Ce récit est réel. Les noms et lieux sont changés pour respecter une confidentialité et le temps employé sera le présent pour plus de facilité. Une des sœurs de ma femme, est en instance de divorce. Son « ex » mari est un homme malhonnête et violent.Pour cette raison Marina (ma belle-sœur) demande à ma femme si je peux venir l’aider à faire ses cartons et surtout démonter les meubles, afin de déménager de la maison familiale pour un appartement plus petit mais également plus sécurisé (digicode, gardien …). Habitant assez loin, Marina me propose de dormir sur place pour plus de facilité. Je n’y vois aucun inconvénient bien évidemment, ma femme non plus bien qu’elle aimerait m’accompagner, mais avec son travail elle ne le peut pas.. Après que je me sois organiser pour ce séjour de 2/3 jours (elle ne possède plus grand-chose grâce à l’honnêteté de son « ex » donc cela ne devrait pas durer longtemps). J’arrive donc à la maison de ma belle-sœur avec mon sac. Cette dernière m’accueille chaleureusement et me remercie de tout cœur de venir l’aider car pas mal de gens lui ont tournés le dos depuis la séparation. Moi : « Ecoute rien de plus normal ne t’en fais pas pour ça ». Marina : « Non j’insiste merci beaucoup ». Nous bavardons devant un café et je me mets aussitôt au travail. Pas beaucoup de meubles donc, mais il faut les démonter un par un et prévoir le lendemain une camionnette à louer pour le déménagement de ces derniers. Le reste en carton je pourrai terminer avec sa voiture. La journée passe rapidement. Pizza pour le repas décalé du midi et nous arrivons au soir, exténué. Entre les meubles, les cartons à remplir et scotcher, les choses à jeter, Estelle, ma nièce, rentre du lycée. Elle a sacrément grandit et est devenu une jeune femme du haut de ces 17 ans. Elle me saute au coup et me remercie à son tour de venir aider sa mère. Je me trouve un peu gêné, mais je lui dis que cela n’est rien, juste un peu de scotche, de carton et quelques planches à dévisser. Pour toute réplique elle m’embrasse sur la joue avec chaleur et insistance. Marina souriante : « assez les embrassades ! vous voulez un café tous les deux ? ».
Nous acceptons avec plaisirs et nous voilà tous les trois à discuter de choses diverses et rigoler des déboires amoureux des prétendants d’Estelle . Marina : « Bon le repos du guerrier à sonner. Vu le boulot abattu tu mérites un peu de repos. Nous avons terminé les cartons, les meubles sont démontés et rangés, les choses inutiles déposées à la déchetterie. Reste plus qu’à attendre demain pour charger et embarquer tout ça à l’appartement. Ça va me faire bizarre en un sens, de me retrouver dans un chez moi sans mauvais souvenirs. » Je la vois soudain lasse et triste. Je lui dis : « C’est une nouvelle vie qui s’offre à toi, une nouvelle liberté, et de nouvelles perspectives pour toi et Estelle. Allez t’en fais pas, tu sais que tu peux compter sur ta sœur et moi. Nous sommes là si tu as besoin. Même si tu n’as pas besoin d’ailleurs. » Elle me sourit et me prend la main en me regardant. Mon téléphone sonne. Ma femme qui appelle pour voir comment se déroulent les « opérations », si tout se passe bien. Je laisse ensuite le téléphone aux deux sœurs pour papoter et en profites pour aller prendre une douche. Je suis dans la salle de bain, je viens juste de sortir de sous la douche, quand la porte s’ouvre. Ha ! Je me crois à la maison je ne ferme jamais et je me retrouve nez à nez avec ma nièce qui me découvre nu. Je ne suis pas pudique donc je ne me dépêche pas pour prendre un vêtement et Estelle reste quelques instants à me regarder un peu surprise. Avant de refermer la porte, son regard se porte sur une partie de mon anatomie.J’entends ces pas s’éloigner. Je termine de m’essuyer et rejoints Marina dans le salon qui n’était plus au téléphone.Nous sommes au repas , qui se passe dans la décontraction. J’en profite pour m’excuser d’avoir laissé la porte de la salle ouverte. Estelle rougit un peu mais me dit que ce n’est pas grave, elle aurait dû frapper. Le petit incident est clos et nous reparlons de choses et d’autres. A la fin du repas Estelle retourne dans sa chambre faire ses devoirs, et je reste avec Marina à siroter un verre dans le salon. Marina : « Je suis vraiment contente que tu sois venu. Pas que pour m’aider à emballer ou démonter les meubles, mais ta présence me fais du bien, et à Estelle aussi. Je ne l’ai pas vu aussi décontracter depuis un moment. » Moi : «tu sais c’est une affaire de temps. Tout ça ira mieux après un moment. C’est ce que