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Sa belle-mère en manque est prête à tout

Chapitre 4

Inceste
En se levant, Antonin retrouva sa belle-mère dans la cuisine. Elle était, comme la veille, en short court. Elle n’avait donc pas oublié la règle qu’il lui avait imposée hier, qui consistait à ce qu’elle ne porte plus que des shorts, jupes ou robes afin de mettre en valeur ses fesses et jambes. Cette règle étant ancrée, ça lui donna l’envie d’ajouter quelques choses en plus.
Alors, quand Aurélie se retourna vers Antonin pour lui faire la bise comme tous les matins, il lui fit également la bise, mais en posant ses mains sur ses fesses et en l’attirant à lui, mettant ainsi au contact leurs deux entrejambes respectifs. Comme souvent, il avait une érection matinale, qui n’était protégée que par le fin tissu de son short qu’il mettait la nuit, elle ne pouvait donc que le sentir. Sans bouger de cette position, il lui demanda naturellement :
— Hello, bien dormi ?— Je ... heu ... oui et toi ? bégaya Aurélie.
Elle était surprise par l’initiative, et surtout de sentir le sexe d’Antonin si dur aussi tôt dans la journée. La nuit lui avait calmé un peu ses émotions, mais le désir qui avait grandi la veille au soir remonta rapidement.
— Bien merci, continua Antonin, avant de la relâcher et de retourner vaquer à ses occupations.
Aurélie se retrouva là, son désir soudain ravivé, mais Antonin était reparti aussi rapidement qu’il était venu.
Plus tard dans l’après-midi, Aurélie croisa Antonin dans le salon :
— Oublie pas que ce soir, on a un repas de prévu chez Claire.— Ah oui c’est vrai.— Et du coup, je me demandais, comme on aura pas trop de temps le soir ...— Tu es déjà en manque de cul ? devina Antonin.— Heu ... un peu, mais surtout si ce soir c’est pas possible ...— Non, mais j’ai pas envie maintenant, on verra ce soir. Mais tu as bien fait de me le rappeler, je veux voir ta tenue que tu vas porter. Et ça a intérêt à être sexy.— Sexy ? Mais on va chez une amie, elle va aussi voir ma tenue.— Ça va, c’est ta meilleure amie ! Va trouver un truc et viens me montrer.
Alors Aurélie se dirigea dans sa chambre, et mit la tenue qu’elle avait prévue pour le soir, une robe noire assez longue, pas très révélatrice de ses atouts. Elle se regarda dans le miroir, et ne se trouva pas « sexy » comme le demandait Antonin. Elle savait qu’il n’allait pas apprécier. Alors elle essaya une autre robe, un peu plus cintrée et avec un léger décolleté. Ce n’était pas trop court, mais assez serré pour mettre en valeur sa poitrine et ses fesses. Elle décida donc de mettre cette robe.

Quand Aurélie retourna dans le salon, Antonin la regarda quelques secondes de bas en haut sans se gêner, puis lui demanda de faire un tour sur elle-même. Elle était sexy sans être provocante, elle avait bien visé, se disait Antonin. Mais il voulait toujours plus, alors il répondit :
— C’est bien, mais juste un détail.— Oui ? répondit Aurélie, hésitante.— Je veux que ce soir tu ne portes pas de culotte.— Hein ? Mais ...— Commence pas à discuter, et enlève-la maintenant.
Aurélie prit quelques secondes de pause, mais n’osa pas se rebeller, surtout qu’elle espérait qu’il la satisfasse rapidement. Elle enleva donc sa culotte en relevant sa robe, avant de replacer celle-ci correctement. Antonin la regarda à nouveau, avant de conclure :
— Tu vois, on ne voit même pas la différence. Allez, voilà, tu as ta tenue pour ce soir, à tout à l’heure.
Il n’ajouta rien, laissant Aurélie plantée là, sans avoir pu dire un mot. Elle passa donc le reste de l’après-midi dans cette tenue. Elle n’était jamais vraiment restée longtemps à se balader sans culotte auparavant, et ce qu’elle découvrit rapidement, c’était l’air qui s’insinuait entre ses jambes à chaque mouvement qu’elle faisait. Ce frottement permanent l’excitait beaucoup, ce qui rendait son désir de plus en plus important.
Le soir arrivant, ils prirent donc la voiture, qu’Aurélie conduisait. Alors qu’ils étaient presque arrivés, Antonin posa une main sur la cuisse d’Aurélie et remonta sa robe doucement, jusqu’à atteindre son sexe exposé. Aurélie sursauta à ce contact, et l’excitation accumulée par les heures précédentes s’intensifia, au point qu’elle lâchait quelques gémissements.
— Tu es vraiment en manque dis donc ... commença Antonin.— Oui ... c’est la culotte enlevée, ça m’excite depuis cet après-midi, avoua Aurélie.— Ah tu vois, tu adores ça, donc tu n’auras plus besoin d’en porter alors.— Hein non c’est pas ce que je voulais di ... Oooh.
Antonin la coupa en enfonçant un doigt dans son sexe, avant d’ajouter :
— Tu es sûre que tu veux encore porter des culottes ? Je pourrais pourtant plus facilement te toucher comme ça ...— Oh heu oui OK, si tu veux je n’en mettrai plus ... continue s’il te plaît.
