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belle maman ...

Chapitre 4

Erotique
Et puis pour être vraiment très gentil, je décide de lui enlever les menottes … pour immédiatement lui rattacher les poignets, mais devant cette fois-ci. Pour qu’elle n’ait pas le visage dans les draps et puisse un peu respirer pendant que je la prends.
En revanche, le bandeau je le laisse ; je veux qu’elle ressente, pas qu’elle voie.
Je la positionne les genoux au sol, le torse appuyé sur le lit ; ses bras sont tendus devant elle.
Je prends quelques photos. Je laisse volontairement le son afin qu’elle entende bien à chaque fois que j’en prends une. Je photographie sa chatte, ouverte et visiblement mouillée, je photographie son petit trou, je photographie mes doigts dans son sexe, je photographie mon index dans son cul, puis mes doigts en même temps dans ses deux trous. Je sens bien que ça coince un peu au niveau de l’anus, je le sens se contracter, mais en même temps, elle n’est pas vraiment en position de pouvoir se dérober à mes intromissions …
Je m’accroupis derrière elle, positionne ma queue à l’entrée de sa grotte, introduis mon gland, et le ressors aussitôt. Puis je fais pareil avec ma queue toute entière. Bientôt elle me supplie de la prendre plus fort.
J’obtempère bien volontiers !
Et je commence mon pilonnage en règle, en cadence. Sa chatte est brûlante, ouverte, offerte.
Je filme mon bâton de chair qui pénètre et sort de ma belle-mère. Parfois je ralentis le rythme pour que cela se voie mieux sur ma petite vidéo. Je trouve ça très beau, très excitant, et je pense déjà à toutes les fois où je me branlerai en les regardant plus tard, caché dans les toilettes. Rien que cette idée me durcit encore plus la queue.
Elle, ma chère belle-mère, est complètement déchaînée. C’est elle qui, en reculant son bassin, vient à ma rencontre.
Je sens ses fesses buter contre mon pubis.
Je sens ma queue se tremper, mes poils, mes couilles.
Je l’agrippe par les hanches, par les fesses, que je claque de temps à autre, et je la pilonne de plus en plus fort, de plus en plus vite.
Je l’écrase contre le lit, je lui griffe le dos, je lui tire les cheveux en arrière.

Et elle me dit des mots cochons, sans cesse. Et ça donne ça :
— oh tu me baises bien, mon chéri— elle est si bonne ta queue— ouh elle est bien large, tu me prends bien comme ça, je te sens tout gros, tout dur— je t’excite hein ?— tu la sens bien ma chatte ?
Les odeurs qui se dégagent du sexe de Marie sont délicieuses. Ca sent la sueur, ça sent la mouille, ça sent le sexe, ça sent sa jute ….
— Dis Marie … J’ai envie d’essayer ton cul je peux ?— hmmm …— ça veut dire oui ou ça veut dire non ça ?— essaie si tu veux mon chéri, essaye. Mais je sais pas si elle va passer ta belle queue
Je sors de sa chatte, excité comme rarement je l’ai été, récupère sa mouille pour l’étaler sur ma queue et sur son anus.
J’entre un doigt, sans trop de problème d’ailleurs, mis à part une contraction de sa part.
Après avoir fait coulisser quelque temps la première phalange de mon index, je positionne mon gland à l’entrée.
C’est vrai que vu comme ça, je doute de la possibilité de pouvoir y entrer. Mon gland paraît énorme et démesuré face à cette petite ouverture.
(petite parenthèse : je ne suis pas en train de me vanter de la taille de ma queue ici que ça soit clair ; c’est juste que si sa longueur n’est pas exceptionnelle et reste tout à fait dans les normes, enfin je pense, elle est assez large, et notamment mon gland. Voilà, c’est dit)
J’appuie, j’appuie, mon gland s’écrase un peu … Je continue à pousser …
Ma belle-mère ne bouge plus, elle est en attente.
Mon gland s’écrase, s’aplatit quand, brusquement, sans prévenir, il entre d’un coup dans le trou du cul de ma belle-mère.
Elle pousse un véritable cri ! Un « aïe » assez retentissant je dois dire.
J’arrête tout mouvement, attendant – peut-être – qu’elle s’habitue à ma queue en elle.
Je tente un mouvement vers l’avant, mais ses cris redoublés m’en dissuadent.
Je sors donc ma queue à regret de ce petit trou tout chaud et replonge avec plaisir dans l’autre trou, très ouvert et très humide.
Oh je m’y sens bien hein, soyons honnête.
Et je baise ma belle-mère comme jamais, je ne lui laisse pas reprendre son souffle, et bientôt elle se met à crier, mais pas de douleur cette fois-ci … Je sens son vagin se contracter contre ma queue impatiente et ces contractions de plaisir entraînent immédiatement le mien.
J’ai l’impression de gicler des litres de foutre dans son intimité. C’est comme si je la fécondais.
Ensuite nous nous sommes allongés sur le lit, en sueur, épuisés, ravis.
— je suis désolé Séb pour tout à l’heure, ça m’a vraiment fait trop mal— c’est rien mon ange …— c’est ta queue, elle est trop large pour moi …— ah bon ? c’est pas l’impression que j’ai eue— (rires) ah tu sais bien quoi … pour mon petit trou— je sais je te taquine ; je l’ai bien senti que ça te faisait mal— je te jure qu’on réessayera— si on réessaye dans les mêmes conditions, ça sera pareil. Ce que tu vas faire, c’est que tu vas le préparer pour me recevoir— le préparer ??— oui, tu vas t’acheter un gode quand on sera rentrés, et tu t’entraîneras avec. Petit à petit tu verras, ton trou s’élargira ; et quand il sera prêt …— m’acheter un gode ? mais j’oserai jamais !— bon je m’en occuperai, je connais un site génial ça s’appelle néoplaisir, j’ai entendu une émission sur RMC ils parlaient d’un sextoy qui s’appelle Samsara … Tu peux tout faire avec celui-là, du clitoridien, du vaginal, de l’anal …— tu sais que ce sera mon premier ?— ton premier quoi ?— ben mon premier gode quoi …— hmmm ouhlala … Ma petite belle-mère va se goder pour la première fois. Allez, c’est entendu ! Je te l’offre dès que je peux d’accord ?— voui … d’accord …
Et nous nous sommes caressés à nouveau. Ma queue a repris de l’ampleur, pour atteindre sa dimension optimale.
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