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De belles vacances

Chapitre 1

Prologue

Divers
Je pars en vacances, ou plutôt semi-vacances. Je pars seul à la maison de vacances de ma grand-mère afin d’entretenir le jardin, entretenir la maison, et remonter des affaires. Cela fait plusieurs années que personnes n’y est venu, il y a donc pas mal de boulot pour la rendre vivable, mais cela ne me fait pas peur au contraire, ça me changera d’air et m’occupera.
Sur le chemin je m’arrête à une station-service autoroutière vers 11h30 pour faire le plein et manger avant que les aires de repos soient remplies. Je fais mon plein, vais me garer, vais acheter à manger, et vais me poser sur une table de pique-nique. Je mange tranquille, quand je sens qu’on me touche la cuisse. Je regarde, il y a un chien, on dirait un border collie. Il est assis là, et me donne la patte. Je vois qu’il a un collier, et une laisse qu’il traîne. Je regarde autour de moi et vois, quelques tables plus loin, une jeune femme d’une vingtaine d’années. Je vais la voir, peut-être que le chien lui appartient. En m’approchant, j’entends des pleurs. Ça me met mal à l’aise, mais je prends mon courage à deux mains, pose une main sur son épaule et dis:— Excusez-moi.
Elle se retourne d’un coup, me prend dans ses bras au niveau de ma taille et dit tout en pleurant:— Je suis désolée Julien, promis, je ferai tout ce que tu veux, mais ne me laisse pas.— Euh... Je ne suis pas Julien.
Elle relève la tête, me regarde dans les yeux, elle met un peu de temps à retrouver ses esprits et me lâcher la taille. Elle s’excuse et me demande ce qui me fait venir la voir. Je lui explique que j’ai ce chien (que j’ai en laisse à côté de moi) qui est venu me voir pendant que je mangeais, et j’ai supposé que c’était le sien. Effectivement, le chien lui appartient, elle me remercie de lui avoir ramené et s’excuse pour la gêne occasionnée. Je rigole et lui dis avec le sourire:— Il n’y a aucune gêne, ces choses-là arrivent, et vous aviez l’air un peu ailleurs aussi pour penser à... Comment il s’appelle d’ailleurs ?— Mitchell. C’est vrai, effectivement, je suis un peu ailleurs...— Tenez, dis-je en lui tendant un mouchoir. Si vous voulez en parler n’hésitez pas je suis là, je suis une bonne oreille.— Merci.
Elle prend le mouchoir et essuie ses larmes.— C’est gentil, mais je ne vais pas embêter un inconnu avec mes problèmes.— James enchanté, lui dis-je en lui tendant la main. Voilà je ne suis plus un inconnu. Dis-je en rigolant. Si je vous propose de m’en parler, c’est que ça ne me dérange pas, je déteste voir une femme souffrir et je sais que sortir ce qui nous ronge peut aider.— Jessica. Me répond-elle. Merci de la proposition, pour vous faire un résumé, je me suis embrouillé très fort avec mon copain, du coup il a déchargé mes affaires et est parti. Pourriez-vous me déposer à la prochaine sortie s’il vous plaît ?— Euh non.— Oui je comprends ,vous ne devez pouvoir m’embarquer avec mon chien et mes affaires. Dit-elle en baissant la tête.— Non je ne vais pas vous déposer à la prochaine sortie. Je mets ma main sous son menton et lui relève la tête.— Nous sommes en plein milieu des champs, vous deviez aller où ? — Je devais descendre dans le Sud en vacances avec mon copain, mais c’est fichu... Dit-elle en baissant la tête et se remettant à pleurer.
