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benoît salope soumise

Chapitre 3

Gay
(à l’attention du webmaster (mmmh j’m trop les master!) en fait il y a deux histoires. benoit salope soumis (dont ce recit est la suite)et le niqué en niquab sui serait bien de dissocier.bisous partout ^^)

Benoît, salope soumis(e) - 2
François, mon patron et mon Maître a modifié mon contrat de travail de commercial à secrétaire. Un autre contrat rangé dans son coffre fort est rédigé : celui qui me défini comme salope et qui détermine mon Maître, à qui je confie ma vie, sans restrictions aucunes.
François discute avec un amant d’avant, quand j’étais un homme libre :
« Tu sais Sylvain, j’ai modifié de contrat de travail de Benoît. C’est ma secrétaire personnelle à présent. Pour qu’elle soit plus performante, je l’ai envoyé en stage.— ha, bien. Et qu’est-ce qu’il y fait ? Au fait maintenant c’est « il » ou « elle » ?— je préfère « salope », c’est plus dans sa nature. Tiens voilà le programme, qu’en penses-tu ? »
Le séminaire :1er jour :— accueil des stagiaires avec visite médicale — sport : élongations, étirements et échauffement— pause repas : pique-nique sur l’herbe avec sandwich et champagne— cours de maintient et expression orale— secrétariat— repas gastronomique sur le thème du foie gras du périgord— temps libre/repos
— veillée, activité macramé2ème jour :— Lever, petite collation, toilette, — gymnastique— repas « sur le pouce »— activités équestres— geste et posture— relaxation— validation des acquis— retour à la maison »
Je suis arrivé en taxi à l’hôtel particulier à Passy. Magnifique demeure de Maître dont les ormes dépassaient l’acier noir de 2 m de haut, orné de piques dorées, clôturant l’espace feutré.Je sonne. L’ouverture automatique de la porte s’enclenche après que la caméra eut fini ses « bzzzz » de rotation et que son gros œil m’eut ausculté. Un homme en uniforme noir avec bottes vernies montantes, le tout très uniforme allemand, ouvre la porte et me hurle dès que la porte d’acier revêtue de bois fut close :« Votre convocation ! »Je lui tends la lettre que Maître François m’a remise lors de mon départ. La lecture dure un moment plutôt long par le cerbère, puis il m’ausculte et me dis :« Ton nom salope ?— bonjour Monsieur, je suis benoit-salope, propriété de Maître François »— Fous-toi à poil maintenant, puis mets tes fringues dans un casier dans les couloirs de droite. »J’obéis. « Suis-moi la pute ».Nous allâmes dans une pièce de type médico-médiéval ou une femme magnifique est assise à un bureau en inox. Jupe stricte et noire, talons et chemise beige clair en soie aux boutons ouverts. Je m’agenouille à sa rencontre, baisse la tête contre le sol et me présente d’une voix mesurée : « bonjour Madame, je suis benoit-salope, propriété de Maître François ».Une claque retenti violement. « Tais-toi la pute. Je suis Madame le Docteur. Ne parle que si on t’interroge. Tu ne dois dire que « oui » et « merci ».— Oui Madame le Docteur, merci. »Une autre claque retenti. « C’est bien.— merci Madame le Docteur.— assied toi sur le siège, là. — Oui Madame le Docteur, merci. »Je m’assois donc sur un genre de siège en tout point ressemblant à un abatant de toilette, mais de cuir noir soutenu de pointes d’acier. C’est douloureux. Là, le mec en uniforme me mets des bracelets en cuir aux poignets et chevilles et relie les anneaux à des chaînes métalliques. Le Docteur se concentre sur une console en inox avec des boutons. Les chaînes remontent vers des treuils installés au plafond, et me voici bientôt écartelé les fesses bien ouvertes et les quatre fers en l’air. Le mec en uniforme me ceinture le ventre au siège. Je suis mis à disposition et ne peux plus bouger. La femme dit alors au militaire :« Tuyau, eau 5 litres avec pied. » Le gars s’en va. La femme prend un gros plug de quinze cm par au moins 7 cm me le plante dans la bouche et me dis « suce bien salope, nous n’utilisons pas de gel ». J’avale le plug et le salive le plus possible. Je me end compte qu’il possède un trou en son milieu. A ce moment l’escogriffe revient avec le matériel et le docteur m’encule avec son plug. Je sers bien les dents pour ne pas montrer à quel point j’aime, mais la bite à la verticale ne ment pas. Le docteur me prend les bourses et les tord. Je hurle en silence et en serrant les dents pour ne pas faire honte à mon Maître. Ma bite redescend, flasque et molle. « On verra ça tout à l’heure » me dit le docteur. Le plug dans le cul, on me met un tuyau dans l’intestin via le plug percé, et on me le met bien profond. Un robinet est ouvert et le délice commence. A