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Ma belle mère et moi

Chapitre 2

Divers
Je quittai sa bouche et descendis vers ses seins. Je suçai longuement les tétons érigés qui s’offraient. De temps en temps je m’arrêtais pour admirer cette poitrine, grosse et ferme à la fois. Je n’oubliais pas que ma belle mère approchait les 69 ans et que son anniversaire tomberait dans quelques jours… Je continuais ma descente le long de son ventre et atteignis le mont de Vénus, lisse maintenant de tout poil. Je l’embrassai avec délice et dans le même temps introduisis un doigt dans son vagin. La salope était trempée et ce fut presque sa chatte qui aspira mon doigt… J’entamai un va et vient de mon majeur tandis qu’en même temps je gobai son clitoris et commençai une fellation sur son petit membre, sur cette micro-bite. Maintenant elle ondulait sous moi. Je savais qu’elle allait bientôt jouir. Elle me surprit en me disant : « attend, je veux que l’on marque plus de points… Tu vas me saillir… ». Ainsi, elle ne perdait pas de vue l’objectif de notre étreinte…Je me mis à genoux, elle toujours allongée. « suce-moi d’abord… ». Elle ne se fit pas prier et saisissant ma queue l’aspira au fond de sa bouche. Ma parole, ma belle mère me faisait une gorge profonde! À ce train c’est moi qui ne pourrai pas tenir longtemps! Alors je la contrains à se mettre à genoux devant moi. Je la saisis aux hanches, promenai mon gland le long de sa vulve puis augmentai la pression. Ses petites lèvres s’écartèrent et mon gland disparu. Alors, d’un seul coup, je m’introduisis jusqu’aux couilles. Un véritable rugissement de plaisir répondit à cette pénétration. Pas de doute : elle aimait et ne simulait pas. Je l’agrippai alors aux hanches, fermement et je commençai à la pilonner avec des mouvements de bassin amples et puissants. Pour ma part, j’étais heureux de dominer enfin cette femelle, de lui faire subir la loi du mâle. Cette sensation de la dominer me faisait aussi me contrôler. Je continuai mes mouvements en rendant ceux ci plus violents, c’est à dire que je me retirais presque puis, d’un coup brusque je plantais à nouveau ma queue dans sa chatte allant frapper au fond de sa matrice, contre le col de l’utérus. Elle ne supporta pas longtemps ce traitement et dans un cri se mit à jouir, arrosant mes couilles de jets de cyprine. Ma belle mère était une femme fontaine!Pour ma part, ivre de cette première victoire et les idées toujours très claires, je me retirai de sa moule, la mis sur le dos, repliai ses jambes et positionnant celles ci sur mes épaules et me réintroduisis d’un geste sec. Comme la première fois, ce fut un rugissement qui accueillit ma bite.Cette fois, en plus de la limer, je passais ma main entre nos deux ventres et triturai son clito. Je la regardais se laisser aller. Elle avait le regard trouble, se passait la langue sur ses lèvres, mordait celles-ci de temps en temps. Je sentais sa jouissance monter aux contractions de son vagin. À nouveau j’accélérai la cadence et l’amplitude de mes mouvements tandis que mes doigts pinçaient et jouaient sans douceur avec son clito. — « Tu aimes ça, salope? Ne pus-je m’empêcher de demander. En plus de la saillir, je voulais par mes mots crus la réduire à l’état de femelle soumise, de vide-couilles »— Oui, j’aime comme tu me fourres, répondit-elle.Puis à nouveau, dans un cri, elle jouit en un orgasme terrible. Deux à zéro me dis-je en moi même…Je n’attendis même pas qu’elle se soit calmée. Elle jouissait et éjaculait encore quand je la retournai, positionnai mon nœud contre son anus et la pénétrai sans autre forme de procès. La douleur mêlée à la jouissance qui continuait amplifia le cri qu’elle poussa!— Ordure, salaud! C’est la première fois qu’on me défonce comme cela! Hurla-t-elle.