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Bénédict...ions

Chapitre 6

Trash
Voilà déjà bientôt un an que grâce à Jonathan, de la boîte d’intérim, j’avais intégré cette société. J’étais bien contente de toucher ce petit salaire tous les mois et les primes de fin de mission, pour un boulot qui n’était pas spécialement difficile.Depuis la première fois dans la ruelle, je continuais à le voir, une fois par semaine en moyenne, pour une bonne partie de baise qui, si elle restait souvent assez traditionnelle (pipe, cunnilingus, baise, un peu d’anal...) ; avait la particularité de se dérouler dans 90 % des cas, en extérieur, dans des lieux publics plus ou moins bien cachés.
Nous n’avions été surpris qu’une seule fois par un monsieur d’un certain âge qui promenait son chien. John m’avait mise entièrement nue, dans un bosquet d’un parc public. Le temps était gris, il n’y avait pas grand monde dehors alors j’avais accepté, d’autant que j’avais choisi l’endroit. Lui était resté habillé et sortait juste son membre et ses boules. J’étais en train de me faire prendre en levrette après l’avoir pompé, quand j’aperçus ce monsieur du coin de l’œil. Pas de doute que John l’avait vu venir, mais ça lui plaisait de m’exhiber, il avait la sensation de me posséder, de faire envie aux autres, et ça me plaisait d’être l’objet du désir. Le papy s’était excusé de nous avoir dérangés, comme s’il n’avait pas fait exprès de venir plus près en entendant mes gémissements.
Il s’était approché pour nous parler, juste un peu, et nous lui avions souri, puis nous avons continué à baiser avec ce vieux cochon qui nous regardait et ne semblait pas vouloir s’en aller. Il a bien profité du spectacle, jusqu’au bout, et m’a chaleureusement remerciée. Après tout, j’avais bientôt 27 ans, mince avec un beau cul rond, peu de seins c’est vrai, mais j’étais quand même à poil avec une bite dans la chatte. Quoi de plus beau à offrir comme spectacle à un homme d’âge mûr qui ne bandait peut être plus ?
Même son chien avait semblé excité par la situation, ce qui m’avait fait rougir, l’imaginant venir laper le sperme qui coulait de ma chatte et le long de mes cuisses. Vraiment, on s’est bien amusé avec John...

