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La belle-mère du Lieutenant

Chapitre 2

Une belle-mère soumise

SM / Fétichisme
Je présente ici des lettres découvertes dans une malle de notre maison familiale, ce sont des courriers envoyés quelques temps après la Grande Guerre à mon grand-père par son compagnon d’armes dans les tranchées, son lieutenant.J’espère que vous êtes aussi impatients que je l’ai été de découvrir la suite des missives reçues par mon grand-père.    21 avril 2019Cher Henri,Aujourd’hui, nous sommes le lendemain de Pâques. Je dois avouer que je suis un peu dépité par les premiers jours du séjour de ma belle-mère au manoir.Je pensais, un peu naïvement il est vrai, qu’à la suite de notre sortie à Aix et du début de complicité que j’avais cru percevoir, il allait enfin se passer un évènement fort en termes de tensions sensuelles voire érotiques.Las ! J’ai du bien vite déchanté. Les quelques jours écoulés entre notre virée aixoise et son arrivée lui ont suffi pour retrouver sa raideur habituelle, sa présence quotidienne à la messe, son mépris pour toute féminité un peu trop ostentatoire. En fait j’ai le sentiment qu’elle me reproche cette intimité très relative que nous avons connue.
Cependant une habitude bien triviale de ma belle-mère devrait me permettre de relancer l’ascendant que j’ai pu avoir sur elle.La nuit dernière, mon épouse endormie contre moi après avoir subi mes assauts avec une énergie, un bonheur qui faisaient plaisir à voir et surtout à entendre, je restais éveillé dans le noir en imaginant un stratagème propre à soumettre cette bigote aux fesses somptueuses. Mon attention fut alors attirée par un léger bruit dans la maison endormie. Immédiatement je pensais à un rat. Tu sais l’aversion que je porte à ces rongeurs depuis notre séjour dans les tranchées, les dégâts dans nos cambuses et surtout sur nos camarades morts que ces rongeurs abjects n’hésitaient pas à prendre pour cibles en leur déchirant des lambeaux de chair.Aussitôt je me levais sans bruit pour surprendre l’animal. La lumière tremblotante d’une bougie au bout du corridor me rassura, pas de rat dans la maison. Je continuai cependant à m’avancer silencieusement dans l’obscurité, ces années de guerre nous ont aliéné en nous donnant de bien mauvaises habitudes. L’éclat vacillant de lumière éclairait ma belle-mère se dirigeant vers les toilettes.Je restais tapi dans la pénombre à observer l’objet de mes fantasmes, écoutant de loin le bruit de son jet ruisselant sur la faïence. J’attendis qu’elle reparte pour retourner dans mon lit, le sexe dressé, visible à la bosse qui déformait ma chemise de nuit. Doucement je réveillais ma chérie qui écarta les jambes avec bienveillance puis avec fougue, heureuse de ce plaisir qu’elle ne savait pas venir de sa mère.Eh bien figure toi mon cher que ma belle-mère est réglée comme un métronome, toutes les nuits vers la même heure ce petit manège se reproduit. J’ai donc décidé de passer à l’attaque, je ne te dis pas comment car je sais que tu tenterais de m’en dissuader. Echec ou succès je te raconterai tout dans une prochaine lettre. 11 mai 1919 Cher ami,Je suis désolé d’avoir attendu aussi longtemps pour t’écrire car à ta lettre reçue hier je vois bien que les derniers mots de mon précédent courrier ont piqué ta curiosité. Le lancement des premiers travaux champêtres en préparation de l’été qui s’approche m’ont pris beaucoup de temps. Aussi je profite du calme de ce dimanche et du départ des femmes à la messe pour satisfaire ton envie de savoir. Après avoir constaté la régularité avec laquelle ma belle-mère se soulageait toute les nuits, je choisis donc de provoquer une rencontre dans l’obscurité.La nuit suivante, je me levais doucement lorsque j’entendis ses pas furtifs dans le couloir, j’attendis qu’elle pénètre dans les toilettes pour me mettre devant la porte. Comme la première nuit mon érection eue tôt fait de devenir visible en soulevant ma chemise de nuit.
C’est ce que je voulais.En sortant ma belle-mère fut surprise de me trouver face à elle. Je fis en sorte que ma bougie éclaire l’érection de mon sexe si mal dissimulée par mon vêtement de nuit et innocemment j’engageais une conversation chuchotée avec elle. Notre échange à voix basse donnait une atmosphère irréelle à cet instant.Je dois dire cependant que sa tenue était peu excitante, une chemise de nuit en cotons blanc descendant jusqu’aux chevilles et boutonnée jusqu’au cou. N’eut été mon désir pour elle, rien dans son apparence n’aurait pu durcir mon dard. Ma belle-mère gênée par cette promiscuité nocturne essayait de me répondre tout en se faufilant pour passer, mais en même temps son regard revenait sans cesse vers la bosse si visible de mon gourdin. Je la laissais mariner un peu dans ses pulsions si contradictoires et terminais notre échange par cette phrase à double sens.
