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De belles vacances

Chapitre 2

Hétéro
Même pas une heure après m’être couché, j’entends des pas discrets dans l’escalier, sauf qu’il couine. Puis, on toque à ma porte :
— C’est Jessica, j’peux entrer ? dit-elle dans un murmure.— Oui, bien sûr, rentre, il y a un problème ?— Bah je t’avoue que je ne connais pas la maison et qu’être toute seule là-haut avec juste le bruit du bois qui craque, je ne suis pas rassurée. Du coup, est-ce que ça te dérange que je dorme ici avec toi ?— Mais non pas du tout, t’inquiète, viens, je pense que le lit est assez grand pour qu’on ait chacun notre espace.
Étant au milieu du lit, je me décale sur la droite et fais de la place. Jessica s’allonge sur le côté face à moi. Elle me regarde quelques secondes dans les yeux avant de me remercier.
— Merci de quoi ? Tu n’as pas à me remercier de te laisser dormir avec moi, je comprends l’effet que ça fait de dormir dans une vieille bâtisse que l’on ne connaît pas.— Pour ça, mais pour tout. Tu aurais pu me laisser à cette station-service où tu m’as trouvé.— Alors là non ! Je suis encore assez débile et pense encore que les gens bons existent, mais je ne suis pas complètement débile non plus et sais qu’ils ne courent pas les rues. Je n’allais donc pas te laisser te débrouiller. Et même si j’avais fait ce que tu voulais, tu aurais fait quoi à cette sortie d’autoroute en plein milieu de nulle part ?
Et puis on ne va pas se mentir, je l’ai fait par intérêt aussi, j’aime beaucoup ton chien, la propriétaire est adorable, et très jolie. Honnêtement, je suis sans doute un pigeon, mais je préfère aider les gens plutôt que de les laisser dans leurs problèmes. Je suis un Bisounours, je sais. Dis-je en rigolant.
Il fait noir, mais pourtant, je devine qu’elle rougit. Je passe un bras sous son oreiller et lui tends l’autre pour qu’elle vienne faire un câlin. Jessica vient se blottir dans mes bras, la tête dans mon cou. Je lui caresse le dos doucement, comme le ferait un grand frère protecteur. Elle a sa main posée sur mon torse au niveau du pec, elle me fait des petites gratouilles. Elle finit par s’endormir dans mes bras, et je la rejoins très vite.
Je me réveille en sursaut dans la nuit, en sueur, haletant, le regard apeuré, découvrant la pièce autour de moi. Je finis par me calmer, c’est encore et toujours ce maudit cauchemar... "Il n’y a pas de lieux hantés, uniquement des gens" me répète la petite voix dans ma tête à chaque fois.
Jessica est de son côté du lit, dos à moi. Je pousse la couette pour me lever, quand je fais cela, elle pousse un petit gémissement de plainte, sans doute à cause du déplacement d’air frais que ça a fait. Je me lève, vais boire un coup et me mettre de l’eau sur le visage. Je sors m’aérer l’esprit deux minutes. Il fait encore nuit noire, pas un bruit, même les grillons sont couchés. Il fait bon, même un peu frais. Je rentre donc assez vite.
Je vais me recoucher, à côté de Jessica. Elle n’a pas bougé. Je me fax dans le lit doucement pour ne pas la déranger, puis me tourne, dos à elle. Je sens qu’elle bouge, sa main passe au-dessus de moi et se pose sur mon ventre.
— Où tu étais parti ? J’avais froid sans ma bouillotte.— J’avais besoin de prendre l’air.
— Ah bon pourquoi qu’est-ce qu’il y a ?— Rien rien ne t’inquiète pas, rendors-toi.
Je me retourne et pose un baiser sur sa joue. Elle me retient, me plaque sur le dos en me tenant les poignets au niveau de ma tête.
— Ça t’arrive souvent de faire des cauchemars comme ça ?— Ah, je t’ai réveillé, je suis désolé.— De quoi tu as rêvé ?— Mon accident qui me hante, je revois des bribes d’images de temps en temps quand je dors.— Han je comprends mieux pourquoi tu étais aussi agité, j’ai essayé de te calmer, mais tu m’as repoussée.— Ah bon, tu voulais faire quoi ?— Bah je t’ai murmuré que j’étais là et que ça allait, je t’ai caressé pour te calmer, mais rien n’y fait, alors j’ai abandonné.
