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De Benoit à Julie

Chapitre 1

Première sensation

Travesti / Trans
Bonjour, je m’appelle Julie, j’ai 21 ans, je suis ..., enfin avant je m’appelais Benoit, j’étais un garçon, maintenant... je ne sais plus trop.Aujourd’hui, je dois prendre une grande décision, et pour m’aider, il me faut réfléchir à mon histoire, me rappeler comment j’en suis arrivé là. Savoir ce que je dois faire maintenant.Ca a commencé...
— Et Ben attends ...
Voix féminine dans mon dos, je me retourne, c’est Charlotte, mon amie d’enfance. Elle court pour me rejoindre.
— Salut Ben.— Salut Cha.
Bises.....
— Ca va ?— Oui et toi ?— Ouais lol, on est parti, ça y est ??— Ben oui, c’est fait...
Pour nous, c’est la rentrée, première année de fac, Langues pour Cha, Philo/Histoire pour moi.Il faut que je vous la présente un peu, parce que Cha, pour moi, c’est la femme la plus importante de ma vie. Parfois, on dit entre nous qu’elle est encore plus importante que ma mère. Ma mère m’a donné la vie, Cha me l’a sauvée, littéralement. Nous sommes nés tous les deux le même jour, dans la maternité d’un quartier que je qualifierais de « petit bourgeois » d’une grande ville. Nos parents se connaissent, ne se fréquentent pas. Nous avons fait connaissance dans la nursery de l’Hôpital, et c’est là que Charlotte m’a sauvé la vie, déjà, à quatre jours...En pleine nuit, je me suis arrêté de respirer, et Cha s’est mise à hurler, ça a attiré l’infirmière de garde. Elle m’a vu tout bleu, elle a fait les gestes nécessaires et relancé ma respiration, et Cha est devenue mon ange gardien. Pour la vie... tout le monde dit que c’est un hasard, pas nous, on sait...
Parce que Cha, à partir de ce jour-là, elle est devenue mon ombre, on dirait qu’elle s’est sentie investie d’une responsabilité. J’ai toujours été de petite stature, pas chétif, mais pas très viril, pas grand, même Cha me dépasse quand elle est en talons. On se suit depuis 19 ans, la maternelle, la primaire, le collège, le lycée, on a tout fait ensemble. Comme je ne suis pas d’un naturel bagarreur, et comme je vous l’ai dit pas très costaud, j’ai tendance à servir de tête de Turc dans les classes où l’on passe ; sauf que la tête de Turc, elle a Charlotte. Et Charlotte en colère... elle a calmé plus d’une petite terreur, c’est une championne du coup de pied dans les ...

