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Belle fille ma future belle-fille!

Chapitre 1

Inceste
belle-fille? jolie fille en tous cas!
Quand j’ai su que mon fils allait se marier avec Elle. J’ai dit c’est pas possible, il va pas faire ça. Et pourtant je lui ai rien dit. Je l’ai pas mis en garde. Et pourtant…C’était il y a six mois. De retour d’un séjour dans le midi, notre fils est revenu avec une splendide petite méditerranéenne. Gracieuse mais assez têtue. Comme ils n’avaient aucun moyen de vivre de leur côté, naturellement ils ont habité chez nous. Dormant dans la chambre du fiston. Mais partageant notre vie commune.Et ce ne fut pas toujours facile pour moi. Je vous passe les matins ou la belle arrivait en toute petite tenue, encore chaude de son lit… j’ai pris de ces triques, je vous dis pas.

Non, un soir ce fut plus terrible encore. Je parle de mon érection… Ils s’étaient retirés dans la chambre depuis un bon moment et je restais seul devant la télé, regardant une ânerie pour ne pas me coucher trop tôt, je dors peu…J’entends la porte du couloir s’ouvrir et je tourne la tête pour voir Nathalie débouler en petite culotte et rien d’autre et filer aux toilettes… Des seins plus gros que je ne les avait aperçus partiellement couverts et surtout défiant la pesanteur sans vergogne.Je retourne à ma télé me disant qu’il valait mieux ne pas assister au retour de Nathalie vers leur chambre.Bruit de glouglou, j’imagine la petite foufoune d’où provient ce gazouillis, bruit de porte, bruit de pas qui se rapprochent puis plus rien. Je tourne la tête ? allez… ! elle est là !!! à deux pas, de profil ses seins sont superbes, en forme de poire, des petits tétons qu’on dirait dressés. Un ventre d’adolescente qu’elle n’est plus depuis si peu de temps. Des fesses hautes, comme j’adore…Elle regarde la télé. Elle regarde, mais pourtant je jurerais qu’elle me nargue. « Pas cap’ ! pas cap’ de faire un geste… t’es pas cap’ » semble-t-elle me faire comprendre.Je la reluque gentiment, un petit sourire paternel (si, si, je sais la jouer !!) posé sur mon visage pour masquer l’envie terrible qui me submerge.Pas de siège de libre, elle fait un pas et s’assoit sur mon genou. Je manque de défaillir . Et surtout de craquer . je parviens à articuler deux trois banalités…j’ai une jolie vue sur son dos entièrement libre, sur le bas de ses reins, sa petite culotte arrivant à moitié fesses. Je contemple en silence , en me mordant les lèvres.Elle se tourne à moitié vers moi, me prend par le cou et me fait deux bises appuyées. « bonne nuit joli papa, ...faites de beaux rêves! ajoute-t-elle en remuant un peu le buste m’a-t-il semblé.Ma main qui avait pris sa hanche d’un geste naturel glisse vers ses fesses lorsqu’elle se lève et disparaît pour la nuit. Je peste sur la vie qui est mal faite… et j’envie le fiston qui se la tape. Et je tache d’oublier ce merveilleux intermède.

