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Ma belle-sœur, une femme qu'on désire

Chapitre 3

Le pas est franchi

Inceste
(Petit détail, je pense intégrer davantage Ryan dans l’histoire, je développe donc un peu plus le personnage : grand garçon plutôt bien bâti et selon sa mère qui le lavait quand il était petit, il a un membre plutôt imposant au repos. Et ses amis du foot l’ont confirmé une fois pendant un apéro, voilà pour lui. Il fait ses études dans le coin, du coup, il vit encore chez ses parents pour le plus grand bonheur de sa mère, mais ça s’est une autre histoire)
Je me posais tant de questions après cette réaction plus que bienvenue.
Je m’affaire donc dans son antre. J’avale goulûment chaque perle de rosée émanant de cette fleur sauvage. Mes doigts parcourent son corps nu, explorant chaque recoin. A chaque frémissement ou gémissement plus intense, je m’arrête pour déterminer si j’ai touché une zone érogène. Si c’est le cas, je marque mentalement l’emplacement de chacune de ses zones afin de m’en resservir plus tard. La carte des plaisirs est maintenant complètement dessinée et ancrée dans mon cerveau. Je sens ses doigts parcourir mon corps et insister sur mon maillot afin de retirer cette barrière de tissus et se saisir de mon membre avec une vigueur qui en dit long sur son envie. Elle le caresse avec tendresse. Probablement afin d’en mesurer la taille, parcourir chaque courbe de ce membre. Elle m’extirpe de mon exploration vaginale :
— Je veux te sentir en moi MAINTENANT ! s’exclame Michelle. J’attends ça depuis que je t’ai chopé en train de te branler pendant que tu me pensais sous la douche avec ta femme !
Je me remémore ce plaisir solitaire, le jour où j’ai cru voir la porte s’entrouvrir. Mais à l’approche de la jouissance, je n’ai pas prêté attention à ce qui m’entourait. La culotte que j’avais volée à Michelle était pleine de cyprine, vestige d’une aventure d’un soir. Au moment d’éjaculer, j’avais retiré le tissu de mon visage pour m’épancher dedans. J’ai regardé vers la porte entrouverte : personne. « J’ai dû rêver », m’étais-je dit. J’ai mis en boule sa culotte et la’ai replacée dans son linge sale. Il semblerait que je n’ai pas rêvé. Ma belle-sœur m’avait épiée.
— J’ai porté cette culotte juste après ça, sentir ton sperme chaud contre ma chatte m’a rendue folle. Je me suis masturbée avec et depuis, j’ai n’ai qu’une idée en tête : pouvoir moi aussi profiter de ton corps jusqu’à ce que j’aie pompé chaque goutte de ton sperme si appétissant ! — Mais. Mais... Comment ? Pourquoi ? Je. Je... Je ne sais pas quoi dire. Sa confession est si brutale et soudaine que j’arrête ce que je faisais. Le membre si dur dégonfle rapidement. Un tel revirement de situation explique ma défaillance.
Reprenant les esprits, j’arrive enfin à sortir une phrase correcte.
— Pourquoi tu n’as rien dit et attendu si longtemps ? (À peine six mois) Si j’avais su, je n’aurais pas dragué ta sœur et demandé de sortir avec elle. Je t’aurais choisie ! — Tu es sérieux ? Tu ne m’as jamais calculée, tu tournais toujours aut... je l’interromps par un baiser long et tendre. Je la sens réticente au début, puis ses muscles se relâchent et elle savoure ce moment en me rendant mon baiser. Sa langue se met à chercher la mienne. Et je réponds favorablement à cet échange lingual.
