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Bénédict...ions

Chapitre 4

l'amitié a ses limites...pas la baise

Trash
— Et Bene, tu sais pas quoi ?! Je l’ai eu, hier. Putain, il est trop beau !!!...
Ça a commencé comme ça, cette histoire-là. Je n’avais pas encore 23 ans, mais j’étais bien une femme. Petits seins c’est vrai, mais ventre bien plat, jambes fines et ce petit cul qui m’a attiré tellement de réussites et des sensations de folie. Les mecs aiment les jolies fesses bien dessinées, jeunes, vieux, avec du pouvoir, peu importe... les nanas aussi l’aiment.
C’était Nathalie, ma meilleure amie, connue au lycée. Brune comme moi, nettement plus grande et plus généreuse en formes... toujours souriante et joviale. Elle plaisait bien, mais elle, son truc, c’était les mecs inaccessibles. Un genre de défi, je pense.
Et là, elle avait réussi, avec ce type qu’elle m’a présenté quelque temps plus tard. Je ne suis pas forcément sensible aux mecs trop parfaits. Plus maintenant du moins, car à l’époque, lui m’a fait mouiller ma culotte juste en me regardant. Ce n’est pas une façon de parler.Yeux, sourire, charme, élégance, virilité. Milieu trentaine. Il avait tout... mais timide, comme moi, en apparence.Bien sûr, j’étais contente pour elle. On se disait tout à l’époque, et elle a vite saisi que son mec me plaisait, vraiment beaucoup.
Quelques semaines plus tard, il y eut une petite soirée dans sa cité U. Un jeudi. Alors que ça se terminait et qu’on arrivait dans son studio, Daniel fit son apparition. J’allais les laisser quand elle me retint : « reste un peu, je te le prête si tu es gentille... » murmura-t-elle a mon oreille. Nous avions pas mal bu, et je lui demandais : "Gentille ? Gentille comment ?"
— Vraiment très gentille... (puis plus bas) tu fais tout ce qu’on te demande sans discuter...
Petits frissons... j’hésitais. Tentée et gênée à la fois, j’allais décliner et c’est lui qui insista de son regard trop intense : « reste un peu... », une main sur mon épaule pour me retenir. En silence, je restais.
Il alla fermer la porte et tous deux s’assirent sur le lit de la petite chambre.Ils me regardèrent et Nathalie me glissa : « déshabille-toi... » avec un sourie malicieux.J’enlevais mon haut, mes chaussures, mon jean... Il me restait mon soutif blanc et un tanga noir. Je n’avais rien prévu ce soir, pas de cet ordre, alors forcément, ce n’était pas assorti. Inquiétude très éphémère, puisqu’un geste du menton me fit comprendre que mon bra était de trop, mes petits nénés furent aussitôt dévoilés. Ils me regardaient avec des yeux dévorants, s’embrassaient à pleine bouche, se caressaient. J’étais un spectacle, l’objet du désir et je prenais plaisir à m’exhiber ainsi devant cet inconnu si séduisant. J’avais envie de lui, je mouillais et j’espérais qu’il le savait. Elle, je l’enviais, moi aussi je voulais goûter cette langue, toucher ce corps et sentir ses mains sur ma peau... J’étais prête à répondre à toutes ses demandes, toutes leurs exigences, pourvu qu’il me prenne.
Nath s’approcha pour me toucher un téton, son silence, très inhabituel chez elle, m’oppressait un peu. Puis ses deux mains baissèrent ma culotte d’un geste lent et assuré.
Ma chatte était épilée de peu, j’ai horreur des poils, heureusement... Nath reprit sa place, frotta sa main sur la queue de Daniel qui me dévisageait des pieds au visage, en s’attardant sur mon entrejambe rose et visiblement brillant de mouille. Je la voyais frotter ce cylindre épais, déjà bien gonflé au travers de son pantalon qui semblait prêt à se déchirer.
Il déballa et mon soupir de satisfaction à la vue de cette bonne bite lui provoqua un petit sourire discret. Il passa une main derrière la tête de Nath et la guida vers son membre, de bonne taille sans excès, mais apparemment très dur. Elle avala une bonne moitié sans hésiter, et toujours maintenue, se concentra à lustrer cette belle queue dont la vue me manquait déjà.