Et une victoire de plus pour Antonin ! Pour la remercier, il effectua quelques va-et-vient avec ses doigts, assez lentement. A chaque aller-retour, Aurélie lâchait un gémissement, de plus en plus long. Malheureusement pour elle, ils arrivaient devant la maison de leur amie, Claire. Aurélie se gara, pendant qu’Antonin la touchait toujours. Il enleva son doigt, en se justifiant :
— Tu ne voudrais quand même pas que Claire nous voie comme ça, ou même ses voisins, c’est pas raisonnable de continuer.— Si, continue s’il te plaît, il n’y a personne ! s’exclama Aurélie, s’alarmant de ne pas recevoir ce qu’elle voulait.— Ne sois pas si pressée, la soirée ne fait que commencer, répondit mystérieusement Antonin, avant de sortir de la voiture.
Aurélie ne saisit pas le sens exact de ces mots, mais elle savait seulement qu’il quittait la voiture, laissant ainsi échapper sa chance. Elle était vraiment excitée, et pas prête pour tenir très longtemps. Peut-être que ce soir, il accepterait de l’aider, ou peut-être même dans la voiture, espérait-elle.
Ils se dirigèrent jusqu’à la porte de la maison de Claire et sonnèrent. A ce moment, Antonin mit une main aux fesses d’Aurélie et glissa un doigt entre ses jambes pour caresser son sexe à travers la robe. Aurélie, qui s’était résolue à taire son désir, poussa un gémissement avant de se forcer à se taire. Elle balançait entre l’idée de dire à Antonin de continuer, et lui dire d’arrêter de peur qu’ils se fassent voir. Des bruits de pas dans la maison décidèrent à sa place, puisqu’Antonin enleva sa main, avant d’ajouter doucement dans son oreille :
— Si tu fais ce que je te demande pendant cette soirée, tu auras joui avant de ressortir de cette maison.
Aurélie mit quelques secondes pour comprendre les insinuations de cette phrase, puis rougit brusquement. Elle se retourna vers Antonin en faisant les gros yeux, mais avant qu’elle ait pu répondre, la porte s’ouvrit.
Une belle femme, plus petite qu’Aurélie et à peine plus jeune, apparut. C’était une des amies de longue date d’Aurélie. Elle vivait dans cette maison toute seule sans autre homme que les amants qu’elle amenait fréquemment. Elle ne se cachait pas d’être très fêtarde et ouverte d’un point de vue sexuel, mais peut-être même trop pour avoir un compagnon stable. Cela dit, elle pouvait se permettre de cumuler les amants, vu le corps qu’elle avait : de magnifiques yeux marron ornaient un visage gracieux, autour duquel ondulaient de longs cheveux roux, qui descendaient jusqu’à atteindre une poitrine aussi resplendissante que celle d’Aurélie, surmontant un ventre plat et des fesses rebondies. Elle était habillée d’un chemisier et d’une jupe assez moulante descendant aux genoux. Elle accueillit vivement ses invités :
— Salut Aurélie ! Et salut Antonin ! Bah pourquoi tu es tout rouge Aurélie, vous avez couru pour venir ou quoi ? — Salut Claire ! Euh non j’ai juste un peu chaud, le stress de la voiture sûrement, répondit Aurélie, gênée.— Oh et bien tu peux te détendre maintenant, allez, rentrez.
Et ainsi donc, leur soirée commença. Après quelques discussions sur tout et rien, puis après avoir pris des nouvelles du père d’Antonin, ils s’assirent autour de la table pour commencer l’apéro. Aurélie et Antonin étaient côte à côte, et Claire était en face. Claire ne lésinait pas sur l’alcool, et tout le monde but un ou deux verres rapidement. La discussion bifurqua sur Antonin, que Claire n’avait pas vu depuis quelque temps :
— Eh bien, Antonin, tu es encore plus costaud que la dernière fois qu’on s’est vu dis donc ! Tu dois faire craquer toutes les filles non ? Tu as une copine ?— Claire ! l’interrompit Aurélie. Tiens-toi un peu, c’est pas tes affaires.— Ah, mais non ça ne me dérange pas d’en parler. Eh bien ouin j’ai une petite amie, et je l’invite même à la maison tous les soirs en ce moment, répondit Antonin. — Ah oui super ça ! Et ça te dérange pas Aurélie d’avoir une invitée tous les soirs ?
Au même moment, Antonin posa sa main discrètement sur la cuisse d’Aurélie, qu’il caressa légèrement, sous la table. Aurélie le regarda avec de gros yeux, non seulement parce qu’il parlait d’elle comme de sa petite amie, mais surtout parce qu’il la touchait aussi près de Claire. Mais elle ne pouvait rien dire, et puis elle était toujours excitée. Elle se rappela les paroles d’Antonin qui lui demandait de se laisser faire pour être satisfaite, alors elle ne fit aucun commentaire, mais répondit :
— Heu ... non pas de soucis !— Et ils ne font pas trop de « bruits » ? demanda malicieusement Claire.— On essaye de rester silencieux, tu ne nous entends pas hein ? répondit Antonin en retournant la discussion sur Aurélie, dont il caressait les cuisses de plus en plus haut.— N... non non.— Ça ne va pas Aurélie ? Ne sois pas gênée de parler de ça, Antonin est devenu un beau jeune homme, tu n’as pas remarqué ? continua Claire, ne se doutant pas de la raison de la gêne d’Aurélie.
Avant qu’elle ne réponde, Antonin retira sa main pour saisir la main d’Aurélie sous la table qu’il plaça au niveau de son pénis, sur son short. Et en même temps, il ajouta d’un ton joueur :
— Bah oui tu n’as pas remarqué que je suis devenu un homme ? — S... si si, très bien, bégaya Aurélie, n’osant pas bouger.