Je reprends donc là où je me suis arrêté en passant à l’étape supérieure. Je l’allonge sur la chaise longue. Je positionne à l’entrée de sa grotte mon sexe qui a déjà repris toute sa vigueur. Elle le saisit pour le branler et orienter le missile vers sa cible. Mon cœur bat tellement fort que je ne me contrôle plus. Je m’enfonce sans attendre en elle. Elle lâche un cri de surprise mêlé de plaisir. L’intromission de mon membre dans son con est facilitée par sa mouille si abondante. Je commence à la pénétrer avec ardeur, mais je dois malheureusement m’arrêter. La chaise longue n’est pas à l’épreuve de la fusion de deux corps fiévreux de sexe. Je me lève donc et prends Michelle par la main. Je n’ai pas besoin de mots. Elle a tout de suite compris. On se dirige, comme un couple heureux, nus irradiants de l’odeur si caractéristique de sexe, vers la piscine. Je l’interroge du regard, mais je n’ai pas le temps de la jeter dans la piscine pour plaisanter. Elle y plonge avant, en mettant en valeur ses fesses au moment du plongeon. Elle fait même la baleine et reste quelques secondes la croupe hors de l’eau puis remonte la tête afin de reprendre sa respiration. Je plonge à sa suite. Je profite de rester la tête sous l’eau pour voir par en dessous cette sirène effectuant des mouvements de jambes gracieux afin de garder la tête hors de l’eau. Ce spectacle est envoûtant. Chaque mouvement fait bouger ses seins flottants entre deux eaux dans un ballet hypnotisant. Je ne peux m’empêcher de me diriger vers son sexe qui m’appelle. Je nage vers elle les mains en avant, je remonte le long de ses cuisses en la caressant. Je remonte totalement pour reprendre mon souffle. Je remplis à peine mes poumons en ouvrant grand la bouche. Michelle en profite pour me gober littéralement la bouche en y introduisant sa langue. Elle explore ma bouche avec sa langue à la recherche de la mienne. Je l’introduis donc à mon tour dans la sienne. On reste collé ainsi pendant de longues minutes. Je nage doucement vers la plage de la piscine (zone de la piscine au ras de l’eau pour s’allonger comme sur une plage avec l’eau à ses pieds, même si en vrai en s’allongeant totalement on a juste le visage qui dépasse de l’eau). J’ai enfin pied, je la soulève pour poser ses fesses sur le rebord de la plage. Je commence donc à la doigter. La sensation est assez particulière. Le sexe dans l’eau est une expérience à faire si vous ne l’avez jamais fait.
Elle glisse d’un coup sur la plage, laissant mes doigts seuls. Elle me fait un signe du doigt, le fameux « viens par là toi ! ». Je ne me fais pas prier, je remonte langoureusement comme un tigre prêt à fondre sur sa proie... Michelle me bouscule et me plaque au sol. Elle regarde avidement ma queue et ne perd pas de temps en gobant d’un coup mon sexe. Je ne m’attendais pas à sentir mon gland au fond de sa gorge dès le début. Ma femme n’aimant pas me sucer avec sa petite bouche, j’ai oublié la sensation d’une gorge profonde. Je ne dis pas que j’ai un membre démesuré comme les acteurs pornos, j’ai un sexe de taille normale et d’un diamètre raisonnable. C’est vraiment ma femme qui a, malheureusement pour moi, une petite bouche. Elle a du mal à me sucer seulement la moitié du sexe, alors le prendre en entier c’est une souffrance. Elle me prend en gorge profonde plus rarement qu’elle me suce, mais elle le fait par amour, alors je bénis chaque moment où elle le fait.
Michelle est donc en train de pomper mon mat avec ardeur et appétit. Léchant, aspirant, avalant en entier ce morceau de chair qu’elle convoite depuis si longtemps. Elle n’épargne pas non plus mes bourses. La grandeur de sa bouche lui permet même de gober l’intégralité de mon service trois-pièces sans problème, ce qui m’achève pour le premier round. Mon gland est enserré au fond de sa gorge, elle ne la retire que pour respirer. Elle s’est apparemment assez entraînée pour arriver à gober une queue jusqu’à l’entrée de son tube digestif. Je m’apprête à lui faire la remarque, mais me ravise, la froisser dans un moment pareil est malvenu.
