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Ma belle inconnue dans la rue

Chapitre 1

Hétéro
Cette histoire se déroule il y a quelques années, en centre ville. C’était un après midi, il pleuvait des cordes comme rarement j’en ai vu. Cela m’arrangeait car les rues étaient presque désertes. Je faisais le tour des magasins en vue d’un cadeau pour un ami. Comme à mon habitude, je visitais aussi les magasins de lingerie pour voir les nouveautés. J’entre donc dans un premier magasin, fais rapidement le tour du magasin sans voir grand chose de joli. Hormis une magnifique femme d’une quarantaine d’années qui regardait comme moi toute cette lingerie. Elle devait mesurer 1m65, blonde, légèrement maquillée. Elle était mince mais un manteau m’empêchait d’en savoir plus.Je sors du magasin sans avoir rien trouvé.Je continue à faire quelques magasins à la recherche du fameux cadeau puis entre dans un autre magasin de lingerie. Je regarde et vois quelques ensembles qui me plaisent assez. Je monte ensuite au 1er étage où se trouvent nuisettes et maillots de bain. Je redescends au rez-de-chaussé qui mesemble plus intéressant. Je flâne donc au milieu des culottes, strings, bodys, guépières et un peu plus loin, collants, bas ... Soudain, je tombe nez à nez avec la femme que j’avais vu quelques dizaines de minutes avant. Elle portait jusque là un long manteau noir qu’elle avait ouvert, probablement en entrant. Elle portait un magnifique tailleur couleur crème avec un chemisier blanc.La jupe descendait à environ 10 cm au dessus du genou et je pouvais voir ses longues jambes habillées de collants couleur chair. Elle portait des escarpins marrons très clairs. On voyait bien qu’elle essayait d’être la plus élégante possible. A vrai dire, j’avais fini ma visite dans le magasin mais j’étais curieux de savoir quel type de lingerie elle pouvait porter. Je commençai donc à faire semblant de regarder des ensembles tout en restant attentif à ce qu’elle regardait. Ses goûts étaient classiques, tout comme les miens : blanc principalement, mais aussi toutes les couleurs dans les tons clairs, le noir également mais toujours sans froufrou. Elle regardait les collants et les bas, qu’ils soient autofixants ou non. Je commençais à l’imaginer porter les dessous qu’elle regardait. Cela dura une dizaine de minutes. Cependant cela pris fin car j’avais l’impression de la déranger. Je ne savais pas si ma présence la gênait pour faire des essayages ou bien si elle avait comprit mon petit jeu.
Je sorti donc du magasin, marchai quelques minutes à la recherche d’un abris pour fumer une cigarette tranquille. J’avais donc trouvé refuge à l’entrée d’une résidence qui possédait un grand porche et qui était fermé pour les voitures. Seule une petite porte était ouverte, ce qui m’a permis d’y entrer. Je commençais donc à fumer ma cigarette avant d’être rejoint 2 mn plus tard par ma belle inconnue.
— Visiblement, vous avez du feu ...
Forcement puisque j’étais seul et que je fumais. Je sorti donc mon briquet et allumai sa cigarette.Elle posa alors ses mains sur les miennes pour empêcher le vent d’éteindre la flamme.
— Vous cherchez de la lingerie ?— Pas en ce moment. Mais j’aime la lingerie donc je me ballade souvent dans les magasins— Et mes goûts, vous en pensez quoi ?— Classiques ... Pas de frous frous. J’aime bien. Mais après il faut voir comment c’est porté— Bien sûr
Elle ouvrit alors son manteau et souleva sa jupe pour me montrer un splendide porte jarretelle, un tanga et des bas avec de larges jarretières en dentelles. Tout était blanc.
— Alors, et comme ça ?— C’est magnifique, j’aime beaucoup et vous avez de très belles jambes— C’est vrai ? Oh, vous me dites ça pour me faire plaisir— Non, non, je suis très sérieux
Elle posa alors sa main sur mon pantalon tout en maintenant le manteau bien ouvert comme pour vérifier ce que je disais.
— Mmmmh, c’est vrai que ça a l’air de vous plaire
Elle caressa alors ma bite à travers le tissus. Sa main montait et descendait doucement mais elle la serait fermement pour bien la sentir.Elle regarda alors autour de nous et se mis à genou en continuant à me caresser.Elle descendit alors mon pantalon et commença par me donner des petits coups de langue.Elle s’amusa comme ça avec mon gland pendant quelques instants avant de m’engloutir d’un coup.Je vis qu’elle commença à se caresser avec son autre main.