— Je comprends. Ce n’est qu’un petit imprévu, ça ne va pas vous empêcher de profiter de vos vacances voyons.— Bah un peu si, on avait pris un Airbnb donc je n’ai pas de logement une fois là-bas.— Ah effectivement ce n’est pas hyper pratique. Je vous propose de faire un peu de route ensemble, histoire de vous rapprocher de votre destination, et on trouvera bien une solution sur la route.— Merci, c’est très gentil ! Me dit-elle avec un grand sourire. Mais vous êtes sûr que ça ne vous dérange pas, surtout que j’ai Mitchell avec moi. — Non pas du tout, par contre si ça vous va, j’aimerais qu’il voyage dans le coffre. Ne vous inquiétez pas j’ai un grand coffre. Lui dis-je en pointant du doigt mon berlingo familial— D’accord vendu alors, merci beaucoup, vous êtes mon sauveur. Dit-elle en se levant et me prenant dans ses bras.
Elle pose sa tête sur mon épaule, je la prends également dans ses bras, lui caresse le dos, pose ma tête sur la sienne, sens ses cheveux qui ont un parfum enivrant. Je fonds enivré par ce parfum, tombant sous le charme de son comportement de petite enfant perdue.
Elle finit par me lâcher, prend la laisse de son chien que j’ai toujours en main d’un côté, puis prend un de ses deux sacs de l’autre. Je prends son sac de voyage et nous voilà partis vers ma voiture, j’ouvre le coffre, en sors ma valise et mes outils, puis fais monter Mitchell dedans, attache la laisse, puis referme. Je mets toutes mes affaires sur les sièges arrière, prends sa valise et fais de même. Elle monte à côté de moi. Nous voilà partis. Sur le trajet nous discutons et faisons connaissance, elle m’apprend qu’elle a 23 ans, fait des études dans le domaine hospitalier, qu’elle est interne dans un hôpital parisien que je connais bien pour y avoir fait un long séjour. Forcément, je lui raconte mon histoire, je fais des blagues là-dessus, elle rigole. Je suis heureux de la voir sourire. Son visage a repris des couleurs.
Puis vient le sujet d’où je vais, ce que je vais faire avec tous ces outils. Je lui explique donc mon programme et lui propose étant donné que ces plans ont quelque peu changé. Si ça l’intéresse de venir avec moi dans la maison pour qu’elle puisse profiter de ses vacances et de la piscine.— Ne t’inquiète pas, tu auras ta propre chambre, faudra partager la salle de bain par contre. Et puis je ne serai pas hyper envahissant vu que je m’occuperai beaucoup du jardin et de la maison.— C’est trop gentil de ta part merci. J’accepte avec grand plaisir, surtout s’il y a une piscine.— Par contre je te préviens que c’est vraiment pommé au milieu de nulle part, il doit y avoir 10-15 maisons dans le hameau.— Ah oui effectivement. Au moins on est pas dérangé par le voisinage.— Oui ni par le téléphone, car le réseau n’est pas fou fou. Il y a quand même la télé. Par contre pour aller faire les courses c’est vélo ou voiture, car il doit y avoir bien 15 kilomètres.— Au moins c’est dépaysant, pas de téléphone, pas de voisins, la piscine. Je pourrais me ressourcer.— C’est le but de vacances après tout. Content que cela te plaise.
Durant le trajet, ma main se pose sur sa cuisse, elle ne dit rien. Quand je m’en aperçois, je retire ma main vivement et lui présente mes excuses, gêné. Je lui explique que c’est un réflexe, car habituellement je fais les longs trajets avec ma copine ^^’Je suis un peu honteux. Elle me dit que ça ne la dérange pas, elle me demande également pourquoi ma copine n’est pas venue par curiosité. Je lui explique qu’elle n’est pas venue, car je suis tout simplement célibataire, c’est juste une habitude que je n’ai pas perdue, car je ne fais pas souvent des longs trajets, à part pour le boulot, je ne suis pas parti en vacances depuis des années.Elle est compréhensive, prend ma main délicatement et la repose sur sa cuisse. Je tourne la tête, la regarde, elle me sourit ce qui me fait fondre. Elle a des yeux rieurs qui respirent la joie de vivre, un sourire sublime qui la rend éblouissante.Je laisse donc ma main sur sa cuisse et me mets machinalement à lui caresser doucement.Jessica me remercie, car elle aime bien, ça la détend, elle va en profiter pour faire une petite sieste.