Je ne sais plus où me mettre et lui présente mes excuses des millions de fois. Elle rigole, me dit que ce n’est pas grave, puis se couche à côté de moi, toujours serrée contre moi et me prenant dans ses bras. Je sens son souffle chaud dans mon cou, sa main sur mon ventre, proche de mon engin, car oui, je dors nu.
Sentir sa main froide sur mon bas-ventre me donne une bouffée de chaleur et bientôt, mon pénis qui s’est réveillé vient toucher sa main. Jessica lève la main et vient faire glisser ses doigts le long de mon pénis qu’elle caresse délicatement en me susurrant à l’oreille "Ne sois pas si pressé, je m’occuperai de toi demain mon grand." Qu’elle me dise cela m’excite particulièrement, je me retourne, la prends dans mes bras, la plaque sur le lit, et lui dis : "Tes mots sont si excitants que je ne peux attendre jusqu’à demain. Et puis, il est minuit passé, alors on est demain" dis-je juste avant de l’embrasser.
Elle passe une main dans mon dos qui vient me caresser, passe une main entre nous et prend mon pénis.
— Tu es bien vigoureux en pleine nuit, dis donc.— Normal, comment ne pas désirer une si belle femme.— Il faut que je te fasse une confidence.— Oui, dis-moi tout princesse.— Je suis vierge. Me dit-elle.
Je peux voir avec le peu de lumière qu’elle est gênée de sa révélation.Choqué par cette révélation, je lui dis que j’ai du mal à la croire au vu de ses actes.Elle m’avoue aimer le sujet et beaucoup s’informer dessus. Elle me dit aussi qu’elle est très coquine et aime donner du plaisir à ses partenaires. Cela nous fait un point commun alors.
Elle m’avoue aussi que c’est pour cela que je l’ai trouvée à la station-service, son copain en avait marre d’attendre qu’elle soit prête alors il lui avait donné un ultimatum.
— Merci de me l’avoir dit, je ne compte pas te presser, il y a tellement de manières différentes de faire l’amour, et je pense que tu en connais pas mal aussi. Pour moi, ce qu’on appelle préliminaires n’est pas juste l’entrée du repas qu’est l’amour. C’est un plat principal autant que la pénétration.
Je l’embrasse tendrement, nos langues viennent se coller, s’enlacent, se mettent à danser ensemble. Je lâche sa bouche et viens lui embrasser le cou, le lui dévore. J’aime le goût de sa peau, le parfum de son corps. Pendant que je lui mange le cou, une de mes mains se pose sur un de ses seins et vient le masser. Ma main le fait tourner, puis vient se resserrer sur son téton et le pincer, ce qui lui fait pousser un gémissement aigu qui veut tout dire.
Je fais rouler son téton entre mes doigts puis le lâche. Je remonte son t-shirt avec ma main jusqu’au-dessus de sa poitrine. Maintenant que j’y ai accès, je descends ma tête vers ses seins en l’embrassant tout le long du chemin. Arrivé à son téton gauche, je le fais rouler entre mes dents.
— Ho oui vas-y, continue de jouer avec. J’adore ce que tu me fais mon petit cochon.
Boosté par ces mots, je lui pince le téton entre mes dents, le titille du bout de ma langue, le tète. Pendant ce temps, ma main s’occupe de son autre sein, masse cette petite boule, joue également avec son téton.
J’inverse, m’occupe de son sein droit avec ma bouche pendant que ma main s’occupe de la gauche. Sa respiration et forte, saccadée, je sens son plaisir me transporter, j’aime qu’une femme prenne du plaisir. J’arrête de jouer avec ses seins, remonte et viens l’embrasser.Nous échangeons un chaud baiser avant qu’elle me dise :
— C’est déjà fini ? Mes seins sont tristes.— Ça ne fait que commencer Princesse.
Je l’embrasse de nouveau, nous nous roulons une bonne pelle avant que je reparte en expédition en faisant toujours des baisers tout le long. Me voilà en train de descendre dans sa gorge, j’arrive aux petites collines jumelles, m’arrête un peu pour goûter aux fruits de cette contrée, puis repars vers ce désert blanc appelé ventre, plat, avec juste une petite oasis au milieu dans lequel ma langue va se baigner. Je repars après m’être rafraîchi pour cette contrée lointaine qui est un paradis de ce que l’on me dit. Je sens l’odeur de ce paradis dans l’air pendant que j’avance dans les broussailles entretenues en ticket de métro du mont pubis.
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