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Ma belle-mère, ses pieds, sa gorge et le retour de réveillon

Chapitre 1

Je tapis sa gorge

Inceste
Nous avions reçu ma belle-mère pour le réveillon de Noël et cela faisait déjà quelque temps que j’avais des vues sur elle. Je fantasmais depuis longtemps sur ce que je pouvais faire avec une femme très mature.
Elle avait 72 ans et avait été portée sur le sexe tout au long de sa vie. Ma femme m’avait indiqué que lorsqu’elle était jeune, son père et donc le mari de ma belle-mère, parlait souvent de l’infidélité de cette dernière.
Depuis, lorsque nous la recevions, elle faisait souvent des remarques assez orientées même si elles étaient toujours correctes en réalité.
Malgré son âge, elle faisait très jeune, s’habillait encore très bien pour son âge, faisait attention à elle, était mince et pas trop ridée et, élément important, elle avait curieusement de jolis pieds. Je me souviens de ce détail, car je ne pouvais me détacher de ces derniers lorsqu’elle avait retiré ses escarpins à la maison. Ses pieds semblaient parfaits, manucurés avec précision et surtout ses plantes de pieds ne présentaient ni crevasse ni durillon. Il avait suffi de cela pour me donner une violente érection et me donner envie de lui renifler ses pieds en me touchant la bite.
J’avais donc imaginé un scénario que je trouvais extrêmement risqué, mais que je souhaitais tenter malgré tout. J’avais donc prévu une solution de sortie, sous le ton de l’humour, si elle n’était pas réactive à mes propositions.
Ma femme n’avait pas trouvé curieux que j’insiste pour que ce soit moi qui la ramène à son domicile. Il y avait une heure de route environ, j’expliquais que cela ne me dérangeait pas et qu’elle pouvait rester à la maison pour se reposer.
Nous partîmes aux environs de 11h30, j’avais une voiture assez grande qui pouvait offrir des possibilités intéressantes sur les sièges arrière.
Le début du trajet était détendu et nous parlions de nombreux sujets et notamment la pandémie que nous subissions depuis plusieurs mois. L’atmosphère était détendue et je pensais qu’il était temps que je débute mon approche.
Elle avait gardé ses escarpins et comme le trajet était long, je lui proposais de les retirer pour être plus à l’aise.
— Vous pouvez retirer vos chaussures si vous voulez. Le trajet sera un peu long vu les encombrements. J’augmenterai le chauffage pour que vous n’ayez pas froid. — C’est gentil à vous, je veux bien..
Au moment où elle retira ses escarpins, je revis ses pieds enfermés dans des collants en nylon et cela me donna une violente érection.
— Vous avez de superbes pieds et même si ce n’est pas très galant, c’est assez rare chez une personne de votre âge. — Il n’y a pas de problème, ne vous inquiétez pas. J’ai toujours veillé à ce que mes pieds soient parfaits, car depuis que je suis jeune, j’ai remarqué que les hommes étaient très sensibles à cela.
— Vous avez tout à fait raison et je suis dans ce cas. Je trouve qu’il n’y a rien de plus beau et séduisant que de jolis pieds, comme les vôtres d’ailleurs. Ils sont vraiment très beaux et je pourrais même dire, très excitants.
Ça y était, j’avais commencé l’approche et j’attendais sa réaction. Elle ne fut évidemment pas à la hauteur de mes attentes.
— Vous êtes très gentil de me dire cela et c’est vrai que j’y prends soin.
J’allais alors devoir passer la vitesse supérieure et comme elle vivait seule, j’ajoutais alors :
— Et si je puis me permettre, l’attirance pour les pieds de femme est-elle réservée à certains hommes, et vos amants qui doivent être plus âgés que moi sont-ils toujours intéressés ? — Vous savez, mes amants se font bien rares et je dois avouer que cela fait longtemps que je n’ai pas connu le plaisir d’être avant un homme. — Cela ne vous manque pas ? — Si, bien sûr, j’y pense souvent, mais ce n’est pas évident pour une femme de mon âge. Je n’ai même pas Internet alors comment pourrais-je faire des rencontres ! — Il y a d’autres moyens pour cela et notamment en se faisant raccompagner par un homme chez elle après les fêtes.
Je dis cette phrase sur le ton de l’humour en riant assez fort et j’attendis sa réaction. Une nouvelle fois, elle fut assez distante.
