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Belle-fille voilée et son beau-père.

Chapitre 2

Inceste
À genoux sur le côté du canapé, il plaça mes jambes sur ses épaules et entreprit de me sucer le sexe. Je gémissais de plaisir sous sa langue et ne parvenais plus à maîtriser mon corps. Je fus saisie de deux orgasmes, presque coup sur coup, et je pense que je me suis évanouie quelques secondes. Entre-temps, mon beau-père s’était redressé et pointait son sexe dressé entre mes jambes ouvertes. Il respirait fortement et ses yeux étaient devenus fixes. Je pris peur à nouveau et lui demandai ce qu’il allait faire. Il m’indiqua qu’il voulait me faire l’amour et qu’il en avait envie depuis la nuit dernière, car ce fut très rapide.
C’est au moment où je lui déclarai : — Non, non, il ne faut pas..., ce n’est pas bien
que mon beau-père me pénétrât d’un coup brutal. Sous le choc, je poussai un cri perçant qui fut étouffé par un baiser de sa part. Puis, alors que je tentais vainement de résister, mon beau-père continua sa progression et je sentis un déchirement au fond de mon corps qui m’arracha un autre cri. Entré jusqu’au plus profond de mon ventre, il se mit à me parler doucement et à me rassurer. J’étais tout sauf rassurée et des larmes coulaient sur mes joues. Il me promit qu’il s’arrêterait à temps et reprit doucement ses mouvements en moi. Au bout d’un moment, je sentis le plaisir monter en moi et je me mis à vouloir accélérer le processus, en élançant mon bassin en avant à chacune de ses poussées. C’est à ce moment qu’il se retira de moi, en m’arrachant une plainte de déconvenue. Il m’indiqua qu’il voulait juste changer de position. Il me fit mettre également à genoux, face au canapé et me demanda de reposer mon ventre et ma poitrine sur celui-ci. Puis, je le sentis me saisir par les hanches et pénétrer à nouveau dans mon vagin, en me prenant par-derrière. Dans cette nouvelle position, il redoubla ses efforts et se mit à me prendre comme un forcené. Sous le choc, il me soulevait à chacune de ses poussées. Je n’ai pas tardé à jouir en poussant des petits cris étouffés par les coussins du canapé. Lui-même m’indiqua qu’il allait venir en moi comme il disait. Sans prendre garde aux conséquences de ses actes, il s’enfonça en moi une ultime fois et me déversa son sperme au fond du ventre. J’étais terrassée par l’émotion et ne pouvais plus bouger. Il s’est alors affalé sur mon dos en me caressant les cheveux, puis s’est délicatement retiré de mon sexe. Je suis restée nue, hébétée dans la même position, pendant quelques instants. Réalisant ce que nous venions de faire, j’étais complètement déboussolée. Mon beau-père comprit mon désarroi et, me prenant dans ses bras, m’emmena directement à la salle de bain. Il m’a demandé de prendre une douche, après la douche, il m’a demandé d’aller me reposer et me souhaita une bonne nuit. Je me suis couchée rapidement, je n’ai pas même pas senti l’arrivée de mon mari.
Toute la journée s’est très bien passée et j’attendais la nuit avec impatience. Quand mon mari est parti à son travail, je me suis dirigée à la cuisine, comme d’habitude, alors que je m’abaissais vers le lave-vaisselle, je sentis ses deux mains m’attraper par les hanches et son corps s’appuyer contre mes fesses. J’ai sursauté de frayeur et me suis retournée vivement en me redressant en l’apostrophant. Avant que je ne puisse poursuivre, mon beau-père m’attrapa dans ses bras et m’embrassa sur la bouche. Je lui dis : — Attends que je finisse mon ménage.