Quand elle se réveille, nous sommes sur une aire de pique-nique vide, le coffre est ouvert, le chien n’est plus là, moi non plus.Je suis parti lui faire faire ses besoins. Je reviens à la voiture, viens à sa hauteur:— Bonjour la belle au bois dormant, bien reposé ? Dis-je sur un ton rieur.— Oui merci, on est où ?— On est un peu après Vierzon, toujours sur l’autoroute. Je me suis arrêté, car ça tape pas mal et il commence à avoir vraiment soif, d’ailleurs tu veux de l’eau ?— À oui volontiers. D’accord, on est plus hyper loin du coup si j’ai bien suivi ?Je lui tends la bouteille.— Tiens. Environ 1h30 je crois quelque chose comme ça.
On continue de discuter pendant qu’elle se dégourdit un peu les jambes, puis on rembarque pour le dernier bout.Sur le trajet, c’est sa main qui se pose sur ma cuisse cette fois. Je lui demande ce qu’elle fait. Elle me répond sans gêne qu’elle fait comme moi, après tout pourquoi il n’y a que moi qui aurais le droit de me faire plaisir.
Pendant la route, nous discutons de tout et de rien, de nos vies respectives, partageons des anecdotes, parlons de sujets d’actualités tels que le féminisme qui est un combat que je soutiens énormément (ou plutôt l’humanisme).
Nous finissons par arriver, je me gare le long du mur de délimitation du jardin devant la maison.Nous descendons, elle sort Mitchell du coffre.J’ouvre le petit portail et commence à lui faire visiter en ne bougeant pas trop vu toutes les herbes hautes.
La maison est une vieille bâtisse avec un étage sous comble et une grange collée sur la droite. On rentre par la porte principale qui nous fait rentrer dans la cuisine. C’est une vieille et petite cuisine avec le strict minimum et une table à manger pour quatre à six personnes au milieu de la pièce. Au bout à gauche, juste à côté du mur ouvert qui sépare du salon, se trouve la porte d’une chambre avec un lit double.— Tu choisiras quelle chambre tu veux quand on aura fini la visite. lui dis-je.— Le salon, avec une petite télé sous l’escalier menant à l’étage.
À gauche du salon se trouve la porte des toilettes, et celle de la salle de bain est juste à côté. À droite, la porte menant à la grange et au garage.Dans la grange, à droite tout un coin atelier, un rangement pour les vélos et outils de jardins à moteur, le tout est cloisonné par un vieux mur en bois séparant d’un couloir traversant toute la grange pour mener à la laverie avec à gauche une porte menant au jardin et à droite une au garage dans lequel se trouve une remorque.
À l’étage, juste deux chambres une d’enfants meublée de deux lits simples, un bureau, et un petit coin jeu avec un tapis. La porte d’à côté est une chambre parentale avec un lit à baldaquin.J’ouvre les velux en grand pour aérer en lui faisant visiter et en profite pour te montrer la piscine par l’une des ouvertures, elle est au milieu du jardin, bâchée.
— Alors par contre, c’est un peu de la publicité mensongère, mais tu ne pourras pas te baigner avant deux jours. Demain je m’occupe de tondre un passage jusqu’à la piscine et la nettoyer. Du coup le temps que les mélanges de produits se fassent il faudra attendre le lendemain.— Pas de problèmes, je pourrais faire bronzette sur le bord quand même.— Demain je vais attaquer dès le matin le débroussaillage du jardin donc je te ferai faire le tour des dépendances après pour qu’on y ait accès, ou tu préfères faire un petit entraînement pour du "Man VS Wild" en traversant cette jungle ?— Je suis prête à braver les dangers des herbes hautes et des rats des champs. Dit-elle en faisant semblant de se mettre des peintures de guerre sous les yeux.
