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Sa belle-mère en manque est prête à tout

Chapitre 2

Inceste
La journée suivante fut la plus longue journée de sa vie pour Aurélie. Elle en était à son quatrième jour sans avoir été soulagée. Jamais elle n’avait attendu aussi longtemps, pas depuis plus de dix ans au moins. Antonin et Aurélie se sont croisés plusieurs fois dans la journée, mais quand Aurélie avait tenté d’aborder la question le midi, Antonin avait simplement éludé par un simple « Ce soir ».
Aurélie n’en pouvait plus, elle était tellement excitée qu’elle essaya même de se masturber, mais sans succès. Se toucher lui procurait certes du plaisir, mais elle n’atteignait jamais l’orgasme, ce qui était donc surtout frustrant.
Antonin avait réfléchi toute la nuit et la journée à ce qu’il allait répondre. Plusieurs possibilités lui étaient venues en tête. Hier soir, il s’était imaginé les scénarios les plus fous, étant donné qu’il était excité au possible. Ce matin, calmé, il avait pensé à des scénarios plus raisonnables. Mais rien n’était encore décidé.
Le soir venant, Aurélie s’habilla d’une de ses nuisettes les plus sexy. Elle voulait qu’Antonin la trouve désirable, afin qu’il ait envie de lui donner son orgasme. Sa nuisette, en dentelle rouge, compressait et révélait ses seins d’une façon très subjective, tout en s’arrêtant assez haut sur ses cuisses. Elle plaisait fortement à son père, donc elle plairait sûrement à Antonin, se disait Aurélie.
Antonin, lui, tournait dans sa tête tous les scénarios qu’il avait imaginés, ne sachant toujours pas lequel appliquer. Quand Aurélie entra dans la chambre d’Antonin, celui-ci prit instantanément sa décision en la voyant : si une créature pareille s’offrait à lui, il ne laisserait pas passer sa chance et profiterait pleinement de la situation. Vous l’aurez compris, le petit démon dans l’esprit d’Antonin avait déjà pris les commandes, et ses fantasmes les plus pervers s’alignaient dans sa tête.
Aurélie entra donc sans dire un mot, puis alla s’asseoir sur la même chaise que la veille, tandis qu’Antonin s’assit sur son lit en face d’elle. Aurélie était assise les jambes serrées, les mains posées sur les jambes, et sa nuisette révélait une grande partie de ses cuisses au regard d’Antonin. Après un léger blanc où personne n’osait se jeter à l’eau, Aurélie, ne tenant plus, commença :
— Alors, tu as réfléchi à propos de notre discussion d’hier ?— Oui, j’ai pris ma décision.— Alors ... ?— Je suis prêt à t’aider.— Génial, merci beaucoup ! s’écria Aurélie, n’en croyant pas ses oreilles.— Attends, je n’ai pas fini, j’ai certaines conditions en contrepartie, reprit Antonin.— Je ferai ce que tu veux, comme je te l’ai dit hier.— Laisse-moi quand même te présenter mes conditions. Alors voilà, j’accepte de te donner du plaisir pour calmer tes pulsions sexuelles, mais en échange, je veux plusieurs choses. D’abord, je veux qu’en retour toi aussi tu me donnes du plaisir, que tu me procures les orgasmes dont j’ai envie, comme tu l’as proposé hier.
Aurélie avait suggéré cette idée la veille subitement, tellement elle était désespérée, mais elle ne pouvait plus revenir en arrière. Elle s’était doutée qu’il suggérerait quelque chose dans ce genre, et elle avait décidé d’accepter cette idée. Après tout, si Antonin lui procurait du plaisir, ce n’était qu’un juste retour des choses de lui rendre l’appareil. Alors qu’elle s’apprêtait à lui répondre qu’elle acceptait, Antonin enchaîna :
— Je n’ai pas fini. La deuxième et plus importante condition est la suivante. Je veux que tu fasses ce que je te dis : tu me toucheras et tu me donneras du plaisir quand JE le souhaiterai, et je te toucherai également quand JE le souhaiterai. Tu me feras jouir et je te ferai jouir de la façon dont JE le veux et quand JE le veux. Pour simplifier, si tu veux que je te procure le plaisir que tu désires, tu me seras soumise. — Je ... je ne suis pas sûre de comprendre. Mais tu me feras jouir autant que j’en ai besoin, si je fais ce que tu veux ?