Il alla vérifier si la porte était ferme et revint près de moi, avec un sourire carnassier.Mon beau-père s’est rapproché et a posé une de ses mains sous mon voile. Il m’a immédiatement collée et j’ai senti sa verge dressée sous son pantalon. Puis, il a mis ses deux mains sur mes fesses et, progressivement, s’est mis à me caresser entre les cuisses avec une de ses mains, tandis que son autre main s’est infiltrée dans ma petite culotte et a commencé à me caresser. Le souffle court, incapable de bouger, j’étais devenue sa proie. En un rien de temps, il prit possession de mon sexe et se mit à le malaxer et me fixant droit dans les yeux avec un regard sadique. Puis, s’accroupissant entre mes jambes, il descendit ma culotte à mi-cuisses et a commencé à me sucer avec ardeur.
Chancelante et morte de peur, je gémissais pourtant sous ses assauts. Je voulus l’empêcher de poursuivre ce viol de mon intimité avec sa bouche, mais mon beau-père enfonça sa langue plus profondément en moi. Je perdais toute notion de la réalité et mes jambes ne me soutenant plus, je me suis affalée à terre tandis qu’il poursuivait ses embrassades. Il en a profité immédiatement pour relever mon voile sur mon ventre et introduire un doigt dans mon vagin qu’il fit tourner de plus en plus rapidement. Sous le double effet de sa langue et de son doigt, j’ai eu un terrible orgasme et s’il n’avait pas eu la présence d’esprit de m’enfourner une serviette dans la bouche, je pense que j’aurais alerté les voisins qui sont à côté. Enfin, satisfait de m’avoir amenée à l’orgasme, il s’est relevé et me prenant dans ses bras, me mit la main sur son sexe et me déclarant : — Je vois que tu as apprécié, n’est-ce pas ? Tu sens comme il est gonflé ? La prochaine fois, ce sera donc à toi de me montrer ce que tu sais faire, ma chère Taous.
Il m’attrapa par un bras et m’attira vers lui pour me faire la bise. Je ne savais pas trop comment réagir et j’acceptai de l’embrasser. Lorsqu’il détourna son visage et m’embrassa, à nouveau, à pleine bouche, en me serrant fortement contre lui, il m’entraîna vers le salon. Il essaya de me faire basculer sur le canapé en m’annonçant : — Taous, cette nuit ou jamais, montre-moi que tu veux, que tu désires ce que je te fais.
Je regardai son pantalon et je découvris que son sexe était gonflé. Paniquée, je me suis dégagée de ses mains et me suis précipitée vers ma chambre. Il n’en demandait sûrement pas tant, car à peine avais-je pénétré dans ma chambre qu’il referma la porte derrière moi. En reculant, je me suis assise sur le lit conjugal. Mon beau-père s’est alors placé entre mes jambes et m’a saisi par la taille. Tout en me maintenant, il s’est débraguetté et s’est avancé en me grimpant sur le corps. J’ai tenté de reculer, mais il m’a retenue par la tête. Puis, il m’a présenté son sexe devant la bouche. Le geste était explicite et je n’ai pas eu l’occasion de lui échapper. La nuque maintenue, il m’imposa une fellation tout en me lançant des petites phrases dégradantes : — Tu la trouves à ton goût, la queue de ton beau-père, hein ? Elle est bonne, hein ? Tu sais que tu es une bonne suceuse, Taous.
Je n’avais jamais entendu ses mots auparavant.
Après quelques minutes de ce petit jeu, il m’a repoussée à plat dos sur le lit et fait glisser son pantalon à ses pieds. J’étais terrorisée et impressionnée à la fois par la taille de son sexe. J’eus beau lui crier que cela n’était pas possible, qu’il était fou, mon beau-père ne m’écoutait pas. Complètement à sa merci, solidement maintenue, il arracha mon voile et, faisant sauter les balconnets de mon soutien-gorge, il a commencé à me caresser la poitrine avec force, en me titillant le bout des seins. Puis, après les avoir amplement excités, j’étais torse nu et en slip, j’ai vainement essayé de lui faire entendre raison, mais il écarta le tissu de mon slip et glissa sa langue dans mon intimité afin de préparer le terrain. Lorsqu’il estima que j’étais prête, il l’arracha purement et simplement et lentement, il s’est enfoncé en moi. Puis, tel un métronome, il a commencé à aller et venir en cadence. Je n’ai pas pu m’empêcher de gémir et il a, alors, augmenté sa cadence, en plaçant mes jambes au-dessus de ses épaules. Je lui dis d’arrêter,
— Vous me faites mal, ai-je eu la force de lui hurle.