Sentant Aurélie ne pas prendre d’initiative, il saisit à nouveau sa main et lui imprima un mouvement de frottement pour lui indiquer qu’elle devait le caresser à travers le short.
— Je suis aussi « costaud » que papa quand il était plus jeune ? demanda Antonin, avec un second degré que seule Aurélie comprit.— Oh oui et même plus, répondit directement Aurélie, avant de rougir en comprenant ce qu’elle avait avoué.— Haha, mais oui, tu es costaud ! Bon allez, je vais chercher les plats, je reviens tout de suite.
La cuisine étant située derrière elle, Claire ne passa pas derrière ses convives, ce qui l’empêcha de voir les attouchements de ceux-ci. Une fois éloignée, Antonin baissa rapidement son short et son caleçon, avant d’ordonner :
— Branle-moi, maintenant.
Aurélie était trop excitée pour refuser, après l’après-midi sans culotte, le trajet en voiture, les caresses d’Antonin sous la table et leur discussion. Elle savait aussi que plus elle obéirait, plus elle aurait de chance d’être satisfaite. Alors elle commença à le branler sous la table, avec ses deux mains.Ce moment dura moins d’une minute, avant que Claire ne revienne. Alors Antonin cacha tant bien que mal son sexe dans son short, et Aurélie retira sa main. En retour, il remit sa main sur la cuisse cette dernière.
Claire les servit, et reprit une discussion anodine. Pendant qu’ils mangeaient, Antonin retirait parfois sa main de la cuisse d’Aurélie pour avoir les deux mains sur la table et ainsi ne pas se faire remarquer. Mais à chaque fois qu’il remettait sa main, il la plaçait plus haut sur les jambes d’Aurélie, jusqu’à atteindre son sexe totalement exposé, et surtout très mouillé à ce qu’il constatait. A son contact, il regarda Aurélie avec un sourire satisfait, tandis qu’elle répondait par un visage gêné d’être démasquée. Elle ferma les yeux un bref instant pour savourer le contact, avant de faire comme si de rien n’était. Après avoir fini son plat, il laissait sans discontinuer sa main sur le sexe d’Aurélie, caressant de temps en temps.
Claire faisait la conversation presque toute seule, ce qui arrangeait les deux amants. Pendant le repas, le vin coulait assez abondamment. Ce faisant, Claire devenait de plus en plus joyeuse, et ses sujets de conversation dérivaient un peu :
— Je ne vous ai pas dit, mais j’ai rencontré un homme l’autre soir. Wow c’était magique, c’était une bête au lit, entama Claire.
Antonin, qui sentait la conversation aller sur un terrain sympathique, continua :
— Ah ouais, mieux que tous ceux d’avant ?— Oui largement ! Il me faisait des trucs, je n’avais jamais fait ça avant ...— Heuu Claire, tu ne vas pas raconter ça devant Antonin quand même, l’interrompit Aurélie.— Mais ce n’est plus un gamin, il peut écouter, n’est-ce pas Antonin ?
Antonin accentua ses caresses sur le sexe Aurélie, avant d’affirmer :
— Mais oui je suis assez grand.— D’a... d’accord, répondit doucement Aurélie, pensant seulement à la main d’Antonin sur son sexe.— Bon alors raconte, il te faisait quoi ?— Alors voilà, disons qu’il utilisait sa langue sur mon corps de façon très experte ... il savait varier entre toutes les parties érogènes de mon corps, mes seins, mon cou, mon ventre et mes parties plus intimes.
Aurélie était sur une autre planète, son beau-fils le caressait en secret sous la table, juste sous le nez de son amie qui détaillait toutes les façons de son amant pour la faire jouir.Antonin, sentant Claire très pompette et souhaitant exciter encore plus Aurélie, alimenta la conversation :
— Ah ouais pas mal ! Et toi, tu lui faisais des trucs particuliers aussi en retour ?— Oh oui, il était assez exigeant d’ailleurs, mais bon ça ne me dérange pas de me laisser faire.— Ah tiens c’est comme ma copine, elle aime bien que je dirige au lit.— Chanceux, tu peux lui demander ce que tu veux alors ! Le mien me demandait de lui retourner l’appareil avec ma bouche, il avait l’air d’adorer.— Oh oui, j’imagine ... répondit Antonin, en laissant traîner ses yeux un peu plus longtemps que d’ordinaire sur le visage de Claire, son imagination très stimulée.— Bon et toi Aurélie tiens, on ne t’entend pas, tu fais toutes ces choses au lit ? ajouta Claire d’un air malicieux, toujours très joyeuse. Allez, fais comme si Antonin n’était pas là, raconte !— Hein heu ... certaines de ces choses, répondit Aurélie, totalement absorbée par la main d’Antonin, qui avait maintenant un doigt qui la pénétrait.— Comme quoi ? la pressa Claire.— Mais oui raconte, t’inquiète ! ajouta Antonin, en pénétrant maintenant un doigt dans le sexe d’Aurélie.
Aurélie poussa un grand soupir, avant de se reprendre, consciente que Claire la regardait. Alors elle enchaîna rapidement :
— Je ... je ... j’aime bien me laisser faire aussi. Par exemple, des fois, il me demande de me balader sans sous-vêtements à la maison ou dehors, ça me rend folle.
Entendant ces mots, Antonin sut qu’elle parlait de lui et non de son père, ce qui l’excita énormément. Il accentua ses pénétrations dans le sexe d’Aurélie, pour lui signifier qu’il aimait ce qu’elle disait.