— Exactement. Et tu n’as pas à t’en faire pour tes pulsions, elles seront assouvies.— OK ... alors j’accepte, je ferai ce que tu veux, répondit Aurélie.
Elle ne savait pas exactement ce qu’elle avait accepté, mais elle savait seulement qu’elle serait satisfaite. Antonin choisirait seulement la façon de la faire jouir, se disait-elle, ce qui ne la dérangeait pas.
Antonin avait réussi. Il avait l’emprise sur Aurélie. Il pouvait jouir d’elle dans tous les sens du terme. Il n’était pas sûr qu’Aurélie ait bien compris ce qu’il proposait, mais tant pis, elle avait accepté. Sa belle-mère, en face de lui, en nuisette sexy, fera ce qu’il voudra. Son excitation était à son comble, il allait pouvoir en profiter dès maintenant. Il décida néanmoins de commencer doucement, et d’assouvir ses fantasmes petit à petit, pour ne pas qu’elle se braque et change d’avis.
— Bien, c’est parfait. Tu sais que je t’ai toujours trouvé très sexy, surtout quand tu mets ce genre de tenue.
Aurélie, assez tendue par le stress de la situation, se détendit doucement, flattée par ces mots.
— Maintenant, lève-toi, et fais un tour sur toi-même.
Aurélie s’exécuta, rougissante.
— Mets-toi dos à moi et penche-toi en avant.
Elle continua à s’exécuter, en arrêtant toutefois de se pencher quand elle sentit sa nuisette trop remonter sur ses jambes.
— Je ne t’ai pas dit d’arrêter, penche-toi plus.
Rougissant de plus belle, elle s’effectua, pleinement consciente de son entrejambe totalement à découvert. Antonin, lui, savourait cette vue sur ce cul parfaitement rond et paraissant bien ferme. N’ayant qu’un seul moyen de le vérifier, il posa sa main sur cette fesse nue docilement exposée. Sentant ce contact, Aurélie sursauta, et un éclair de frisson parcourut son corps. C’était la première main extérieure qui la touchait depuis quatre jours, ce qui fit grimper son excitation brusquement.
Après avoir testé la fermeté de chacune de ces fesses, Antonin reprit ses instructions :
— Maintenant, retourne-toi et penche-toi en avant.
Ainsi, elle exposait ses seins à quelques dizaines de centimètres du visage d’Antonin, qui n’en perdit pas une miette.
— Tu es excitée ? Tu voudrais que je te donne ton plaisir ? — Oui s’il te plaît, fais-moi jouir Antonin.
Antonin la saisit alors soudainement par les fesses de ses deux mains et l’attira contre lui, la faisant basculer sur le lit à ses côtés. Il se retrouva au-dessus d’elle, Aurélie étant allongée sur le dos, sa nuisette remontée et ses seins très exposés. Antonin s’était assis sur les cuisses d’Aurélie, qui ne pouvait plus bouger, non qu’Aurélie en ait la moindre envie. Antonin saisit les deux seins exposés devant lui et commença à les caresser, doucement d’abord, puis de plus en plus fermement.
Aurélie commença à gémir. Enfin des mains d’homme, fermes et puissantes, s’occupaient d’elle. Elle se laissait faire complètement à Antonin et à son désir. Antonin se débarrassa de son t-shirt, avant d’enlever la nuisette de sa compagne à son tour par-dessus sa tête. Aurélie eut un moment de surprise, mais, trop excitée, elle se laissa faire.
Elle était maintenant complètement exposée, sous les yeux d’Antonin. Celui-ci repositionna ses mains sur le corps d’Aurélie, sur ses seins d’abord, puis les descendit doucement, jusqu’à atteindre son sexe. Au premier contact de ses doigts sur son entrejambe, Aurélie cria de plaisir, sa délivrance approchant à grands pas. Antonin touchait à peine le sexe de sa belle-mère que ses gémissements s’intensifiaient.
Il commença à parcourir le sexe d’Aurélie de bas en haut, en passant doucement ses doigts. D’abord un seul, puis un deuxième. Les gémissements se transformaient peu à peu en petits cris.