Qui aurait pu penser que le diablotin aux genoux écorchés serait devenu une jeune fille très féminine, blonde, les yeux bleus, le nez mutin, la bouche gourmande comme on dit, un corps de rêve. Sexy sans l‘être trop, elle a un goût pour s’habiller, se maquiller, qui se ferait damner les garçons ; sauf que Cha, les garçons, elle s’en fout, à part moi bien sûr. Parce que Cha, elle préfère les filles. J’ai été le premier à le savoir bien entendu. On se dit tout, on est plus proches qu’un frère et une sœur. Nous sommes enfants uniques tous les deux, les parents de Cha par choix, les miens n’ont pas réussi à en faire un autre.
Donc aujourd’hui, c’est la rentrée, pour la première fois, nous allons être séparés Cha et moi. Mais on a prévu de passer le maximum de temps ensemble. Il lui est même arrivé de quitter « une copine » pour passer plus de temps avec moi. Nous deux, c’est fusionnel, inexplicable.
Nos parents nous ont pris un petit appartement, du coup on va vivre ensemble, et elle a promis de ne pas trop imposer ses conquêtes ; questions filles, Cha c’est un bourreau des cœurs.Premiers cours, ça change du Lycée, du monde partout, tout est grandiose. Le soir découverte de l’appartement, que nous avions loué pendant les vacances, on s’installe. Et la vie d’étudiant commence, doucement.
Passent deux-trois semaines, on rentre chez nos parents, faire le plein, quelques lessives ; Cha n’est pas très ménage, moi non plus.
Retour à l’appart, et là, le lundi matin avant de reprendre les cours :
— Merde, je gueule dans la salle de bain.— (Voix lointaine Cha) quoi, tu t’es fait mal ???— Non j ai oublié mes boxers à la maison.— T’as qu’à prendre les miens.— Charloootte arrête tes conneries, c’est des trucs de fille (quand je suis énervé, je l’appelle par son prénom complet)— Et alors ? personne le verra, je prends bien les tiens des fois.
(exact quand Cha vient à la maison, il lui arrive de piquer mes affaires)
— Mais c’est pas pareil !— Ben si !— Ben non !— Ho arrête, tu vas pas faire ta mijaurée, je suis sûre que je peux te trouver un truc sympa.— T’es conne !!!
(La voilà qui arrive dans la salle de bain en tenant un petit truc noir) eh oui, Cha et moi il y a longtemps qu’on ne se cache plus.
— Regarde, j’ai pile ce qu’il te faut, un shorty tout mignon.— C’est malin !!— Arrête, c’est aussi grand qu’un de tes boxers.— Oui, mais c’est un truc de fille.— Arrête tes conneries, on va être en retard, mets ça, personne verra rien.
Sachant qu’il ne faut pas tenir tête à Charlotte et puisque nous sommes en retard, je baisse les bras.J’enfile son shorty, petit truc noir en dentelle qui me va comme un gant, car nous sommes à peu près de la même taille.
— Ben tu vois, il te va à ravir, dit-elle avec un grand sourire qui illumine ses yeux, si j’étais un mec, je te mettrai la main aux fesses.
Elle commence à faire le geste, je l’esquive sans peine.
— C’est malin !!— Il te va super bien !!
C’est vrai qu’il me va, je ne suis pas gêné par mes attributs, car comme le reste de ma personne, ils ne sont pas énormes. Ca fait partie aussi des choses que Charlotte sait. Aucune remarque de sa part, jamais. Elle m’accepte comme je suis. Comme je l’accepte comme elle est.J’enfile en vitesse mon jean et le reste de mes affaires, et on part en cours.Une fois assis à ma place, je me rends compte de la douceur de ce que je porte, ça me fait drôle, ça caresse mes boules et mon sexe, j’ai l’impression de commencer à durcir.Non non !!!! pas dans la culotte de Charlotte, elle va me tuer.A l’intercours, changement de salle, je sens la caresse de sa culotte sous mon jean. C’est agréable.
J’ai l’impression d’avoir de nouveau un début d’érection.Midi, passage aux toilettes avant d’aller manger. Je suis un brin fatigué et je me rends direct aux pissotières. Je déboutonne mon jean, sors mon pénis, comme il est petit, je suis obligé d’aller le chercher un peu loin, et je commence à uriner. Et tout d’un coup, je me rends compte que je ne suis pas seul et que la personne à côté de moi regarde dans la direction de mes mains... c’est un homme d’un certain âge, à ma droite, lui aussi est en train de se vider, mais sa grande taille lui permet de regarder par-dessus la petite séparation, et je m’aperçois qu’il peut voir mes mains, mon pénis, et un bout du shorty. Je lève les yeux vers lui, croise son regard, un petit sourire déforme sa bouche. Je crois que je rougis, obligeamment, il détourne le regard. Je me demande la raison de son sourire, la taille de mon sexe ou le shorty.
Je rejoins Charlotte pour manger au Restaurant Universitaire, et à table, je lui raconte tout, enfin non pas tout, pas le fait que son shorty me fait bander.
— T’en fais pas, c’est juste un hasard, y a rien de méchant.— Oui, mais s’il a vu le shorty ?— Et alors ? Il pensera que t’es un garçon qui a du goût, c’est tout !!— Charlotte, t’es infernale.— Oui je sais, c’est pour ça que tu m’aimes non ???— Pfff tu m’énerves.
Nous finissons de manger, retour en cours, et appartement à 19 heures. Tout l’après-midi, j’ai ressenti la douceur et la caresse de son shorty, c’était très agréable. Sur le chemin du retour le soir, nous nous sommes arrêtés dans une grande surface et j’ai acheté un lot de boxers. Cha voulait absolument me faire acheter un shorty, j’ai tenu bon.
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