je vous souhaite à toutes deux. » Marina : « Ma sœur a de la chance » Moi : « Comment ça ? » Marina : « Elle peut compter sur toi, ta gentillesse. Cela doit être bien d’avoir un homme comme toi à ses côtés. » Moi : « Je ne suis pas si particulier. J’ai mauvais caractère, parfois. Et… » Marina s’est levé et viens vers moi avec un regard étrange, un peu langoureux. Elle s’assied sur moi, me prend par le cou et m’embrasse tout d’abord tendrement, puis nos langues s’emmêlent et c’est avec une certains fougue que nous échangeons un baiser. La surprise a très vite laissé la place à l’envie car, j’avoue, ma belle-sœur m’a toujours attiré, même si je n’ai jamais cherché à concrétiser ce fantasme. Et là, je me retrouve à l’embrasser. Je ne sais pas où nous aurions abouti, si nous n’avions pas entendu Estelle descendre les marches. Juste le temps de reprendre une position naturelle dans nos fauteuils respectifs et Estelle vient nous dire au revoir. Elle est fatiguée et va se coucher. Je décide dans un moment un peu lucide, à dire la même chose prétextant le travail qui nous attend le lendemain.Chacun rejoint sa chambre, et je me retrouve au lit à repenser à ce qui vient d’arriver. Un début d’érection se fait sentir devant ce rêve éveillé. Chacun a regagné son lit respectif. Et si… Mes pensées sont arrêtées par le bruit de ma porte de chambre qui s’ouvre lentement. J’aperçois dans la pénombre, Marina entrer silencieusement, retirer un peignoir et se glisser dans mon lit. Je peux sentir le contact de sa peau nue, car l’étant moi-même. Elle se blottit contre moi et sa main commence à me caresser. Dans l’état où je suis, je ne peux dire non, et lui rend ses caresses ; ce qui l’encourage. Elle couvre mon corps de baiser, sa langue s’attarde sur mes tétons déjà durs, et poursuit sur mon ventre puis sur mon sexe. Elle le prend entièrement en bouche et lèche mon gland, l’aspire…mon sexe est tendu, dur. Elle continue sa fellation et de sa main continue ses caresses. Elle sait y faire car je sens que je ne vais pas tarder à venir. Elle m’excite énormément. Je l’arrête et la retourne sur le dos pour à mon tour la lécher, lui titiller ses tétons et les mordiller. Je descends lentement car j’ai envie de goûter son sexe rasé et qui sent bon l’odeur féminine. Je la lèche, et du bout de la langue j’explore son clitoris, et l’entrée de son sexe. Son odeur m’enivre. Je la pénètre d’un doigt et bois son plaisir. Je la veux. Je prends mon sexe et la pénètre d’un coup comme si le fantasme en moi, avait envie de se réaliser. L’attirance refoulée pour Marina décuple mon envie, tout comme son expression orale à exprimer son plaisir. Elle m’encourage et je finis par jouir abondamment en elle. Nous nous écroulons tous les deux. Au bout d’un temps elle prend mon sexe en bouche et me nettoie complètement. Ces caresses buccales me redonnent une érection. Elle continue et me titille le gland avec sa langue. Ma vigueur revenue, elle me pousse sur le dos et se met à califourchon sur moi. Elle prend mon sexe en main et le dirige dans ce cocon si chaud et humide de nos jouissances. Elle s’empale sans peine sur mon sexe et commence un lent mouvement du bassin. Elle ondule lentement, ce qui m’excite. Mon sexe est devenu bien dur comme si nous n’avions pas fait l’amour auparavant. Je lui caresse ses seins dont les tétons pointent de nouveau. Je les malaxe, les pinces. Elle ondule plus rapidement. Je continue mes caresses avec mes mains. Le mouvement prend du rythme. La vue de son corps, ses seins, son bassin, son regard, me donnent une envie retrouvée, forte, et impatiente. Je la retourne et la reprend en levrette. Ma pénétration est profonde. Je l’entoure de mes bras et reprend un rythme à l’unisson. Mes « va et vient » s’accélèrent. Mon éjaculation précédente me fait tenir plus longtemps. Elle jouit une première fois. Je continue plus fort. Pas envie de m’arrêter. Elle jouit de nouveau, et ma jouissance arrivant, je me retire. Elle me prend en bouche et bois entièrement mon sperme. Nous nous écroulons tous deux dans les bras l’un de l’autre. Nous sommes heureux du plaisir ressentit et nous nous endormons enlacé jusqu’au matin. Marina ira la première dans la douche. J’entends à sa sortie la mère et la fille parler sans comprendre la teneur de leur conversation, puis une porte se ferme. Sûrement Estelle qui va en cours. Je me lève à mon tour et prend ma douche avant la journée bien chargée qui m’attends. Je me sens à la fois vide, content malgré le fait que je venais de coucher avec ma belle-sœur.