un litre j’ai encore la bite au garde à vous. Re-torsion des couilles et claque dans la gueule. L’homme en noir pousse une bassine sous le siège tandis que le docteur me déplug. Je déguste grave car l’engin est énorme. Je sers les fesses dans l’attente de l’ordre qui me délivrera de l’eau. « Lâche » me dit le docteur. L’eau me sort des intestins d’un long jet. Celle-ci est assez claire, n’ayant rien mangé depuis hier au midi. Le soir, seul le sperme et l’urine de maître François me sont permis. Le docteur me ré-empale avec le plug puis réinsère le tuyau. Cette fois j’ai droit aux quatre litres restant. Les crampes me font assez mal. J’aime beaucoup. Enfin le docteur retire le tuyau mais bouche le plug avec un bouchon.« Occupe-le » dit le médecin au baraqué. Il sort sa bite, très respectable, et me la donne à sucer. Durant ce temps, le docteur me met un bonnet de piscine en me couvrant les yeux et mes cheveux. Elle pulvérise ensuite un produit qui me pique sur tout le corps, en insistant bien sur les burnes et mon cul. Je m’applique à bien sucer pour éviter de ressentir trop les crampes dues à l’eau dans l’estomac et les douleurs sur ma peau. Pour faire bonne mesure et entre deux grognements de satisfaction, l’individu me colle des baffes. Ensuite il me prend les cheveux et m’enfonce sa bite profondément jusqu’à ce que les bourses se collent à ma bouche. Il me baise la bouche pendant un bon quart d’heure. J’ai les intestins qui me tordent le ventre malgré mes chaînes et le ceinturage de cuir. Je transpire de tous les pores.Le docteur retire enfin le plug et mes intestins se vident. Elle a un gant en plastique transparent qui lui couvre l’avant bras. Elle l’huile et me fist. D’abord deux, puis trois, puis quatre doigts. C’est vite fait, très professionnel. Dans moins de cinq minutes j’ai son poignet dans l’anus. De ses doigts elle masse ma prostate. C’est bon ! Elle me masse bien et du sperme commence à couler de mon gland. La frustration est immense car je sais que je ne jouirai pas. Elle est en train de me traire comme une vulgaire vache. Elle extrait bien cinq cl de sperme et quand plus rien ne sort de ma bite, elle ressort son bras. Elle jette le gant en plastique et prend un engin dans un tiroir de son bureau.« C’est un dispositif de chasteté, connasse. Modèle spécial à la demande de ton maître qui aime te voir bander mais qui te refuse la jouissance. C’est articulé, mais recouvre toute ta bite et ainsi tu ne pourras pas te masturber salope. »Experte, elle m’applique l’engin qui semble être fait de kevlar ou de matériau composite. C’est super solide mais avec un peu de souplesse aussi. Ma bite maintenant au garde à vous est enveloppée par un tube fait d’écailles articulées entre elles. La base forme un cockring et m’enserre les couilles. Le tube d’écaille est maintenant cliqué sur le cockring et le docteur passe un cadenas, tout noir aussi, dans l’endroit voulu. « clac ». « Voilà sale conne, tu as juté pour la dernière fois tout à l’heure. Ah ah ». Elle m’écrase de nouveau les testicules pour me faire débander. C’est plus long cette fois à redescendre mais je ne risque plus d’éjaculer ! La bite enfin molle, le docteur courbe le tube jusqu’aux couilles et un « clic » me fait comprendre que cette fois ma bite est accrochée au cockring. Je ne peux plus bander sauf si mon Maître le désire et me libère le tube d’écaille. « Toi, jouis ! » dis le docteur au garde. Le molosse s’arque en grognant « mmhh ouiiiii » puis se vide dans ma bouche. « Garde tout en bouche sale pute » me dit le docteur. J’obéis, bien sûr. « Ouvre », j’ouvre la bouche. Elle met alors la clé du cadenas dans un genre de capsule, la trempe dans un produit qui la scelle et la met dans le préservatif ou trempe ma semence. Elle noue le préservatif et me le met en bouche. « Avale tout connasse ». J’avale le sperme du gars et l’œuf surprise. « Tu le donnera à ton maître à ton retour.— Oui Madame le Docteur, merci. »Elle regarde la montre à son poignet, renvoie le garde, et me souffle :— On a encore un quart d’heure salope, alors tu vas me lécher la moule et le cul. Et si c’est pas bien fait, je t’arrache les couilles petite pute ! »Elle se positionne à cheval sur ma figure et me dit « vas-y salope »Je me suis appliqué à la faire jouir trois fois de suite. Elle m’a juté sa mouille sur la figure. M’a ordonné d’ouvrir la bouche et m’a pissé dedans. J’ai tout avalé sans rien laisser couler. Enfin elle s’est redressée, a réarrangé sa jupe et appelé le garde.« Conduit cette salope au gymnase.— Bien Madame. »
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