— Vous êtes gentil. — Vous prenez aussi soin de vos mains ? Elles semblent assorties à vos pieds en tout cas. — Oui, c’est une habitude de vieille dame, mettre la même couleur en haut et en bas.
Je lui pris la main alors en lui disant que je voulais vérifier si elles étaient impeccables. C’est à ce moment précis que j’allais prendre le plus grand risque.
— Votre main est très froide, vos pieds le sont aussi ? — Non le chauffage fait son œuvre, mais j’ai toujours froid aux mains. — Je sais comment les réchauffer, car de mon côté, j’ai toujours une partie de mon corps qui a toujours chaud.
Je plaquai alors sa main sur mon entrejambe, j’avais la bite dure comme du béton tellement ses pieds me rendaient dingue et que je commençais à envisager la suite.
— Mais que faites-vous ? C’est gentil, mais c’est déplacé.
Elle retira alors sa main.
Confus, je ne voulais cependant pas laisser tomber.
— Oh, désolé et toutes mes excuses, je ne voulais pas aller trop loin et ma proposition était vraiment sans équivoque. Nous sommes de la même famille quand même. Il n’y a aucun problème et surtout n’hésitez pas. Si en plus, cela peut vous rappeler votre jeunesse.
Je lui repris la main et la remis sur la bosse de mon pantalon. Enfin, sans dire un mot, elle accepta de poser sa main sur ma bite extrêmement tendue.
Je repris alors la discussion sur des sujets plus légers et je remarquai alors que progressivement, elle commençait à la caresser tout doucement. C’était presque imperfectible, mais je sentais que c’était de plus en plus chaud.
J’avais gagné et je pouvais aller plus loin. Au bout d’un moment, j’ajoutai alors :
— Votre main se réchauffe ? — Oui, cela commence, je vous remercie. — Aucun problème et si vous le souhaitez, elle peut se réchauffer davantage. C’est à vous de me dire. — Que voulez-vous dire ? Oui, je veux bien en tout cas.
Je décidai alors de retirer les boutons de ma braguette. J’avais mis un pantalon assez léger pour la saison et surtout j’avais prévu de ne pas mettre de slip pour que tout soit plus facile.
Elle eut un moment de recul, mais le retour arrière n’était pas possible. Je sortis alors ma bite du pantalon et elle était vraiment très dure. Je n’ai jamais été très bien membré, mais elle était tellement dure qu’elle semblait plus grosse que les autres fois.
Je plaçai aussi mes couilles bien en dehors, elles étaient d’ailleurs remontées par l’excitation.
Ma belle-mère ne réagit pas et commença alors à me caresser la tige en insistant sur mes couilles.
— Oui, c’est vrai, tout cela est vraiment très chaud et je sens que ma main se réchauffe très rapidement.
Sans rien dire, elle continua à me branler comme une vraie professionnelle, j’étais aux anges, j’avais réussi et je continuais de regarder ses pieds.
Elle vit alors mon regard et décida de les frotter l’un sur l’autre, ce qui me donna encore plus envie ; le crissement me rendait fou.
Ce petit jeu dura une dizaine de minutes et elle faisait cela avec une véritable application et douceur. Elle ne faisait aucun geste brusque et savait où ses pressions devaient être faites. Je commençais à être vraiment très chaud et je continuais à fixer ses pieds.
— Arrêtez un peu, car si vous continuez de la sorte en me montrant vos pieds dans ce nylon, je crois que vous aurez bientôt un liquide chaud sur les mains ! — Très bien, je m’arrête et d’ailleurs ma main est chaude désormais. — Vous n’avez pas froid à la langue non plus ? car je peux tout à fait vous la réchauffer. Sucez-moi...
Elle ne se fit pas prier et bascula ma tige en la prenant entièrement dans la bouche. La salope, c’est vrai qu’elle avait dû bien carburer il y a quelques années pour sucer son gendre à pleine bouche sans sourciller !
Je sentais sa langue qui passait sur toute la longueur. Certaines fois, elle s’arrêtait et s’occupait de mes couilles, cela pour que la jouissance n’arrive pas trop tôt. La position n’était pas la plus évidente et j’avais envie d’être plus à l’aise.
Je lui proposai alors de nous arrêter sur le côté de la route, à l’écart dans la forêt. La route vers son domicile passait en fait par de nombreuses zones boisées et il était assez simple de trouver le bon endroit.