Et sans que je n’aie eu le temps de la prévenir, je déverse ma semence directement dans son œsophage. Elle retire légèrement ma bite pour pouvoir avoir mon sperme dans sa bouche, l’enserre de ses douces lèvres afin de ne pas laisser une seule goutte lui échapper. Après avoir lâché quatre ou cinq décharges dont une qui coule déjà le long de son œsophage, je la regarde. Elle a les yeux fermés, probablement en train de savourer ma semence. Elle remonte lentement le long de mon sexe en prenant soin de ne pas perdre une goutte en entourant de sa langue ma queue au fur et à mesure qu’elle remonte. Elle ferme sa bouche juste après avoir titillé mon gland. Ses yeux d’un bleu si hypnotisant croisent les miens. Encore cet éclair de lubricité dans son regard. Elle avale tout mon sperme et avec un sourire si charmant que c’en est presque déplacé, tire la langue, comme une bonne fille, pour montrer qu’elle n’en perd pas une goutte. Ce sourire me comble, car elle aime ça et en redemande. Elle est au comble du bonheur alors que ce ne sont que des préliminaires. Quelle sera sa tête quand nous serons en train de copuler comme des bêtes si de simples échauffements la rendent folle ?
Mais je ne le saurai pas tout de suite, nous entendons déjà une voiture (Michelle reconnait celle de son père) qui emprunte la route qui mène au portail, puis au jardin. Ce moment entre la route empruntée et l’arrivée dans le jardin nous laisse tout juste le temps pour nous séparer. Michelle me jette mon maillot et se rallonge sur la chaise longue sans prendre le temps d’enfiler sa culotte, mais pose la mini-serviette sur elle. Je plonge pour plus de visibilité sous l’eau. Je remets rapidement mon maillot, attends quelques secondes et remonte comme si je venais de faire une longueur sous l’eau. Je me pose sur le rebord et vois mon beau-père garer son gros 4x4 sur le parking. Michelle se lève en me disant qu’elle a besoin de se laver si on ne veut pas être découvert. Je me sens et comprends, l’odeur de sexe est forte. J’acquiesce donc d’un hochement de tête « tu as bien raison » et plonge dans la piscine afin que le chlore ait raison de mon odeur de pécheur trompeur. Après quelques brasses, je décide de me doucher et savonner à la douche d’extérieur et de rentrer afin de me changer pour préparer l’apéro (dès 17-18h c’est l’apéro dans le sud). Je me dirige donc vers ma chambre pour me changer quand j’entends des bruits et gémissements étouffés sortant de la salle de bain. Je me dis que Michelle doit se masturber, en même temps après ce qu’il s’est passé, je la comprends. Mais je n’entends pas qu’une voix dans cette pièce et surtout c’est une voix d’homme. Ryan étant chez des amis le seul autre mâle possible est Olivier. Je n’ai pas à chercher très longtemps pour comprendre ce qu’il se passe ici. En plus de l’adultère, mon beau-père est en plein inceste avec sa fille.
Je suis devant la porte de la salle de bain, hésitant entre deux choix. Entrer dans la pièce et les surprendre pour les interrompre, ou les filmer pour pouvoir les faire chanter par la suite. Les interrompre pourrait freiner mon beau-père, mais exciter Michelle. Elle souhaiterait probablement faire un plan à trois vu les évènements passés. Mais ne sachant pas comment Olivier pourrait réagir, je choisis l’autre option. Cet homme est si protecteur avec ses filles qu’il pourrait me tabasser en sachant que je couche avec les deux.
