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belle maman ...

Chapitre 3

Erotique
....
Je me suis immédiatement dirigé vers son sac, et y ai trouvé un autre sac ! un sac en plastique sans aucune marque extérieure.
A l’intérieur j’ai découvert une paire de menottes avec de la fourrure et une sorte de bandeau, enfin de foulard quoi … Il y avait également – décidément ma belle-mère était une femme surprenante – un petit fouet à plusieurs lanières de cuir. Enfin ça me semblait être du cuir.
Je dus avoir l’air surpris, en effet, car ma belle-mère s’est mise à rire comme une gamine.
— alors ? tu ne pensais pas trouver ça hein mon chéri ?— euh … non, en effet— eh bien tu vois, ta belle-mère a envie de te surprendre et de t’exciter mon lapin— hmmm … viens là toi
Et elle s’approche de moi, entièrement nue. Ses seins sont gonflés d’amour, d’envie, ses tétons sont tout durs. Sa chatte est si belle, sans un seul poil.
Je lui demande de se tourner, observant ses fesses au passage, et lui attache les mains dans le dos.
Puis je passe le bandeau autour de sa tête, m’assurant qu’elle ne voit plus rien. Un rapide mouvement de mes mains vers son visage me l’assure.
Je la prends à bras le corps et la positionne à genoux sur le lit, et, dans un deuxième temps, la pousse en avant.
Sans l’aide de ses mains, bien sûr, elle se retrouve vite allongée de tout son long.
Je l’attrape par les hanches et relève l’arrière de son corps, elle a maintenant le visage collé sur les draps et les fesses bien relevées.
— je vais m’occuper de toi maintenant
Elle remue ses fesses d’impatience.
Je m’approche et passe mon doigt sur les lèvres de son minou. Hmmm elle est déjà trempée la cochonne …
J’introduis un doigt, deux, trois, quatre … J’y enfonce également mon pouce. Elle se trémousse de plus en plus, et mes doigts sont littéralement trempés.
Je la lime ainsi pendant deux à trois minutes, elle gémit, gémit, remue autour de mes doigts.
J’enlève mes doigts aussi vite que je les ai entrés en elle. Elle proteste, me suppliant de les lui remettre, mais je reste impitoyable.
Je vais prendre le petit fouet que j’avais laissé tout près du lit.
— attends ma belle
Pour qu’elle comprenne bien ce que je vais lui faire maintenant, je le fais claquer une ou deux fois contre le mur.
— oh ouiii me crie-t-elle
Et je commence à claquer ses fesses, lentement tout d’abord, régulièrement, bien qu’avec fermeté. Je veux qu’elle sache quand les lanières vont entrer en contact avec sa chair.
Ses fesses rosissent un peu.
— alors, ça fait quoi de se faire fouetter le cul par son gendre ?— hmmmm— c’est pas une réponse ça !— ça me fait du bien mon chéri, tellement de bien— ah oui ? alors c’est que je fouette pas assez fort
Ce disant, j’augmente la force de mes coups.
Elle remue tout son corps de plus en plus, et gémit de plus en plus aussi.
Et clac ! et clac ! je m’en donne à cœur joie. Elle est si belle comme ça, si bandante, si désirable.
Au bout d’un moment elle s’affale sur le lit et se retrouve à plat. Mais je n’arrête pas pour autant de lui claquer les fesses, qui, pour le coup, passent du rose au rouge.
Je commence à me sentir un peu à l’étroit moi, dans mon pantalon ; ma queue est de plus en plus dur, le gland douloureux de frotter contre la fermeture éclair métallique.
Mais je suis trop excité pour arrêter en si bon chemin.
J’augmente encore un peu la force de mes coups.
Ma belle-mère pousse des gémissements discontinus à présent.
Brusquement, j’arrête les coups de fouet.
— tu vas me sucer maintenant ma belle— oh oui oh oui, je veux te sentir dans ma bouche— je vais te filmer avec mon iphone pendant que tu me suces la queue— oh tu es sûr ? C’est bien prudent ça ? Et si ma fille tombe dessus ?— impossible, j’ai une appli qui me permet de dissimuler les vidéos avec un code alors …— alors filme-moi je veux bien
Le temps d’enlever mes chaussures, mon jean, et me voilà la queue dressée vers le haut, ma belle-mère assise (tant bien que mal) sur le lit en face de moi.
Je lui attrape la tête pour la guider et lui enfonce ma queue dans la bouche. Je suis tellement excité de voir cette bouche, ces lèvres pulpeuses, s’enrouler autour de mon sexe, cette bouche qui m’a si souvent fait la bise sur les deux joues.
Je sors mon téléphone et filme cette pipe. Et quelle pipe ! Une affamée ma belle-mère, une véritable affamée de la bite.
Sans les mains c’est tellement délicieux, car elle est obligée, pour tenir ma queue, de la poser sur ses lèvres ; elle me l’embrasse, elle m’embrasse le gland, elle passe sa langue tout le long de ma tige, elle passe le bout de sa langue dans la fente au bout (elle le fait si bien ça mon dieu), me gobe les couilles.
Sur l’écran de mon téléphone, j’ai l’impression de regarder un film porno. Un film porno dont je serais l’acteur et ma belle-mère l’actrice. Excepté qu’elle y prend vraiment du plaisir.
De mon autre main, je lui pince les tétons de temps en temps, je les lui roule entre mes doigts, ou bien je lui prends les seins pour les écraser, les malaxer, les pétrir.
Puis j’arrête le film et lui dis :
— allez ma douce, on va passer aux choses sérieuses maintenant— tu veux me prendre c’est ça ?— c’est ça, c’est ça … Je veux te la mettre comme tu m’as dit l’autre jour— oh mon chou mets-la moi, oui, mets-la moi bien profond. Ta queue est bien large j’adore cette sensation. Baise ta belle-mère chérie ! Prends-moi comme une chienne !
Ah … une chienne.
Pour moi, pas de doute, ça veut dire en levrette ça … Ben oui quoi … Pas de problème ; aujourd’hui j’ai envie de lui faire plaisir.
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