— T’inquiète pas, on marque des points dis-je… C’est ce que tu voulais, non? Et je suis sur que tu va aimer… Elle ne répondit rien, mais sembla se concentrer sur son plaisir et pour ma part je sentais la sève qui bouillait dans mes couilles. Ma belle mère avait passé une main entre ses cuisses et branlait son clito furieusement et de temps en temps saisissait et malaxait mes testicules.Je la prévins : « attention je vais lâcher la purée. Tu vas te faire remplir, grosse salope »— Oh oui, vas-y! Je vais venir moi aussi. Je n’aurai jamais cru qu’un jour j’allais jouir en me faisant défoncer le cul… surtout par toi!— Tiens salope, prend tout! Et j’ouvris les vannes d’un torrent de sperme qui se déversa dans le fondement de la mère de ma femme. Ce furent 7 ou 8 énormes giclées qui vinrent remplir ma belle mère. De son côté, dès qu’elle sentit mon éjaculation, elle eut à nouveau un orgasme dévastateur. Elle cria puis se tut. Son corps fut secoué de tremblements, mais elle devint molle entre mes mains. Elle s’était évanouit, mais visiblement continuait à jouir puisque son vagin expulsait des jets toujours fournis de cyprine, maculant le tapis… Je restai un peu en elle puis me retirai. Je regardai son anus dilaté par ma queue se refermer petit à petit tandis que mon sperme ressortait de son cul et de son vagin. Devant ce spectacle, je n’avais qu’une idée : la saillir à nouveau…
Je m’allongeais à côté d’elle sur le tapis et la pris dans mes bras pour lui rouler une pelle monumentale. Elle reprit conscience et participa pour la première fois à ce baiser sans chercher à dominer. Puis elle eut ce commentaire:— Quel pied mon salaud! Je n’aurai jamais cru prendre un pied pareil…Tu m’as remplie la chatte et le cul comme jamais je ne l’ai été. Dis-moi, ma fille tu la baises pareil?— Bien sur! Et on tâche de se renouveler régulièrement! On fait des stages avec d’autres partenaires pour se retrouver ensuite ensemble!— La chanceuse!— Oui mais en attendant, on vient d’effacer 18 points. Il en reste 82…— 82 points et presque encore 5 jours. Il n’y a qu’une heure que l’on a commencé… Et j’ai déjà joui 3 fois! J’ai du mal à y croire! Finalement je pense qu’on va y arriver. Et si tu continues à me fourrer comme tu l’as fait depuis une heure, je pense même que l’on rendra la copie avant la fin! Car je n’ai qu’une envie : sentir à nouveau ta queue me pistonner, décharger et me remplir. — Tu vois que tu aimes baiser avec ton gendre?
— M’ouais… Peut-être! Mais il va falloir que tu sois à la hauteur jusqu’au bout!— Tu en doutes?— Je crois ce que je vois!— Ce n’est pas moi qui me suis évanoui tellement j’ai joui!— Justement! Après cela il va falloir que tu ne me déçoives pas!Je me relevais et m’assis sur l’un des fauteuils. — Le tapis est confortable, mais on va varier un peu dis-je. Viens ici. Je vais te fourrer. Ma belle mère me rejoint. — Commence par me sucer pour me faire bander demandais-je.Elle s’accroupit devant moi et me prit en bouche. C’était un spectacle ravissant que de voir cette femme de 69 ans que je soumettais à mes caprices sexuels. Non seulement je la voyais s’activer sur ma bite là, sous mes yeux. Mais l’une des glaces sans tain reflétait sa croupe. Comme elle était accroupie, ses fesses étaient largement ouvertes, sa chatte apparente et luisante, encore dégoulinante de mon sperme.Je laissai passer quelques minutes, sachant très bien que derrière les glaces de la pièce plusieurs caméras filmaient nos ébats. Puis je la relevai. Je ne voulais pas jouir dans sa bouche. Du moins pas encore…Je l’invitai à prendre place face à moi, à s’asseoir sur ma queue puis à mettre une jambe de chaque coté des accoudoirs tandis que je la soutenais et tenant ses fesses. Pour ne pas basculer en arrière, elle mit ses mains autour de mon cou. — Et maintenant la chevauchée sauvage, dis-je.Elle planta ses yeux dans les miens mais ne répondit pas. Je recommençai à la pistonner. Je vis son regard devenir trouble. Elle essayait de conserver au fond des yeux un air de défi, mais petit à petit, c’est le regard d’une chatte en chaleur qui apparaissait. J’étais décidé, pour ce deuxième acte à la vider complètement. Dans cette position, je contrôlais la situation. Elle devait s’accrocher à mon cou pour ne pas tomber et les pieds, pendant dans le vide de part et d’autre des accoudoirs ne disposaient d’aucun appui. Je la soutenais grâce à mes mains placées sous son cul. Je l’élevais puis la laissait retomber sur ma queue qui l’empalait littéralement. A chaque fois que mon engin venait butter au fond du vagin contre l’utérus, elle avait comme un hoquet de jouissance. Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle commença à gémir, puis à crier sa jouissance. — Ah salaud que tu me fourres profond! Ah que c’est bon.Enfin elle se rendit et jouit dans un cri sauvage. Comme précédemment elle éjacula abondamment. Mais pour ma part je n’étais pas décidé à en rester là et comme si je n’avais pas entendu son râle de jouissance, je continuais encore et encore à la pistonner. — Enfoiré tu vas me faire mourir! C’est trop bon. Je sens la jouissance qui revient…Pendant plus de 30 minutes je continuais à martyriser sa chatte, l’envoyant à nouveau par deux fois au septième ciel. Je sentais de mon côté mon foutre prêt à gicler. A peine venait-elle de jouir pour la troisième fois que le col de l’utérus, cédant sous les assauts à répétition qu’il subissait « goba » ma queue. Tout mon gland pénétra l’utérus, le col enserrant fermement la tête de ma queue. Aussitôt je m’arrêtais de limer, savourant l’instant et cette sensation suprême. Ma belle mère les yeux exorbités me regardait. — Oh! Que me fais-tu? Que m’arrive-t-il? Je n’ai jamais connu cela! Et en même temps, elle essayait de faire de petits mouvements de bassin pour prolonger cette double pénétration vagin et utérus…— Je viens de te pénétrer l’utérus. Et maintenant profite de ce qui va suivre.Sous ses fesses, un doigt de chaque main pris possession de son anus. Je jouais quelques instants, tirant sur sa rosette comme pour l’élargir. Puis je la soulevais un peu et la laisser brusquement retomber. Ma queue s’enfonça un peu plus dans sa matrice et alors j’ouvris les vannes de ma jouissance. Les jets fusèrent violemment, emplissant directement l’utérus. Déclenchant un orgasme apocalyptique dans le ventre qui m’accueillait. Pour la seconde fois, elle devint flasque et s’évanouit. Une fois que j’eus fini de jouir, je continuai à la limer doucement, pour entretenir mon érection, mon gland toujours fiché dans le col de l’utérus… mes deux index distendant toujours l’anus de ma partenaire. Son évanouissement dura bien cinq minutes. Quand elle revint à elle, elle sentit d’abord mes doigts, puis mon sexe enfoncé au fond de son ventre et enfin son propre utérus gonflé par ma semence.— Elle me regarda puis se pencha sur moi et m’embrassa. Non plus en dominatrice, mais comme une femme amoureuse. Elle me murmura— Salaud, jamais on ne m’a possédée ainsi. Jamais je n’ai joui de cette manière. Quel amant tu fais…— Si tu avais accepté de t’offrir au lieu de chercher à dominer ton entourage, sans doute que tu aurais connu avant la joie de l’abandon total…Pour toute réponse, elle m’embrassa à nouveau avec passion…Je laissais enfin mon sexe débander et sortir de lui même du fourreau qu’il avait investi près de trois quarts d’heure avant. Je n’avais plus dans mes bras la belle mère hautaine et dominatrice mais une femme comblée et, je crois, un peu amoureuse. Mais mon emprise sur elle devait être encore plus grande. En fait je voulais en faire ma chose…Je l’aidai à se dégager de la position qu’elle occupait, regardant au passage un flot de sperme sortir de sa chatte. Je lui fis remarquer que nous venions d’effacer 20 points supplémentaires
