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Belle-mère exhibitionniste et beau-fils voyeur

Chapitre 4

le moment de vérité

Voyeur / Exhibition
Ça y est, le pas avait été franchi. Nous savions à quoi nous attendre maintenant. Mais, savait-elle pour toutes les caméras, ou sinon, lesquelles ? Et savait-elle que j’enregistrais ou pensait-elle que je matais juste ?

Il fallait que je prenne des dispositions avant qu’il ne soit trop tard. Seulement, le volume était trop important sur mon ordinateur pour que cela aille sur une clé USB. J’entrepris de mettre en fichier caché et dans un dossier spécial tous ce qui les concernaient avant de filer m’acheter un disque dur conséquent.

Louise n’était plus dans le salon, seul son string et son chemisier étaient encore sur le canapé. A cette vue, aussitôt mon sexe se durcit en me remémorant ce qui venait de se passer. Ni une ni deux, j’entrepris de sortir mon membre et pris son sous-vêtement.  Malgré être venu peu avant, je giclais une nouvelle fois rapidement dans le fond en matant la photo que j’avais prise de Louise souillée et inerte. Je m’essuyais avec son chemisier avant de tout remettre comme c’était et de filer. 

 Une fois dehors, je me sentais zen et vidé. Cette sortie me permis de me changer les idées. J’allais acheter 2 disques durs hors de prix à cette époque puis allait manger une glace car tout cela m’avait ouvert l’appétit. Je profitais du soleil pour faire le plein de vitamine D avant de rentrer.

  Comment cela allait-il se passer ?  Quelle allait être son attitude après ce qui venait de se passer ?  Continuerait-elle la provoc ou mettrait-elle un terme à tout ça ? Au final, je me dis que peu m’importait, c’est elle qui désirait s’exhiber. Je serais là si elle voulait continuer, mais il n’y aura pas mort d’homme si elle voulait cesser. Juste un jeune homme ruiné par l’achat de 2 disques dur qui deviendraient inutiles.

Une fois rentré, Louise n’était pas visible. Je montais dans ma chambre pour entendre des bruits bizarre mais caractéristiques dans la chambre de mes « parents ». Je filais dans la mienne pour allumer l’ordi. Mon père était rentré et baisait Louise en levrette.

Elle portait la jupe et le chemisier largement ouvert dans lequel je m’étais essuyé plus tôt. Ses seins se balançaient en cadence sous les coups. Il me fallut un certain temps (en fait que mon père se retire pour lui lécher l’anus) pour constater qu’elle portait visiblement le string dans lequel je m’étais épanché. Continuait-elle la provocation sachant que j’avais mis des caméras dans sa chambre ? Ou le faisait-elle pour titiller sa libido qui était très expressive maintenant sous les coups de boutoir anal de mon père ?  Elle jouit ainsi deux fois avant que mon père ne se retire pour lui éjaculer sur son chemisier et son fessier. Une nouvelle dose massive de foutre blanc qui l’avait maculé jusque dans les cheveux.

Mon père contrairement à moi, prit la jupe pour nettoyer son sexe alors que Louise, exténuée, avait du mal à se remettre de ses émotions. Mon père la laissa sur le lit et alla dans la salle de bain prendre une douche.

Après quelques instants, Louise finit par se relever. Sans se réajuster, elle se leva avec son chemisier ouvert et se dirigea vers une des caméras. Sa jupe restait en position haute et elle finit par regarder la caméra comme un air de défit puis se retourna pour me laisser contempler les exploits de mon père sur son dos et son fessier.


Elle alla même jusqu’à se pencher en avant en écartant ses fesses pour me montrer son anus souillé du foutre blanc.  Au moins, elle me montrait avoir vu la caméra. Louise joua même avec son petit trou et introduisit du sperme avec son index. Ce spectacle était d’un bandant inimaginable. Je me retins malgré tout et évita de me masturber. Mais Louise se retourna et me nargua en introduisant son index langoureusement dans la bouche. Elle sortit la langue pour le lécher puis le suça pour le nettoyer entièrement avant de simuler une fellation dessus.

Je n’y tins plus et finit quand même par décharger dans un mouchoir. Il n’y a pas à dire, elle savait y faire avec les hommes. Une fois son manège finit, elle se dirigea dans la salle de bain et rejoignit mon père sous la douche. Il l’enlaça et l’embrassa mais finirent tranquillement de se laver et de se rhabiller. Je ressortis discrètement pour rentrer un quart d’heure plus tard en feignant l’innocence sur ce qui venait de se passer.

Mon père fut ravi de me voir et content que l’on puisse enfin dîner à trois. Il avait mît un jean et une chemisette alors que Louise avait opté pour une robe d’été Il se proposa même pour nous faire à manger, ce qui était chose rare, et partit dans la cuisine rejoint par Louise. Je mis en place un apéro  dans le salon quand elle revint avec les assiettes et couvert qu’elle posa en bout de table. Elle se dirigea vers moi alors que je servais les apéritifs et en me regardant me dit juste ceci :

« Entre nous, il n’y aura qu’une seule règle : pas touche ! Tu regardes mais tu ne touches pas. Compris ? »

 En la regardant moi aussi, je lui répondis : « cela me convient parfaitement ».

