Quelques jours après cette soirée au restaurant, je me suis surpris à très souvent penser à elleL’image de la petite fille était à jamais perdue et laissait place à celle d’une femme sensuelle et au combien désirable, nos échanges étaient comme avant mais le trouble qui m’habitait était très difficile à contenir. Les fois où nous nous croisions je ne pouvais m’empêcher de laisser trainer mes yeux sur sa jolie poitrine toujours sagement cachée par un pull ou autre ou son petit cul rebondi recouvert par son jeans car elle s’habillait le plus souvent de la sorte sans grande féminité d’où la découverte ce soir là au restaurant de la sensualité dont elle était capable. Il me semblait que son regard avait changé quand il se portait sur moi, sa façon de me regarder parfois était marquée par ce que j’interprétais une certaine défiance mais peut être était ce le fruit de mon imagination. Il me semblais également que les chastes baisers que nous échangions le matin et le soir étaient plus appuyés mais rien de bien tangent et je me devais de ne surtout rien interpréter ni envisager car je ne voulais en aucun cas déstabiliser cette belle famille que nous formions sa mère avec laquelle nous étions assez heureux, sa sœur plus âgée de 3 ans qui vivait elle de façon autonome depuis plus d’un an afin de poursuivre ses études à une soixantaine de kilomètre de chez nous mais qui revenait assez régulièrement. Mais qu’elle était belle et les images de cette femme qui était ma belle fille au restaurant me revenait sans cesse son décolleter qui m’avait dévoilé sa poitrine ses longues jambes gainées de bas que la fente de la robe me révéla et son string qui recouvrait son superbe entre cuisses lui dessinant son bel abricot quand elle ramassa son manteau, toutes ces images me perturbaient au plus au point et la petite fille de ma femme avait belle et bien grandit mais rien de vraiment significatif dans son comportement pouvait me donner l’assurance que nous étions sur la même longueur d’onde d’ailleurs l’aurais je vraiment voulu… Quelques jours plus tard alors que nous rangions la maison Marie ma femme et moi, ma belle fille revint avec le linge à étendre, elle me demanda un coup de main ce que je fit laissant l’aspirateur le temps de monter le tourniquet qui nous servait au petit linge de corps, nous parlions en étendant les chaussettes slip et autre jusqu’au moment ou prenant une poignée de linge mouillé je fut à nouveau troublé de voir le petit string qu’elle portait ce fameux soir là, ma queue fit un bond dans mon pantalon mais je faisait en sorte de dissimuler mon trouble au maximum mais, comme une petite espiègle, elle me fit un de ces plus beau sourire quand je le mis à sécher sur le fil et me dit juste qu’elle était contente car elle pourrait le remettre une fois sec et qu’il lui allait vraiment bien et en me regardant me dit plus bas ‘’tu ne trouves pas ’’ je ne releva pas mais nous échangeâmes un regard à la fois complice et ambigüe qui me mettais mal à l’aise heureusement sa mère nous rejoignant mis fin à cette situation plus que troublante. Alors que nous étions devant la télé sa mère et moi le soir elle me demanda de bien vouloir venir vérifier sa lampe de chevet dans sa chambre ce que je fit profitant des pubs en arrivant en haut je ne pu que constater que sa lampe fonctionnait mais sur son lit était étendu son linge car le lendemain nous allions manger chez mes parents à une centaine de kilomètres de chez nous.Je lui demandais à quoi elle jouait elle me répondit :Qu’elle aimerait encore me plaire mais quelle ne pouvait pas remettre sa robe qui elle était encore dans le bac à linge sale— mais pourquoi ne demandes tu pas à ton Fred c’est à lui que tu dois plaire — mais il me semble que je te plaisais aussi au restaurant et j’ai beaucoup aimé voir tes yeux me regarder comme une femme — j’aime beaucoup quand tu es habillé de façon féminine mais tu es comme ma fille et je suis fier que tu sois aussi jolie rien de plus tu sais c’est à ton copain que réellement tu dois plaire.