avoir redoublé deux fois.Pas de copain connu à ce jour, mais la demoiselle ne semblait pas trop farouche avec les garçons.On s’en rendait compte avec Valérie lors des anniversaires, ou lors de petites fêtes organisées à la maison.
Pour ma part, j’avoue que les après-midis avec ses amis, autour et dans la piscine, étaient un moment de plaisir très attendu.Mais aussi très difficile, tant je devais fournir des efforts pour ne pas montrer que je laissais mes yeux dériver vers les formes de toutes ces jolies filles.Que voulez-vous ! On ne se refait pas.
Je ne disais rien non plus quand sa mère se faisait un peu prier lorsqu’Elisa demandait l’autorisation de faire venir ses potes à la maison.J’espérais secrètement que Valérie allait accepter. Et surtout, que nous resterions ces après-midi-là à la maison avec ma compagne.Plus d’une fois, tous ensemble dans la piscine, lors de jeux de ballons ou à se chahuter, mes mains se posaient, innocemment, sur les corps voir lors de jeux de chatouilles, dérivaient et frôlaient quelques petits seins, ou déjà plus imposant pour certaines de ses amies.
Bien sûr, tout cela était sous le couvert du jeu dans la piscine. Mais pour moi, c’était une émotion certaine, qui se finissait souvent par une branlette un brin excitante et cependant humiliante dans les WC.A ce jeu, je remarquais que sa meilleure amie était assez réceptive et semblait se prêter facilement à ces attouchements, bien que je fasse en sorte que cela soit le plus discret possible.Elles étaient du même age. Mais Anais, sa meilleure amie était très blonde avec les cheveux qui lui descendaient jusqu’au milieu du dos. Une jolie poitrine généreuse qu’elle ne cachait que par un petit haut qui avait beaucoup de mal à faire le contour.Le tout sur un joli visage d’ange aux yeux bleus, avec des formes plus épanouies que ma belle filleJe me souviens notamment d’une fois. Nous étions assez nombreux dans la piscine avec plusieurs de ses amis. Valérie venait juste de sortir et se sécher pour s’allonger sur un transat.
Les garçons jouaient au ballon. J’étais sur un bord de la piscine à les regarder. Brusquement sa meilleure copine a voulu me couler en me prenant par derrière et en me sautant sur le dos.
En me retrouvant sous l’eau, surpris, je me retournais et les yeux fermés, je tentais de l’enlacer pour la soulever et la jeter plus loin.A ce moment-là ma main se retrouvait entre ses cuisses, bien plaquée sur son pubis. Mais je continuais à la lever et à la pousser plus loin. En sortant la tête de l’eau, j’avais vu son regard pétillant et un grand sourire sur ses lèvres.Je ne savais pas si elle souriait parce que je l’avais vraiment touché intimement. Ou, parce qu’elle avait réussi à me couler. Pour ma part, j’avais quand même pris conscience de l’endroit où ma main s’était logée et j’en avais ressenti une forte satisfaction de l’avoir caressé là.
Cependant durant d’autres moments de jeu, je trouvais quand même qu’elle ne réagissait pas vraiment.Quand ma main se retrouvait calé contre son sein lors d’une bousculade, ou quand une fois j’étais plaqué contre ses fesses, en l’enlaçant pour récupérer un ballon qui était devant elle, elle m’avait juste souri.Pour le récupérer, j’avais dû la coller contre moi. J’avais senti ses fesses s’écraser contre mon pubis et mon sexe se glisser entre ses deux rondeurs. Plus elle se débattait pour conserver le ballon, et plus elle reculait, accentuant le frottement de nos corps.Elle ne pouvait ignorer l’état dans lequel j’étais.Trouvant le jeu trop risqué devant tout le monde, j’étais sorti rejoindre Valérie. Mais je pouvais voir la figure boudeuse qu’elle me faisait, déçue de ne pas continuer.
Pour revenir à Elisa, elle est une bonne élève. Mais aussi, une adorable adolescente sans soucis, cependant, elle a un caractère affirmé. Elle ne nous en faisait pas trop baver. Enfin pas trop à sa mère.Comme je l’indique plus haut, je tenais le rôle du beau-père sympa et plutôt serviable. Un peu gentil, surement pour se faire accepter plus facilement auprès d’elle, mais sans remplacer le père absent.Et ça elle l’avait bien compris.Elle jouait fréquemment sur les petites remarques ou des demandes que je m’exécutais à faire pour lui donner satisfaction.Plusieurs fois, j’avais été surpris par son ton employé. Celui d’une femme affirmée, sûre de son pouvoir de domination. Certes, je suis loin du male alpha mais de là à me faire dominer par une gamine !Je n’étais pas très fier de mon absence de réaction.L’autre matin, nous étions à la maison et Valérie partait faire les courses. Elle dit à Elisa :
— Ma puce, tu feras tourner la machine car la panière est pleine de nos dessous et t-shirts. Tu mettras la machine à quarante degrés, s’il te plait. Il y a aussi le lave-vaisselle à débarrasser.