Mais il s’en moquait et continuait de plus belle à me posséder. Jamais mon mari ne m’avait prise ainsi. En même temps, il me suçait les seins et introduisait un de ses doigts dans mon derrière. Tellement emportée par mon propre plaisir, je l’ai laissé faire, alors que personne ne m’avait encore touché mon petit trou.J’ai eu un orgasme entre ses bras, puis il s’est sensiblement calmé et je l’ai vu humidifier son doigt et continuer à me l’introduire entre les fesses. Je lui ai demandé où il voulait en venir car j’avais peur, mais mon beau-père, au lieu de me répondre, est sorti de mon vagin et me redressant par les fesses, a placé son sexe sur mon anus inviolé jusqu’alors.

— Je vais entrer mon sexe dans ton anus et te perforer, Taous !

J’ai eu peur et j’ai tenté d’échapper à mon triste sort, mais il a poussé son sexe en avant et, écartant mes fesses le plus possible, il a déchiré mon anus en me pénétrant. J’ai hurlé de douleur, mais il n’a pourtant pas arrêté et a poursuivi sa progression en moi. Une fois complètement entré, il a commencé à me labourer en rythme, délicatement, puis de plus en plus rapidement. Déchirée par la douleur et le plaisir, j’ai hurlé, mais je n’ai, cependant, pas tardé à jouir comme jamais cela ne m’était encore arrivé. C’est à ce moment-là qu’il m’a retournée sur le ventre et qu’il m’a complètement sodomisée en me martelant les fesses de son sexe dressé comme un bâton incassable. Quelques coups plus tard, il s’est laissé aller en moi et s’est affalé sur mon dos.
Sans un mot, je me suis dégagée de son étreinte et suis allée me laver sous la douche. Il n’a pas tardé à me rejoindre et, affaiblie et à sa merci, je lui ai administré une nouvelle fellation, à genoux entre ses jambes. Il s’est vidé dans ma bouche et m’a embrassée avec tendresse sous la douche. Puis nous nous sommes rhabillés.Quand je me suis réveillée le matin, j’étais en train de préparer le petit-déjeuner et mon beau-père fit son apparition. Sans me laisser le temps de réagir, il se pencha et posa alors ses doigts sur mes fesses et se mit à me caresser celles-ci à travers mon voile. J’ai glissé et j’étais à quatre pattes, je tentai d’avancer à quatre pattes pour lui échapper, en poussant un cri de surprise, mais il avait déjà les mains qui soulevaient mon voile. En une fraction de seconde, il le tira vigoureusement sur mes fesses et le fit glisser à terre. Je me retrouvai, honteuse, en slip blanc et me retournai de trois quarts pour l’implorer de me laisser tranquille. Sa réaction ne se fait pas attendre, il m’a dit : — Oh, mais que non, tu vas même apprécier notre petite séance, ma belle Taous.
Il se mit alors à me caresser les fesses et me demanda si je me rappelais de la sodomie de la nuit. Le souvenir de cette cruelle possession me fit trembler et j’eus subitement très froid. Atterrée, je sentis alors son doigt s’insérer, sans vergogne, entre mon slip et percer mon anus. Je poussai un petit cri en essayant une nouvelle fois d’avancer. Hélas, j’étais au bout de la cuisine et une armoire se dressait face à moi. Je n’avais plus d’issue et je tentais alors de me redresser ! De son côté, mon beau-père avait déjà abaissé son pantalon et son slip et, après s’être positionné à genoux contre moi, il m’attrapa par les hanches pour me retenir. Je me retournais, affolée, en tentant de me débattre et je sentis, contre mon dos, qu’il était en érection totale. Je n’eus pas le temps que d’un coup sec, écartant mon slip et mes globes fessiers, il m’enfonça son sexe dans mon petit trou, sans ménagement. Mon cri s’écrasa dans ma gorge, tant je fus suffoquée par cette pénétration. Je me rappelai que mon mari était dans la chambre, il pouvait bien entendre, alors j’ai fait mon possible pour étouffer mes cris. Mon beau-père, planté en moi, entama alors un lent va-et-vient dans mes intestins et m’arracha des gémissements de douleur. Abattue et possédée, je pleurai doucement et tombais à quatre pattes. Petit à petit, il réussit, cependant, à exciter mes sens et tout en me maintenant fermement contre lui, glissa une de ses mains sous mon voile en me caressant les seins.Constatant que je devenais manifestement réceptive à cette possession bestiale, il se déchaîna et s’enfonça en moi avec encore plus de brutalité.