Elle me suçait avec beaucoup d’application et prenait son temps, profitant que les rues étaient désertes.Elle se caressait le visage avec ma bite et l’enduisait régulièrement avec sa mouille.Cela m’excitait énormément.Après un moment, je sentis que ses mouvements devenaient saccadés et qu’ils s’accentuaient.Elle allait jouir et elle souhaitait qu’on vienne ensemble.Je l’avertit que je venais, elle mit alors ma queue au fond de sa gorge afin d’avaler tout mon sperme, mais aussi, je suppose pour ne pas avoir de " traces suspectes ", que ce soit sur le visage ou ses vêtements.
— Mmm il est bon votre sperme— Merci, vous suçez bien vous savez— J’essaye toujours de m’appliquer, mais je ne suis pas encore satisfaite. Maintenant, c’est à votre tour de prendre les choses en main
Elle retira alors son long manteau, releva sa jupe et descendit son tanga. Elle se pencha et avant, posa une main sur le mur et écarta ses lèvres avec l’autre. J’avais une superbe vue sur ses fesses.Je savais bien que c’est ma bite qu’elle voulait, mais étant donné que personne ne passait, je décidais de prendre mon temps.Je me mis alors à genou et commençai à la lécher, elle fut surprise de sentir ma langue car elle eut un léger sursaut que je sentis étant donné la position dans laquelle je me trouvais. Cependant, le fait qu’elle écarte un peu plus les jambes me convainc de son approbation. Sa cyprine était délicieuse, légèrement sucrée et très abondante.Je la pénétrais avec ma langue et voyant que son bassin commençait à faire des va et vient, je compris qu’elle appréciait. Je lui mis donc un doigt bien profondément et aisément.
— Oh oui, un autre doigt ... oui comme ça. Plus fort.
Ses gémissements me faisaient plaisir et m’encourageaient à insister.Elle gémissait de plus en plus fort.Je me remis donc debout et commençai à la pénétrer. Son trou était béant et lubrifié comme il fallait.Je la pris d’un coup sec, sa réaction ne se fit pas attendre : après un râle énorme :
— Vas y, prenez moi fort, défoncez moi. J’en ai tellement envie— Très bien alors voici
C’est alors que je pris conscience que alors que je la défonçais comme une chienne, nous continuions à nous vouvoyer. Ca m’excitait énormément. De son coté, je pense que c’était dû à l’éducation bourgeoise que me laissaient deviner ses vêtements et son attitude. Je vis alors une alliance.
— Vous aimez ça, hein ?— Oh oui, c’est tellement bon, ne vous arrêtez pas. Continuez, plus fort encore. Prenez moi comme une salope que je suis— C’est pas souvent qu’on vous prend comme ça. Monsieur est assez prude, non ?— Oui, en tout cas, avec moi, je pense qu’il a une maîtresse— Si ça peut vous faire plaisir, il ne sait pas ce qu’il perd ce con, il a un sacré volcan au lit et n’en profite pas— Merci, faites vous du bien, prenez moi encore— Vous aimez ça, hein ?
J’avais l’impression qu’avoir parlé de son mari avait intensifié ses mouvements.Elle jouit dans les instants qui ont suivi.
— Oui ... oui ... oh oui ... aaaah c’est bon !!!
Je profitais de sa jouissance et continuais à la défoncer pour accentuer ses hurlements.Une fois son orgasme calmé, et n’ayant pas encore joui, je lui dit.
— Et par là, il vous a déjà prise
Joignant le geste à la parole, je posai mon doigt sur son anus.Je sentis qu’elle hésita puis elle me dit
— Heu ... non, jamais mais vous allez y. Je suis votre chienne
Ce trou était donc vierge ...J’y allais doucement mais ma bite était bien lubrifiée et elle entra sans encombre.Je continuai à y aller doucement pour commencer et pour ne pas la brusquer.Elle recommença à gémir et j’en conclu qu’elle aimaitJe la pris donc de plus en plus fort en caressant et malaxant ses fesses.
Elle recommença à se caresser pour accompagner mes va et viens.Elle était chaude la cochonne.Je ne tarda pas à venir, de même qu’elle.Nous reprîmes nos esprits puis elle tenta de justifier ce qu’elle venait de faire.
— Vous savez, je me dis que j’arrive doucement à la cinquantaine et que j’ai toujours vécu comme mon mari le souhaitait. Il y a des choses que j’ai voulu faire, dont le fait de "baiser avec un inconnu" faisait parti. Votre intérêt pour moi dans ce magasin m’a emoustillée et je me suis dis que
c’était maintenant ou jamais
— Vous ne faites pas votre age, je vous en donnait une petite quarantaine, et votre corps est magnifique. Je maintiens que votre mari ne sait pas ce qu’il perd— Merci de votre gentillesse. Merci d’avoir été attentif à moi.J’avais peur de tomber sur un fou furieux qui m’aurait violée. Vous avez été doux.
Elle me fit un grand sourire, m’embrassa et disparu au bout de la rue. Elle était magnifique, épanouie, pleine d’assurance, probablement comme elle ne l’a jamais été.Mais je ne la revis plus jamais.
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