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Ma belle-mère à 60 ans

Chapitre 1

Inceste
Par souci de confidentialité, les prénoms de cette histoire ont été modifiés.
Tout a commencé parce que ma femme se refuse à moi. A cause de l’insuline qu’elle prend depuis qu’on lui a diagnostiqué un diabète sévère, elle a pris du poids. Moi, je m’en fous mais elle complexe à mort. Au début, elle a commencé à ne vouloir faire l’amour que dans le noir. Puis, elle n’a plus voulu que je la regarde se déshabiller. Aujourd’hui, on fait chambre à part et on ne fait plus rien depuis 6 mois. Bref, j’ai pris l’habitude de mater des vidéos pornos, d’échanger des dials hots sur des sites de chat ou de lire les histoires x sur le net. Mais aujourd’hui, cela ne me suffit plus. Alors j’ai commencé à fantasmer sur les autres femmes de mon entourage. D’abord celles que je croise tous les jours au boulot, puis dans les transports et, depuis peu, sur ma belle famille. Plus précisément sur la mère de ma femme.
A 60 ans, ma belle- mère n’est pourtant pas un canon. Marie mesure environ 1,60 m, plutôt ronde, des cheveux châtains clairs descendant jusqu’à mi-hauteur du dos avec tout de même de magnifiques yeux bleus. Mais surtout une poitrine avoisinant les 105 D à vue de nez. Dans mon fantasme, je trouve un prétexte pour lui demander de passer seule à la maison un après-midi où ma femme est absente. Je l’imagine sonnant à la porte. Je lui ouvre. Elle est habillée en tailleur noir assez sage : sa jupe lui arrive à peine au-dessus du genou et sa veste déboutonnée laisse apercevoir un léger décolleté. Après les embrassades d’usages, je la fais entrer dans le salon et lui proposant un café qu’elle accepte poliment. En revenant, je dépose le café sur la table basse et m’assois sur le canapé à côté d’elle. Marie s’est débarrassée de sa veste pour découvrir un top sans manche dévoilant la blancheur de ses bras.
— Merci d’être venue Marie, dis-je timidement. Je n’étais pas sûr que tu viennes.— Tu m’as dit que tu avais besoin de moi, je suis venue.— En fait, j’avais besoin de te parler… Ce n’est pas facile à dire. Je ne sais pas par quoi commencer…— Prends ton temps Jean, je ne travaille pas cet après-midi, me répond-elle avec un sourire pour me détendre.— Ben voilà. Ca concerne ta fille Karine. Quand je me suis marié avec elle, je pensais que j’avais enfin trouvé la bonne après mon divorce mais je dois avouer que c’est de plus en plus dur…— Ah bon ? Pourquoi ? Je sais qu’elle peut se montrer dure. Elle n’a pas un caractère facile mais elle a bon cœur.— Je sais mais depuis plusieurs mois, je doute de plus en plus depuis qu’on ne partage plus le même lit. On n’a pas couché ensemble depuis ce temps. Je le supporte de plus en plus mal… Mais, je ne vois pas pourquoi je t’en parle… Je suis désolé… En plus, tu ne dois pas savoir ce que c’est, tu as un mari qui t’aime comme au premier jour, ça se voit !— Oh, détrompes-toi. Avec Robert, ça fait bien longtemps qu’on fait lit séparé nous aussi. Il ne me touche presque plus, avoue-t-elle.— Quoi ! C’est pas possible ! feins-je, car je savais qu’elle passait ses nuits sur le sofa de son appartement depuis qu’elle ne supportait plus les ronflements de son mari.— Si. Mais tu sais, je ne lui en veux pas : ces choses-là, ce n’est plus de notre âge.— Arrêtes, tu vas me faire déprimer. Tu es en train de me dire qu’en vieillissant, les choses ne vont pas s’arranger ?— Mais non, toi tu es encore jeune à 42 ans. Tu es en pleine force de l’âge.— Oui, mais cela ne me sert à rien… Je crois qu’on est deux naufragés de l’amour, Marie. Je suis dégouté. Comme j’ai encore des sentiments pour ta fille, je ne me vois pas divorcer une nouvelle fois. Je ne sais plus quoi faire… Je suis à fleur de peau… Je vais craquer !— Il faut que tu sois fort. Ca va finir par s’arranger.— Ca fait trop longtemps que j’attends. Je vais finir par faire une connerie.— Non, non. Je ne veux pas t’entendre dire ça. Ce n’est qu’un mauvais moment, ça va passer…— Je ne crois pas, lui dis-je en lui prenant les mains. Merci de me réconforter, ça me touche. Tu sais, c’est un peu parce que tu es là que je reste avec ta fille.— C’est gentil de me dire ça, me répond-elle en rougissant. C’est normal que je me soucie de mon gendre.— En fait, non, c’est pas vraiment comme ça que je l’entendais. Pour être honnête, je dois t’avouer que je pense souvent à toi le soir dans mon lit.