— Ah, sacrée petite "kahba" (pute), c’est fantastique de te bourrer le cul, tu sais, Taous, "kahba diali" (ma pute à moi), me dit-il, en me prenant sauvagement.
Ses mots ont eu de l’effet sur moi et à mon corps défendant, je reconnais que je haletais et n’en pouvais plus. Mon beau-père parvint à me conduire à un orgasme que je tentais de refuser de tout mon être. Il était pourtant très violent et je découvris, honteusement, que j’adorais ça. Dans une dernière ruade contre mes fesses, il a lâché une quantité impressionnante de sperme dans mes intestins, puis s’est retiré vivement de moi. Abattue, mais soulagée, je me dis qu’il avait enfin fini, mais à ma grande surprise, son sexe était toujours dressé, prêt à l’emploi.
Il m’a dit : — Suce-moi "kahba" (poufiasse) et nettoie-moi bien complètement, me jeta-t-il au visage, alors que je me retournais pour l’observer.
Il me prit par la tête et je me retrouvais le visage face à son sexe dressé. J’essayais d’échapper à son emprise, mais il me força à avaler son sexe et m’imposa une fellation. Résignée, je commençais par lui donner de petits coups de langue et ses grognements attestaient qu’il semblait aimer ça. Il m’immobilisa alors la tête et débuta un mouvement de va-et-vient dans ma bouche. Il gémit et se masturba dans celle-ci comme si je n’étais qu’une poupée sans vie. La bouche défoncée, je tentais de respirer, mais je ne pouvais guère bouger dans la mesure où il me tenait par les cheveux. Enfin, je sentis sa queue se raidir et il m’envoya une nouvelle rasade de sperme dans le fond de la gorge. Bien que réfractaire à ce type de pratique, j’avalais tout sans un mot, trop peureuse des conséquences si je venais à cracher sa semence. J’étais exténuée, mais lui ne semblait pas vouloir s’arrêter. Il me mit debout, dos à lui, les mains appuyées sur l’évier de cuisine et, m’écartant les jambes de manière brusque, il s’enfonça dans mon vagin, désormais, amplement humide. Sous le choc de cette pénétration, ne me contrôlant plus, je poussais un gémissement de plaisir et j’explosais dans un orgasme puissant alors qu’il parvenait à se vider, une nouvelle fois, en moi. Cette partie de jambes en l’air n’avait pas duré plus de huit à 10 minutes et pourtant, nous étions, tous les deux, épuisés. Nous nous sommes rhabillés et sortis de la cuisine, de mon côté, j’ai arrangé mes habits et j’ai continué de préparer le petit-déjeuner. Quand le petit-déjeuner fut prêt, je me précipitais immédiatement à la salle de bain pour me faire une toilette rapide et me rafraîchir le visage. Puis, je suis retournée en cuisine, puis à la chambre, pour voir si mon mari dormait encore. Je l’ai trouvé à demi réveillé, il me demanda pourquoi ce bruit, rougissante, je lui expliquai que j’avais dû passer le frottoir et j’avais glissé.
Depuis, cette séance dans la cuisine, mon beau-père a compris qu’il pouvait, désormais, profiter de moi régulièrement et, bien que, honteuse de mon attitude.
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