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Ma belle mère et moi

Chapitre 3

Divers
Un ravisseur entra.— Alors les amoureux? Bien dormi? Faut dire qu’hier vous avez fait fort! Surtout toi la bourge! On a compté 56 points hier soir… Pas mal pour une vielle de 69 piges. On peut dire que t’aime la bite ma salope! Et en plus on a tout filmé. Tu verrais ton visage en gros plan quand tu jouis! Si les mecs de tes clubs voyaient ça, il y aurait la queue devant chez toi pour sur!— Espèce de salaud hurla ma belle mère en se jetant sur le ravisseur pour le gifler.— Et doucement vieille morue répondit celui-ci en lui retournant sa gifle. Ça va pas se passer comme cela tu peux être sur. Je crois que tu viens de casser ta boite à bons points… Attend toi à être punie…Puis il sortit.— Belle maman, cela ne servait à rien, dis-je. D’autant plus qu’objectivement il a raison. Hier soir tu t’es comportée comme une guenon en rut, comme une truie en chaleur…— Comment cela une truie et une guenon? C’est ainsi que tu me considères? — Bien sur que non, mais emporté par le plaisir, tu étais toute entière accaparée par ta jouissance et le désir de jouir à chaque fois un peu plus. Pas vrai?— …— Pas vrai ? insistai-je— Si! Mais je n’aime pas m’être ainsi laissée aller. Même si j’ai des frissons en y repensant. — Des frissons tu en auras encore. Il nous reste des points à effacer et en outre le ravisseur a dit que tu avais cassé la boite à bons-points. D’ici à ce qu’il remette les compteurs à zéro…— Tu crois qu’il le fera? Demanda-t-elle? Remarque que nous avons encore 4 jours et qu’au rythme d’hier soir… lança-t-elle songeuse.La porte se rouvrit et le ravisseur entra. — Bien, on a pris notre décision. On avait pensé à ramener les compteurs à zéro. Mais cela aurait trop facile et trop bon pour une chienne comme toi, dit-il en se tournant vers ma belle mère. Donc…— Donc? Demanda-t-elle…— Donc comme je viens de le dire tu es une chienne. On rajoute comme punition 50 points.— 50 points de plus? C’est tout?— C’est tout! Mais tu vois que tu aimes cela! 50 points ne t’effraient pas. Ah toutefois, j’oubliais! Comme tu es une chienne, ces 50 points seront à valider avec un joli chien mâle. Avec le même barème…. — Quoi? Vous voulez dire que je vais devoir m’accoupler avec un animal? Avec un chien? — Exactement. Mais ton gendre ici présent aura le droit de t’aider à te faire saillir!— Bande de pervers, bande de dépravés…— Et ho, doucement! rigola le type. On est peut-être pervers et dépravés, mais pour l’instant c’est toi que l’on voit en film en train de te faire défoncer par ton gendre. Tout comme c’est toi que l’on verra te faire monter par un beau chien bien membré!— Fumier! Lança dans un dernier juron ma belle mère…Je notai en la regardant qu’elle n’avait pas cherché à se soustraire à la relation contre nature qu’on lui imposait. Elle semblait réellement prête à s’offrir au chien. A moi de bien la « driver » pour que cela se transforme en soumission sexuelle à mon égard…