— Oh c’est vrai ? J’ai jamais fait, j’essaierai un de ces quatre, merci pour l’idée ! Et bah, je pensais pas que ton mari avait autant d’idées perverses, j’aimerais bien avoir un homme avec autant d’imagination. Je serais prête à faire beaucoup de choses !— Tu as des idées de trucs que tu aimerais qu’on te demande ? C’est pour prendre des idées pour ma copine, continua Antonin, toujours plus excité.— Hmm ... moi ce que j’aimerais, c’est faire des attouchements dans des lieux publics, ou des endroits où tu risques de te faire attraper !— Je vois ... par exemple des caresses sous le bureau au travail, ou ... sous la table chez des amis ? proposa Antonin.— Oh oui arrête, ça va me rendre folle rien que d’en parler. Bon allez, j’ai un dessert à finir, je vais vous laisser quelques instants, faites comme chez vous, vous pouvez aller sur le canapé si vous voulez.
Quand elle se fut éloignée, Antonin enleva sa main d’Aurélie, au grand dam de cette dernière qui était si proche de la délivrance. Il se leva et, sans descendre la robe d’Aurélie, l’attira jusqu’au canapé. Il s’assit dessus, et dirigea Aurélie à se mettre à genoux devant lui. Elle n’avait pas encore réagi qu’il avait déjà libéré son sexe, et exigé :
— Tes deux mains et ta bouche, maintenant.
Aurélie, proche du septième ciel, lui obéit instantanément, en commençant à le branler d’une main, lui toucher les testicules de l’autre. Elle ne savait pas trop ce qu’il voulait pour sa bouche, alors elle hésita quelques instants.
Le temps qu’elle hésite, il lui avait saisi la tête pour la diriger vers son gland. Comme la veille, il inclina la tête d’Aurélie pour poser la bouche de celle-ci le long de son sexe, et laissa sa bouche au niveau de son gland. Aurélie sortit sa langue, et lécha le bout du sexe d’Antonin. Mais celui-ci, voyant comme Aurélie acceptait si facilement, passa à l’étape suivante de ses fantasmes.
Il saisit la tête d’Aurélie, et il introduisit entièrement le bout de son sexe dans la bouche offerte. Elle eut un instant de surprise, et releva les yeux pour le regarder, plein d’étonnement. Il n’attendit pas ses questions, et l’interrompit même :
— Je ne t’ai pas dit d’arrêter de me branler.
Aurélie était perdue dans ses sens, d’un côté son excitation était à son comble, mais de l’autre sa raison essayait de lui rappeler qu’elle n’avait jamais mis de pénis dans sa bouche et qu’elle ne comptait jusqu’à présent pas le faire. Mais, se disait-elle, il n’y avait pas de grande différence entre lécher le bout du pénis ou le mettre directement dans sa bouche pour le lécher ensuite. Et puis physiquement, elle ne pouvait pas parler, sa bouche étant occupée ... alors elle accepta, et reprit ses caresses avec ses mains.
Sentant Aurélie céder, Antonin s’extasia. Sa belle-mère était à genoux devant lui, en train de le branler avec son sexe dans la bouche, c’était au-dessus de tout ce qu’il avait espéré en commençant son stratagème.
— Suce-moi maintenant : bouge tes lèvres le long de mon sexe et caresse-le avec ta langue. Et regarde-moi dans les yeux en le faisant, je veux voir tes yeux remplis d’excitation.
Aurélie ayant accepté cette nouvelle étape, se mit à effectuer ce qu’Antonin demandait. Elle caressait de ses lèvres le sexe d’Antonin en faisant de légers va-et-vient, tout en continuant à le branler avec sa main. Elle eut plus de mal à le regarder dans les yeux, toujours un peu honteuse de tout ce qu’elle faisait, mais elle maintint le contact visuel. Elle voyait dans les yeux d’Antonin brûler un véritable désir, et elle se demandait s’il voyait la même chose dans ses yeux.
— Tu es vraiment une véritable accro de sexe hein ? commença Antonin, voulant augmenter encore la tension sexuelle.— Hmmf hmmf, répondit tant bien que mal Aurélie, sans qu’on sache vraiment si c’était un assentiment ou un refus.— Tu te rends compte que tu me suces sur le canapé de ta meilleure amie, pour avoir une chance que je te fasse jouir ensuite ? continua Antonin.
Cette fois Aurélie rougit violemment, les faits lui étant énoncés directement, mais elle savait qu’il avait raison. Soudain, il entendit une voix venir de la cuisine, loin derrière le canapé :
— Vous allez bien là-bas ? J’ai presque terminé ! annonçait la voix de Claire.— Pas de soucis, prends ton temps, répondit Antonin.
Ils entendirent des pas revenir dans le salon, jusqu’à ce que Claire apparaisse à la porte du salon. D’ici, elle ne voyait que le dos du canapé, et la tête d’Antonin qui dépassait.
— Tiens je me souviens plus, vous préférez quoi comme parfum de glace ? Et au fait, elle est où Aurélie ?
Entendant ces mots si proches, Aurélie arrêta tout mouvement, prise de panique d’être surprise. Antonin retourna sa tête pour voir Claire, et voyant qu’elle ne voyait pas Aurélie, il se détendit. Il regarda même à nouveau Aurélie un bref instant, en posant une main sur sa tête pour lui intimer de reprendre ses caresses. Aurélie réagit à la pression de la main d’Antonin en enfonçant un peu plus le sexe dans sa bouche et en reprenant ses caresses. La possibilité d’être surprise décuplait son excitation, et même sans être stimulée en ce moment elle était au bord de l’orgasme tellement la situation l’excitait. Satisfait, Antonin se retourna à nouveau pour répondre à Claire :
— On est plutôt vanille ! Oh bah Aurélie est sûrement à la salle de bain ou aux toilettes, tu sais les femmes ...— Haha je sais bien, toujours à se faire belle hein ! Bon alors va pour vanille, je reviens tout de suite, conclut-elle avant de se rendre dans la cuisine à nouveau.
