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Ma belle-mère me fait aimer les filles....

Chapitre 2

Lesbienne
Nota : à la demande de plusieurs lecteurs et lectrices, je me suis enfin décidé à inventer une suite à la précédente histoire. J’espère qu’elle plaira autant et qu’il y aura autant de commentaires (dont je vous remercie par avance).
Ma belle-mère me fait aimer les filles.

Mon père étant absent pour trois jours, nous avions deux nuits complètes pour que Vanessa, la seconde épouse de mon père, me fasse découvrir comment deux femmes peuvent se satisfaire mutuellement. Je me suis donnée à fond et j’avoue que les jouissances que j’ai éprouvées (et que j’ai partagées avec Vanessa) sont allées bien au-delà de ce que j’avais pu ressentir auparavant. Jouir sous les caresses et la langue d’une femme qui fouille votre intimité, c‘était vraiment TOP ! Je découvrais et j’appréciais. Je n’avais jamais autant joui et les garçons pouvaient aller se rhabiller ! Je n’étais pas lesbienne au sens que l’on veut bien donner à cette expression mais l’épouse de mon père m’avait fait aimer les femmes...

Désormais et chaque fois que nous le pouvions, nous nous retrouvions dans la salle de bains et là, nues (ou presque) nous échangions des caresses et des baisers de plus en plus torrides. Ce que j’aimais par-dessus tout, c’était caresser les globes opulents de Vanessa et sucer les tétons qui s’érigeaient et se développaient entre mes lèvres gourmandes.

Vanessa n’était pas en reste car elle découvrit (et me fit découvrir) mes zones érogènes et ne se privait pas de m’embrasser et de me donner des frissons qui remontaient le long de mon dos et à chaque fois, mon sexe s’inondait d’une abondante cyprine que l’épouse de mon père allait laper, allongée entre mes cuisses. Mais le summum fut atteint le soir où après être passées toutes les deux sous la douche, elle m’entreprit pour faire saillir mon clitoris pendant qu’elle introduisait deux doigts dans ma chatte et fouillait d’un doigt inquisiteur l’orée de mon sphincter, si bien que j’ai expulsé plusieurs jets translucides qui ont inondé ses mains.

— Excuse-moi, je ne sais pas ce qui s’est passé mais je n’ai pas pu me retenir !!!
— Ne sois pas désolée. Tu viens de connaître ce qu’un nombre restreint de femmes arrivent à connaître ! J’ai déclenché sans le chercher ta fontaine.
— Waouh mais qu’est-ce que c’était bon de sentir ces giclées ! Et toi ? Mon père arrive à déclencher ta fontaine ?
— De temps à autre. J’aime bien sentir son sexe long et gros dans ma chatte ou dans mon sphincter mais il faut être dans des bonnes dispositions pour cela.
— Et il ne sait pas y faire ?
— NON. Ton père a beaucoup de soucis professionnels depuis plusieurs mois avec le rachat d’une entreprise concurrente et il ne me baise plus aussi souvent et ce sont des coups ‘’vite fait’’ qui me laissent sur ma faim.

— Je suis désolée pour toi !
— Tu sais, je viens de fêter mes quarante ans et ton père a largement dépassé les soixante printemps. Ce manque d’appétit est presque normal mais tu imagines que je sais comment me satisfaire !
— Je m’en doute !

Entre les fêtes de fin d’année, ma belle-mère m’entraîna dans une séance de shopping dans les grands magasins du centre de Paris puis elle héla un taxi qui nous emmena Place Blanche. Quand nous en descendîmes, elle me dit qu’elle avait un secret que peu de personnes connaissaient, même pas mon père. C’était, disait-elle, son jardin secret !
— Dis-m’en plus !!!
— Je ne te dis rien mais tu vas découvrir par toi-même !