Puis elle repartie dans la cuisine aider mon père.
Au moins les choses sont dites et autre chose me disait que j’allais bien m’amuser.

Ils revinrent ensemble le temps que cela cuise. Nous nous installâmes donc dans le salon, moi dans le fauteuil et eux dans le canapé en face,  pour discuter en prenant l’apéritif. Il me demanda ou en était mes recherche de job et je lui répondis que j’avais deux touches avec des entretiens dans la semaine. Puis nous discutâmes de choses et d’autre.

A un moment, il se leva pour aller surveiller la cuisson. Louise, assise en face de moi seule maintenant, continua la discussion. Mais tout en se faisant, elle écarta les cuisses d’une manière feinte et naturelle. Quand elle détourna son regard, je plongeais immédiatement le mien  dans son entrejambe pour voir le fond de sa culotte blanche. Je ne parvins pas à voir de suite si c’était un string ou une culotte mais mon sexe durcit instantanément.

 Mon père revint mais ce n’est pas pour autant que Louise resserra ces jambes. Ce fut une vraie torture que de discuter avec eux en les regardant dans les yeux sachant que Louise avait nonchalamment tiré légèrement sa jupe vers le haut m’en montrant encore plus. Au bout de 10 minutes interminable, ils se regardèrent à un moment donné pour se faire un bisou rapide ce qui me laissa juste le temps de contempler son petit trésor intime avec la définition d’un string sur ce qu’elle portait.

Là où je faillis faire dans mon boxer était la vision d’une petite tâche sur le fond. Mais cela fut plus que rapide car ils revinrent rapidement à la discussion.  Puis mon père repartit dans la cuisine mais Louise l’accompagna ce coup-ci me laissant dans le désarroi d’une bandaison inassouvi. Mon père revint au bout de cinq minutes mais pas Louise. Il me dit que cela serait bientôt prêt.

 Louise mit cinq minutes de plus avant de nous rejoindre et de se rasseoir à côté de lui. Mais elle s’assit sur le bord du canapé, jambes serrées, qu’elle garda ainsi jusqu’au moment où on alla passer à table. Pour se lever, elle les écarta juste suffisamment pour que  je puisse observer qu’elle n’avait plus son string. Je ne pus voir vraiment son sexe mais il était certain que la tache blanche caractéristique de son entrejambe n’était plus là. Sans me jeter un regard, elle suivit mon père.

Elle s’arrêta soudain pour se pencher en avant feignant de remettre correctement son escarpin et ce que je vis faillit une nouvelle fois me faire exploser. La robe se remonta suffisamment pour me faire apparaître un genre de diamant caractéristique de certain plug anal  dans son fondement.

 De nouveau une torture de pouvoir observer cela à moins de cinquante centimètres de mes yeux et ne pas pouvoir en profiter avec les mains. Louise se releva presque aussi vite qu’elle s’était baissée et continua de suivre mon père.  Une fois dans la cuisine, on passa à table. Comme d’habitude quand mon père faisait la cuisine, ce fut succulent. Louise me lança deux ou trois regard appuyé mais rien d’autre ne se passa.

Une fois le dessert fini, je débarrassai la table et les informais de mon intention de sortir. On était samedi soir, cela ne les étonna pas.

Je montais dans la salle de bain afin de me rafraîchir et jeter mes affaires au sale avant d’aller me changer dans ma chambre. Mais quand je soulevais le couvercle du panier à linge, une surprise m’attendait : le string de Louise posé sur le haut. Je le  saisis et vit tout de suite la tâche que j’avais vu plus tôt dans la soirée, sauf qu’elle était plus importante. Je la portais à mes narines et tout de suite, l’odeur de son plaisir les remplies de son effluve caractéristique. Je me mis tout de suite à m’astiquer avant de le remplir de mon foutre en un rien de temps. Je pris mille précautions ensuite pour aller le déposer dans le tiroir approprié de la commode de Louise.

  Quel autre moyen de lui dire merci ?

Puis je me précipitais dans ma chambre pour m’habiller et je mis le mode enregistrement automatique. Je pouvais voir, pendant ce temps-là Louise aguicher mon père comme pas possible alors que lui, répondant malgré tout à ces avances par des caresses poussées, lançait des regards vers l’escalier de peur de me voir arriver. 

Je finis par sortir de la chambre en claquant la porte suffisamment bruyamment pour que lorsque je descendis, ils s’étaient mis chacun dans un coin. Je leur souhaitais une bonne soirée en lançant un regard entendu et plein de sous-entendus à Louise puis allait voir un film en ville que j’avais remarqué depuis quelques temps.

Celui-ci au final était moins intéressant que prévu et je piquais du nez en son bon milieu. Je me repris juste avant le début du générique et sorti de la salle comme si de rien n’était. J’allais ensuite dans un bar de nuit ou j’étais sûr de trouver des potes ce qui fut le cas et passais un bon moment en leurs compagnie. Ils me présentèrent une charmante jeune femme avec qui j’eus quelques atomes crochus avant la fin de la soirée et nous échangeâmes nos téléphone pour une future rencontre. Je rentrais ensuite vers 02h30 du mat.