-         Chère belle-mère je crois que nos envies se correspondent, en termes d’horaires. Je vous dis à demain
Malgré la faible lumière diffusée par nos bougies, je la vis rougir distinctement. Elle s’enfuit presque, sans me répondre.Le lendemain la journée me parut longue. Je n’étais pas vraiment à ce que je faisais tant je cherchais à provoquer une rencontre avec la mère de ma femme. Je ne réussis à la voir seule que pendant un très court instant et lui chuchotais, mes lèvres touchant le lobe de son oreille
-         A ce soir, à notre lieu de rendez-vous, je vous attendrai nu. Vous pourrez voir et toucher ce qui vous a tant attiré hier
Vois-tu cher ami, au moins je serais sûr de moi, sa présence la nuit dans le couloir signifierait clairement que sa morale pleine de raideur craquait sous l’assaut de ses envies pour son gendre. Bouche ouverte, le corps raidi, elle ne m’a pas répondu, mais je te jure que j’ai entendu le bruit d’un ruissellement, comme une source qui jaillissait sous ses vêtements noirs.La nuit suivante, plein d’espoir, je guettais à l’heure fatidique le glissement léger de ses pas dans le couloir. Quelle fut mon excitation quand enfin je l’entendis. Dans ma précipitation à me lever je faillis m’étaler sur le tapis de la chambre et réveiller avec fracas mon épouse endormie.Le temps que je me redresse, la marâtre était déjà enfermée dans le lieu d’aisance. Je passais donc à l’action et grattais doucement à la porte.
-         Joséphine, Je suis là
J’avais choisi par provocation délibérée d’utiliser son prénom, chose que je ne m’étais en aucun cas permis au paravent. Sans attendre un retour de sa part que je savais ne jamais venir, je mis en œuvre la seconde partie de mon plan nocturne. J’enlevais ma chemise de nuit et me retrouvais nu face à la porte, le sexe dressé, tellement tendu qu’il en devenait douloureux. Et j’attendis qu’elle sorte.Lentement la porte s’ouvrit, on aurait dit qu’elle avait sa vie propre et qu’elle tirait derrière elle ma belle-mère tétanisée.Qu’elle fut ma surprise quand dans la lumière blafarde des bougies je découvris ma belle-mère portant la nuisette achetée deux semaines auparavant à Aix. La jeune vendeuse avait bien fait son travail. Légèrement trop petite, la tenue comprimait le corps de mon fantasme, serrant et soulevant la poitrine lourde que je découvrais enfin au travers de la transparence de la dentelle. Les tétons dressés par la fraicheur de la nuit semblaient vouloir percer le fin tissu, tandis que la masse laiteuse des deux belles mamelles débordait dans le décolleté et sur les côtés, ballotée par la respiration déjà haletante.Je baissais les yeux et devinais le ventre légèrement arrondi qui poussait en avant le fin vêtement, mais le plus excitant était la croupe de ma belle-mère qui tendait de manière provocante son petit déshabillé nocturne. Ses fesses quasiment nues paraissaient beaucoup plus imposantes que lorsqu’elles étaient dissimulées par ses informes robes noires, leur fermeté évidente malgré l’âge de leur propriétaire donnait un sentiment d’irréalité à cette apparition.Honnêtement je n’avais jamais vu une femme habillée avec tant de vulgarité mais aussi tant de sensualité. Osant enfin me regarder, ma belle-mère me découvrit en tenue d’Adam. Je ne le pensais pas possible mais sa tenue avait encore augmenté le volume de mon dard pointé face à elle.Bouche bée, les bras ballants, elle restait devant moi immobile. Seuls ses yeux bougeaient, partant de mon visage pour redescendre vers mon sexe turgescent, puis remontaient très vite vers mon visage, comme si la vue de ma vigueur dressée lui était interdite, puis descendaient à nouveau vers cette virilité fascinante, impuissante qu’elle était à détacher son regard de la force de mon membre bandé. Petit à petit ses yeux remontaient de moins en moins vite pour finalement s’arrêter, hypnotisés par la promesse du plaisir qui se tenait devant elle. Je jugeais l’instant propice et m’approchais pour l’enlacer. Les mains sur ses hanches, je l’attirais à moi jusqu’à plaquer son petit ventre rond contre mon sexe dressé. Etrangement elle me repoussa. Voyant probablement mon air frustré, elle me murmura
-         J’ai trop honte, j’en ai trop envie mais je n’ose pas. Qu’allez-vous penser de moi, si vous me voyez m’abandonner ici à mes envies ?
La cruche, si j’étais là au milieu de la nuit c’était justement pour qu’elle cède non à ses désirs mais aux miens !
-         Chère belle-mère, vous avez parfaitement raison. La lumière est troublante, la nuit dissimulera l’absence de votre vertu.