Elle poussa la porte vitrée d’un magasin dont je saisis immédiatement le genre d’activité. Elle m’avait entraînée dans un des plus grands sex-shops de Paris en disant :
— Tu vas voir. Nous allons faire quelques emplettes coquines. Il me manque toujours quelque chose pour m’amuser quand ton père tarde à me rejoindre dans le lit. Comme ça, je suis plus réceptive et il a vite fait de me faire jouir quand il est enfin d’humeur coquine.
— Je te suis. Je ne suis jamais entrée dans ce genre de magasin.
— Ici, je suis sûre de trouver ce que je cherche. Je vais te confier un secret : quand j’étais étudiante, je venais arrondir mes fins de mois en m’exhibant sur le podium. Au départ, je me contentais d’acrobaties à la barre de pole dance mais devant l’insistance de certains clients et des billets de 50 € qui arrivaient, j’ai fini par terminer mon numéro entièrement nue...
— ET ça t’arrivait de baiser ?
— Oh non. Surtout pas. C’était interdit de se laisser draguer dans le magasin mais je sais qu’un certain nombre de mes collègues se laissaient faire surtout celles qui faisaient la fermeture.

Nous déambulâmes dans les trois étages du magasin proche du célèbre MOULIN ROUGE et Vanessa m’offrit un ensemble très coquin que je n‘aurais certainement pas acheté si j’avais été seule... (Je ne serais même jamais entrée dans ce genre de boutique). Cet ensemble était composé d’un soutien-gorge avec plein de dentelle décorative mais les bonnets étaient fendus si bien que mes tétons dardaient quand je l’ai essayé (j’étais terriblement excitée). Un string très minimaliste et un serre-taille coordonnés avec le soutien-gorge complétaient le tout. Vanessa acheta un gode ceinture avec un sexe mâle de bonne taille et un autre plus petit à l’opposé dans le plastron, une sorte de moignon souple. En riant, elle commenta :
— Comme cela quand je te baiserai, j’aurai également des sensations dans ma fente !
— Ne me dis pas que tu vas t’en servir avec moi ?
— Si bien sûr. Tu verras, on va bien s’amuser...

Encombrées des sacs qui contenaient nos diverses emplettes, nous regagnâmes le parking où Vanessa avait laissé sa petite voiture (une tuerie) puis nous rentrâmes à la maison dans la banlieue sud. Mon père arriva ce soir-là tout guilleret, il demanda aussitôt que Vanessa serve le champagne : il avait enfin finalisé la transaction qui le mettrait bientôt à la tête d’une seconde entreprise. Donc ce soir, il n’y aurait pas de coquineries avec Vanessa...

Mais quelques jours plus tard, mon père s’absenta de nouveau pour deux jours et nous allions avoir une nuit entière pour faire l’amour. Vanessa avait su me faire découvrir mon corps (et le sien) et désormais, je ne pensais plus aux garçons. Je remettais en place gentiment mais sérieusement mes camarades de Fac. En cet instant, ils ne m’intéressaient plus. Quand j’arrivai à la maison, un peu tardivement après un TP en amphi, Vanessa m’attendait : elle nous avait préparé un dîner fin et coquin puisqu’elle portait un déshabillé vaporeux sous lequel elle n’avait qu’un soutien-gorge redresse seins et un string très coquin (une langue brodée semblait lécher son pubis !). L’ambiance était créée ! Chaque fois que l’une ou l’autre passait à proximité, nous échangions des baisers de plus en plus chauds et des caresses de plus en plus poussées si bien que Vanessa me dit soudain :
— Ote tes frusques de ville, et montre-moi quels dessous tu avais choisis aujourd’hui !!!

Je me déshabillai et bientôt je fus à moitié nue dans les bras de Vanessa qui dit  :
— Viens dans ma chambre, nous y serons mieux.

Dès que nous fûmes dans la chambre parentale, nous nous mîmes entièrement nues et nous continuâmes à nous embrasser et à nous caresser jusqu’à ce que le lit immense nous accueille, à moitié enlacées pour débuter un 69 très sensuel qui nous conduisit vers des sommets de jouissance. Presque aussitôt Vanessa s’équipa du gode ceinture acheté entre les fêtes de fin d’année en disant que sa chatte était bien imprégnée de cyprine et qu’elle pensait que la mienne était elle aussi pleine de mouille.
— Oh oui. Tes baisers m’ont fait mouiller...
— C’est parfait, comme cela le sexe factice entrera facilement !!!
— Oh oui. J’ai envie que tu m’éclates la chatte, que tu la fouilles à fond !!!
— Ne sois pas aussi impatiente, nous avons toute la nuit devant nous, en plus, si je me souviens bien, tu n’as cours que l’après-midi ???
— Oui. On pourra faire la grasse matinée !!!