— Faut pas dire ça Jean, je suis ta belle-mère quand même !— Mais tu es une femme d’abord. Belle, séduisante, avec des formes généreuses qui plaisent aux hommes ! Cela fait trop longtemps que je n’ai pas profité des charmes du sexe opposé. Dis-moi ce que tu portes en dessous...— Ca va pas Jean ! Arrêtes ça tout de suite !— Marie, je te le demande à genoux. Mets-toi en soutien-gorge s’il te plait.
Alliant le geste à la parole je me plante devant elle, les mains sur ses cuisses dodues et mon regard à la hauteur du sien.
— Je t’en supplie Marie. Si tu ne le fais pas, je risque de le demander à une autre femme et j’ai peur que ça aille trop loin. Aide-moi…
Mon regard a dû l’attendrir car elle pousse un soupir avant de déclarer :
— Très bien. Mais, juste une fois alors. D’accord ?— Tout ce que tu veux belle-maman. Je suis à tes pieds !
Je me recule légèrement. Elle croise les bras sur son ventre pour saisir le bas de son top et lève ses mains pour le retirer. Elle découvre alors une superbe poitrine engoncée dans un soutien-gorge noir en dentelle que je ne soupçonnais pas aussi sexy pour une femme de son âge. Je m’avance doucement pour mater ses gros seins de plus près.
— Ils sont magnifiques belle-maman.— Dis pas de bêtises, je suis vieille maintenant.— Mais tellement désirable ! Regarde-moi, je ne peux pas en dire autant dis-je en retirant prestement mon t-shirt pour dévoiler mon torse.
Si je ne possède pas le corps d’un Apollon, j’ai au moins l’avantage de ne pas m’être laissé au point d’avoir le ventre aussi énorme que celui de mon beau-père. Marie ne peut s’empêcher de me détailler. Ses mains viennent se poser sur le haut de mon corps en me caressant machinalement.
— Je n’avais jamais toucher le corps d’un autre homme auparavant. Je n’ai connu que Robert, lâcha-t-elle pensive.
Pendant ce temps, je me suis approché assez près pour sentir son parfum. Volontairement, je souffle délicatement sur sa peau que je sens frémir à chaque respiration. Du coin de l’œil, je l’aperçois qui ferme les yeux pour apprécier ce moment. Mes mains sont maintenant sur ses avant-bras. Je pose ma joue juste entre ses seins. Tentan le tout pour le tout, je dépose un baiser à la naissance de son sein gauche.
— Il ne faut pas Jean. Arrête ! proteste-t-elle mollement.
Je me redresse et, d’un doigt sur ses lèvres, lui fais signe de ne pas gâcher ce moment. Son regard croise le mien. Je fais glisser ses bretelles sur ses bras pour découvrir ses épaules que j’embrasse sensuellement. Elle pousse un léger soupir qui m’encourage à remonter le long de son cou, en passant par le lobe de son oreille, puis je dépose un doux baiser sur sa bouche dont le rouge à lèvres me laisse un goût sucré plutôt agréable. En forçant légèrement, je pars à la rencontre sa langue qui se laisse faire au début avant de s’entortiller avec passion autour de la mienne. Ma main droite descend sur son sein. Mes doigts roulent son gros téton tandis que ma main gauche remonte sa jupe jusqu’à son entrejambes pour effleurer sa culotte humide. C’est gagné ! Moi qui l’ai tant désirée, je vais prendre possession de ma belle-mère maintenant.
La situation m’excite au plus au point. Ma belle-mère d’habitude si prude se laisse tripoter par son gendre et moi, pour me venger de ma femme, je vais la tromper avec sa mère.
Si vous en voulez plus, dites le moi...
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