Il arrêta ses doigts devant l’entrée du sexe d’Aurélie, qui retint son souffle un instant en se préparant à la pénétration tant attendue. Laissant ses doigts figés à cet endroit, il demanda :
— Tu aimes ce que je te fais ? Tu veux que je continue ?— Ouiiii s’il te plaît ne t’arrête pas, j’adore ce que tu me fais, continue ! s’empressa-t-elle de crier.— Tu feras ce que je veux ensuite ?— Oui tout !! s’écria Aurélie.
Antonin commença la pénétration en effectuant de lents va-et-vient, tout en continuant :
— Tu me feras jouir ?— Ouiiii je te ferai jouir ... tout le plaisir que tu voudras ! haleta Aurélie, entre deux gémissements.— Tu me feras jouir comment ?— Comme ... comme tu veux ... je te caresserai.— Tu vas me branler tu veux dire ?— Ou ... oui ! bégaya Aurélie, obnubilée par le plaisir que lui procuraient les doigts d’Antonin.— Tu me caresseras les couilles aussi ?— Heu oui d’accord, répondit Aurélie toujours haletante, mais de plus en plus proche de l’orgasme.
Elle répondait à l’interrogatoire avec ce qui lui passait par la tête, sans pouvoir vraiment réfléchir dans ces conditions.
Antonin retira soudainement ses doigts, puis se releva pour enlever le reste de ses vêtements. Il voulait montrer qu’il était aux contrôles, qu’elle aurait son orgasme quand il le voudrait.
— Et bien, montre-moi comment tu me donnes du plaisir, puisque tu as l’air d’avoir tant d’idées.
Aurélie était jusqu’à maintenant à moitié consciente, noyée dans l’excitation. Elle sentit une brusque frustration s’emparer d’elle et ne put s’empêcher de s’écrier :
— Non continue, t’arrête pas !— Fais-moi jouir maintenant, si tu veux ton orgasme.
Désireuse de jouir après tant d’attente et d’excitation, Aurélie se résolut à accepter la requête. Elle dirigea son regard vers l’entrejambe d’Antonin, toujours assis sur ses jambes au-dessus d’elle. La vue du sexe d’Antonin tendue devant elle la fit frissonner d’excitation. Elle saisit alors ce sexe et commença à le caresser.
La sensation était magique pour Antonin. La première étape de la réalisation de ses fantasmes se réalisa, enfin sa belle-mère touchait son sexe. Tellement de possibilités étaient maintenant ouvertes. Il continua alors à imposer ses idées :
— Caresse mes couilles en même temps.
Aurélie s’exécuta, non sans enfin remarquer le vocabulaire qu’employait son beau-fils. Mais elle s’en fichait maintenant, seuls leurs plaisirs comptaient.
— Tu es très excitante à me branler comme ça Aurélie, continue.
Ceci la fit rougir, même si elle sentait une certaine fierté à combler les attentes d’un jeune de son âge.
— Dis-moi des trucs excitants, je veux t’entendre parler de cul pendant que tu me branles.
Aurélie fut prise par surprise. Elle acceptait le vocabulaire cru de son beau-fils, mais n’était pas prête à parler de tout ça si naturellement avec lui.
— Heu ... je ne sais pas trop ce que tu veux que je te dise.
Antonin sentit la première barrière de pudeur de sa belle-mère, et il allait prendre un malin plaisir à briser cette barrière.
— Parle-moi de mon corps et de ma bite.— Heu ... je te trouve très charmant, ton corps est athlétique, et ta ... ton sexe ... est assez ... large, commença Aurélie très hésitante.— Ma bite tu veux dire.— Oui ta ... bite est large.— Je préfère, utilise ce genre de mots à partir de maintenant. Donc ma bite est grosse ?— Oui ta bite est grosse, et tes couilles aussi, lâcha Aurélie, prise dans l’élan de la conversation.
Antonin, pour la récompenser et l’inciter à continuer dans sa lancée, reposa sa main sur l’entrée du sexe d’Aurélie. Aurélie sentit ce contact et son plaisir remonta en flèche. Par réflexe, elle accéléra le mouvement de sa main sur le sexe d’Antonin, et continua à caresser ses testicules.
— Continue à me parler de cul, reprit Antonin.— J’aime te caresser, voir ta bite me fait mouiller, et tes couilles sont tellement douces. S’il te plaît, fais-moi jouir, je n’attends que ça.— Je vais bientôt jouir, te répandre tout mon sperme sur ton corps.— Oui, vas-y jouis ! commença Aurélie, avant de s’emballer en comprenant ce qu’il avait dit. Attends, reprit-elle, comment ça sur mon corps ? Non, non pas ça, c’est ... sale ! Tu ne peux pas faire ça comme tu as l’habitude ? Je sais pas moi ... dans un mouchoir ou quelque chose comme ça ?