J’étais allongée sur le dos, les cuisses ouvertes et la chatte baveuse quand Vanessa vint entre mes jambes, le sexe factice dressé sur son pubis. Elle releva mes jambes pour placer mes chevilles sur ses épaules dans une position où mon vagin largement ouvert lui offrait une voie royale pour me baiser. Et elle en profita !

Je sentis le bout achever d’ouvrir mes lèvres intimes, s’amuser avec mon bourgeon puis redescendre avant d’entrer dans ma conque baveuse en une lente progression que je ressentais et appréciais, tout en mordant mes lèvres, pour ne pas exprimer trop tôt et trop fort combien ma jouissance était forte. C’est vrai que depuis un peu plus de six mois, je n’avais connu que des godes ou les doigts de Vanessa pour me procurer du plaisir, mais je n’avais pas hâte de sentir un vrai sexe mâle dans ma chatte : les copains avec lesquels j’avais baisé ne pensaient qu’à eux et, bien souvent, j’étais obligée d’achever ce qu’ils avaient commencé, recherchant manuellement l’assouvissement de mes sens.

Je sentais le sexe factice aller et venir en moi et Vanessa prenait son temps pour faire monter ma jouissance. J’étais bien et je voyais les beaux seins de ma belle-mère danser sous mes yeux, deux beaux fruits sur lesquels j’aventurai mes mains pour saisir les tétons entre mes doigts et les faire rouler...
Une nouvelle jouissance nous emporta mais je n’en avais pas encore assez ! Maintenant, c’était à mon tour de bien faire jouir Vanessa. Notre 69 avait certes été très bon mais quand elle m’avait baisée avec le gode ceinture, j’étais certaine qu’elle n’avait pas été entièrement satisfaite...
— Vanessa, je sais que t’as encore envie de jouir, laisse-moi t’aimer !
— Oh oui. Echangeons et montre-moi ce que tu sais faire !
— Donne-moi le gode ceinture et je vais te faire l’amour comme si j’étais un homme. Mais au fait, t’en as eu combien avant de connaître mon père ???
— Je ne les ai pas comptés. Un certain nombre. Mais j’ai toujours aimé les femmes, alors...

Cette fois, c’était à mon tour de me harnacher avec le gode ceinture et le moignon du plastron était bien en place dans ma fente qui continuait à ruisseler.
— Mets-toi en levrette, comme cela ce sera plus facile pour moi !
— Oui. T’as raison...

Et Vanessa s’installa au milieu du lit, les fesses levées bien haut et la tête tournée vers un grand miroir sur pieds. Elle voulait se voir et nous voir. Je m’approchai de son cul et aussitôt, je l’éperonnai d’un seul coup en faisant claquer mon pubis contre ses fesses qui s’étalaient sous mes yeux...
— Oh oui. Défonce-moi bien !!! Ca me changera de la bite paresseuse de ton père...
— Laisse-le où il est et pensons à nous. Ce que tu me fais vivre depuis quelques mois est tellement jouissif...

Je commençai à aller et venir dans la chatte de Vanessa en sortant presque à chaque fois avant de replonger la bite en silicone bien au fond. Je voyais aussi l’œillet plissé qui semblait m’appeler et je me souvins de la séance sous la douche. J’y entrai un puis deux doigts et je commençai à pistonner le fondement de ma belle-mère alternativement avec mes allées et venues dans sa chatte. Elle m’encouragea en disant que ce que je lui faisais était bon, qu’elle n’allait pas tarder à jouir, qu’elle sentait bien que je cherchais son point G, etc. Et soudain Vanessa poussa un grand cri de jouissance en expulsant à nouveau plusieurs jets translucides qui inondèrent le lit entre ses cuisses.

Nous terminâmes la nuit dans mon lit, blotties dans les bras l’une de l’autre et au petit matin, nous nous offrîmes un nouveau 69 avant de nous lever et de prendre une douche ensemble...
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