— Oui mais lui ne me regarde pas comme toi et il ne sait pas ce que j’aimerai d’ailleurs je pense que je vais cesser de le voir pour être plus disponible à l’avenir, j’avais déjà des doutes mais maintenant c’est une certitude nous ne pourrons pas aller beaucoup plus loin lui et moi, j’ai besoin de me sentir prise en main et lui en est incapable.La conversation prenant une tournure un peu trop orientée je lui dit que je redescendais prés de sa mère car elle allait s’inquiéter et je descendis.Ma nuit fut assez mouvementé et j’eus du mal à trouver le sommeil.Que voulait elle bien dire par son besoin d’être prise en main…C’est vrai que Marie était une jeune fille assez timide de nature mais qui réussissez très bien tout ce qu’elle entreprenait ses études se déroulait sans soucis et elle était vraiment une très gentille jeune fille appréciée de tous.
Ne parvenant pas à dormir je me levais pour aller me boire un verre d’eau, dans la cuisine j’allumais la hôte afin de rester un peu dans la pénombre et bu un verre d’eau bien frais et pris une cigarette que je fumais au calme quand j’entendis des bruits de pas dans les escaliers, m’avançant vers ceux-ci, pour dire à ma femme que je remontais tout de suite qu’elle fut ma surprise de constater qu’il s’agissait en fait de Marie qui entendant du bruit en bas voulais elle aussi boire une verre d’eau.Elle me dit-J’ai entendu du bruit je pensais que c’était maman mais l’entendant ronfler j’ai su que c’était toi alors je suis descendu j’avais envie de reprendre notre conversation de tout à l’heure et elle ajouta— j’aimerai que tu me laisses parler tant que j’en ai la force s’il te plait car c’est pas facile pour moi— je t’écoute ma chérie-Tu te souviens quand mon ordinateur était en panne il y quelques semaines j’ai travaillé sur le tiens durant la réparation-Oui je me souviens bien tu étais assez souvent dans le bureau …-eh bien en cherchant un fichier je suis tombée par hasard sur un fichier caché que j’ai ouvert et j’ai vu ce qu’il contenait…J’avais il est vrai sur mon ordinateur un fichier caché sur lequel apparaissait plusieurs les liens de divers sites disons réservés à des adultes et ainsi que quelques raccourcis de récits et vidéos érotiques pour ne pas dire assez hard pour certaine mais qui me plaisait particulièrement et que je ne consulter que très rarement ayant avec ma femme une sexualité épanouie et même si j’avais des fantasmes pas mal était déjà réaliser en couple.— oh je vois, je suis désolé ma chérie il est vrai que ce n’est pas tellement pour une jeune fille dis-je en étant assez gêné de sa découverte.-En fait depuis que je suis tombé sur tout cela, j’ai d’abord été choquée et déçu de toi car je ne te voyais pas sous cet angle même si parfois je vous entend faire l’amour avec maman, je te voyais surtout comme un père et je me demandais ce que tu recherchais en allant sur ces sites.-Oh tu sais ma puce on a tous nos fantasmes notre face cachée mais j’espère que l’image du père que tu as de moi n’est pas trop égratignée-Non rassures toi sauf que depuis le restaurant beaucoup de choses ont changés, tu as toujours était un merveilleux père attentif, doux et très présent mais ta façon de me regarder ce soir là n’était plus celle d’un père mais celle d’un homme en plus comme avec Fred ce n’est plus du tout ça, ton regard sur moi m’a fait m’a fait beaucoup de bien alors j’avoue que cela m’a beaucoup plu et comme avec les deux apéros que nous avions bu je me suis sentie moins timide et je ne sais pourquoi mais ça m’a beaucoup amusée de me dévoiler un peu pour toi d’ailleurs je pense que cela nous plaisait à tous les deux non ?