Je me faufile dehors et me positionne contre le mur juste en dessous de la fenêtre de la salle de bain. C’est une petite fenêtre en hauteur pour évacuer la vapeur du bain ou de la douche chaude. Je me félicite d’avoir embarqué ma caméra sportive pour faire des vidéos sur le bateau et dans la mer. Je l’allume et sélectionne le mode vidéo, j’appuie sur play et la positionne sur le rebord de la fenêtre entrouverte. A ce moment-là, j’hésite à passer pour un gros pervers et me masturber sous la fenêtre en les écoutant ou me cacher dans la chambre en risquant de laisser la caméra sans surveillance. Je choisis la première option, étant sûr que j’entendrais une éventuelle voiture en train d’arriver. Mais je me retiens de m’astiquer, me disant que je le ferais en regardant la vidéo, malgré la bosse déformant mon maillot.
L’inceste dure encore quelques minutes. Les insultes fusent des deux côtés :
— Tu aimes ça ma salope hein ? dit-il entre deux allers-retours.— Ouuii... ouuii... ouu... iiii pa... pa !!! Dé... fon... ce... moi !! essayant de former un mot malgré le traitement exercé par son père sur son corps. — Tu la sens bien en toi ma grosse bite ? » — Ouiiii !!!! AAAAH PAPA !! Je t’ai dit de me prévenir quand tu passes par l’arrière !! crie-t-elle. – ça fait mal ! Mais ses cris de douleurs se transforment en hurlements bestiaux de plaisir. L’excès d’alcool, de viande rouge et de tout ce qui fait de mon beau-père un bon vivant ont raison de sa performance. J’entends un pop pendant les quelques secondes de silence, suivi d’un râle typiquement masculin et un mécontentement étouffé signifiant qu’il vient de passer des fesses de sa fille à son visage sans autre cérémonie. Un gargouillis étouffé m’indique qu’il a investi sa bouche, pour un nettoyage en règle. Il demande à sa fille de quitter la pièce afin de se laver, l’expédiant dehors comme un vulgaire morceau de viande.
Je récupère avec hâte la caméra en l’éteignant et me dirige à l’intérieur, balançant ma caméra éteinte sur le lit de ma chambre et emprunte le couloir entre les chambres et la salle de bain afin de surprendre Michelle. Je tourne à l’angle du couloir et je la vois. Elle est nue, trempée de sueur, et le visage couvert de semence paternelle. En la voyant ainsi, on dirait qu’elle a l’air totalement désemparée, abusée, humiliée et souillée par son père. Le sourire qui illumine son visage souillé me convainc du contraire. Elle a adoré ça. Elle aime être traitée comme un vide-couilles, il semblerait. Elle se sent épiée et tourne la tête dans ma direction. Lorsque nos regards se croisent, elle passe par plusieurs émotions, la peur, la surprise, l’indécision et enfin l’excitation se traduisant pas ce fameux éclair de lubricité.
— Qu’est-ce-que tu fais là !? chuchota-t-elle en souriant – tu as entendu quelque chose ?—BONJOUR TOUT LE MONDE JE VAIS ME DOUCHER APRES MON FOOTING, comme pour faire comprendre à Olivier que je viens d’arriver. —Viens te doucher dans ma chambre avant que les filles rentrent. Je la prends par la main pour l’accompagner. - Eh oui j’ai tout entendu chère belle-sœur salope et incestueuse ! m’exclamé-je en lui assenant une fessée bien méritée. Je rentre avant elle dans la chambre pour lui boucher la vue sur le lit et la dirige vers la douche.— Je t’apporte une serviette et insiste bien sur le visage ! lui dis-je en cachant la caméra dans mes affaires.— AH, AH, très drôle Richard !
Je laisse Michelle se doucher et je me dirige vraiment préparer l’apéro cette fois. Timing parfait, au moment où j’ouvre le frigo pour sortir le rosé, j’entends ma copine m’appeler pour les aider à sortir tous les sacs de shopping. Je sors donc pour prendre les sacs, au passage, Léa m’embrasse tendrement. Et Julie me sourit en disant – « Tu as passé une bonne aprèm ? – Oui j’ai glandé dans la piscine et Michelle a bronzé. Olivier est sous la douche, il vient à peine de rentrer. – Ah super, je vous laisse rentrer les sacs. » Elle rentre pour se diriger vers la salle de bain.
