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ma belle soeur

Chapitre 1

Divers
Ma femme Claire a une sœur, elle se prénomme Marilyne. Quand je l’ai connu, elle n’était qu’une gamine, mais je vous parle de ça il y a déjà une dizaine années. A présent elle en a 21, elle est très bien sur toute les coutures, mais voilà récemment j’ai fait la connaissance de son petit copain un peu par hasard, elle qui voulait le garder secret aux yeux de sa famille. Ce dernier au prénom de Luc, je l’ai amadoué pour qu’il ne parle pas de moi à Marilyne. J’avais déjà dans la tête une drôle d’idée, que j’avais soumis un jour à Luc. Il avait longuement hésité, mais moyennant une bonne enveloppe, ce dernier c’était laissé convaincre. Comme à leur habitude, après le boulot Luc retrouva Marilyne au bord de la rivière, comme convenu, ils se glissèrent devant un beau, grand de buis qui les isolaient. Luc attira la jeune fille contre lui et plaqua ses lèvres sur les siennes. En même temps il lui pelotait les fesses, à deux mains.
A bout de souffle ils se séparèrent très vite. Luc enleva le tee-shirt et la jupe de Marilyne. Dessous, elle portait une parure de sous-vêtement assortie en dentelle de couleur rouge sang. Luc lui pinça les mamelons à travers le tissu. Marilyne laissa échapper un gémissement. Elle passa une main entre les cuisses de son partenaire et, tâta la bosse qui déformait le pantalon du garçon. Lui-même qui ôta le soutien-gorge, et recommença à lui triturer les pointes des seins pendant qu’elle le massait entre les jambes. Ils respiraient de plus en’ plus vite.
C’est alors que Luc baissa la culotte rouge de Marilyne. Il frotta l’intérieur du sexe de sa copine, en insistant sur les nymphes et les bords du vagin. Elle gémissait sans retenue. Il se débarrassa de son pantalon et exhiba sa belle queue. Marilyne se laissa tomber à genoux devant Luc. Le gland décalotté émergeait comme une grosse fraise au sommet de la hampe très brune. Elle le goba et le suça avec avidité. Quand il fut sur le point d’éjaculer, Luc la repoussa.
— Mets toi sur le dos vite!
Elle s’allongea sur le matelas d’herbe sèche et de feuilles mortes qui tapissait le sol. Luc s’agenouilla entre ses cuisses écartées. Il se pencha vers le sexe offert, pinça et étira les bords roses de l’entaille. Il ouvrit celle ci de haut en bas, dévoilant les replis de la vulve envahis par une couche de mouille translucide. Les nymphes violacées s’ouvraient, pointes dressées comme des crêtes de coq. . L’orifice du vagin laissait échapper un flot épais de bave. Luc écrasa la chair plus pâle des bords entre le pouce et l’index. Marilyne se mit à gémir d’une voix stridente. Luc remplaça ses doigts par l’extrémité de sa queue. D’un seul coup, il enfonça son membre jusqu’au fond. Lentement il fit bouger sa verge d’avant en arrière. Le gland dilatait les parois gluantes du con qui se crispaient.
Luc continua un moment au même rythme, sans accélérer. Marilyne décollait ses fesses du sol et gigotait. Cette bite qui coulissait en elle sans hâte et d’un mouvement uniforme la rendait folle d’excitation, sans la faire jouir pour de bon. A bout de nerfs elle cria. . — Plus vite. Plus fort ! Qu’est ce que tu attends? — Je pense à un jeu pour tout à l’heure. Tu feras tous ce que je voudrais? — Oui ... oui, mais baise-moi à fond. Je n’en peux plus!
Sans avertissement Luc accéléra le mouvement. Les plaintes de Marilyne devinrent de plus en plus fortes et aiguës. A chaque coup de reins, le garçon la clouait sur le sol, faisant crisser l’herbe sèche sous elle. Ils ne tardèrent pas à jouir.
Luc attendit d’avoir retrouvé son souffle pour se retirer. Sa bite avait à peine diminué de volume. Il aida Marilyne à se relever.
— Maintenant on va s’amuser d’une autre façon, dit-il. — Mais comment?
— Viens!
Il remonta son pantalon puis l’entraîna entre deux bouleaus qui poussaient au bord de l’étang. Il sortit de son sac de travail, une pelote de grosse ficelle et en coupa quatre longueurs avec son couteau. Marilyne le regarda faire, les yeux ronds. — A quoi ça va servir ça? — Attends, tu vas voir! Mets les bras en croix et écarte les jambes.
Luc lia les poignets et les chevilles de Marilyne à chaque extrémité des morceaux de corde. La jeune fille protesta.
— Mais qu’est-ce qui te prend? Tu es fou? — Tu m’as promis de faire tout ce que je voudrais, non? D’ailleursce n’est qu’un jeu.
Marilyne se résigna, à contrecœur. En un tour de main elle se retrouva écartelée, les membres attachés aux arbres de part et d’autre d’elle. Elle était debout mais ne pouvait pas faire le moindre mouvement et devait garder les jambes écartées. De sa fente à peine close s’échappaient des gouttes de mouille et de sperme qui faisaient une petite mare dans l’herbe.
— Je n’aime pas du tout ton jeu, maugréa-t-elle.Il a l’air complètement idiot.
— Ne t’énerve pas, répliqua Luc. Ce n’est que le début. C’est plus intéressant après.
Il aveugla Marilyne avec un foulard. Elle secoua la tête dans tous les sens mais le bandeau resta en place.
— Mais à quoi tu veux jouer au juste? cria-t-elle.