Il reposa son regard transperçant sur moi, et d’un ton doux et ferme, il exigea tout de moi... Les ordres fusèrent, j’obéis systématiquement, acceptant mon rôle d’objet sexuel improvisé. Ce rôle me plaisait et j’appréciais de voir Nath s’appliquer à sucer.
— Écarte les pieds... — Tourne-toi, montre-moi ton cul de gamine.— Penche-toi.— Écarte tes lèvres, je veux voir tes chairs.— Écarte les fesses, ouvre ton trou du cul.— Doigte-toi la chatte...
Ce dernier geste accompli, je sentis un autre doigt me rentrer dans le trou du cul... fin et avec un ongle, et probablement couvert de la salive de la pipe...C’était elle qui me doigtait l’anus... Je pensais que lui le ferait, et commencerait par ma chatte. Dans mon dos, je ne pouvais remarquer qu’elle avait délaissé son jouet pour me fourrer le cul... J’adorais cette surprise, un peu moins la dureté de son ongle.
Elle se retira pour s’emparer de ma culotte à terre... mes traces de mouilles de la journée y étaient flagrantes.Elle les lécha devant moi... lui aussi réclama sa part, et ce fut mon tour. Je m’appliquais à la nettoyer de ma langue, mon but étant de le provoquer, de lui montrer à quel point j’étais salope, pour qu’il me la mette... Je n’en pouvais plus, mes doigts dans la chatte m’amenaient trop vite à l’orgasme, je les retirais donc.Cette culotte, détrempée de nos salives, finit enfoncée dans mon anus presque entièrement, Nath en avait couvert ses doigts pour me la rentrer, petit à petit, sensation étrange et pas du tout désagréable.
Les choses se faisaient avec une aisance étonnante, comme si ces deux-là avaient déjà préparé le scénario.
L’excitation m’avait emportée depuis un moment, mes tabous et limites devenaient flous et sans importance. J’en voulais plus, beaucoup plus alors j’étais prête à tout.La suite s’embrouille un peu, je suis passée dans une euphorie incontrôlable...J’ai sucé sa queue, longtemps, léché ses boules, ses cuisses aussi, j’ai léché tout ce qu’on m’a présenté à la bouche : sa chatte à elle (ma première relation avec une femme), leurs mains, leurs pieds, leurs pénétrations furent léchées et leurs sexes nettoyés, à plusieurs reprises...
Il la baisait, il me baisait, il semblait en forme olympique. A quatre pattes, aux genoux de Daniel assis, elle vint me doigter la chatte et le cul... J’aimais ça, je me cambrais pour mieux lui offrir. Il appuya sur ma tête, de plus en plus bas, vers le sol, ma croupe s’offrait encore plus, et il me fallut passer la langue entre ses orteils masculins, un à un... Je m’appliquais tandis qu’elle me baisait de ses mains.Je suçais chacun de ses doigts de pieds avec soin, elle décida de me goder le cul avec le manche de sa brosse à cheveux, tout en me bouffant la chatte. Je jouis, je giclais, j’avais envie de pisser, de hurler, de trembler...
Lui se branlait en regardant ce spectacle, me voir humiliée ainsi semblait lui procurer une satisfaction immense.Je dus sucer le manche de la brosse... Je ne me fis pas prier. Nath guida ma tête entre les cuisses de Daniel pour y découvrir le goût d’un anus d’homme pour la première fois. Il s’allongea pour me faciliter l’accès, m’offrit son œillet légèrement poilu, j’étais en extase, je m’en foutais, de ses poils... Je posais mes lèvres dans sa raie et très vite ma langue en sortie pour lui lécher dans la longueur, puis s’enfoncer dans cette caverne devenue si délicieuse.Ce geste me marqua pour le reste de ma vie, il se multiplierait et de nombreux fantasmes en naîtraient, mais c’est une autre histoire.Ce fut un régal sexuel, quoiqu’un peu salé à ce moment ; je l’entends encore gémir : nettoie-moi... le salaud m’a encore humilié et j’ai aimé cela...
Il était prêt à jouir et voulut le faire dans le vagin de Nath qui passa au-dessus de ma tête pour s’enfourcher. J’ai essayé de continuer à dévorer le trou du cul de Daniel, mais les fesses de Nath vinrent s’écraser sur mon visage bloquant l’accès. J’aurais dû tenter de lui lécher son trou du cul à elle. Il l’avait enculée bien fort, ce devait être bien ouvert, j’aurais probablement pu y mettre ma langue, profond. J’étais jeune, j’ai loupé quelques trucs...
Il lâcha tout son sperme dans cette chatte béante, dans un râle puissant. Elle recula ensuite et m’offrit sa vulve pour partager. Une quantité étonnante de sperme et de mouille en coula, directement dans ma gorge... C’était trop bon...J’ai tout fait ce soir-là pour Daniel, j’ai bu sa salive quand il m’a craché dans la bouche, et son sperme, goûté sa peau et sa sueur, à tous les endroits de son corps, aussi vicieux qu’improbables. Je me dis aujourd’hui que je l’ai littéralement lavé avec ma langue, et surtout dans les recoins...J’ai joui plusieurs fois aussi, grâce à lui, à cause d’elle, de moi-même, tant mon niveau de dépravation m’avait excitée... J’ai même eu envie qu’ils soient plus nombreux.Hommes, femmes, que tous me touchent, profitent de moi, m’utilisent pour leurs plaisirs et leurs envies les plus salaces. Servir me faisait jouir...(Rien qu’écrire ces mots me stimule le clito... rien à faire, il y a chez moi une grande part de psychologique, dans mon goût pour le sexe.)
Épuisés tous trois... affalés, humides, salis, satisfaits... Si bien qu’ils ont même dû m’oublier quelques instants, moi leur sex-toy (aucun ne m’a jamais embrassé durant cette partie de cul...) :
— tu vois, je t’avais dit que je réussirais.— Oui, j’avoue, sans quoi tu ne l’aurais pas eu de toute façon.— Je t’avais promis une salope à humilier, j’ai tenu ma promesse, ton fantasme est réalisé.— C’est vrai. Tu as gagné... je vais quitter ma femme, comme promis.
Mon corps avait été vendu...à ce mec que je pensais parfait, et par celle qui devait être mon amie.Je ne dis rien, être utilisée m’avait plu. Il avait tellement aimé que j’enfonce ma langue dans son cul, sa femme aimerait peut-être aussi...
En attendant, j’avais besoin de dormir... et de me laver.
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