L’homme sortit et revint quelques instants plus tard avec un superbe mâle boxer. Il le présenta : — voici Rex. Puis se tournant vers le chien :— Rex, voici ta femelle. Allez je vous laisse. Il vous reste un peu plus de 4 jours, 44 points à recueillir entre vous et 50 entre madame et le chien. Maintenant, si vous voulez faire des parties à 3 c’est vous que ça regarde… Et il sortit, laissant Rex avec nous.Rex, je le savais, était dressé à saillir des femmes. Certains films dont il était l’acteur principal circulaient sous le manteau…Aussi, sans hésiter Rex se dirigea-t-il vers ma belle mère et lui fourra sa truffe entre les jambes, contre sa vulve. Instinctivement elle se protégea en plaquant ses mains devant son mont de Vénus. Je m’approchai, me plaçai derrière elle, plaquai mon sexe contre ses fesses, l’embrassai dans le cou et pris doucement ses poignets pour les écarter et laisser au chien la possibilité d’explorer l’endroit qui sentait la femelle. Je susurrai à belle maman :— Laisse-le faire. De toute façon il faudra y passer. Je vais t’aider…Je reculai lentement vers le canapé ou je m’assis, attirant ma maîtresse sur les genoux tout en plaçant les siens de part et d’autre des miens. Puis j’écartai mes jambes, ce qui eut pour effet d’ouvrir aussi les siennes. Rex qui avait suivi en profita aussitôt pour commencer à lécher la moule maintenant bien offerte. Une décharge électrique parcourue ma partenaire.— Putain que c’est bon! gémit-elle— Je suis sur que tu vas adorer cela aussi dis-je!Je la soulevai un peu, écartai ses fesses et pour la première fois de la journée plantai ma queue dans son derrière tandis que Rex continuait à la laper goulument, léchant mes couilles au passage… Ce qui était loin d’être désagréable! J’effectuai des petits va et vient, juste pour rappeler que j’étais présent. Je regardais Rex qui commençait à bander sérieusement. J’en fis la remarque à ma belle mère :— Tu as vu le pieu qui va te saillir bientôt?— Oui! Il est bien monté. À présent j’ai envie de la sentir dans moi. C’est horrible à dire. Je suis en train de me faire sodomiser par mon gendre, un chien me lèche la chatte et je rêve au moment où il va monter sur mon dos pour me saillir. Si mes copines me voyaient…— Je suis prêt à parier que plusieurs seraient jalouses!— Tu crois? Demanda-t-elle rêveuse en entamant un mouvement circulaire des hanches.— Je t’ai dit que je le pariais!— Mais comment savoir si tu gagnes ton pari?— On verra cela le moment venu dis-je. En attendant, Rex est prêt. Et toi aussi. Il t’a bien léchée et tu mouilles. Alors met toi à quatre pattes. Je vais aider Rex à te pénétrer puis je reviendrai m’asseoir. Comme cela tu me suceras pendant que Rex te baisera. On va avoir des points sur les deux tableaux…J’abandonnai l’anus accueillant de belle maman et me levai. Je la fis mettre à quatre pattes. Rex qui était habitué la laissa se positionner puis se plaça derrière elle et monta sur son dos, les pattes avant de part et d’autre du buste de la femelle qu’il allait saillir. Je pris son sexe à la main et le guidais vers la vulve qui palpitait. D’un coup de rein violent, Rex s’engouffra dans l’antre chaud et humide qui l’attendait. Il commença aussitôt ses va et vient. Je regardais le visage déformé par la jouissance de ma belle mère.— Il grossit en moi. Dit-elle..— Et ce n’est pas fini! Si tu veux vraiment marquer des points, il va falloir le laisser se verrouiller.Le chien limait de plus en plus vite. Soudain il s’immobilisa. Ma Belle mère, comme à son habitude dans ces moments, hurla et jouit. « putain c’est trop bon de sentir sa fourrure chaude sur mon dos et son chibre dans moi… »Je me plaçai alors devant belle maman et lui ordonnai de me sucer. Ce qu’elle fit avec gourmandise. De temps en temps elle s’interrompait pour commenter. — « oh ! Je sens une boule qui grossit… » ou « sa bite gonfle encore »…Je lui expliquais : — Quand un chien s’accouple, un nœud se gonfle à la base de son pénis. Si le nœud grossit dans la femelle, le chien se verrouille à sa femelle. Le pénis lui aussi prend de l’expansion. Tu verras tout à l’heure, tu en seras pleine. Ensuite le mâle descend de la femelle et reste cul à cul avec elle. C’est alors seulement qu’il commence à remplir la femelle de sperme.Et effectivement, au bout d’une certain temps le chien descendit.