Antonin se retourna pour voir à nouveau Aurélie, son sexe à la bouche, répétant ses petits va-et-vient avec conscience. Il savait que Claire n’allait pas tarder à revenir, et il ne voulait pas se presser pour jouir, alors il changea les rôles : il retira son sexe de la bouche d’Aurélie, la souleva et la posa sur le canapé, allongée sur le dos. Il remonta brusquement sa robe pour accéder à son sexe.
Aurélie était surprise par ce changement de position, mais sa surprise se dissipa pour céder place à un long soupir quand elle sentit la main d’Antonin se poser sur son sexe. Il la caressa rapidement, voulant lui donner le maximum de plaisir dans le peu de temps qu’ils avaient. Il pénétra deux doigts dans le sexe d’Aurélie et fit des va-et-vient rapides. Elle ne put s’empêcher de pousser un gémissement suite à ce contact intense. Elle allait bientôt jouir, quand soudain, elle entendit :
— Quelqu’un s’est fait mal ?
Claire était revenue de la cuisine. Ils arrêtèrent leurs mouvements et Antonin se retourna vers Claire :
— Rien de grave, juste Aurélie qui s’est pris le coin de table sur les jambes. Mais ça va.
Antonin retira sa main et se releva, tandis qu’Aurélie rabaissa sa robe en maudissant intérieurement Claire qui lui avait fait manquer un orgasme qui s’annonçait divin. Elle était allongée sur le canapé donc Claire ne la voyait pas, jusqu’à ce qu’elle se lève, et se justifia :
— Oui désolée, je suis tombé en me cognant, mais rien de grave.— J’espère ! Vous allez rire, mais j’ai cru entendre un gémissement haha, mais je dois juste être un peu trop imaginative.— Haha oui je pense, je suis peut-être un beau jeune homme comme tu dis, mais pas au point de faire chavirer toutes les femmes, rigola Antonin.— Oh tu sais, moi tu me ferais chavirer, lança Claire en lui faisant un clin d’œil.— Hey, calme-toi un peu Claire ! Bon et du coup ce dessert ? répondit Aurélie, essayant de changer de discussion.
Elle se rendait compte qu’elle avait ajouté une pointe de jalousie dans sa phrase, peut-être souhaitait-elle son beau-fils pour elle toute seule ?
Antonin savait que Claire était pompette en ce moment, et qu’elle avait un naturel très extraverti, mais il mit dans un coin de sa tête cette proposition sous-entendue par Claire.
Ils mangèrent donc le dessert, qui était bien imbibé de rhum. De temps en temps, Antonin caressait la cuisse d’Aurélie sous la table, et même Aurélie caressait spontanément Antonin en retour, tellement elle était excitée. Elle sentait que s’il la caressait un peu trop intensément sous la table, elle risquait de jouir là ici, autour de la table.
Après avoir mangé, ils s’installèrent dans le salon. Antonin était assis sur le canapé tandis que Claire et Aurélie étaient sur des chaises en face de lui. Antonin était tellement excité qu’il ne put s’empêcher de reluquer les deux femmes devant lui.
Ce qui attirait son regard était surtout leurs poitrines généreuses, mises en valeur par leurs vêtements moulants. Aurélie était en robe, tandis que Claire était en chemisier, avec un bouton enlevé. Il n’avait pas remarqué ce bouton enlevé en arrivant, peut-être qu’il n’avait pas fait attention, ou peut-être qu’elle l’avait enlevé depuis. Cette pensée lui donna une idée. Aurélie étant excitée au point d’accepter tout ce qu’il dirait, et Claire pompette et très ouverte, il décida de tenter quelque chose :
— Tenez, j’avais une question. Bon en fait j’aimerais offrir de la lingerie à ma copine, mais je ne connais pas sa taille de poitrine exactement ... enfin je la connais visuellement, mais je ne sais pas trop ça correspond à quelle taille. Et je ne voudrais pas lui demander, car j’aimerais garder la surprise. Du coup, je sais pas trop comment faire.— Oh bonne idée ça ! Et bah tu pourrais essayer de lui prendre un de ses soutiens-gorges et regarder la taille, répondit Claire.— Ouais, mais bon, j’ai pas trop envie de me faire surprendre à faire ça, surtout qu’on est pas ensemble depuis longtemps, alors je veux pas passer pour un mec bizarre à fouiller dans ses affaires.— Ah je comprends ... Bah on peut peut-être t’aider avec Aurélie ! Ils font quelle taille ses seins à peu près ?— Heu bah assez gros, c’est dur à décrire plus précisément.— Tiens par rapport à nous, c’est plus gros ou plus petit ? Ça te donnera une idée pour commencer, répondit Claire.
La discussion menait là où Antonin le voulait, alors il continua :
— Eh bien à peu près la même taille que vous en fait.— Ah OK ! Mais plus proche de ceux d’Aurélie ou des miens ?— Heu je sais pas trop, c’est dur à dire précisément.— Hmm ... c’est vrai qu’avec les vêtements ça cache un peu. Si tu veux, je peux te montrer un peu plus, pour que tu compares avec les seins de ta copine, ajouta Claire avec un clin d’œil.— Je ... heu ... si tu veux, fit sembler de bégayer Antonin, qui obtenait ce qu’il cherchait.