Sans rien dire le garçon s’agenouilla. Les jambes de Marilyne se rejoignaient en formant la pointe d’un V renversé à la hauteur de ses yeux. Il frotta les grandes lèvres entrebâillées du bout des doigts. Malgré elle, Marilyne poussa un gémissement et respira plus vite. Son clitoris se dressa hors des bords de la fente, tout en haut, épais et long comme un doigt d’enfant. Cela excita encore plus Luc qui lui donna quelques coups de la pointe de la langue. A chaque fois qu’il le touchait Marilyne poussait une plainte.
Luc se leva et s’éloigna en silence. Prévenu par moi dès le matin, j’attendais mon tour, dissimulé au centre du massif de buis. — Tu peux y aller, chuchota le garçon. Elle est à point!
J’avais déjà sorti ma queue. Gland décalotté, le membre se dressait hors de ma braguette. Sans faire de bruit, je m’approchais de ma belle-sœur. Celle-ci eut un sursaut quand je lui effleurais l’intérieur du sexe avec mon index.
— Luc, mon chéri, qu’est-ce que tu fais? cria-t-elle. Continue à me lécher, vite!
Je m’agenouillai, et pendant quelques secondes, admira la fente de Marilyne. L’entaille béait, ouverte au maximum, gluante de mouille, l’orifice du vagin dilaté. A bout d’excitation, et croyant toujours avoir affaire à son Luc, elle se mit à proférer des injures.
Salaud! Salaud! Qu’est-ce que tu attends?
Je me mis à genoux et de la langue suivit les contours de l’entrée du con. La belle-sœur haleta.’
— Plus ... plus fort! Comme tout à l’heure!
Je me mis en devoir de lui lécher le clitoris et elle poussa des plaintes de plus en plus bruyantes. Je pris le bourgeon entre mes dents et le mordilla doucement de façon à ne pas faire jouir la jeune fille tout de suite. Marilyne gigotait autant que le lui permettait les entraves de ses bras et de ses jambes.
Très vite je me relevais. Je posais mon gland contre l’entrée de son con et appuyais lentement. Ma queue pénétra avec facilité dans le vagin agréablement lubrifié. Malgré son excitation, Marilyne sentit la différence.
— Oh… on dirait qu’elle est plus grosse que tout à l’heure? Bafouilla t elle. "
Je me gardais bien de répondre. Je commençais à voyager dans son sexe, d’avant en arrière, à un rythme de plus en plus rapide. Elle cria d’une voix stridente et elle avait déjà joui quand j’éjaculais.
Très vite, je me retirai, Passant derrière Marilyne, puis je lui touchais l’anus. La position debout de ma belle-sœur, me permettais pas malheureusement de l’enculer facilement. J’hésitais puis enfonçais deux doigts d’un seul coup dans l’orifice. Marilyne protesta. , . .
— Luc, arrête! C’est sale et ça fait mal. Je faillis laisser échapper une remarque sarcastique. Tout en frottant l’intérieur du rectum de Marilyne, je me branlais de ma main libre. Au bout d’un moment je crachais un petit jet de sperme qui coulait sur les fesses de ma belle-sœur. Je retirais mes doigts puis m’éloignais sans faire de bruit. Maintenant que mon excitation était retombée, je me sentais partagé entre la honte et l’apaisement. Je repris tout de même mon poste d’observation. Luc s’était rapproché de sa compagne. Il la détacha et lui ôta son bandeau. Essoufflée et prise de vertige, elle se laissa tomber à quatre pattes dans l’herbe.
— Comment trouves-tu mon jeu? demanda Luc. — Il est excitant mais à un moment j’ai eu l’impression que ce n’était pas toi qui me baisais.
Luc ne répondit pas. Il n’avait pas rentré sa queue dans son pantalon et il bandait. Il s’agenouilla derrière Marilyne, la prit aux hanches et tâtonna avec son gland à la recherche de l’entrée du vagin. — Oh non, tu ne vas pas remettre ça? — Mais si, j’ai encore envie de toi. Cela me fait de l’effet de te voir comme ça!.
D’un seul élan il enfonça sa bite dans le con. Marilyne poussa une petite exclamation. — C’est bizarre. On dirait qu’elle est moins grosse à présent. . — C’est parce que tu n’as plus les yeux bandés. Quand on n’y voit pas, tout semble plus gros.
Sans laisser à Marilyne le temps de réfléchir, Luc retira son membre graissé de mouille. Il en posa la pointe entre les fesses de la jeune fille, contre l’anus. Le sphincter céda avant que ma belle-soeur n’ait compris. Elle cria pendant que Luc s’enfonçait dans son cul jusqu’à la toucher avec son ventre•.
— Oh arrête, ça fait mmaaal. Aie! — Ne bouge pas; ça va passer et tu aimeras! Tu vas voir! En pleurnichant Marilyne resta immobile. Luc attendit pour lui laisser le temps de s’habituer à sa présence. A sa grande honte, Marilyne sentit renaître son excitation. Quand Luc commença à aller et venir entre ses fesses, elle se mit à haleter. Les deux tourtereaux avaient joui ensemble.
Il n’attendit pas que sa queue soit dégonflée. Tout de suite il la sortit du cul de Marilyne. Celle-ci se redressa en faisant une grimace de douleur. Elle se frotta le derrière.
— Tu n’as pas trop mal? Demanda Luc. — Si, un, peu, mais c’est supportable. N’empêche que tu es un drôle de vicieux. Cela ne t’as pas suffi de me baiser deux fois. Il a fallu que tu m’encules, en plus!— Et comment tu as trouvé ça? " Marilyne se garda bien de répondre. Elle ramassa ses affaires et s’éloigna vers la civilisation. Luc la suivit après m’avoir fait un geste amical
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