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belle maman ...

Chapitre 2

Erotique
Le reste de la journée a été un véritable supplice. Nous avons passé notre temps, ma belle-mère et moi, à tenter de nous retrouver tous les deux, cachés, pour nous tripoter dès que possible.
Elle me mettait la main au paquet ; je lui caressais les fesses, parfois par-dessus sa petite robe d’été, parfois dessous, furtivement ; je lui caressais les seins, les joues, les cheveux.
Tous ces gestes étaient plus sensuels que sexuels, ils étaient doux.
Mais ce n’était vraiment pas facile, car nous étions quand même assez nombreux, et moi mes enfants me prenaient pas mal de temps (jeux, piscines, etc …). Je ne leur reproche pas hein, j’aime jouer avec eux.
Tout ça pour dire qu’il nous restait deux semaines à passer ici et que je comptais bien en profiter. Marie aussi d’ailleurs.
Le soir de notre première étreinte, elle m’a glissé à l’oreille, alors que j’étais allé l’aider dans la cuisine :
— oh mon gendre, mon Séb, tu m’as tellement fait jouir tout à l’heure … J’ai besoin encore de ta queue, de ta langue, de tes lèvres, de tes muscles …
Et le Séb qu’est-ce qu’il a immédiatement fait en entendant ça ? Et bien oui, il s’est mis à bander comme un âne (bon, ok ok, comme une mule pour changer).
Je l’ai embrassée profondément en la caressant partout. Elle a répondu fougueusement à mon baiser.
Mais si nous avions envie l’un comme l’autre de « remettre ça » (je la cite), encore nous fallait-il trouver – et vite – un moyen de l’accomplir en toute discrétion.
Je ne pouvais quand même pas provoquer une nouvelle engueulade entre elle et mon beau-père !
Encore que … Finalement … Ce n’était peut-être pas une si mauvaise idée que ça …
J’en parlais, quand je le pus, à ma belle-mère, qui elle trouva l’idée excellente ! Voyez-vous ça !