Étant émoustillé par l’éventualité de la revoir, je voulus me soulager par ce que mon ordi avait enregistré de la soirée. Bien m’en a pris car ici, la soirée avait vite dégénéré. A peine étais-je parti que Louise était à genoux devant mon père à lui aspiré son chibre. Après l’avoir mis en condition, elle se  releva en ôtant sa robe en un haussement d’épaule.

Mon père l’embrassa fougueusement en lui malaxant sa poitrine puis la retourna et la pencha en lui faisant prendre appui sur les accoudoirs du canapé. Il présenta son sexe à l’horizontal et sans ménagement la pénétra d’un coup. Même sans s’y être enfoncé entièrement, Louise lâcha un cri comme jamais je n’avais entendu. De l’angle de la caméra, on voyait qu’elle avait toujours son plug dans le fondement et mon père se mit à la besogner sauvagement.

Elle mit moins d’une minute à lâcher sa première jouissance. Elle était vraiment en condition car le sexe de mon père luisait de sécrétions et entrait et sortait sans aucunes difficultés. Elle passa sa main sous son ventre pour caresser le clito pendant que mon père continuait sa cavalcade. Elle jouit une seconde fois puis une troisième fois sous les assauts.

 Celui-ci lui retira le plug délicatement et le remplaça par son sexe luisant de cyprine. Il s’enfonça lentement jusque la garde avant de se remettre à la marteler de plus belle. Louise reparti dans ses râles et cris avant de jouir quasiment deux fois de suite.

Mon père se retira soudain pour lui éclabousser le dos et son fessier de foutre en grande quantité. Louise s’écroula sur le ventre sur le canapé, vaincu par l’ardeur de mon père. Il approcha son sexe de sa bouche alors qu’elle était encore couché pour qu’elle lui nettoie elle mit une minute ou deux pour se remettre de ses émotion et commencer à accéder à sa demande.

Elle saisit le membre d’une main et commença à le lécher  de tous les côtés avant de le reprendre entièrement en bouche.  Pendant ce temps, mon père lui doigtait le vagin de deux doigts ou alors lui caressait le clito par intermittence. Cela la revigora car en moins de 5 minutes, mon père ayant reprît toute son ardeur, l’emmena dans la cuisine.

Il ne prit même pas la peine de lui nettoyer son dos et la coucha sur la table. Il lui releva les jambes sur ses épaules et s’introduisit sauvagement. S’ensuivit quinze minutes d’introduction anale et vaginale ou Louise finit en  transe puis presque évanouie d’épuisement avant que mon père ne lui remplisse le fondement de son foutre.

 Mon père mit bien cinq minutes avant de se séparer et Louise cinq de plus pour reprendre ses esprits.  Elle s’assit sur le bord de la table, incapable de faire un autre geste. Mon père, la queue basse ou quelques gouttes de sperme tombèrent par terre, reprenait lui son souffle. Ils finirent par se regarder et s’esclaffèrent de rire.

Puis ils s’embrassèrent comme deux amoureux peuvent le faire. Il l’aida ensuite à se relever ce qui me permit de voir la coulée de sperme entre les jambes de Louise et montèrent prendre une douche avant d’aller se coucher. Je m’étais épancher depuis longtemps dans un mouchoir quand je tiltais sur ce que je venais de voir.

 Je me rhabillais correctement et descendis à pas de loup. Je filais directement dans le salon pour chercher sur la table du salon…. Le plug que mon père avait retiré du cul de Louise. Il était là, posé comme sur la vidéo. Ils étaient tellement stones de leurs ébats qu’ils en ont oublié de ranger et nettoyer. Je saisi le plug pour l’observer. C’est la première fois que j’en tenais un. Petit, il pesait son poids en métal.  Louise avait dû se mettre en condition avant de le mettre en place car aucune odeur caractéristique ne s’en dégageait. Juste une trace de gel se voyait dessus.

Que faire, j’étais tenté de le lui subtiliser mais si ils avaient un retour de lucidité demain matin en voyant l’état de la table de la cuisine, je n’aurais aucun moyen de me justifier auprès de mon père. Je le remis donc à sa place sur la table avant d’aller voir dans la cuisine. Comme je le pensais, des traces blanchâtres et maintenant desséchées maculaient la table et le sol. J’étais toujours étonné de la quantité de sperme que mon père pouvait lâcher durant leurs rapports.

Je ne m’attardais pas plus que cela et alla me coucher.  A mon réveil, je n’entendais rien. Il était pourtant 9h00 du matin et on était samedi. Je descendis prendre mon petit déjeuner  et comme je le pensais, tout avait été nettoyé et le plug avait disparu. Un message m’indiquait qu’ils étaient partis faire des courses et qu’ils revenaient d’ici 10h00 maximum.

À suivre,,,
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