J’avais une envie folle de lui cracher mon jus au fond de la gorge. Je m’arrêtai dans un coin semblant très tranquille. L’avenir allait précisément me donner tort.
— Passez derrière, vite, j’ai envie que vous me repreniez dans votre bouche.
Elle s’exécuta sans broncher, je pense qu’elle en avait envie elle aussi. Très rapidement, nous fumes derrière. J’avais avancé les sièges de devant pour être ne pas être gêné.
Elle se jeta sur ma bite de nouveau, mais là elle employa un rythme beaucoup plus rapide. Je pense qu’elle avait envie de sentir mon jus sur sa langue de salope. L’excitation était totale et, en plus, le passage sur les sièges arrière me permettait enfin de caresser ses pieds.
— Branle-moi avec tes pieds, dépêche-toi.
J’avais maintenant employé le tutoiement. De toutes les façons, la situation était tellement délirante qu’il n’y avait plus aucune limite.
Elle bascula en arrière, je pris ses pieds, les sentis longuement, elle continuait alors à me branler et je les passais doucement sur ma bite en les écrasant sur mes couilles. Que c’était bon ! Je continuais encore cela quelques minutes, car je savais très bien que cette occasion pourrait ne pas se reproduire. Que ses pieds étaient beaux et sentaient bon !
Je sentais que le sperme commençait à monter et qu’à ce rythme, je n’allais pas résister longtemps. Je ne voulais surtout pas gâcher le final !
Je me retirai alors de sa bouche, mais il fallait que je luise, je n’en pouvais plus.
— Vas-y, suce, suce, bien à fond et avale tout.
Elle bascula de l’autre côté, ouvrit sa bouche en grand et je lui écrasai la nuque jusqu’aux couilles. Je voulais lui écraser la tête au plus loin, sentir le fond de sa gorge et aller au-delà même si je pouvais.
Je ressortis de sa bouche plusieurs fois puis lui écrasai la nuque de nouveau. Mon gland était violacé et j’avais du rouge à lèvres sur toute la longueur de la tige.
Au moment ultime, elle enfonça d’elle même sa tête jusqu’à ce que je sente ses lèvres et sa langue contre mes couilles. Elle avait pris ma tige en entier et ne bougeait plus.
— Ça y est, je viens, j’en peux plus. Putain que tu suces bien, tu es une vraie salope, j’en reviens pas. Pourquoi tu n’as pas appris tout cela à ta fille qui déteste le sperme ? Quel manque d’éducation, merde. — Ah, hum, ça sort.
Je lui crachai tout en plusieurs giclées. J’aurais voulu que cela dure des heures tant c’était bon. Je ne pouvais même pas voir ma tige vibrer tellement elle était enfouie dans sa bouche.
Elle avala tout sans broncher, sans rien dire et elle garda ma bite longtemps après en ne faisant plus aucun mouvement de succion.
Elle savait que lorsque la jouissance était passée, la bite de l’homme est extrêmement sensible alors elle ne faisait rien, elle la gardait juste dans sa bouche pour en profiter au maximum et s’en rappeler par la suite.
Mais en préparant mon scénario, j’avais prévu le coup pour que cette journée reste longtemps dans ma mémoire. Comme je n’étais pas un gros bandeur et que mes couilles n’étaient pas très vaillantes, j’avais pris un Viagra avant de partir.
L’avantage de ces médicaments, comme j’avais eu l’occasion de le remarquer, est de permettre de garder, même après l’éjaculation, une certaine érection même si rien ne passait.
Et là, il se passait quelque chose, car malgré ce que je venais de vivre j’étais encore très excité ! Elle ne fit pas attention au début que mon sexe conservait une certaine dureté.
C’est à ce moment-là que je décidai de passer à la seconde étape.
— Mets-toi sur le dos, la tête bien en arrière. J’ai bien vu que tu savais encaisser, j’ai envie de visiter ta gorge encore quelques minutes, bien à fond et jusqu’au bout. Je vais te limer la gorge et me vider une nouvelle fois. Quand on a une salope comme toi dans les mains, on la laisse pas partir comme ça et surtout quand elle adore ça. — Dépêche-toi, faut pas qu’on perde trop de temps.
Elle s’exécuta rapidement, mais elle ne pouvait pas imaginer que les quelques minutes seraient parmi les plus chaudes de sa vie de salope.
A suivre ...
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