Je lui demandais à propos de quoi ils s’étaient engueulés la dernière fois, et elle m’expliqua que mon beau-père l’avait caressée un peu brutalement, d’une façon légèrement macho, en lui faisant comprendre qu’il avait envie de faire l’amour et que c’était quand même un peu son droit vu qu’il était son mari. Elle lui avait parlé de migraine (aaaah LA fameuse migraine), d’une « autre fois », enfin bref elle lui a fait comprendre quant à elle que c’était non quoi. Il l’a un peu bousculée, la faisant tomber sur son lit les pattes écartées. Puis il lui avait fait remarquer que se balader sans culotte, ce n’était pas très correct quand on recevait du monde, ce à quoi elle avait rétorqué que ce « monde » c’était sa fille, son gendre et leurs enfants et qu’elle ne voyait pas de mal. Puis il a essayé de se placer entre ses cuisses, et c’est là qu’elle lui a envoyé un coup – léger – de genou dans ce qu’il est convenu d’appeler ses couilles. Et c’était parti pour la grosse engueulade, avec retour final du beau-père dans sa propre chambre, sa queue dans la poche et ses couilles en capilotade !
Vicieusement, je lui conseillais, un prochain soir, de se faire plus chatte encore, voire provocante, de se montrer exprès nue devant lui, afin de l’aguicher, pour finalement parvenir au même résultat, dû à la même migraine. Je sais, c’était nul de ma part, mais bon … il faut ce qu’il faut quand on veut baiser à nouveau avec sa belle-mère non ?
Elle provoqua cette engueulade le lendemain soir. Et pour gueuler, ça gueulait putain ! Même ma femme est allée les séparer dans la chambre.
Elle m’a raconté le lendemain matin, au petit déjeuner, qu’elle était entrée complètement à poil dans la chambre de son mari et que, sous prétexte de chercher un bouquin, elle avait passablement agité son joli petit cul sous ses yeux, n’hésitant pas à se pencher lentement et souvent devant lui pour bien lui faire voir ses deux orifices. Il a bien eu l’occasion de voir son minou totalement lisse et a, bien évidemment, repris là où il avait échoué quelques jours auparavant. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, cela s’est terminé de la même façon. Marie m’a même dit qu’elle était parvenue à pleurer pour de vrai, larmes à l’appui ! Ce que femme veut …
Et quand je dis les mêmes effets, mon épouse proposa à peu de choses près la même porte de sortie pour sa mère, à savoir une grande promenade avec son gendre préféré qui lui avait « si bien réussie la dernière fois ».
Je pris un air le plus détaché possible, et me précipitai pour réserver dare-dare une chambre d’hôtel dans la grande ville voisine. Réservation à 15h00, sous un faux nom bien sûr, pour « quelques heures » avais-je dit au réceptionniste.
Déjeuner très tendu, sans le beau-père qui faisait encore la gueule, et nous voilà partis, elle et moi, à 14h30 pendant que tout le monde s’amusait dans la piscine.
— où m’emmènes-tu mon chéri ?— j’ai réservé une chambre à l’hôtel Péridor, à …— hmmmm … oh là là … une chambre d’hôtel ! ça m’excite tu sais …— ah oui ? je peux vérifier ?— hm hm— oooh mais c’est vrai ça que ça t’excite ma belle !(elle était effectivement complètement trempée, inondant le siège de ma Clio)— quand je te le dis !— tiens, suce-moi pendant que je conduis— pas de problème mon gendre
Et elle se penche sur le côté, me sort la queue du pantalon pour emboucher ma queue déjà dure comme du bois.
Comme elle s’y prend bien ma belle-mère ; elle me malaxe les couilles, passe le bout de sa langue sur le bout de ma queue, me happe le gland, puis fait glisser ses lèvres tout le long de ma hampe … Hmmm … D’ailleurs c’est interdit de téléphoner au volant, mais y a-t-il une loi qui interdit de se faire sucer pendant qu’on conduit ? Bon, c’est vrai que là, je m’en foutais bien notez !
Elle m’a sucé la queue pendant un bon quart d’heure.
Puis je lui ai demandé d’arrêter parce que nous arrivions (c’est monsieur Tom-Tom qui me l’a dit).
Je ne vous raconte pas la tête du réceptionniste quand il nous a vus arriver ! Un homme de la quarantaine, les joues un peu roses, et une femme de plus de cinquante ans, manifestement nue sous sa robe, avec une chambre réservée pour l’après-midi seulement. J’ai presque cru qu’il allait s’étouffer le pauvre.
— chambre 218, c’est au deuxième étage, m’sieur-dame
J’ai payé, pris la clé, et j’ai laissé ma belle-mère monter les escaliers en premier.
Eh oh, je sais rester galant tout de même ! M’enfin …
Malgré ma galanterie, incontestable, j’ai bien évidemment profité de cette montée des marches pour observer ma belle-mère à qui mieux-mieux. Et plus spécialement une partie charnue et particulièrement appétissante de son corps. Qu’elle avait un beau cul mon Dieu ! Pendant qu’elle montait les marches, je voyais ses deux jolies petites fesses rebondies dont les muscles bougeaient en cadence. Je pouvais apercevoir son abricot par intermittence, et son petit trou si mignon, encore inexploré complètement.
Nous nous sommes brièvement arrêtés sur le palier du premier étage pour nous embrasser et nous caresser ; je soulevais le bas de sa robe, je sortais ses seins, ce qui choqua d’ailleurs énormément une sorte de touriste bizarre à chapeau qui sortait tout juste de sa chambre.
Puis nous arrivâmes à la porte tant attendue, celle de la chambre 218, et nous entrâmes en nous tenant la main.
Je sentais ses pulsations cardiaques là où passaient ses veines. Elle semblait émue, en plus d’être excitée. Je l’étais aussi au demeurant.
J’ai fermé la porte derrière moi et nous nous sommes littéralement jetés dans la chambre. Les rideaux étaient ouverts et la petite pièce était particulièrement lumineuse.
Ma belle-mère s’est immédiatement mise à poil, n’attendant pas que j’aie le temps de seulement ôter mes chaussures (ce qui est long, 12 rangées de lacets !). Puis elle est venue se coller à moi, m’embrassant, me disant des mots doux, des mots tendres, des mots brûlants, des mots de luxure …
Cela faisait longtemps que je bandais, moi.
Elle s’est agenouillée devant moi et m’a dit :
— va ouvrir mon sac, mon chou, va voir ce que j’ai apporté
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