Le lendemain matin, j’allais partir bosser, ne restait que la jeunette dans sa chambre. Epouse et fils déjà partis. J’enfile ma veste et j’entends appeler « joli papa !! » « oui ? » demandè-je à travers la porte.« entrez » dit-elle. Ce que je fis… elle avait relevé le drap qui épousait ses moindres contours. Je ne pouvais que deviner chaque courbe de son corps.« qu’y a-t-il ? » et la réponse « voulez vous ouvrir la fenêtre ? ». je m’exécute et m’approche du lit pour lui souhaiter une bonne journée...et je pose ma main sur une hanche et je remonte sur un bras pour me pencher sur une joue. Mais la tête se tourne et j’embrasse des lèvres tant désirées ; je m’apprête à m’excuser mais deux bras attrapent mon cou et m’attirent…la petite bouche s’ouvre sous ma langue impatiente, et je roule un patin divin à la petiote…Que c’est bon… Mais que c’est ennuyeux. Dois je me sauver en courant, je suis en train de me lutiner la petite amie de mon fils ? Ou bien dois-je profiter de l’instant et puis on verra bien ?En tous cas la chérie me serre si fort qu’elle me montre bien que ce baiser, elle ne veut pas l’abréger… une main est partie sous le drap. Déjà je tiens le joli sein dans ma paume, je caresse, je roule le téton, je malaxe, je passe à l’autre, et les petits soupirs de Nathalie malgré sa bouche pleine de ma langue en disent long. Ma main descend, caresse le ventre plat...en cercles qui m’amènent à frôler le pubis. Et puis je descends franchement et empoigne cette chatte à pleine main, les jambes se sont ouvertes comme par magie.Je descends jusqu’à rencontrer le petit anneau de son cul et remonte en séparant les lèvres…Elle mouille la merdeuse. Elle devait fantasmer depuis un moment pour être aussi trempée…ou sont-ce des restes des agapes nocturnes... ? M’en fout !Le clitoris débusqué je l’excite adroitement, le petit ventre se soulève… Ma main quitte ce lieu paradisiaque et rabat le drap totalement. Quel spectacle ! Sa peau un peu mate sur ce drap de lit tout blanc. Des formes gracieuses, voire graciles…et là, au centre cette foufoune à bouffer.J’abandonne la bouche pour aspirer un sein et lécher le petit téton qui gonfle sous la succion ; après avoir largement fait connaissance avec le chérubin et son jumeau, je descends embrasser et lécher le ventre plat et me déplace pour me trouver au centre des deux branches du compas que forment ses deux jambes.Je saisis les chevilles et les remonte en écartant. La charmante chatte juteuse est là, prête à mes baisers. Ma bouche vient se plaquer sur le sexe en feu, Nathalie gémit et m’encourage. Ses mains sont sur ma tête, me poussant à aller plus fort, plus loin dans ce cunilingus… Elle ne doit pas savoir ce qu’un homme mur peut faire à une jeunesse qui lui laisse la voie libre… La patience, la science, l’écoute des matousines tout ça nous permet d’être plus à même que nos cadets de donner du plaisir à une fille. Ma langue lape ce jus divin, asticote le clitoris, descend lécher l’intérieur de ce sexe de vingt ans. Tant et si bien que les saccades du ventre et les râles de Nathalie me font sentir que je l’ai bien apaisée.
On en reste là ? me dis-je, songeant à mon fiston que je cocufie presque malgré moi !!!! Mais la belle se jette à genoux et entreprend de me quitter le bénard. Elle zippe la fermeture et va chercher une bite qui a du mal à passer. Je préfère enlever la ceinture et dégrafer. Ouf, la sortie est facilitée !Un regard d’envie, une bouche qui s’ouvre et ma belle est déjà active, elle me pompe avec fougue, presque naïveté. Elle aime ça mais la technique devra être travaillée, chérie. Me dis je. Elle lève les yeux, guettant mes réactions, cherchant à me donner le plaisir maximum. Bonne fille… Ces yeux qui me regardent, avec cette bouche remplie de ma queue…quel pied!N’empêche que de se faire sucer par une belle gosse, ça m’amène à grande vitesse vers le plaisir et je ne retiens pas de long jets que Nathalie ne recrache pas !!!Je suis bien ennuyé . Pour tout dire je voudrais effacer cet épisode mais hélas…Enfin, j’ai quand même été pompé efficacement, et j’ai donné du plaisir à la petite….Un long baiser bien humide, bouches ouvertes et langues impudiques…mes scrupules m’empêcheront-ils de te prendre une autre fois, belle Nathalie ? En tous cas, là, je file…en soupirant…Je jette un dernier coup d’œil, elle est là, nue, fragile,yeux clos, abandonnée avec les jambes ouvertes, et une fourche sombre ou brillent quelques reflets…pff
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