Aurélie n’avait pas trop suivi la conversation, elle ne pensait qu’à son excitation débordante. Mais quand elle vit Claire commencer à déboutonner son chemisier, la vision de ses seins l’excita encore plus.
Antonin vit donc Claire déboutonner son chemisier bouton par bouton, jusqu’à révéler un soutien-gorge en dentelle, qu’il trouva très excitant. Il ne put s’empêcher de pousser un sifflement :
— Wow pas mal !— Haha content que ça te plaise, rigola Claire. Alors, ils ressemblent à ceux de ta copine ?— Oui pas mal, mais les tiens ont l’air à peine plus gros. Enfin c’est peut-être le soutien-gorge qui les met mieux en valeur. — Tu voudrais les voir « libres » ? demanda Claire, une lueur qui ressemblait à de l’excitation dans son regard.— Je ne peux pas refuser une si belle offre, rigola Antonin.
Alors Claire retira son chemisier, puis elle passa ses mains derrière elle pour dégrafer son soutien-gorge. Une fois l’agrafe retirée, elle posa une main sur sa poitrine pour retenir le soutien-gorge, et, en regardant Antonin dans les yeux avec un petit sourire coquin, elle retira sa main, libérant sa poitrine.
Antonin n’en manqua pas une miette. Il avait devant lui la poitrine de Claire totalement libre, exposée rien que pour son regard. Ses seins étaient vraiment imposants. Il était loin, mais il crut voir les tétons de Claire bien dressés. Elle était donc excitée par la situation, « intéressant » se disait Antonin.
N’entendant aucun commentaire d’Antonin, Claire demanda :
— Alors, tu en penses quoi ?— Vraiment gros ... heu je veux dire, ils semblent à peine plus gros que ceux de ma copine.— Haha tu entends ça Aurélie, j’ai des plus gros seins que sa copine il dit !
Aurélie n’avait pas non plus manqué le spectacle, et son regard était rivé sur la poitrine de Claire. Elle commençait tout de même à être jalouse que l’attention d’Antonin soit seulement portée sur Claire ... quand Antonin enchaîna la discussion :
— Mais non j’ai dit « peut-être », je ne suis pas sûr ! Mais pour avoir un autre moyen de comparaison, tu pourrais me montrer aussi ta poitrine Aurélie ?
Il avait demandé ça de façon assez directe pour reprendre ses habitudes directives avec Aurélie, mais pas non plus sous la forme d’un ordre pour ne pas éveiller les soupçons de Claire. Cette dernière était proche d’être saoule donc il n’y avait pas non plus besoin d’y mettre trop de formes.
Aurélie fut surprise de la demande directe, mais elle comptait aussi attirer l’attention d’Antonin, alors elle s’exécuta, et commença à défaire les pans de sa robe.
— Oh, mais il en veut toujours plus cet homme ! Tu as raison, Aurélie a une belle paire de seins aussi, commenta simplement Claire.
Aurélie avait donc descendu sa robe en dessous de sa poitrine, en révélant son soutien-gorge. Sans tarder, elle enleva son soutien-gorge, libérant sa poitrine à la vue d’Antonin et de Claire. Elle était si excitée que ses tétons étaient tendus à l’extrême.
Elle se sentait nue comme cela, ses seins à l’air et son sexe également à l’air libre bien que protégé maigrement par sa robe. Mais cette situation ne faisait qu’accentuer son excitation, elle regardait Antonin avec un désir profond dans le regard, et elle le suppliait mentalement de la soulager, par quelque moyen que ce soit.
Antonin vit donc sa belle-mère révéler sa poitrine, en le regardant intensément dans les yeux. Il y lisait le désir pur, et il se délectait de son influence.
— Pas mal ! Eh bien, en fait vous avez la même taille de poitrine !— Non pas du tout, les miens sont plus gros ! répondit Claire du tac au tac.— Arrête tu es aveugle, j’ai toujours eu une plus grosse poitrine, enchaîna Aurélie.— Ne vous disputez pas les filles ! Tu fais quelle taille Claire ?— 95D ! répondit-elle fièrement.— Et bien moi aussi figure-toi !! s’écria Aurélie.— Ah bon bah voilà, vous êtes à égalité.— Mouais, de toute façon les miens sont plus fermes, ajouta Claire.— Mais n’importe quoi, dis que suis vieille aussi ! s’écria Aurélie.
Aurélie sentait qu’elle s’énervait, mais n’était pas sûre de la raison. Il n’y avait jamais vraiment eu de rivalité entre elle et Claire sur leur physique. Mais elle se rendait compte que c’était par jalousie vis-à-vis d’Antonin qu’elle s’emportait. Elle voulait qu’il la regarde elle, pas Claire.
— Ah par contre pour ça je ne peux pas vous aider. Je ne peux pas comparer au visuel, précisa-t-il en un sous-entendu presque évident.— Tu peux toucher hein, je mords pas, répondit Claire en regardant Antonin, toujours avec cette lueur pétillante. Et tu es le seul qui peut nous départager objectivement !— Vous voulez que je vous touche les seins pour savoir qui a la poitrine la plus ferme ? fit semblant de s’étonner Antonin, la conversation menant là où il le souhaitait.— Et bien pourquoi pas ? enchaîne Claire. Ça te dérange Aurélie ?— Heu non vas-y si tu veux, répondit-elle timidement, ne sachant pas trop comment réagir devant Claire.— Bon si c’est pour régler vos comptes, pourquoi pas ! J’ai une idée : mettez-vous dos à dos collées l’une à l’autre, comme ça je pourrai vous toucher facilement en même temps pour bien comparer.