J’avais donc enchaîné trois missions de deux mois et une mission de six mois en accord avec mon supérieur Monsieur Schmid qui, bien évidemment, ne me les avait pas offertes gratuitement.Il m’a fallu le rencontrer seul ou avec un ou deux de ses amis à chaque nouvelle mission, pour pouvoir garder ce boulot.Lui ne me faisait pas tellement d’effet en dehors de son côté pervers, à m’obliger à le sucer au travail et à offrir mon cul à ses potes pour garder le job. Une vraie pute en fait... et ce rôle avait tendance à m’exciter au lieu de me torturer.
A dire vrai, j’avais pris un réel plaisir à rencontrer ses amis. De bien meilleurs baiseurs que lui, à me prendre par tous les trous, à plusieurs reprises jusqu’au petit matin ; c’était orgasme après orgasme, orgie de sperme et de salive jusqu’ à épuisement. Que du bonheur, je ne m’étais jamais autant fait lécher la chatte et l’anus que lors de ces soirées-là. Je les revois encore me bouffer l’entrejambe, l’un de chaque côté pour me dévorer l’avant et l’arrière en même temps, à me faire gicler partout et les voir tout boire... trop bon. Je leur rendais bien, j’avalais leur sperme en quantité, et j’ouvrais grand la bouche quand il voulait me cracher au visage... Toujours prête à être prise, à essayer toutes positions et pratiques qu’ils me demandaient. Hard et bon délire en même temps.
Le dernier plan à trois réalisé avec eux m’avait conduit à finir sous la douche avec un de ses amis. Lui dormait à moitié, trop bourré, et l’autre avait dû rentré après m’avoir bien bourrée, mais d’une autre façon.Le dernier restant n’en avait que pour mon cul et ma bouche. C’était un nouveau, je n’avais encore jamais couché avec lui auparavant. C’est le seul de la soirée qui n’avait pas touché à ma chatte du tout. Ni avec sa bite, ni avec ses doigts ou sa langue et je m’interrogeais sur le pourquoi. Il n’avait utilisé que mon trou du cul qu’il avait bouffé avec appétit et profondeur, et enculé avec tout autant de force. Il m’avait bien fait jouir d’ailleurs, cet obsédé de la défonce anale.Je lui demandais quand même, car j’aurais bien aimé l’avoir dans ma chatte aussi... Il m’expliqua tout simplement qu’il n’aimait que les pratiques déviantes et que le sexe traditionnel ne l’excitait plus depuis des années. Il ajouta n’aimer que le hard, bizarre, voire même crade...
Intriguée, je voulais en savoir plus, qu’est-ce qui pouvait lui plaire exactement. Enlacés sous la douche, il m’avait notamment parlé de sodomie, mais merci, ça, je l’avais bien sentie toute la soirée, mon cul me faisait assez mal. Il parla aussi de fist fucking, ce qui m’attirait déjà depuis un moment. L’entendre murmurer qu’il aimait enfoncer sa main et son avant-bras dans une chatte et si possible dans un cul, me procura une sensation de chaleur dans le ventre...
J’avais regardé plein de pornos sur ce sujet et m’étais amusée seule à me le faire, sans arriver jamais au bout. J’imaginais son poing entier dans mon vagin et j’en salivais de toutes mes lèvres...Je faillis lui proposer d’essayer, mais j’avais déjà pris cher ce soir ; mes trous étaient bien irrités et sensibles, et il avait aussi des mains énormes, je ne voulais pas avoir mal et je n’étais pas certaine qu’il s’arrêterait à ma demande. J’avais trop peur de me faire déchirer le minou, et de ne plus pouvoir m’en servir avant longtemps.
A cet âge, les histoires de dilatation anales me faisaient encore plus peur, tout en me faisait envie aussi. A 26 ans, je me prenais déjà de sacrées grosses bites dans le cul, je jouais régulièrement à enfoncer des jouets et objets d’une certaine taille pour m’amuser et pour me faire jouir seule. Cependant, une main entière, ça me paraissait impossible. Encore moins ses grosses paluches à lui. Peut-être avec une main de femme, qui aurait des doigts et une paume fine... pourquoi pas commencer ainsi ? Il faudrait que je regarde dans mon entourage, quelle connaissance aurait de petites mains pour tenter mon 1er fist anal...Pensive quant à ces pratiques extrêmes qui m’attiraient et m’effrayaient, le mec me glissa à l’oreille qu’il aimait également les jeux uros et qu’il pouvait me montrer si je voulais. Je me gardais bien de lui dire que j’y avais déjà joué, notamment avec Geoffrey à qui j’avais pissé au visage il y a quelques années.
Debout dans la douche et sans attendre ma réponse, je sentis son sexe se mettre en appui contre mon ventre et commencer à déverser son liquide, plus chaud que la douche, et moins transparent aussi. J’ai baissé la tête pour regarder la pisse sortir de sa bite, s’étaler sur mon ventre et me couler ensuite sur la chatte et le long des cuisses.Silencieuse, je le laissais faire sans m’enlever du jet, quand il me proposa de m’agenouiller pour y goûter : « juste une petite gorgée en bouche et tu recraches si tu n’aimes pas » avait-il supplié.
J’hésitais... j’avais peur de ne vraiment pas aimer. Je lui proposais plutôt de venir lui lécher la dernière goutte quand il aurait fini... Il accepta sans insister, certainement conscient que sa demande était tordue... Excitante, mais tordue.Peut-être avait-il anticipé ma réponse, puisqu’une fois mes lèvres sur le gland et la langue en train de lui nettoyer l’urètre, c’est une giclée entière que je reçus dans la bouche. Il venait de contracter, et toute la pisse qui était dans son tuyau m’inonda la bouche.Surprise, j’ai eu le réflexe de bien garder la bouche fermée, comme pour ne pas baver, puis j’avalais spontanément comme je l’aurais fait avec une gorgée d’eau.
C’était un peu salé et âcre, pas vraiment bon, mais pas désagréable, ni invivable non plus. Il me regardait avec un grand sourire, fier de sa réussite. Bien sûr, ce n’était pas un incident, et je n’étais sûrement pas la première à me faire avoir et à boire sa pisse.Je me redressai et il me traita gentiment de salope... Alors sans prévenir, je l’embrassais à pleine bouche, histoire qu’il goûte à son jus également, pas de raison.La prochaine fois qu’il me boufferait le cul, j’aurais bien pris soin de boire en quantité avant, on verra qui boira le plus de pisses de nous deux mon salaud...

Voilà comment j’arrivais, avec un an d’ancienneté et d’intérim, à être en phase d’obtenir un contrat à durée indéterminée.
Je suis convoquée lundi soir dans le bureau de Monsieur Schmid et je vous la raconte dans mon prochain chapitre.
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