Nous voilà donc partie pour le jardin. Nous passons par l’entrée principale de la maison, tournons à droite. Face à nous une petite dépendance avec juste une chambre dedans, un vieux poêle à bois en guise de chauffage, une table avec une vieille machine à coudre qui marche au pied. Au-dessus de la porte extérieure, une petite porte qui mène à un ancien grenier à grain.La bâtisse d’un côté est juste une pièce sans isolations ni même sol où sont stockés tous les outils de jardins et les poubelles. Un peu après, dans un petit renfoncement se trouve une ancienne porcherie sur laquelle grimpe une énorme vigne vierge que j’arrache un peu pour ouvrir la porte. À l’intérieur, une table et des chaises de jardin, au fond des petits placards avec vieux pot de confiture et autres bocaux. Le long du mur se trouve l’auge en pierre avec plein de jouets pour enfants dedans, ça me fait repartir loin dans le passé de voir ça.
Bref, pour la suite et fin de visite, s’étant le jardin derrière une porte grillagée qui est coincé par toutes ces herbes hautes et par la vigne qui a poussé dessus. Je te montre du doigt la piscine qu’on peut un peu deviner. Tu te penches collée à moi pour voir où je te montre, je passe une main dans ton dos pour te retenir, respire ton doux parfum, hume tes cheveux... Je retombe une fois de plus sous ton charme.
Le reste de l’après-midi se passe en grand ménage, on aère tout, fait les toiles d’araignées, relance toute l’électronique, passe l’aspirateur, vérifie le gaz pour la gazinière, etc. Jessica choisit la chambre du haut avec le lit à baldaquin, j’aurais préféré qu’elle choisisse celle du bas, car c’était celle de mes grands-parents et j’avoue ne pas être à l’aise à dormir dans ce lit, mais tant pis je l’ai laissé choisir après tout.
Arrivés le soir, nous mangeons tranquillement un paquet de pâtes trouvé dans un placard, puis une petite promenade à la fraîche du coucher de soleil pour te montrer des petites balades si tu t’ennuies pendant la journée et sortir le chien. Je te fais part des règles du hameau et de la maison, comme le tri sélectif, toujours ramasser les crottes de chiens dans le jardin, etc.
Durant la balade, je suis nostalgique et me remémore tous les soirs de mon enfance où on allait promener le chien en descendant les poubelles aux conteneurs.Tu as un petit frisson, c’est vrai que sans le soleil il fait un peu frais. Je te mets sur les épaules ma veste, tu me remercies d’un regard.
En rentrant, nous nous posons dans le canapé, moi assis et toi allongé avec la tête sur ma cuisse. Ma main te caresse les cheveux. Nous regardons la météo de demain à la télé, il fera beau. Je te demande si tu veux faire quelque chose de spécial demain, il faudrait qu’on aille faire des courses demain matin histoire d’avoir à manger dès le déjeuner. J’aperçois un grain de beauté dans ton cou, en relief. C’est en fait une tique. Je te le fais remarquer, te l’enlève.Tu me remercies, te lèves et me dis que tu vas te changer pour la nuit et en profiter pour vérifier si tu n’en as pas d’autres.Je regarde la fin de la météo pendant ce temps-là avant qu’elle ne libère la salle de bain. Elle en sort avec juste une culotte en dentelle noire et un t-shirt trop grand. Je la regarde avec la bouche à moitié ouverte.— Ferme la bouche les mouches vont rentrer. Dit-elle— Désolé, mais... Whoua... Tu es ravissante...— Merci. Dit-elle en baissant la tête, rougissant, et se tortillant comme une enfant.— Bref, allez, va au lit, une longue journée farniente t’attend demain. Dis-je en lui faisant un clin d’œil.
Nous nous souhaitons bonne nuit, puis elle monte l’escalier et j’entends la porte de sa chambre se fermer.
Je vais dans la salle de bain, me brosse les dents. La tête ailleurs, à penser à cette magnifique femme, son parfum embaume la salle de bain, sa magnifique culotte noire me fait perdre la notion du temps et je me suis brossé les dents 10 bonnes minutes.Je vais me coucher toujours la tête ailleurs.
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