D’un côté, Aurélie était énormément excitée, et de l’autre Claire était plus que pompette, alors elles ne réfléchirent pas vraiment et se mirent dans la position qu’Antonin suggérait, en tournant leurs sièges respectifs pour se mettre dos à dos. Antonin se disait que dans cette position, il pourrait les toucher chacune sans que l’autre ne voie exactement ce qu’il faisait, ce qui serait parfait pour ses affaires. Il se plaça donc debout à côté d’elles, et mit sa main gauche sur le sein d’Aurélie, et sa main droite sur le sein de Claire.
Ce premier contact électrisa Aurélie, qui n’attendait que ça. Elle ne put s’empêcher d’expirer plus fortement, se retenant à peine de gémir. Antonin commença par malaxer les seins des deux femmes. Mais du côté d’Aurélie, il titilla en même temps son téton avec son doigt. Elle se tourna pour le regarder avec de gros yeux, tout en se mordant les lèvres pour ne pas gémir. Quelques instants plus tard, sans arrêter ses attouchements, il entama :
— Ça va, je ne vous fais pas mal les filles ?— Oh non pas du tout, répondit doucement Claire en soupirant légèrement.— Et toi Aurélie ?
Tout en posant sa question, il accentua ses caresses sur son téton.
— Oh ... oui ... enfin non ça va ! bégaya Aurélie en respirant fortement.— Bon je n’ai pas réussi à trouver de gagnante encore, je continue ?— Oui continue ! s’empressa d’ajouter Aurélie.— Oui, ne te gêne surtout pas, compléta Claire.
Antonin caressa alors l’autre sein de chacune des femmes. Cette fois-ci, c’est du côté de Claire qu’il se mit à caresser le téton de façon assez légère, pour voir sa réaction. Celle-ci ne montrant aucune réaction négative, il accéléra ses mouvements sur le téton. Claire ferma alors les yeux, en respirant un peu plus vite, mais toujours sans commentaire. Au contraire, il vit la main de Claire descendre doucement le long de son ventre, puis de ses cuisses le long de sa jupe. Sa main caressait ses cuisses doucement, les yeux toujours fermés.
Après quelques instants supplémentaires, ne trouvant pas comment justifier de continuer ses attouchements, il s’arrêta :
— Bon je suis désolé, je n’ai pas réussi à vous départager, vos seins sont aussi fermes l’une que l’autre.— Oh non dommage ... soupira de déception Claire, en ouvrant les yeux doucement. Sa main était toujours sur sa cuisse, et elle lançait maintenant un regard de braise à Antonin.— Et ceux de ma copine sont vraiment pareils, c’est fou cette coïncidence !— Ah oui c’était ça le sujet de base haha. Eh bien en tout cas, tu as bien choisi ta copine, des seins comme ça tu en trouveras pas partout ! enchaîna Claire, le regard levé vers Antonin.
Aurélie, de son côté, ne pipait mot, mais elle était vraiment, mais vraiment excitée. Ces dernières caresses l’avaient rendue dingue, elle hésitait presque à sauter sur Antonin pour qu’il la satisfasse, même devant Claire.
Antonin lisait cette excitation dans les yeux d’Aurélie, et il était lui aussi dans le même état. Alors, il s’arrangea pour que Claire les laisse quelques instants :
— Bon c’est pas tout ça, mais tu ne nous as toujours pas proposé de petit café Claire, ça serait possible ?— Ah oui désolé, je me suis fait emporter par la discussion ... Bon je vous apporte ça.
Claire se leva donc, la poitrine toujours dénudée. Elle passa devant Antonin, et se pencha pour attraper ses vêtements, aux pieds d’Antonin. Alors qu’elle venait de les attraper, elle releva la tête et se retrouva face à la bosse du pantalon d’Antonin. Elle se figea une seconde, avant de se redresser, tout en frôlant le corps d’Antonin. Elle lui adressa un petit sourire, puis se dirigea ensuite vers la cuisine, sans même se rhabiller. Claire avait à peine tourné le dos qu’Aurélie se retourna vers Antonin, et s’écria tout bas :
— S’il te plaît Antonin, fais-moi jouir maintenant, je vais exploser, je ferai ce que tu veux en retour, je te branlerai, sucerai, ferai jouir comme tu le souhaites, je ne mettrai plus de culotte si tu veux, mais vite, soulage-moi !!
Antonin la regarda, savourant sa soumission, mais lui aussi était terriblement excité, alors il accéda à sa requête sans la faire languir. Il n’avait pas besoin d’une telle promesse pour la satisfaire, il souhaitait abréger leurs attentes à tous les deux de toute façon.
Il se rapprocha d’elle, toujours assise à moitié nue sur sa chaise, et remonta sa robe pour découvrir son sexe. Sa robe n’était maintenant plus qu’au niveau de son ventre, ne cachant plus rien. Antonin plaça directement une main sur le sexe d’Aurélie et pénétra deux doigts.
De son autre main, il déboutonna son pantalon très serré et révéla son sexe dressé. Dans sa position, son sexe se trouvait au niveau du visage d’Aurélie. Celle-ci s’empara sans réfléchir de ce sexe de ses deux mains, et commença une masturbation rapide.