Je pris doucement sa chandelle et soufflais dessus pour l’éteindre, puis fis de même avec la mienne. Une obscurité intense nous enveloppa, pas un bruit dans la maison, si ce n’était la respiration de ma femme au bout du couloir à la quelle répondait celle de ma belle-mère qui, dans la pénombre, s’était enfin collée à moi, répondant à la pression de mes mains désormais posées sur ses fesses.Enfin mon premier baiser, ma langue forçait ses lèvres entrouvertes. La nuque rejetée en arrière ma belle-mère se laissait faire, pâmée, essayant maladroitement de participer. Son ventre qui se collait d’avantage contre mon sexe trahissait son envie. Ce baiser confirmait ce que je pressentais, la belle avait une expérience très médiocre dans les choses du sexe. Ce n’était pas pour me déplaire, après avoir initié la fille aux plaisirs érotiques, l’idée d’éduquer la mère visiblement sans grande expérience malgré ses trente ans de mariage me semblait particulièrement excitante. Cher Henri,Je constate que ma missive est bien longue, aussi je m’arrête pour reprendre dans quelques jours et vous raconter la suite de cette folle nuit. 14 mai 1919 Cher ami,Ma belle-mère et ma femme, devrais-je dire désormais mes deux amantes, sont parties en virées entre femmes. J’en profite pour terminer l’histoire de cette nuit où j’ai finalisé ma relation avec cette belle-mère qui est désormais soumise à ses propres désirs mais encore plus aux miens.  Nous étions dans cette pénombre éclatante, nos langues entremêlées, le ventre de ma belle-mère frottait doucement mon sexe, entrainé par des mouvements de hanche lascifs de celle qui peu à peu se révélait être une femme impudique. Cela me donna une idée. Je posais les mains sur ses épaules et appuyais fermement. Visiblement elle ne comprenait pas. La gourde, je ne savais pas si j’étais énervé par ce manque d’expérience basique ou d’avantage excité par une telle naïveté !Je lui murmurai doucement
-         A genoux devant mon sexe
Dans le silence de la nuit mon chuchotement sembla un ordre aboyé. C’est ainsi qu’elle le comprit et se jeta à genoux devant moi
-         Léchez-le
Elle resta un instant interloquée, mais ses barrières étaient tombées. Elle tendit une langue timide qu’elle utilisa pour parcourir mon vit dressé. Les gémissements de plaisir que je laissais échapper durent l’encourager car elle s’activa avec énergie, allant jusqu’à gober mes bourses de sa propre initiative. Mon plaisir montait, mais il manquait encore quelque chose pour combler mon excitation et affiner son éducation.
-         Ouvrez la bouche
Docile elle écarta grand ses lèvres. J’en profitais pour lui bloquer la tête et lui enfoncer en une seule fois mon dard au plus profond de la gorge.Elle répondit par un hoquet, tant de surprise que de réaction à l’intrusion violente. Je commençai doucement à lui baiser la bouche afin qu’elle comprenne ce que je voulais. Les yeux levés vers moi, quêtant mon approbation, elle partit enfin dans un va et vient maladroit qui me procura un plaisir tel que je sentis mon corps se réduire à la partie de mon anatomie enfoncée dans sa bouche.Elle accéléra ses mouvements, ses mains s’accrochèrent à mes fesses pour lui permettre d’augmenter encore la cadence, ses doigts s’en qu’elle s’en rende compte, dans mon sillon fessier, excitaient ma petite fleur.Dans le silence de la nuit montaient des bruits de succion, hommages sonores à la maladresse et à l’entrain de ma belle-mère.Je pense que ces gargouillis, preuves de ma victoire sur cette femme froide et coincée, furent le facteur de trop. J’accrochais ses cheveux avec mes mains, coinçant ainsi sa tête et jouis à grands coups de reins dans sa bouche, faisant en sorte qu’elle ne puisse se retirer et se voit obligée d’avaler ma semence rendue abondante par une si longue attente. Un grognement de bête fauve accompagna ce plaisir bestial. Emerveillée d’avoir pour la première fois donné du plaisir à un homme avec sa bouche, ma belle-mère me regardait, quêtant quelque chose de ma part qui ressemblait fort à la caresse que l’on offre à un chien qui guette l’approbation de son maître.J’allais la relever pour à mon tour lui rendre la jouissance qu’elle venait juste de me procurer quand un bruit venant de la chambre conjugale me bloqua net, mon plaisir bruyant avait réveillé ma femme ! Affolée, retrouvant d’un coup toute la honte d’avoir cédé aux pulsions trop longtemps contenues, ma belle-mère se sauva en courant, se cognant aux meubles dans l’obscurité.
-         Mon chéri, c’est toi ?
Je la rassurai en entrant dans la chambre
-         Un courant d’air a soufflé la chandelle
A peine allongé dans le lit je sentis sa jambe, longue et souple comme une liane, m’enserrer la taille et m’amener tout contre elle. Sous son étreinte je ne fus pas long à retrouver de la vigueur et très rapidement mon sexe encore humide de la salive de sa mère pénétra l’entre-jambe de ma femme.Une fois mon épouse endormie contre moi, le souffle léger qu’elle a si souvent après l’amour, je réalisais seulement que je venais de copuler dans la même nuit avec la mère et avec la fille.
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