Un jour, mon épouse me dit qu’il faut que j’aille chez sa mère, qui est âgée de 68 ans et est veuve, car elle a des tâches de bricolage à me faire faire. — Ok, j’irai chez elle samedi dans la matinée. Le jour arrive, je sonne à son visiophone. — Oui ?— Bonjour belle-maman, c’est Xavier.— Entrez, je vous ouvre et vous pourrez rentrer directement dans la maison. J’ouvre la porte d’entrée, et là, je la vois sortir de la cuisine avec un petit escabeau, je suis stupéfait. D’habitude, le matin, elle reste en chemise de nuit, robe de chambre et pantoufle. Mais là, j’ai la bouche tellement ouverte que je ressemble au loup de Tex Avery. Je la regarde de haut en bas et de bas en haut. Elle s’est coiffée, maquillée et habillée : elle a les cheveux blonds à la hauteur des épaules et frisés. Elle est maquillée : rouge à lèvres Carmin, fard à paupières foncé qui fait ressortir ses yeux bleus, avec un trait d’eye-liner noir et un fond de teint léger.Elle s’est habillée avec un chemisier blanc qui lui moule sa grosse poitrine, avantageusement ouvert de trois boutons pour voir le début du sillon, une jupe fourreau en cuir qui arrive à cinq centimètres des genoux qui est fendue sur le côté très haut et qui permet de voir qu’elle a mis des bas resilles. Pour couronner le tout, elle s’est chaussée avec des escarpins à bride à la cheville et des talons Stiletto de treize centimètres. — Bah alors Xavier, ne restez pas là, prenez l’escabeau et mettez-le là, il faut accrocher le cadre et après il faut changer une ampoule. Je n’arrive pas à bouger tellement je suis scotché et puis à l’entre-jambe, ça commence à se lever. — Bon, puisque vous ne bougez pas, je vais monter et je vous demande simplement de maintenir l’escabeau.
Du coup elle monte et moi, je me décide à faire ce qu’elle m’a dit de faire. Sauf que là, j’ai une vision qui me donne encore plus la trique, je vois des jarretelles, et un string qui lui rentre bien dans les fesses. Ensuite elle descend et va le mettre sous l’ampoule qui est grillée. Rebelote, la même vision sauf que là elle redescend. — Au lieu de me regarder, montez et changez l’ampoule, car elle est trop serrée pour moi.— Oui belle-maman. Je monte à l’escabeau, je commence à l’enlever, car elle n’était pas trop serrée, et là je sens une main. De fait, je m’aperçois qu’elle a posé une main, parfaitement manucurée, ongles longs et rouges, à hauteur de ma braguette, elle défait cette dernière, ma ceinture et le bouton de mon pantalon et elle descend mon pantalon et le caleçon. — Alors, elle surprend la belle-mère, tu ne l’as jamais vue habillée comme ça ?! Je vois que je te fais de l’effet, elle est belle ta queue. Comment tu la trouves ta belle-mère ?— Très en beauté, sexy et excitante.— Bien, merci du compliment. Et là, elle l’engouffre dans sa bouche. Ça varie entre des va-et-vient léger et d’autres déchaînés en passant par des gorges profondes. Au bout de quinze minutes de ce traitement : — Allez-y doucement, je vais jouir. Malheureusement, elle voit ça autrement, elle se met à me faire une série de gorges profondes pour que je puisse éjaculer dans sa bouche. Et le moment fatidique arrive. J’explose dans sa bouche sans qu’elle perde une seule goutte. Après avoir nettoyé ma queue, elle me dit : — Il est bon ton foutre, ça faisait très longtemps que je n’avais pas eu cette sensation, j’ai envie de ta pine. Ça te dirait de me baiser ? — Si vous y tenez, oui. Mais vous pensez à votre fille ? Je descends de l’escabeau, elle se met de dos et se colle à moi. Tout en bougeant son derrière, elle me remet en forme en me coinçant ma queue entre ses fesses. Quelle sensation extraordinaire le cuir sur une bite. — Oublie-la, cela restera entre nous. Par contre, si tu veux éjaculer dans mes deux autres trous, il va falloir que tu me rendes un service. — Lequel belle-maman ?— D’abord, tu vas te faire un café, et me rejoindre dans la chambre quand je te le dirai.— Bien belle-maman. Je vais me faire un café, je le bois dans la cuisine. Au bout d’un certain temps : — Ça y est mon petit Xavier, tu peux venir. Et prends une bouteille de champagne qui se trouve dans le réfrigérateur et deux coupes s’il te plaît. Je prends le tout, je rentre dans la chambre. Et là je reste bloqué complet, j’ai failli lâcher la bouteille. Elle s’est changée : elle a enlevé chemisier et jupe pour se retrouver en guêpière en cuir noir brillant, gants longs de la même matière. Elle a remplacé ses escarpins par des bottes avec des talons de quinze centimètres. Cerise sur le gâteau, elle s’est équipée d’un gode-ceinture avec un gode de quinze par cinq environ. — Alors je t’en bouche un coin Xavier. Tu comprends le service que tu vas me rendre ?— Euh oui, mais ....— Taratata, il n’y a pas de "mais". Si tu veux mes deux trous, il va falloir passer par là ou sinon tu sors de la maison. Mais vu ta trique je pense que tu vas rester. Effectivement, j’ai une trique d’enfer, je ne les ai jamais vus comme ça, ni ma queue ni ma belle-mère. Du coup je reste. Elle commence à me sodomiser avec un doigt, puis deux et trois. J’adore la sensation du cuir dans les entrailles. Ensuite, elle lubrifie le gode et me le présente à l’entrée, et force petit à petit. Et une fois bien entré, elle commence ses va-et-vient, lents d’abord et au bout d’un certain temps, elle se déchaine. Cela dure une vingtaine de minutes. Elle sort et dit : — Qu’est-ce que c’était bon, j’ai adoré pour une première fois. Elle enlève son gode-ceinture et je m’aperçois que c’était un double gode ceinture, un pour mon cul et un pour son vagin. Et elle me dit : — Vas-y c’est à ton tour. Elle me la prend pour la guider dans son vagin et tout en allant et venant, elle m’encourage. — Ho oui, vas-y défonce-moi, j’en ai envie. Tout en employant des mots crus, elle m’excite de plus en plus et je finis par cracher. On boit une coupe de champagne, ensuite, elle descend sa tête pour me reprendre en bouche afin de me remettre en forme. — Mon petit Xavier, tu vas présenter ta belle queue à mon petit trou et me la mettre bien profond. Quand elle prend ce langage, elle m’excite. Je me mets à la limer. — Vas-y, c’est trop bon de se faire enculer surtout par mon gendre, mets-la en entier. Oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiii ! Du coup on baise plusieurs fois, j’éjacule dans ses deux trous et elle finit par me tailler une pipe en bonne et due forme pour que jouisse une dernière fois dans sa bouche. — Putain qu’est-ce que c’était bon mon petit Xavier. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas amusée aussi bien. — J’aimerais bien que ta fille soit comme toi.— Déjà, je ne t’ai pas autorisé à me tutoyer, et ensuite, si tu veux revivre cette expérience, on pourra le refaire.