— C’est vrai que j’ai pris un sacré claque ce soir là j’avais l’impression de voir la femme que tu es pour la première fois, tu as beaucoup grandit et il ne reste que les souvenirs de la jeune Marie que tu étais et en tant que père on ne voit pas sa fille comme une femme et je tiens à m’excuser de m’être laisser aller ainsi— Tu sais cela me fait tout drôle aussi j’ai bientôt 18ans et je n’ai connu que Fred mais sa façon de me faire l’amour est assez égoïste et j’ai découvert le plaisir de me montrer à toiEn disant cela elle se redressa et sa poitrine apparue au travers de son tee-shirt elle semblais me défier du regard voir me provoquer mais quelque chose la retenait et de mon coté afin de ne pas succomber je tentais de rééquilibrer la situation même si j’avais très envie de découvrir ce corps magnifique que je devinais— Mais nous ne devons pas Marie même si tu es très belle et très désirable mais j’ai plus de deux fois ton âge et je suis en couple avec ta maman et je l’aime donc reprenons le court normal de notre vie de famille et ne risquons pas de tout gâcher si tu n’es plus heureuse avec Fred cesse cet relation et trouve un garçon de ton âge qui saura t’aimer comme tu le mérites.Je lui parlais avec des mots censés et raisonnables mais mes pensées était plus axé sur ce corps à peine voilé et qui aurait tenté le diable ses petites perles qui ressortaient au bout de ses seins semblaient me défier en marquant le tissus de ce qu’il lui recouvrait le corps, sa fraicheur et son innocence lui donnait un charme fou mais je ne devais pas me laisser aller et risquer de perdre cet équilibre que notre famille avait acquis et partit me coucher. Le lendemain nous nous levâmes et primes la route pour chez mes parentsDans la voiture ma femme contempler le paysage et Marie semblait dans ses pensées moi je conduisait avec de furtifs regards sur le rétro intérieur, il faut dire que marie arboré une très belle petite robe rouge que je ne lui connaissait pas encore.Soudain un pneu éclatât je me garai sur le bas coté afin de changer la roue Marie comme a son habitude vint m’aider ma femme pris un livre durant la réparation.Alors que je sortais le cric et les clés du coffre Marie se tenait à mes cotés et frotta sa poitrine sur mon bras en se penchant pour m’aider, le contact de son petit sein sur mon bras ayant relevé les manches de ma chemise, donc le contact de cette petite masse moelleuse juste recouvert d’un soutien que je devinais léger sans doute de la dentelle assortit à la couleur de la robe, elle répéta le frôlement à plusieurs reprise sans jamais insister un peu comme par inadvertance mais avec la discutions que nous avions eu je me doutais qu’elle forçait un peu l’inadvertance.Je m’accroupis afin de changer la roue elle en fit de même mais releva le bas de sa jambe assez fortement ce qui fait qu’une fois accroupie elle aussi elle m’offrait une vue parfaite sur le haut de ses cuisses un fois encore paré de bas auto-fixant mais son regard était vers le bas elle ne me regardait pas sans doute une appréhension de ce que j’allais dire ou faire.Je regardait longuement ses cuisses voyant cela en relevant un peu plus haut sa robe elle me dit « je l’ai remis » effectivement j’avais sous les yeux le petit string crème pas complètement mais suffisamment pour le reconnaitre ma queue fit un bon un fois de plus cette petite avait le don de me mettre dans tout mes états et là sans que je m’en rende vraiment compte sortie de ma bouche mais pas contrôlé je lui dit« écarte un peu les jambes pour moi »En regardant toujours le sol elle écartât ses merveilleuses cuisses et me dévoila son petit sexe paré de ce si joli string, je pouvais distinguer par transparence ses petits poils soyeux qui surmontaient sa petite fente, je distinguais la forme de ses petite lèvres intimes recouvertes de ce si doux tissusElle me dit juste « je savais que toi tu saurais me prendre en main…