Aurélie était à moitié consciente, après littéralement des heures d’excitation permanente, enfin on la soulageait. Elle était au bord du septième ciel, le reste du monde ne l’intéressait pas, c’était l’extase. Elle allait jouir, si fort, si fort ... Elle lâchait gémissement sur gémissement, sans se préoccuper de Claire dans l’autre pièce. Soudain, entre deux gémissements, elle sentit s’enfoncer le pénis d’Antonin dans sa bouche.
Elle accepta l’intrusion et se mit à utiliser sa langue sur le gland d’Antonin. Se rendant compte que ses bruits étaient étouffés par le pénis dans sa bouche, elle ne reteint même plus ses gémissements.
— Suce-moi, je vais bientôt jouir ! Et cette fois, je vais te jouir dans la bouche, et tu vas tout avaler comme la soumise que tu es, compris ?
Aurélie comprit ce que lui demandait Antonin, mais jamais elle n’avait été aussi excitée de sa vie, alors elle était prête à accepter toutes ses exigences, celle-ci comprise, si elle pouvait jouir en retour. Alors pour montrer son approbation, elle poussa un gémissement encore plus fort, sans arrêter de lécher le sexe d’Antonin.
Antonin sentait qu’il allait jouir, la langue d’Aurélie ainsi que les vibrations de ses cris allèrent avoir raison de lui. Alors il effectua des mouvements de bassin dans la bouche d’Aurélie, tout en accélérant les pénétrations de sa main. Par ses mouvements, son pénis était enfoncé à presque moitié dans la bouche d’Aurélie.
Puis soudain, ce fut la délivrance, il poussa un grognement et lâcha un puissant jet de sperme dans la bouche d’Aurélie. Celle-ci, en sentant l’orgasme de son beau-fils, poussa à son tour un long gémissement. Des vagues de plaisir déferlèrent sur elle tandis que des jets de sperme remplissaient sa bouche. Son corps tressautait sous la main d’Antonin qui la pénétrait toujours. Leurs orgasmes durèrent plusieurs dizaines de secondes encore, avant que leurs corps ne commencent à se calmer.Aurélie, sans s’en rendre compte pleinement sous le coup de l’évènement, avait avalé la plupart du sperme d’Antonin au fur et à mesure qu’il éjaculait en elle. Elle s’affaissa sur sa chaise, respirant doucement. Antonin recula ensuite pour libérer son sexe de la bouche d’Aurélie.
Antonin avait non seulement eu un orgasme fabuleux, mais il avait également réussi à ce qu’Aurélie lui procure une fellation, bien que brève, puisqu’elle avale son sperme. C’était très prometteur pour l’avenir, pensait-il.
L’excitation des deux protagonistes retomba progressivement, et ils se rhabillèrent vite avant que Claire ne revienne. Celle-ci revient quelques minutes plus tard, ne se doutant de rien. Elle était seulement habillée de son soutien-gorge.
— Il fait chaud vous trouvez pas ?— Heu oui c’est vrai, répondit Aurélie, qui reprenait encore son souffle.— Bah tu étais rouge pivoine Aurélie, c’est Antonin qui te met dans cet état haha ? rigola Claire.— Quoi heu non pas du tout, il fait juste chaud c’est tout comme tu dis ! se justifia-t-elle.
Antonin ne pipait mot, laissant les femmes se chamailler. Ils prirent le café et finirent la soirée en discutant de tout et de rien, avant de partir environ une heure plus tard. En sortant, Claire leur fit la bise chacun leur tour. Quand ce fut le tour d’Antonin, elle se pressa contre lui, sa poitrine toujours à moitié dénudée pressée contre son torse. Il sentit une main se glisser le long de son ventre, effleurer son entrejambe avant de finir dans sa poche. A peine s’en était-il rendu compte, que Claire se libéra avec un clin d’œil, puis leur souhaita bon retour.
Une fois sortis de chez Claire, Aurélie et Antonin se dirigèrent vers leur voiture sans échanger le moindre mot. Une fois à l’intérieur, Aurélie se mit à conduire, et Antonin rompit le silence :
— Tu as bien apprécié la soirée à ce que j’ai vu, hein ?— Heu oui ... beaucoup.— Tu me croyais pas quand je te disais qu’on avait toute la soirée pour te satisfaire, tu vois c’était mieux que dans la voiture.— Oui tu as raison.— Tu suces très bien, j’ai hâte d’être la prochaine fois.
Aurélie rougit brusquement, les évènements lui revenant en tête. Elle n’avait jamais sucé un homme avant, et encore moins avalé de sperme. Tout s’était passé si rapidement, elle était dans un état d’excitation tel qu’elle n’aurait pu rien refuser. Elle ne fit donc aucun commentaire, ne voulant pas se plaindre ni l’encourager non plus.
Le trajet du retour se fit sans plus de commentaires, et une fois à la maison, épuisés de la soirée, chacun se retira dans sa chambre.
Antonin se remémora la soirée qu’il venait de passer. Ses fantasmes se réalisaient un par un. Ils n’en étaient qu’aux premiers jours et pourtant il avait déjà joui dans la bouche d’Aurélie, elle lui obéissait sans discuter, il pouvait faire ce qu’il voulait d’elle. Que c’était prometteur ... !
En se déshabillant avant de se coucher, il vit tomber un morceau de papier. Se disant qu’il avait sûrement laissé traîner quelque chose, il le ramassa avec l’intention de le jeter, quand il aperçut une écriture manuscrite :
— Tes mains sont douces et chaudes, et mon lit est si vide et froid, reviens vite ...
A suivre ;)
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