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Ma belle soeur le jour de mon mariage

Chapitre 1

Inceste
MA BELLE SŒUR LE JOUR DE MON MARIAGE

Le récit que je vais vous raconter est bien réel, il s’est passé il y a plusieurs années : le jour de mon mariage avec Bernadette.Quand j’ai rencontré Bernadette, qui est devenue deux ans plus tard mon épouse, j’ai rencontré sa jeune sœur Cécile, petite blonde bien jolie.La gamine est comme bien des jeunes filles, toujours habillée de façon provocante, à la limite du raisonnable : jupe très courte ou petit short moulant, chemisier ou petit haut transparent, assez près du corps avec des décolletés assez plongeants .La petite comme je l’appelle bien souvent est particulièrement exhibitionniste, elle se promène bien souvent en petite culotte, seins nus et ce malgré les remarques de sa sœur aînée ainsi que de ses parents.Plusieurs fois, je l’ai vu sortir de la salle de bain entièrement nue et regagner sa chambre tranquillement sans esquisser le moindre geste pour se protéger de mon regard.Il est vrai que la jeune fille est assez bien faite avec de jolis petits seins bien dressés, un cul bien rebondi et une délicieuse et attirante minette bien bombée et entièrement épilée.Elle est à mon avis jalouse de sa sœur et aime bien me provoquer, quand elle me dit bonjour, elle fait en sorte de m’embrasser pratiquement sur le coin des lèvres à la limite du raisonnable.Quand elle est en jupe, elle fait tout pour se positionner en face de moi, et sans aucune pudeur elle n’hésite pas à écarter ses jambes me dévoilant en même temps ses jolies cuisses et bien souvent plus, ce qui je l’avoue ne me laisse pas indifférent et me met vis-à-vis de sa sœur très mal à l’aise.La gamine sait fort bien que je ne suis pas indifférent à ses provocations, car en me dévoilant ses trésors, elle me regarde avec un petit sourire qui en dit long sur ses pensées.
Le jour du mariage, Cécile qui est bien entendu la demoiselle d’honneur, est habillée d’une belle robe longue verte pale, elle est ravissante avec ses longs cheveux blonds qui descendent sur ses épaules.Cette belle jeune fille est particulièrement remarquée et observée par la plupart des hommes et garçons présents ce jour-là, leurs regards sont accrochés sur les courbes de la petite et ce pour son plus grand plaisir.La journée s’est très bien passée, nous sommes en soirée en train de danser.Comme il est de tradition chez nous, la mariée doit faire danser tous les hommes invités.Alors que la soirée est bien avancée, Bernadette appelle sa sœur pour lui demander d’aller chercher des souliers à la maison, car ceux qu’elle a aux pieds lui font mal, c’est bien normal car ils sont neufs…La petite vient me voir en m’expliquant et en me demandant si je peux l’amener à la maison qui se trouve à une trentaine de kilomètres pour aller chercher les souliers de sa sœur, un peu contrarié, nous partons.Sur la route, la mignonne n’arrête pas de parler, elle me prend la tête et me fatigue, je pense qu’elle a un peu trop bu.Un peu avant de partir, elle était avec un groupe de jeunes, ils plaisantaient et buvaient de la vodka orange.Elle me raconte qu’elle s’est fait draguer en dansant, par un garçon qui lui avait touché les fesses et aurait tenté de l’embrasser sur la bouche, il lui a dit qu’elle lui plaisait et qu’il avait envie de coucher avec elle.Joignant le geste à la parole, il lui aurait palpé les seins tout en l’embrassant en tentant d’insérer sa langue.Je ne réponds pas, c’est alors que Cécile me plaque avec force une de ses mains sur ma braguette, elle me reproche en colère de ne pas l’écouter.Je sursaute surpris, en lui demandant en colère si elle va bien !
Nous arrivons à destination sans qu’aucun mot ne soit prononcé, je vois bien que ma belle sœur est vexée…Elle prend deux paires de chaussures et au moment de quitter la maison, elle me saute au cou, m’entourant fermement avec ses bras et en plaquant ses lèvres humides sur ma bouche.Le moment de surprise passé, je sens ce jeune corps collé sur mon torse, plus particulièrement les bourgeons de ses seins, cet agréable contact a le don de m’exciter et de me mettre mal à l’aise.Non pensais-je, je ne peux pas faire çà, surtout le jour de mon mariage, de plus avec ma petite belle-sœur.Ayant répondu partiellement à son baiser pour ne pas la vexer et aussi par plaisir, calmement, je dis à Cécile que je ne peux pas faire çà à sa sœur.Comme tu veux