En prononçant ces paroles, Aurélie ralentit ses mouvements de va-et-vient sur le sexe d’Antonin, tandis que la main de celui-ci continuait de caresser doucement le sexe d’Aurélie.
Brusquement, Antonin enleva sa main du sexe d’Aurélie, se releva du lit et prit la parole d’une voix forte :
— Aurélie c’est toi la nymphomane en manque de sexe, c’est toi qui me supplies de te faire jouir depuis hier. C’est toi qui veux absolument avoir un orgasme. C’est toi qui es prête à sauter sur le premier venu pour se faire. Moi j’accepte de t’aider, alors maintenant, tu arrêtes tes protestations et tu te laisses faire. Tu as accepté d’être soumise, alors tu restes soumise. Ca fait plusieurs fois que je dois me justifier, ça commence à m’énerver, la prochaine fois, je t’abandonne à ton sort, c’est bien clair ?
Aurélie prit la tirade droit au cœur, et commença à avoir des larmes aux yeux. Bien sûr, Antonin avait accentué la situation, afin qu’elle culpabilise et accepte plus facilement ses futurs fantasmes.
— Tu as raison, je suis désolé Antonin, pardonne-moi s’il te plaît ... Dis-moi comment me rattraper, je ferai ce que tu veux, je suis ... soumise.— Fais-moi jouir, maintenant, répondit Antonin, debout devant le lit où elle était encore allongée.— Oui Antonin, répondit faiblement Aurélie, avant de reprendre sa masturbation.— Je comptais te jouir sur le ventre simplement, mais pour la peine, je t’enverrai tout mon sperme sur ton visage, c’est bien clair ?— Oui ... — Dis-le, demande-moi de te jouir sur le visage, et accélère ta branlette.— Vas-y Antonin, jouis sur mon visage, s’il te plaît.
Antonin était proche de l’orgasme, les paroles et la soumission d’Aurélie l’amenaient au septième ciel. Il enfonça brusquement deux doigts dans le vagin d’Aurélie, toujours aussi mouillé. Elle cria de plaisir, arrêta la masturbation un bref instant avant de la reprendre, de peur d’énerver à nouveau Antonin.
Et soudain, ce fut la délivrance, plusieurs jets de sperme jaillirent vers le visage d’Aurélie, sur ses joues, son nez, ses cheveux et ses lèvres. A chaque jet de sperme, Antonin poussait un grognement et enfonçait encore plus profondément ses doigts dans le sexe d’Aurélie. Aurélie poussa alors un cri encore plus intense que les autres, puis se mit à trembler de tous ses membres pendant de longues secondes, avant de s’effondrer sur le lit. Elle avait enfin atteint son orgasme tant attendu. Elle resta ainsi allongée, en essayant de recouvrer ses esprits.
Après quelques instants, Aurélie se remit de ses émotions et se rendit compte de la scène : elle était allongée nue dans le lit de son beau-fils et tenait le pénis de celui-ci, tandis qu’Antonin était debout au-dessus d’elle avec ses doigts toujours dans son vagin. Elle sentait un liquide visqueux couler sur ses lèvres, ce qui lui rappela alors que du sperme couvrait son visage. Tout ceci était la dépravation incarnée, mais à cet instant, Aurélie ne s’en souciait pas, elle était simplement satisfaite.
Quelques minutes plus tard, Antonin retira sa main du sexe de sa belle-mère, et s’assit à son tour sur le lit.
— C’est bon, tu es satisfaite ?— Oui merci, merci beaucoup.— Et bien à demain alors, bonne nuit.
Aurélie se sépara d’Antonin en lui soufflant à nouveau un « Merci », avant de se diriger vers la sortie de la chambre.
Antonin regarda Aurélie s’en aller. Il était plus qu’étonné de la tournure des évènements. Il avait réussi à la faire se déshabiller, à la faire parler de cul ouvertement, et à se faire caresser jusqu’à jouir sur son visage. C’était plus qu’il n’avait espéré au premier abord. Et ce n’était que le premier jour ...
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