« Putain que c’est bon haletait ma belle mère tout en me pompant…Il est énorme son chibre! Oh et je sens mon ventre gonfler avec son sperme. Oh mon Dieu, que c’est bon! Jamais je n’aurais cru cela possible! Oh oui, je jouis! »Et un nouvel orgasme la submergea. J’en profitai pour me vider les couilles dans sa bouche et tout en jouissant comme une folle elle avala mon sperme sans en laisser une goutte.Peu après, le chien se désaccoupla avec un bruit de bouchon et un flot de sperme canin s’échappa du vagin de belle maman.Je l’incitai à sucer le chien pour le nettoyer et le remettre en forme. Elle hésita :::— Tu crois? Me demanda-t-elle— Bien sur! Suce le! Il va aimer cela et tu vas le faire bander à nouveau. — Et après?— Après c’est une surpriseAlors elle se pencha vers le ventre du chien, saisit son membre encore turgescent et après une infime hésitation l’emboucha et commença à le pomper comme si son salut en dépendait. Visiblement elle prenait du plaisir à pomper le sexe canin. Petit à petit elle repoussait les limites de sa perversité au delà de toute frontière. Tous les tabous tombaient. Seule la recherche de la jouissance demeurait et s’imposait. La voir ainsi me faisait bander. Aussi je la pris et la sodomisai sans autre forme de procès tandis qu’elle continuait à pomper la grosse queue et à malaxer doucement les couilles de Rex.Au bout de quelques minutes, le chien paraissait à nouveau en état de s’accoupler. Je me retirai du cul de belle maman, m’allongeai, l’invitai à s’asseoir sur ma bite puis une fois celle ci dans son cul à s’allonger sur moi. Enfin j’appelai le chien et celui ci enjambant ma belle mère se ficha dans son ventre. Elle était ainsi prise par deux mâles : le chien devant et moi derrière. Elle se laissa faire et mener vers une nouvelle série d’orgasmes. De mon côté j’appréciai de sentir le chien grossir, ce qui comprimait ma propre queue et me donnait de nouvelles sensations. Quand le chien commença à éjaculer, la pression sur ma bite s’accentua et je déchargeai moi même un flot de foutre dans le cul somptueux qui m’accueillait. Nous restâmes ensuite ainsi accouplés à 3 tandis que belle maman hurlait des insanités en cumulant orgasme sur orgasme... Quand Rex se retira après avoir fini de balancer sa purée, son sperme coula sur mes testicules et j’intimai l’ordre à ma belle mère d’aller nettoyer le tout à l’aide de sa langue. Ce qu’elle fit sans discuter. J’insistai en lui faisant remarquer que le sperme de Rex avait coulé jusqu’à mon cul et elle me releva les cuisses pour entamer une feuille de rose sur mon anus, le léchant consciencieusement, y introduisant la langue, mettant sa bouche en corolle sur ma rondelle, lapant et aspirant le foutre du chien.Ma belle mère était arrivée au bout du voyage. Elle avait atteint puis dépassé les limites du vice et de la perversité. Ce fut elle qui après deux bonnes heures de repos que nous passâmes allongés et enlacés sur le sol, me dit qu’elle voulait recommencer un accouplement à 3 mais moi dans son vagin et le chien dans son anus.