me dit-elle en me relâchant et en retombant sur ses pieds, mais si tu n’accepte pas, en arrivant, je vais raconter que tu as tenté de me déshabiller, que tu m’as caressé et que tu voulais me sauter.Je réfléchis rapidement, la situation est très délicate et pas du tout à mon avantage, je suis piégé par cette petite cochonne, je lui demande en colère ce qu’elle veut.Elle me regarde en souriant en me disant qu’elle veut que je lui fasse l’amour maintenant, elle me dit avoir envie de moi depuis bien longtemps.Je lui explique que nous n’avons pas le temps, car notre retard va être remarqué.C’est alors que la petite blonde me saisit par la main et m’entraîne dans sa chambre, aussitôt entré, sa robe tombe à ses pieds, elle se fige devant moi, en n’ayant pour seul vêtement qu’un minuscule string blanc.Est-ce que je te plais me dit-elle ?Très rapidement, elle me dénude et m’entraîne sur le lit, nous roulons l’un sur l’autre, nos bouches s’unissent, nos langues s’entrelaces.Elle ouvre ses cuisses en m’entraînant dans la fourche de ses jambes qui se croisent sur mon dos en me retenant prisonnier.Ma réticence est vite vaincue, ce jeune corps aux courbes excitantes, à la douceur et à l’odeur enivrante qui est à ma merci provoque chez moi un tourbillon qui m’entraîne à profiter de l’offrande.Je caresse ses petits seins qui sont à ma surprise particulièrement fermes.Je les lèche tout en aspirant ses minuscules tétons qui réagissent à la caresse buccale en grossissant.Mes mains s’aventurent sur ses cuisses et descendent sur son entrecuisses épilée, je suis la fente avec mon index puis pénètre dans ce fruit interdit, je le fais coulisser lentement arrachant quelques râles de plaisir à ma partenaire qui s’abandonne aux caresses que je lui fais, plus particulièrement sur son petit bouton qui s’érige très vite sous la pression de mon doigt.Je ne considère plus cette gamine que j’ai dans les bras comme ma belle-sœur, mais comme une femelle en chaleur qui a envie de s’envoyer e l’air en prenant un maximum de plaisir…Allez me dit elle prend moi, j’ai envie de sentir ta queue au fond de mon ventre, enfiles moi comme ma sœur, fais moi crier comme je l’entends bien souvent le soir quand vous faites l’amour.Si j’ai bien compris tu nous espionnes dis-je, oui me répond-elle, je vous ai vu vous aimer, et j’ai envie de connaître le plaisir et la jouissance que tu donnes à Bernadette.Énervé et surpris par ce que je viens d’entendre, je positionne ma bite à l’entrée de cette jeune vulve en chaleur, j’hésite et passe plusieurs fois ma tige bien raide sur cette petite chatte toute humide.Si cela peut te rassurer me dit la mignonne, je ne suis plus pucelle et je prends la pilule, allez baise moi, j’en ai trop envie me dit-elle d’un ton sans équivoque en me faisant les yeux doux.La prenant sous les fesses, je la pénètre lentement, ma queue est enserrée dans cet étroit conduit qui n’a pas dû servir bien souvent.Je sens son petit cul bouger et son bassin venir au devant de la pique qui lui laboure copieusement la minette, Cécile couine et transpire en m’encourageant à aller plus au fond dans son abricot.Après l’avoir copieusement tringlée, elle me désarçonne et se positionne alors à quatre pattes les fesses bien cambrées en m’invitant à la prendre en levrette.Après l’avoir copieusement labouré, la petite épuisée s’affale à plat ventre, c’est l’instant que je choisis pour éjaculer dans ma petite belle sœur.Nous nous essuyions et nous rhabillons rapidement.Je regarde ma montre, cela fait une heure que nous sommes là à nous envoyer en l’air, qu’est-ce que l’on va raconter, que va penser ma femme.Ne t’inquiète pas, je dirais que je ne trouvais pas ses chaussures et que j’en ai profité pour prendre une douche car j’étais un peu « pompette »Sur le chemin du retour, la petite qui est insatiable a ouvert ma braguette, elle a sorti ma verge qui a très vite repris vie sous ses doigts, elle la prend en bouche pour dit-elle la nettoyer.Les quelques gouttes de sperme récupérées, elle me les montre sur sa langue, et les avale en me regardant dans les yeux et en me disant qu’elle envie sa sœur.Je ne peux m’empêcher de penser à cette jeune salope, jalouse de sa sœur et qui m’a donné ce soir bien du plaisir…Ce moment de plaisir pris avec Cécile ne restera pas sans conséquences, car envoûtés par le plaisir que nous avons pris, fatalement nous récidiverons…
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