En prenant les quelques sacs remplis de vêtements, je vois plus de marques de lingerie fine que de marque de vêtements. Je crois que je vais assister à deux défilés de mode ce soir. Je pose les sacs dans la chambre et comme je m’en doute en voyant la réaction de ma belle-mère, je suppose que mon beau-père passe un agréable moment à en juger par le silence ponctué par des bruits de succion et de gargouillis. Léa se glisse dans notre douche pour rejoindre sa sœur. Et moi je file dans la cuisine avant de me risquer à sauter sur les déesses qui sont à côté.
Je sors donc le rosé, de l’eau, des sirops sans oublier le pastis pour Olivier (un apéro sans Ricard c’est comme une femme sans nibards) ainsi que des biscuits apéro et du saucisson. Je pose tout cela sur un plateau et emporte ça dehors, au bord de la piscine. Je reviens chercher les verres et les glaçons. Tout est prêt, je vais donc dans ma chambre pour me changer vu que je suis toujours en maillot. Pour l’apéro et le dîner, je préfère être un peu plus décent. J’ouvre la porte sans prévenir et une vision de rêve s’offre à moi. Léa est toujours sous la douche, mais Michelle est au milieu de la pièce en train de se sécher dos à la porte. Je suis arrivé au meilleur moment. Elle est en train de s’essuyer le bas des jambes tout en restant le plus droit possible. Je pense que c’est calculé. Elle fait donc un angle droit avec son corps dont ses fesses forment l’angle. Il est évident que dans cette position, je ne peux que voir ses deux magnifiques trous. Je remarque aussi un petit bout de métal qui dépasse entre ses cuisses. Le VCH, mon sang ne fait qu’un tour. Si Léa n’avait pas été dans la même pièce, je me serais avancé le maillot baissé pour la pénétrer sans prévenir. Mais au lieu de ça, je joue le prude en m’excusant platement et fermant la porte. Je m’éclaircis la gorge et crie en direction du couloir pour que tout le monde entende « l’apéro est prêt ! » et file en cuisine en attendant que Michelle quitte ma chambre. Ce qu’elle fait rapidement en me glissant un clin d’œil lourd de sens : « je t’ai vu me mater petit coquin », sans prendre le temps de mettre une serviette. Pour quoi faire ? De toute façon tout le monde à part moi se trimballe à poil ici.
Je rentre donc dans la chambre après le départ de ma belle-sœur et vois ma copine nue qui vient de se sécher. Je ferme la porte. Elle pose sa serviette sur le sèche-serviette en se mettant sur la pointe des pieds, faisant ainsi rebondir ses fesses si jolies. A ce moment-là, je ne tiens plus en place. Je la prends par la taille et en poussant un cri de surprise, elle se retrouve projetée sur le lit. Sans autre cérémonie, je la mets sur les genoux et entreprends de lui dévorer les deux trous. Ma langue virevolte entre son vagin et sa rondelle. Elle adore ça. J’investis deux doigts dans sa chatte et du pouce, je titille sa rondelle. Je continue mon exploration buccale tout en retirant de ma main libre mon maillot. Me voilà nu avec le membre à l’horizontale. Avec toute la frustration des évènements passés et les orgasmes loupés, je sais que ce ne sera qu’un coup rapide. Et c’est exactement ce qu’il faut vu que normalement on est dehors à prendre l’apéro. Je m’agrippe donc aux hanches larges de Léa et me positionne à l’entrée de son sexe dégoulinant. Je n’ai pas à forcer l’entrée ou lubrifier. J’ai déjà préparé le terrain. Je ne prends donc aucun gant et la pilonne. Je positionne un de mes pieds sur le rebord du lit en laissant mon autre appui au sol. De cette façon, j’ai suffisamment de puissance pour la culbuter jusqu’au fond. Je sens mon gland