— Tu vas l’avoir ton accouplement. Celui là et même d’autres. Mais avant j’ai un truc à faire…Je me levais alors et fis un signe vers l’une des glaces. Aussitôt un « ravisseur » entra. — Bon, je pense que tout ira bien maintenant, dis-jeMa belle mère me regarda— Qu’est-ce qui ira bien? Tu… Tu les connais?— Bien sur que je les connais puisque c’est moi qui ai tout organisé dis-je— Mais… Mais pourquoi?— Parce que depuis le temps que nous nous affrontons, je voulais te montrer qui est le mâle et surtout te faire découvrir ta nature profonde. Il y a encore 24 heures aurais-tu couché avec ton gendre, avec un chien, te serais-tu vautrée dans la fornication comme tu l’as fait, toi qui coures les salons mondains et ne loupes jamais la messe? Aurais-tu réclamé comme tu viens de le faire de te faire sodomiser par un chien? Tu as transgressé toutes les valeurs que tu représentes. Maintenant dis moi, regrettes tu tous les orgasmes que tu as eu depuis 24 heures? D’avoir baisé et t’être faite baiser par le mari de ta fille? Regrettes-tu de t’être fait saillir par un chien, d’avoir franchi des seuils que peu de personnes ont osé franchir?— Non! me dit-elle après un silence. Ce que je regrette c’est que nous allons devoir nous arrêter après 24 heures puisque nous ne sommes plus contraints à baiser…— Tu es bête souris-je. Nous ne sommes pas contraints, certes. Mais qu’est-ce qui nous empêche de continuer? Moi j’ai trouvé une salope peu commune et j’ai envie de trouver des nouveaux chemins à explorer avec toi. Tu es libre de continuer à baiser et à jouir autant que tu veux. Personne ne nous attend avant lundi! Dis moi quels sont tes fantasmes, nous allons les réaliser ensemble. Si tu le veux…— Si je le veux? Oh oui que je le veux. Tu sais, quand je cherche à dominer mon entourage, c’est surtout par frustration. Et là tu me libères de toutes ces frustrations. Tu me donnes la possibilité de jouir autant que je le veux, d’exprimer ma perversité, d’aller encore plus loin. Mes fantasmes? Après un chien, je veux un jour assouvir un âne. Je veux amener certaines copines elles aussi très BCBG à se faire saillir, à se faire mettre. Je veux détourner des hommes du droit chemin. Je veux essayer tout ce qu’il y a de pervers, tout ce que la morale réprouve. Mais je veux faire cela avec toi. Tu m’as ouvert des voies que j’ignorais. Je t’en suis reconnaissante. En 24 heures, je crois que je suis tombée amoureuse de toi. Ou plus tôt que je suis tombée sous ton emprise.— Moi aussi, au fond de moi je t’aime ma belle salope. Tous tes fantasmes tu vas, nous allons, les réaliser. Il faut d’abord que tu saches que nous sommes ici chez moi. J’ai acheté cette ferme et je l’ai faite aménager seulement dans le but de te baiser. Et maintenant, puisque tu le veux, c’est aussi chez toi. Cette ferme va devenir le lieu de toutes nos folies sexuelles. Des fleuves de spermes vont couler ici, des partouzes géantes vont s’y organiser. Des bourgeoises vont y subir les pires saillies, je te le promets.Puis je me tournai vers le « ravisseur » :— Merci pour ton coup de main. On aura sans doute encore besoin de toi et de ton équipe. Mais avant que vous ne nous quittiez, j’aurai eu besoin de vous pour faire un cadeau à belle maman… Je voudrais que nous la baisions tous ensemble.— Pour cela pas de problème! Depuis 24 heures que nous vous regardons à travers les glaces sans tain, je peux te dire que nous avons les couilles pleines et que les viderons avec plaisir!Il sortit et quelques minutes après, 4 hommes nus, mais toujours masqués entrèrent dans la pièce. Tous sans exception étaient en érection. — Voilà mon cadeau belle maman. Tu as 4 hommes, 5 avec moi à ta disposition pour te satisfaire. — En fait j’aimerai surtout servir de vide-couilles. Faites de moi ce que vous voulez. Je veux ressentir ce que je vais bientôt imposer à d’autres femmes de ma connaissance…L’un des ravisseurs s’étendit et belle maman fut invitée à le prendre dans le fion tandis qu’un autre la pénétrait par devant. Deux se mirent à genoux de part et d’autre de manière à ce qu’elle les branle et moi, enfin j’offris ma queue à sucer. Nous restâmes ainsi plusieurs minutes. Elle jouissait sans discontinuer. Enfin je demandais à mes complices de se retirer de manière à lui offrir une belle douche de sperme ce qui convint à tout le monde. Et quelques minutes après, cinq pines déchargeaient de longues giclées de sperme sur la figure, les seins et le ventre de la femelle qui hurlait son plaisir en s’enfonçant trois doigts dans son vagin…
À suivre…
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