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Ma belle-mère à ma merci

Chapitre 1

SM / Fétichisme
J’ai permis à ma belle-mère, qui ne disposait que d’une petite pension, de venir habiter la petite maison à côté de la mienne, qui m’appartient également. Au départ ma femme et de son amant pour la Suisse, et après que j’ai perdu mon boulot dans la période qui s’ensuivit, je ne vis d’autre solution que de mettre la maison principale en location pour me faire un revenu d’appoint, et d’aller habiter l’annexe avec ma belle-mère. Dans son esprit, j’étais comme son fils. C’est un Italienne qui n’a plus quitté les vêtements de deuil depuis son veuvage. Elle supporte assez bien ses 70 ans (j’en ai 49), pas grosse et le teint relativement frais. Évidemment, des rides un peu partout et la poitrine que l’on suppose assez déconfite, mais dans l’ensemble, on voyait que cela avait été une jolie femme. Elle me chouchoutait comme une mama, habituée à travailler inlassablement pour préparer des petits plats, recoudre, nettoyer, etc. En bonne Sicilienne, elle respecte l’autorité du « padrone di casa » Évidemment, elle est très bigote, ne rate pas une messe, en fait dire de nombreuses pour le repos de son défunt mari et pour laver les péchés de sa fille. On dirait parfois qu’elle veut expier pour cela, comme si elle en était responsable. J’en eus la confirmation lorsque, rentrant d’une soirée de cartes chez des amis, j’entendis un bruit bizarre provenant de sa chambre. En entrebâillant la porte, je vis qu’elle était nue jusqu’à la taille, agenouillée devant une image du Christ, et se donnant des coups de ceinture sur les épaules, en marmonnant des prières ou incantations en italien. Le lendemain, lorsque je l’interrogeai, elle me dit qu’elle devait mortifier son corps et s’humilier devant Dieu, pour expier les fautes de sa fille, et pour que son mari aille en paradis. Quelques jours plus tard, alors que j’avais un peu trop arrosé mes pâtes aux aubergines, j’entendis le même bruit. J’entrai résolument dans la chambre, et lui pris la ceinture des mains. Je lui dis qu’en effet, elle avait bien des choses à faire pardonner de Dieu, et que j’allais l’aider à se mortifier. Je la poussais en avant, et elle tomba à quatre pattes devant l’icône. Je relevais sa jupe à la taille et commençai à lui donner de petits coups de ceinture. A ma grande surprise, elle se laissa faire et continua à prier. Je voyais le cul ridé mais bien proportionné de ma belle-mère offert à ma punition, et, le vin aidant, je baissais mon pantalon et me mis à genoux derrière elle. Elle continua à psalmodier, et j’empoignai ses hanches après m’être déculotté. Mes doigts fiévreux introduisirent mon sexe maintenant bien dur dans la chatte de la vieille et après quelques tâtonnements (elle n’était pas lubrifiée) je finis par pouvoir imprimer un mouvement de va et vient dans sa chatte. Ses incantations étaient maintenant entrecoupées de plaintes et de gémissements, mais elle était à ma merci, et ne pouvait se soustraire à ma pénétration. Au mur, la photo du défunt mari nous contemplait pendant que je baisais sa veuve. Je ne pus me retenir davantage et lâchais mon sperme dans la vieille chatte. Ma belle-mère se recomposa tant bien que mal, et après s’être rhabillée, débarrassa la table et fis la vaisselle, tandis que j’allais au lit cuver mon vin. En me réveillant le lendemain, je me demandais si j’avais rêvé. Toutefois, la table était prête pour mon petit déjeuner et elle était en train de nettoyer la salle de bains. Le soir venu, je lui dis qu’il était temps de prier et la poussais dans sa chambre. Je la fis s’agenouiller et lui introduisis mon sexe dans la bouche. Elle savait ce qu’elle devait faire et commença à me sucer. Ensuite, je la pris à nouveau par derrière et n’éjaculais qu’après un très long va et vient. Le jour suivant, j’ouvris sa garde robe et tous ses tiroirs et finis par trouver une robe dont le dessus était ajouré de dentelle noire assez transparente, de même que des porte jarretelles et des bas noirs. Je l’obligeais à porter ces vêtements toute la journée. Le week-end, nous allâmes écumer les boutiques de lingerie, et elle fut ainsi dotée d’une garde robe à faire pâlir toutes les putains de Palerme. Ainsi vêtue, elle passait ses soirées à me sucer ou à m’offrir ses fesses ou sa chatte. En toutes circonstances, elle gardait un air triste et réservé, souvent proche des larmes, mais acceptait son sort comme une sainte marchant au martyre.Elle était cependant tracassée, car elle m’expliqua qu’un soi-disant moine qu’elle avait consulté, lui avait dit que la mortification devait s’accompagner de souffrances physiques. Je lui fis donc baisser les bretelles de son soutien gorge et lui pinçai violemment les seins. C’est le genre de choses qu’elle semblait attendre. Je décidais donc qu’elle devait dorénavant déambuler dans la maison et vaquer à ses occupations, avec son soutien ainsi baissé afin de laisser le bouts de ses seins apparents. Dans un premier temps, je lui fixai des pinces-linge aux tétons, mais je la convainquis ensuite, pour une pénitence plus efficace, de se faire percer le bout des seins. On lui fixa deux anneaux, que je pris l’habitude de rattacher l’un à l’autre par une chaînette. Depuis ce jour, ma belle-mère est mon esclave sexuelle, et je suis particulièrement excité par ses gémissements lorsque je triture ses seins. Elle le recherche également. Lorsque la douleur et la honte lui font monter les larmes aux yeux, je lui enfonce mon sexe en bouche et sa langue servile me pompe jusqu’à la jouissance. Cela se fait devant la photo de son défunt mari.
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