taper dans le fond. A voir son visage exprimant son plaisir et sa bouche grande ouverte, je sais qu’elle aime ça. Mais elle se retient de crier pour ne pas se faire remarquer. Comme prévu après une quinzaine d’aller-retour puissants, je ne tiens plus. Pour le bouquet final, je prends appui sur le rebord du lit en la cambrant le plus possible et je m’enfonce au plus profond de son vagin. A cet assaut vigoureux, elle sait ce qu’il va se passer et contracte les muscles de son vagin pour me procurer plus de sensations. Ça ne loupe pas. Je me vide au fond de sa chatte. Trois puissantes décharges viennent tapisser le fond de sa grotte, suivies de quelques contractions finales du pénis afin de sortir tout le sperme. Je me retire et vois mon sperme mélangé à sa mouille dégouliner le long de ses cuisses. « Halala t’es chiant je viens de me laver. » Elle prend juste le temps de s’essuyer les cuisses et elle file pisser. Elle revient dans la chambre alors que j’enfile un t-shirt après avoir troqué mon maillot pour un short, m’embrasse et m’entraîne dehors pour l’apéritif.
Mon beau-père attaque déjà le pastis, ma belle-mère se fait le fameux rosé piscine (typique du sud : un (très) grand verre à vin la moitié remplie de rosé et le reste de glaçon), Michelle reste au soft et Léa et moi optons pour un rosé pas trop noyé. Une fois que tout le monde est servi, on trinque et les discussions commencent. Généralement on parle de la semaine de boulot passée ou de ce qu’on a fait dans la journée. Rien de très intéressant. A part les jeux de regard que Michelle essaye de faire avec moi. Mais je préfère me concentrer sur la journée de mon beau-père plutôt que déformer encore une fois mon short. Michelle quant à elle nous raconte sa semaine et surtout ses soirées à deux ou plus en fonction de son humeur. Ce qui ne choque personne à part moi (le sexe n’est pas tabou chez eux comparé à ma famille), mais je m’y suis habitué avec le temps. A un moment donné, je m’en vais allumer le barbecue. Une fois les braises prêtes et les viandes cuites, nous passons à table avec Ryan qui nous a rejoint à la fin de l’apéro. Encore une fois les discussions ne changent pas, mais ce qui se passe sous la table est tout autre. Je sens un pied se glisser le long de ma jambe et remonter le long de ma cuisse. Léa étant à côté de moi je sais que cela doit être sa main qui se serait aventurée entre mes cuisses. En face de moi se trouve... Julie ! Non je rigole c’est bien Michelle qui me chauffe en me regardant fixement. Toujours cet éclair de lubricité dans son regard, a-t-elle jeté son dévolu sur moi depuis que je lui ai plus ou moins avoué mes sentiments réciproques ? Je suis tiré de mes pensées par Léa qui me pince la cuisse pour que je réponde à Olivier.
—Je te demande si tu veux un défilé de mode plutôt que voir le match ce soir ? A-t-il oublié que je déteste ce sport ou c’est pour me taquiner ? Quoi qu’il en soit je lui réponds en rigolant.— Un défilé de mode c’est toujours plus intéressant que des mecs qui courent après une balle ! Tout le monde rit et le choix est donc fait. Défilé des nouveaux achats de Léa et Julie sur la terrasse pendant que Ryan et Olivier regardent le match.

Voilà pour le chapitre trois. Il est un peu plus long que les deux précédents, mais j’espère que ça vous plaît. Le défilé est dans le prochain chapitre. Il sera très détaillé étant donné qu’il va s’y passer beaucoup de choses. En espérant que ça continuera à vous plaire. N’hésitez pas à m’envoyer des message afin d’en discuter ou donner des conseils !
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