— Antoine est en télétravail et du coup occupé par des réunions Teams. Merci de ton aide. Bisous

— Oui maman, lui répond-elle.
Puis elle part pour deux heures de courses.Au bout d’un long moment, n’entendant aucun bruit, je sors du bureau et je vois Elisa en string et t-shirt pastel dans le canapé à pianoter sur son téléphone.
— Elisa, tu penseras à faire ce que ta mère a dit, lui dis-je.
En disant ces mots, je n’imaginais pas que l’on pouvait avoir un regard si froid, si dur, si profond qu’un frisson me parcourut toute la colonne. Elle me lança.
— Non mais quoi, tu crois que j’ai une tête à laver tes caleçons ? C’est fini le patriarcat dans cette maison. Moi, je suis vraiment occupée. Allez bouge ! Maman va bientôt revenir.
— Non mais ça ne va pas de me parler comme ça ? Je suis au travail, dis-je outré par ses paroles.

— Et alors, dit-elle.

— De toute façon, on sait très bien que tu vas finir par le faire et que tu ne diras rien à ma mère. Alors ne perdons pas de temps et va laver mes culottes ! Bouge, je suis occupée.
Là, elle retourne pianoter sur son téléphone m’ignorant totalement.Désabusé et voyant l’heure tourner, j’ai fait le tri dans les affaires de la panière. Il y avait, en effet pas mal de sous-vêtements.Discrètement, j’ai profité de ce petit moment volé pour renifler les dessous d’Elisa que je trouvais de plus en plus odorants.Je remarquais que ses tangas étaient souvent tachés de traces blanches. Des effluves d’urine et de sueur me remontaient au nez.Ces odeurs musquées légèrement acres, m’avaient toujours excité et de savoir que c’était cette petite peste qui les produisait m’avait fait bander bien dur.Je saisissais mon sexe raide et en quelques minutes, je remplissais sa culotte la plus sale de ma semence.Légèrement titubant suite à cette éjaculation intense, je lançais la machine et filais dans mon bureau, un peu honteux de mon attitude.
Mon téléphone a sonné juste après et une conversation assez longue avec un client me tint occupé un bon moment. A ce moment-là, j’avais à peine raccroché que la voiture de Valérie arrivait.De mon bureau, j’entendais Elisa qui se leva rapidement, et en ouvrant le lave-vaisselle sortit deux, trois verres propres et quelques assiettes.Lorsque sa maman rentra dans la cuisine avec le panier de course, Elisa lui dit :
— Maman, je dois finir un devoir, tu peux finir le lave-vaisselle stp. La lessive tourne déjà.
— Ah merci de ton aide ma chérie, dit sa maman d’un air ravi.
Je sortais du bureau pour dire à Elisa qu’elle ne manquait pas d’air.
— Antoine, ah tu tombes bien, dit Valérie.
— Tu pourras finir le lave-vaisselle, la petite est occupée. Et aussi vider le reste des courses de la voiture. Merci mon chéri.
Sans avoir eu le temps de lui répondre, Valérie partit préparer le repas.Elisa passa devant moi en me faisant un geste de la main qui semblait dire : Dépêche-toi et obéis. Elle avait un sourire ironique et dédaigneux.
— Mais chérie, j’ai encore du travail, dis-je à Valérie.
— Oui mais la petite a des devoirs. Je te laisse t’en occuper, je vais dans la cuisine pour le repas, me réponds Valérie.
Là, Elisa grimpait dans les escaliers pour rejoindre sa chambre. Elle se retournait, son pied droit posé sur la marche supérieure.Je voyais ses superbes fesses fendues par son string blanc à hauteur de ma figure.Je ne pouvais les ignorer et malgré le coup qu’elle venait de me jouer, je ne pouvais m’empêcher de les mater plutôt que de la reprendre.Je relevais alors la tête vers elle, et là, elle me dit d’un ton ferme mais en chuchotant.
— Tu vois, tu dis rien et tu obéis comme d’habitude. Alors dépêche, moi j’ai des textos à envoyer à ma copine. J’ai plein de choses à lui raconter.
Et sur cette répartie cinglante et son sourire victorieux, elle filait dans sa chambre.Les yeux baissés, mon regard se portait cependant sur ses jambes fines qui grimpaient l’escalier dévoilant ses fesses à peine recouvertes par la dentelle.
— Bon sang quel joli cul musclé, me dis-je doucement.
Mais encore une fois elle avait retourné la situation à son avantage et en m’humiliant une fois de plus sans que sa mère le remarque.J’essaye d’être le plus précis dans le déroulement des faits qui se sont passés afin de vous restituer le plus fidèlement l’histoire vécue.Vous verrez que ma passivité n’était qu’à son début et qu’Elisa a accentué sa domination.
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