Je me levai du fauteuil et l’amenai sur le canapé. Je la fis s’agenouiller sur celui-ci, son cul tourné vers moi, sa poitrine et son buste reposant sur le dossier. Je lui demandai d’écarter bien ses cuisses. Ce qu’elle fit, laissant à nouveau un filet de sperme venir tacher le velours.Je glissai un doigt entre ses fesses et trouvai son anus. Je commençais à masser sa rondelle.— Tu veux encore, Me demanda-t-elle? Tu ne veux pas attendre un peu? Je suis exténuée!Exténuée? Je n’étais pas disposé à la laisser déjà se reposer. Même si je savais que les orgasmes seraient plus longs à déclencher, je voulais l’abrutir de jouissance.Je fis donc comme si je n’avais rien entendu et continuai à jouer avec son fondement. J’introduisis successivement un, deux puis trois doigts. Elle tendait son cul en arrière, allant au devant de la caresse. Puis je mis le majeur et l’index de chaque main dans son cul et commençai à tirer doucement, élargissant l’anus, ouvrant celui-ci, distendant l’anneau culier. Je bandais à nouveau.Quand j’estimai que la rondelle était assez ouverte, c’est à dire qu’elle avait un diamètre supérieur à celui de mon chibre, je saisis belle maman aux hanches et la sodomisai d’une seule poussée. Puis j’attendis que son anus se referme autour de ma bite qui était plantée bien au fond de ses entrailles. Quelle sensation que de sentir le cul venir emprisonner de plus en plus fermement mon sexe… Au fur et à mesure que la pression augmentait sur ma bite, je commençais à limer. D’abord doucement puis de plus en plus sauvagement. En même temps je glissais une main par dessus son mont de Vénus pour aller chercher son clitoris que je commençai à branler comme une bite, d’avant en arrière, le décalottant à chaque mouvement. Son bassin commença à s’agiter, son cul se projetant alternativement contre ma bite en facilitant la pénétration puis le ventre partant en avant pour décalotter encore plus le gland du clito. La séance dura un bon quart d’heure avant qu’un premier orgasme ne la cisaille… Je la forçai à continuer alors qu’elle voulait se dégager. Visiblement elle n’en pouvait plus. Je pinçai fermement ses tétons, son clito, enfonçai au plus profond mon sexe dans son anus et au bout de quelques minutes, je la sentis réagir et, à nouveau, repartir sur le chemin d’un nouvel orgasme. Cette fois elle mit du temps à atteindre sa libération. Aussi quand elle eut joui je me retirai de son cul et m’asseyant sur le canapé je lui fis remarquer que je n’avais pour ma part pas joui et qu’il y avait deux points à gagner en me suçant…Sans hésiter, mais les yeux dans le vague, elle engloutit mon sexe et commença à le pomper. Je décidai de ne pas prolonger plus longtemps la séance et éjaculai sans tarder. Elle avala sans broncher , finit en me léchant le gland pour essuyer les dernières traces et s’allongea sur le tapis, épuisée. Je m’allongeais à côté d’elle, la pris dans mes bras et l’embrassais. Elle avait bien mérité ce baiser! « j’aime ça » me dit-elle. Puis elle s’endormit comme une masse…. Je fis un signe puis la lumière s’estompa. Dans la pénombre, l’un de mes complices vint étendre une couverture sur nos corps nus et enlacés.
Longtemps après, je me réveillais, ma belle mère toujours dans mes bras. Elle dormait toujours paisiblement. Je l’embrassai doucement sur les lèvres et les yeux, tout en glissant une main entre ses cuisses. Elle était trempée. Faisait-elle un rêve érotique??? Je fis un signe vers le fond de la pièce et la lumière revint doucement, régulée par un gradateur. Une personne entra, toujours masquée et déposa sur la table devant le canapé un plateau comportant une cafetière, du jus d’orange et des croissants.Ma belle mère se réveilla, me regarda et me sourit. — Je me demandais si j’avais rêvé, dit-elle… J’espérais que ce soit un cauchemar avec ces ravisseurs et leurs exigences. Et je redoutais que ça soit un rêve tellement j’avais l’impression de vivre à travers mes orgasmes et cette expérience.— Bonjour belle maman répondis-je— Bonjour mon amant, bonjour mon amour…— Le petit déjeuner est servi dis-je.— Je passe d’abord à la salle de bain…Elle en ressortit quelques minutes plus tard et vint s’asseoir à côté de moi sur le canapé. Elle me sourit. Plus rien à voir avec la femme hautaine qui existait encore quelques heures plus tôt. Mais je voulais assurer mon emprise définitivement et empêcher toute évolution à rebours.
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